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  1. Dernière heure
  2. alx23

    Fidji

    Titre de l'album : Fidji Scenariste de l'album : Pierre-Denis Goux Dessinateur de l'album : Jean-Luc Cano Coloriste : Julia Pinchuk Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Vincent et Sam. Plus que des amis, des frères. Ils ne se sont pas vus depuis que Sam est parti aux Fidji. Et quand il redébarque sans prévenir, il entraîne Vincent dans un road trip vers Biarritz, la ville de leur enfance. Sauf que depuis un an, la vie de Vincent a changé. Leur voyage de retrouvailles va vite dérailler, et se transformer en règlement de compte. Entre eux, mais aussi avec la vie. Critique : Quel plaisir de lire un album comme Fidji ! On se laisse entrainer dans un road trip avec deux amis d'enfance pour projet d'aller au Fidji afin de profiter de la vie insulaire paradisiaque. Pierre-Denis Goux découpe son intrigue en sept chapitres pour que les héros lâchent prise sur leur quotidien toujours en questionnement sur les choix et comment on évolue en prenant de l'âge. Les rêves ne sont plus les mêmes et la réalité rattrape la vie de Vincent avec son emploi peu passionnant et l'achat d'un apparemment minuscule à Paris avec sa compagne. L'arrivée de son ami Sam va lui permettre un retour à l'insouciance. La partie graphique de Jean-Luc Cano est impressionnante, les dessins sont dynamiques sans perte de rythme durant les 160 planches de ce one shot. J'ai bien aimé les clins d'œil aux chanteurs faisant du stop sur le rebord de la route pendant que les deux amis voyagent sur les petites routes de France en direction de Biarritz. Le final est vraiment bien trouvé, on le sent arriver deux chapitres avant la conclusion mais c'est très bien amené. Fidji est une excellente surprise et un album fort et émouvant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fidji/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Fidji

    Quel plaisir de lire un album comme Fidji ! On se laisse entrainer dans un road trip avec deux amis d'enfance pour projet d'aller au Fidji afin de profiter de la vie insulaire paradisiaque. Pierre-Denis Goux découpe son intrigue en sept chapitres pour que les héros lâchent prise sur leur quotidien toujours en questionnement sur les choix et comment on évolue en prenant de l'âge. Les rêves ne sont plus les mêmes et la réalité rattrape la vie de Vincent avec son emploi peu passionnant et l'achat d'un apparemment minuscule à Paris avec sa compagne. L'arrivée de son ami Sam va lui permettre un retour à l'insouciance. La partie graphique de Jean-Luc Cano est impressionnante, les dessins sont dynamiques sans perte de rythme durant les 160 planches de ce one shot. J'ai bien aimé les clins d'œil aux chanteurs faisant du stop sur le rebord de la route pendant que les deux amis voyagent sur les petites routes de France en direction de Biarritz. Le final est vraiment bien trouvé, on le sent arriver deux chapitres avant la conclusion mais c'est très bien amené. Fidji est une excellente surprise et un album fort et émouvant.
  4. Hier
  5. The_PoP

    Les aventuriers de l'Urraca

    C'est corrigé merci @Kevin Nivek !! J'espère que tu ne le regretteras pas. Lecture un peu atypique, dans la lignée de de cape et de crocs même si moins prolixe sur la langue française.
  6. Kevin Nivek

