Et bien dite donc je ne dois pas être bien malin, car je n'avais pas compris que "Bertille et Bertille" et "13 heures 17 dans la vie de Jonathan Lassiter" faisaient partie du même univers. Mais pas du tout. Et pourtant... Stalner nous livre un tome qui mêle les deux histoires. Un tome réussit à garder le décalage des tomes précédents avec cette douce langueur et décontraction des années 60 tout en ajoutant les gangsters à la poursuite de Lassister et l'énigmatique boule rouge de bertille et Bertille.
Une aventure qui se lit comme on déguste un bonbon à sucer. Tout doucement et ou le véritable gout ne se révèle que vers la moitié, une fois que la bouche est bien aromatisée. C'est pareil ici. On est un peu dubitatif au début, mais c'est juste le temps de se remettre dans l'ambiance… et une fois qu'on y est on est porté par le charme désuet de nos Bertille et par cette étrange boule qui semble douée de sentiment.
Une belle conclusion à un triptyque que je n'avais pas du tout vu venir.
- 1
Commentaires recommandés
Il n’y a aucun commentaire à afficher.
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.