    Superman lost

    J'hésitais , mais ta note me refroidit .
  7. Attention tu t'es trompé d'éditeur 😉 J'ai pris l'album en tout cas 🙂
  8. Titre de l'album : Les aventuriers de l'Urraca Scenariste de l'album : Rémi Farnos Dessinateur de l'album : Rémi Farnos Coloriste : Rémi Farnos Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ce ne sont pas les trésors qui font les grands capitaines mais les légendes qu'on raconte à leurs sujets… Le capitaine Sherman a beau être un pirate émérite, il a tout de même un grand défaut : il ne rapporte quasiment jamais de trésor dans ses cales. Par contre, quand il s'agit de raconter des histoires, il excelle ! Au moins assez pour motiver son équipage à repartir à l'aventure ! Le capitaine et ses hommes seront-ils à la hauteur des plus grandes légendes ? Critique : Ah tiens j'ai pris une claque. Il arrive parfois que l'on aborde une bd avec suffisance, se basant sur notre expérience de lecteur, et jugeant parfois sur un graphisme ou un style. Les aventuriers de l'Urraca m'a proposé cette expérience déroutante. Démarrer une bd en laquelle on ne croit pas 3 secondes, tourner les premières pages en confirmant cette première impression, et puis se faire happer, lentement mais surement, par ce récit, cet art de la narration, ce mélange particulier entre haut verbe et piraterie. On n'est pas dans De Cape et de Crocs mais parfois on s'en rapproche, avec toutefois une dramaturgie et une dureté du récit qui n'est guère comparable. On oscille en permanence entre philosophie et cruauté humaine, avec pourtant une grande cohérence. Mais ne vous y trompez pas, le capitaine vous charmera tout aussi surement qu'il charme son équipage. Attachez vous à ces pirates, embarquez dans leurs aventures parfois loufoques, il y a indéniablement de l'ïle au trésor dans ces Aventuriers de l'Urraca. Eh oui, comme vous le découvrirez bien assez tôt, le capitaine Sherman a effectivement toute sa place aux côtés de Long John Silver au rang des pirates qui vous marqueront de leur empreinte. Ne nous y trompons pas, si le dessin m'a piégé c'est qu'il peut faire un peu enfantin au premier abord, las comme son intrigue il se révèle finalement fourmillant de détails. S'il ne plaira pas à tout le monde, je n'ai que peu de doutes que comme le capitaine Sherman, il saura vous séduire et vous embarquer. Seul léger bémol, la fin pourra paraitre un peu rapide ou fouillie mais je suis sûr qu'à la seconde lecture elle m'apportera encore d'autres éclaircissements. C'est une très très belle surprise et une magnifique lecture, qui me demandera d'ailleurs donc une seconde lecture pour mieux en apprécier la conclusion. Je ne peux que le recommander. Chapeau bas M. Rémi Farnos pour cet excellent ouvrage que vous avez réalisé seul. Petit point aux futurs acheteurs : oui elle n'est pas donnée, mais 232 pages c'est une très belle aventure qui vous attend. Les aventuriers de l'Urraca est l'une des pépites inattendues de ce début d'année Autres infos : Pépite inattendue de ce début d'année Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventuriers-de-l-urraca?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Les aventuriers de l'Urraca

    Ah tiens j'ai pris une claque. Il arrive parfois que l'on aborde une bd avec suffisance, se basant sur notre expérience de lecteur, et jugeant parfois sur un graphisme ou un style. Les aventuriers de l'Urraca m'a proposé cette expérience déroutante. Démarrer une bd en laquelle on ne croit pas 3 secondes, tourner les premières pages en confirmant cette première impression, et puis se faire happer, lentement mais surement, par ce récit, cet art de la narration, ce mélange particulier entre haut verbe et piraterie. On n'est pas dans De Cape et de Crocs mais parfois on s'en rapproche, avec toutefois une dramaturgie et une dureté du récit qui n'est guère comparable. On oscille en permanence entre philosophie et cruauté humaine, avec pourtant une grande cohérence. Mais ne vous y trompez pas, le capitaine vous charmera tout aussi surement qu'il charme son équipage. Attachez vous à ces pirates, embarquez dans leurs aventures parfois loufoques, il y a indéniablement de l'ïle au trésor dans ces Aventuriers de l'Urraca. Eh oui, comme vous le découvrirez bien assez tôt, le capitaine Sherman a effectivement toute sa place aux côtés de Long John Silver au rang des pirates qui vous marqueront de leur empreinte. Ne nous y trompons pas, si le dessin m'a piégé c'est qu'il peut faire un peu enfantin au premier abord, las comme son intrigue il se révèle finalement fourmillant de détails. S'il ne plaira pas à tout le monde, je n'ai que peu de doutes que comme le capitaine Sherman, il saura vous séduire et vous embarquer. Seul léger bémol, la fin pourra paraitre un peu rapide ou fouillie mais je suis sûr qu'à la seconde lecture elle m'apportera encore d'autres éclaircissements. C'est une très très belle surprise et une magnifique lecture, qui me demandera d'ailleurs donc une seconde lecture pour mieux en apprécier la conclusion. Je ne peux que le recommander. Chapeau bas M. Rémi Farnos pour cet excellent ouvrage que vous avez réalisé seul. Petit point aux futurs acheteurs : oui elle n'est pas donnée, mais 232 pages c'est une très belle aventure qui vous attend. Les aventuriers de l'Urraca est l'une des pépites inattendues de ce début d'année
  10. The_PoP

    Constellation

    Titre de l'album : Constellation Scenariste de l'album : L'Homme étoilé Dessinateur de l'album : L'Homme étoilé Coloriste : L'Homme étoilé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ils s'appellent Mona, Serge, France ou encore Olivier. Ils sont tous différents mais partagent au moins un point commun : celui de faire partie de la constellation de patients que L'Homme étoilé a pu accompagner au cours de sa vie d'infirmier en soins palliatifs. L'infirmier star des réseaux sociaux est de retour sous les néons bleutés de l'hôpital pour nous faire vivre des rencontres tantôt drôles, tantôt émouvantes mais toujours pleines d'humanité, de vie, de tendresse et de lumière. Critique : Après mon coup de coeur pour "Je suis au delà de la mort", j'ai eu une crainte pour cette nouvelle parution. Comprenez moi, si "Je suis au delà de la mort" avait représenté une plongée magnifique dans le monde du soin palliatif, voir sortir un second roman graphique, si peu de temps après, sur le même thème, et par le même auteur, par ailleurs infirmier en soin palliatif et relativement connu sur les réseau sociaux.... et bien. Cela m'inquiétait sur la qualité du contenu. En ce sens je n'ai pas eu tord, car Constellation est plus un recueil d'histoires plus ou moins courtes sur des patients qui ont marqué notre auteur. Malheureusement, l'effet "whaou" et le charme de son précédent roman graphique opère plus difficilement. Si l'ouvrage présente toujours des qualités graphiques et une vision du soin humaine, le fil conducteur est ici plus tenu, et le côté un brin redondant de certaines situations et malheurs rend le tout moins fluide. Le côté plus autobiographique laisse aussi moins de libertés au narrateur pour nous embarquer avec lui. Les fans, et les habitués du monde hospitalier, professionnels ou autre s'y retrouveront sans problème car c'est un beau roman graphique. Pour moi c'est probablement un peu trop rapproché de la sortie de "Je suis au delà de la mort" par lequel je vous conseille plutôt de commencer si vous n'avez jamais rien lu de l'homme étoilé. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Constellation

    Après mon coup de coeur pour "Je suis au delà de la mort", j'ai eu une crainte pour cette nouvelle parution. Comprenez moi, si "Je suis au delà de la mort" avait représenté une plongée magnifique dans le monde du soin palliatif, voir sortir un second roman graphique, si peu de temps après, sur le même thème, et par le même auteur, par ailleurs infirmier en soin palliatif et relativement connu sur les réseau sociaux.... et bien. Cela m'inquiétait sur la qualité du contenu. En ce sens je n'ai pas eu tord, car Constellation est plus un recueil d'histoires plus ou moins courtes sur des patients qui ont marqué notre auteur. Malheureusement, l'effet "whaou" et le charme de son précédent roman graphique opère plus difficilement. Si l'ouvrage présente toujours des qualités graphiques et une vision du soin humaine, le fil conducteur est ici plus tenu, et le côté un brin redondant de certaines situations et malheurs rend le tout moins fluide. Le côté plus autobiographique laisse aussi moins de libertés au narrateur pour nous embarquer avec lui. Les fans, et les habitués du monde hospitalier, professionnels ou autre s'y retrouveront sans problème car c'est un beau roman graphique. Pour moi c'est probablement un peu trop rapproché de la sortie de "Je suis au delà de la mort" par lequel je vous conseille plutôt de commencer si vous n'avez jamais rien lu de l'homme étoilé.
  12. poseidon2

    Superman lost

    Titre de l'album : Superman lost Scenariste de l'album : Christopher Priest Dessinateur de l'album : Carlo Pagulayan Coloriste : Carlo Pagulayan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lois Lane et Clark Kent filent le parfait amour, dans un appartement normal, avec leurs petites habitudes de couple normal. Clark enfile certes collants et cape de temps à autre pour sauver le monde, mais à part ça, tout est des plus ordinaires à Metropolis. Jusqu'au jour où Superman rentre à la maison, après une mission de routine... Debout au milieu du salon, il garde son costume, montrant tous les signes extérieurs d'un trouble de stress post-traumatique, et déclare : « Je suis parti... 20 ans. » SUPERMAN : LOST, une maxi-série de dix numéros scénarisée par Christopher PRIEST, à qui l'on doit un run de Black Panther chez Marvel, mais également des passages sur la JUSTICE LEAGUE et DEATHSTROKE. Critique : Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-lost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Superman lost

    Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.
  14. pfff , je viens de recevoir le dernier Buck Danny , mais j'ai envie de relire Y the last man , tome 1 check , que c'est bon cette saga ! J'arrive au tome 2 avec le théâtre , la partie la moins bonne ... J'avais zappé que les 2 cosmonautes y passaient 😞
  15. Titre de l'album : Talentless tome 11 Scenariste de l'album : Looseboy Dessinateur de l'album : Iori Furuya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Que mon existence soit effacée ! Le triste passé de la famille Onodera est dévoilé ! Comment Rin, la soeur cadette à la santé fragile, a-t-elle élaboré un plan pour alléger le fardeau de son frère Kyôya ? De retour dans le présent, les amis de Nana font bloc autour de la jeune femme pour planifier leur évasion du camp de gestion... Ne manquez pas le onzième volume de cette histoire au suspense haletant, où le véritable sens de la justice est remis en question sur fond de révélations bouleversantes ! Critique : Encore plus de 8 mois pour avoir un nouveau tome de Talentless. Alors oui les tomes sont a chaque fois très gros avec ici plus de 292 pages et tarif raisonnable au vu du nombre de pages... mais ca fait beaucoup. Et ca rentre en compte dans ma note car mine de rien cela oblige à se souvenir de ce qu'il se passait avant et ce rapidement. Encore plus ici car on commence avec le passé de Kyoya et l'impact de son pouvoir sur la vie de sa famille..... On ne commence donc pas du tout par une "remise en place" de l'histoire globale. On perd donc un petit peu de temps à se remettre dans l'histoire et à se souvenir que nos "héros" sont dans un ghetto sécurisé et que 3 années ont passé depuis la fin de l'ile.... M'enfin une fois dedans, ce tome est encore un très bon tome qui sort nos héros de leurs aspects "victimes" et commence à lancer la contre-attaque. Les quelques personnages ajoutés sont bien introduits et renforcent le fait que ce ghetto ne contient pas que les prodiges de l'ile. Reste à voir l'intérêt de la soeur de Kyoya dans l'histoire... Un tome encore très agréable à lire dont on aimerait juste une parution un poil plus fréquente.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/talentless-tome-11/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Talentless tome 11

    Encore plus de 8 mois pour avoir un nouveau tome de Talentless. Alors oui les tomes sont a chaque fois très gros avec ici plus de 292 pages et tarif raisonnable au vu du nombre de pages... mais ca fait beaucoup. Et ca rentre en compte dans ma note car mine de rien cela oblige à se souvenir de ce qu'il se passait avant et ce rapidement. Encore plus ici car on commence avec le passé de Kyoya et l'impact de son pouvoir sur la vie de sa famille..... On ne commence donc pas du tout par une "remise en place" de l'histoire globale. On perd donc un petit peu de temps à se remettre dans l'histoire et à se souvenir que nos "héros" sont dans un ghetto sécurisé et que 3 années ont passé depuis la fin de l'ile.... M'enfin une fois dedans, ce tome est encore un très bon tome qui sort nos héros de leurs aspects "victimes" et commence à lancer la contre-attaque. Les quelques personnages ajoutés sont bien introduits et renforcent le fait que ce ghetto ne contient pas que les prodiges de l'ile. Reste à voir l'intérêt de la soeur de Kyoya dans l'histoire... Un tome encore très agréable à lire dont on aimerait juste une parution un poil plus fréquente....
  17. The_PoP

    Parlottes BD

    contre la pub évidemment. Si tu veux aider sur les ventes de livres, il faut redonner du sens à la lecture et à la culture, dès l'école. La publicité n'a jamais amené un public vers la culture hein. Eventuellement vers une consommation ciblée. En plus c'est évident que ça avantagera les gros, et les gros distributeurs. Donc une connerie sans nom qui va encore plus flinguer nos librairies. Je ne suis pas trop au courant de la fiscalité que les grands doivent appliquer sur la revente de livres d'occaz, mais s'ils ont la même tva que sur le livre neuf, cela ne me pose pas de soucis. Globalement, je trouve ça bien d'inciter à privilégier le marché de l'occasion même si cela pose la question du prix du livre neuf et de la rémunération des auteurs. Augmenter le prix du livre neuf, taxer normalement le livre d'occasion sauf entre particuliers. Moins de livres en circulation, mais moins de livres oubliés dans des bibliothèques ou envoyés en déchetterie. C'est déjà un produit de luxe de toute façon, étant entendu qu'il faut avoir eu accès à une certaine éducation ou une certaine volonté pour vouloir lire.
  18. poseidon2

    Parlottes BD

    Avec des BD à 16 de moyenne suffit d'en commander deux quoi....
  19. Tu avais donc choisi judicieusement 😉 Ca a l'air bien en effet
  20. Pfff j'avais hesité à rattraper le retard mais j'ai deja du mal à finir mes séries en cours....
  21. la SF / Post Apoc revient vraiment en force !
  22. Titre de l'album : Lee Winters, shérif de l'étrange Scenariste de l'album : Lon T. Williams Dessinateur de l'album : Lasth Coloriste : Lasth Editeur de l'album : Les Moutons Electriques Note : Résumé de l'album : Pour Lee Winters, shérif d’une bourgade perdue de l’Ouest profond, s’il n’y avait que des malandrins à appréhender tout serait tellement simple... Mais le Far West recèle bien d’autres mystères, autrement plus terrifiants et que le seul maniement du colt ne saurait résoudre. Alors qu’il rentre d’un duel contre un criminel, Lee Winters croise la route d’une mystérieuse femme. Si elle ne semble pas tout à fait appartenir au monde des vivants, ce qu’elle fuit s’avère bien pire. Que peut un six-coups contre les hordes de l’Enfer ? Critique : Lee Winters, shérif de l'étrange est un roman graphique des éditions les Moutons électriques, entre le livre illustré et la bande dessinée classique. Le scénario se base sur une histoire de Lon T. Williams, un auteur de pulps dans les années 1950, spécialisé dans le genre weird western. Pour l'histoire, on accompagne le shérif sur la route du retour après un duel contre les forces maléfiques. Il rencontre des esprits lui demandant de l'aide qu'il ne pourra pas refuser comme une apparition spectrale a les mêmes traits sa femme. Le dessinateur Lasth instaure une ambiance particulière avec des fonds de décors souvent rouge et un dessin très minimaliste dans un style manga pour toutes les scènes de bande dessinée. Le rendu final est trait graphique avec des planches en noir et blanc sur fond rouge ou des illustrations fantomatiques épurées pour accompagner les textes. Le genre Weird Western est respecté avec cette touche fantastique où un cowboy armé de révolver combat des monstres. Le rythme est partagé entre les illustrations avec beaucoup de textes et planches de bd pour l’action. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lee-winters-sherif-de-l-etrange/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Lee Winters, shérif de l'étrange

    Lee Winters, shérif de l'étrange est un roman graphique des éditions les Moutons électriques, entre le livre illustré et la bande dessinée classique. Le scénario se base sur une histoire de Lon T. Williams, un auteur de pulps dans les années 1950, spécialisé dans le genre weird western. Pour l'histoire, on accompagne le shérif sur la route du retour après un duel contre les forces maléfiques. Il rencontre des esprits lui demandant de l'aide qu'il ne pourra pas refuser comme une apparition spectrale a les mêmes traits sa femme. Le dessinateur Lasth instaure une ambiance particulière avec des fonds de décors souvent rouge et un dessin très minimaliste dans un style manga pour toutes les scènes de bande dessinée. Le rendu final est trait graphique avec des planches en noir et blanc sur fond rouge ou des illustrations fantomatiques épurées pour accompagner les textes. Le genre Weird Western est respecté avec cette touche fantastique où un cowboy armé de révolver combat des monstres. Le rythme est partagé entre les illustrations avec beaucoup de textes et planches de bd pour l’action.
  24. La dernière semaine
  25. jusqu’à
    Le week-end prochain aura lieu la 3ème édition du Paris fan Festival Encore plus grand que l'année dernière (article détaillé ici), le 3e opus s'enrichit d'un village coréen et s'ouvre à la littérature ! Au programme : Un village coréen avec de la K-pop, de la K-food, de la K-beauty (la Corée est réputée pour ses produits cosmétiques) et bien sûr une partie dédiée aux webtoons avec la présence de nombreux auteurs français comme Natacha Ratto, Cyann, Kenjitoon, Tacméla, Goupeline, Forky, Magma et Ororo, Cécilia Garcia, Castorphénix, Kathys, Lelac, Karlu, Brian Strom et BubbleBee Une artiste alley avec de nombreux auteurs comics, BD, illustrateurs, mangakas... Vous pouvez retrouvez la liste complète ICI mais on citera quand même Didier Tarquin, RUN, Reno LEMAIRE, Enrico MARINI Des stars internationales ! Un grand tournoi caritatif Minecraft Ainsi que de nombreux autres jeux video à découvrir et à essayer ! L'arrivée du roman centré autour des genres YOUNG ADULT et ROMANTASY De nombreuses animations, des objets et des collections à admirer, des décors où s'immerger et de nombreux stands !! Pour tout savoir avant de venir Rendez-vous sur le site dédié à l'événement Paris Fan Festival - Evènement du 27 au 28 Avril 2024
  26. Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre.
  27. Titre de l'album : Chroniques de la mariée de Bretagne tome 1 Scenariste de l'album : TAKEHARA Junji Dessinateur de l'album : TAKEHARA Junji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Un récit médiéval où les apparences sont parfois trompeuses... Une quête de vengeance au cœur de la Bretagne du XIIIe siècle. XIIIe siècle, Bretagne... Thomas, un héraut, arpente un champ de bataille au péril de sa vie. À la fin de la bataille, il se voit confier une nouvelle mission : trouver une épouse pour l'héritier du duc de Bretagne ! Afin de s'acquitter de sa tâche, Thomas se rend à un tournoi en quête d' André le Bleau, un ami de son seigneur... Mais il va tomber nez à nez avec Andrée, une ravissante jeune fille habillée en chevalier, qui semble vouloir attenter à la vie du duc ! Critique : Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-de-la-mariee-de-bretagne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  28. Titre de l'album : L'auberge de la vie tome 1 Scenariste de l'album : ITOI Nozo Dessinateur de l'album : ITOI Nozo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À travers le quotidien d'une adolescente qui réapprend à vivre, Nozo Itoi regarde tendrement notre humanité. Le cap de Shide est aussi connu sous le nom du " cap de la mort ". C'est là que se rendent celles et ceux qui, n'ayant plus la volonté d'exister, décident de se jeter de la falaise pour mettre fin à leur existence. L'auberge Gilda se trouve à quelques minutes à pieds de là... Sumomo fait partie des personnes qui souhaitent se suicider. Mais avant de commettre l'irréparable, il lui reste une dernière chose à accomplir sur sa to do list : revoir une dernière fois la mystérieuse Yoko, qui est justement devenue la gérante de l'auberge Gilda. Mais les retrouvailles ne se dérouleront pas comme prévues... Critique : Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-auberge-de-la-vie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    • Fidji
      Note :
      Quel plaisir de lire un album comme Fidji ! On se laisse entrainer dans un road trip avec deux amis d'enfance pour projet d'aller au Fidji afin de profiter de la vie insulaire paradisiaque. Pierre-Denis Goux découpe son intrigue en sept chapitres pour que les héros lâchent prise sur leur quotidien toujours en questionnement sur les choix et comment on évolue en prenant de l'âge. Les rêves ne sont plus les mêmes et la réalité rattrape la vie de Vincent avec son emploi peu passionnant et l'achat d'un apparemment minuscule à Paris avec sa compagne. L'arrivée de son ami Sam va lui permettre un retour à l'insouciance. La partie graphique de Jean-Luc Cano est impressionnante, les dessins sont dynamiques sans perte de rythme durant les 160 planches de ce one shot. J'ai bien aimé les clins d'œil aux chanteurs faisant du stop sur le rebord de la route pendant que les deux amis voyagent sur les petites routes de France en direction de Biarritz.
      Le final est vraiment bien trouvé, on le sent arriver deux chapitres avant la conclusion mais c'est très bien amené. Fidji est une excellente surprise et un album fort et émouvant.
       
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    • Les aventuriers de l'Urraca
      Note :
      Ah tiens j'ai pris une claque. Il arrive parfois que l'on aborde une bd avec suffisance, se basant sur notre expérience de lecteur, et jugeant parfois sur un graphisme ou un style. Les aventuriers de l'Urraca m'a proposé cette expérience déroutante. Démarrer une bd en laquelle on ne croit pas 3 secondes, tourner les premières pages en confirmant cette première impression, et puis se faire happer, lentement mais surement, par ce récit, cet art de la narration, ce mélange particulier entre haut verbe et piraterie. On n'est pas dans De Cape et de Crocs mais parfois on s'en rapproche, avec toutefois une dramaturgie et une dureté du récit qui n'est guère comparable. On oscille en permanence entre philosophie et cruauté humaine, avec pourtant une grande cohérence. Mais ne vous y trompez pas, le capitaine vous charmera tout aussi surement qu'il charme son équipage. Attachez vous à ces pirates, embarquez dans leurs aventures parfois loufoques, il y a indéniablement de l'ïle au trésor dans ces Aventuriers de l'Urraca. Eh oui, comme vous le découvrirez bien assez tôt, le capitaine Sherman a effectivement toute sa place aux côtés de Long John Silver au rang des pirates qui vous marqueront de leur empreinte.

      Ne nous y trompons pas, si le dessin m'a piégé c'est qu'il peut faire un peu enfantin au premier abord, las comme son intrigue il se révèle finalement fourmillant de détails. S'il ne plaira pas à tout le monde, je n'ai que peu de doutes que comme le capitaine Sherman, il saura vous séduire et vous embarquer. 

      Seul léger bémol, la fin pourra paraitre un peu rapide ou fouillie mais je suis sûr qu'à la seconde lecture elle m'apportera encore d'autres éclaircissements.

      C'est une très très belle surprise et une magnifique lecture, qui me demandera d'ailleurs donc une seconde lecture pour mieux en apprécier la conclusion. Je ne peux que le recommander. Chapeau bas M. Rémi Farnos pour cet excellent ouvrage que vous avez réalisé seul.

       

      Petit point aux futurs acheteurs : oui elle n'est pas donnée, mais 232 pages c'est une très belle aventure qui vous attend. Les aventuriers de l'Urraca est l'une des pépites inattendues de ce début d'année
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    • Constellation
      Note :
      Après mon coup de coeur pour "Je suis au delà de la mort", j'ai eu une crainte pour cette nouvelle parution. Comprenez moi, si "Je suis au delà de la mort" avait représenté une plongée magnifique dans le monde du soin palliatif, voir sortir un second roman graphique, si peu de temps après, sur le même thème, et par le même auteur, par ailleurs infirmier en soin palliatif et relativement connu sur les réseau sociaux.... et bien. Cela m'inquiétait sur la qualité du contenu. 

      En ce sens je n'ai pas eu tord, car Constellation est plus un recueil d'histoires plus ou moins courtes sur des patients qui ont marqué notre auteur. Malheureusement, l'effet "whaou" et le charme de son précédent roman graphique opère plus difficilement. Si l'ouvrage présente toujours des qualités graphiques et une vision du soin humaine, le fil conducteur est ici plus tenu, et le côté un brin redondant de certaines situations et malheurs rend le tout moins fluide. Le côté plus autobiographique laisse aussi moins de libertés au narrateur pour nous embarquer avec lui. 

       

      Les fans, et les habitués du monde hospitalier, professionnels ou autre s'y retrouveront sans problème car c'est un beau roman graphique. Pour moi c'est probablement un peu trop rapproché de la sortie de "Je suis au delà de la mort" par lequel je vous conseille plutôt de commencer si vous n'avez jamais rien lu de l'homme étoilé.

       
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    • Superman lost
      Note :
      Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest  réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification.

      Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures.

      Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... 

      Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan  nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ?

      Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu plus.

      Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.

       



       
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    • Talentless tome 11
      Note :
      Encore plus de 8 mois pour avoir un nouveau tome de Talentless. Alors oui les tomes sont a chaque fois très gros avec ici plus de 292 pages et tarif raisonnable au vu du nombre de pages... mais ca fait beaucoup.

      Et ca rentre en compte dans ma note car mine de rien cela oblige à se souvenir de ce qu'il se passait avant et ce rapidement. Encore plus ici car on commence avec le passé de Kyoya et l'impact de son pouvoir sur la vie de sa famille..... On ne commence donc pas du tout par une "remise en place" de l'histoire globale. On perd donc un petit peu de temps à se remettre dans l'histoire et à se souvenir que nos "héros" sont dans un ghetto sécurisé et que 3 années ont passé depuis la fin de l'ile....

      M'enfin une fois dedans, ce tome est encore un très bon tome qui sort nos héros de leurs aspects "victimes" et commence à lancer la contre-attaque. Les quelques personnages ajoutés sont bien introduits et renforcent le fait que ce ghetto ne contient pas que les prodiges de l'ile. Reste à voir l'intérêt de la soeur de Kyoya dans l'histoire...

      Un tome encore très agréable à lire dont on aimerait juste une parution un poil plus fréquente....
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