Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Bleed them Dry


    The_PoP
    • Scenariste: Eliot Rahal Dessinateur: Dike Ruan Coloriste: Miquel Muerto Editeur: Hi-Comics Note :
      Résumé:

      Vampires et ninjas à la sauce cyberpunk ! Année 3333. Malgré la méfiance persistante de certains mortels à l'égard des vampires, voilà des siècles queles deux espèces cohabitent pacifiquement. Mais une série de meurtres visant les suceurs de sang vient briser le statu quo dans la mégalopole d'Asylum. L'inspectrice Harper Halloway se retrouve alors plongée dans une enquête qui la mène sur les traces d'un mystérieux complot d'envergure qui risque de modifier à jamais le destin de l'humanité.Hiroshi Koizumi, Eliot Rahal (Bloodshot,Divinity) et Dike Ruan (Gung-Ho,Spider-Verse,Black Cat) nous transportent dans un univers hors du commun et livrent avecBleed Them Dryun chef d'oeuvre hybride empruntant au polar, au fantastique et au cyberpunk.

      « J'ai toujours rêvé de faire se rencontrer culture japonaise et mythologies venues du monde entier, dans l'idée de créer des univers et des personnages jamais vus auparavant ». Hiroshi Koizumi, créateur de Bleed Them Dry.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --
     Share

    Bon la description est plus qu'exacte : on a bien affaire à des Vampires, et pas nécessairement la version sympathique, à des Ninjas, bon ça c'est un peu plus opaque, et à une univers Cyberpunk avec un postulat de base assez réussi. 

    Le tout a des allures de "Blade" le film assez troublante, mais en version un brin plus futuriste, et encore. Alors c'est sur-vitaminé, c'est très plaisant à lire, c'est plutôt beau, et les personnages comme les dialogues fonctionnent super bien. 

    Alors pourquoi simplement 3 étoiles et demi me direz vous ? Et bien pour la sensation de potentiel pas assez exploité. On le referme avec une envie de plus, de détails, de réponses, parfois cela va un peu trop vite, certaines motivations sont plutôt très obscures, et la fin si elle plutôt construite garde un goût de facilité très très fort. Et puis il y a des situations ou des personnages qui se révèlent finalement inutiles car pas assez développés. Dommage. J'aurais aimé voir ce que ces auteurs avaient à nous raconter avec une vingtaine de pages supplémentaires pour éclaircir ce qui l'aurait mérité. 

    Alors voyez ça aussi comme un gage de qualité, car mon intérêt pour ce Bleed Them Dry est suffisamment prononcé pour que ces manques soient durs pour moi.

    Ceci étant le tout a un peu le même parfum que Love Kills sortie récemment sous un format similaire et qui était fort bien aussi, Bleed Them Dry étant peut être plu fun et moins sérieux dans son ambiance...

    Hi Comics continue décidemment de nous épater avec une qualité de parutions sur le comics indépendant toujours remarquable, bravo !

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   5 membres, 0 anonyme, 36 invités (Afficher la liste complète)

  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • Preview - Opportune
      Drakoo et 1001bd sont heureux de vous proposer les 15 première page du nouveau one shot "Opportune" à paraitre le 02/05/2024
      • 0 réponse
    • Fidji
      Note :
      Quel plaisir de lire un album comme Fidji ! On se laisse entrainer dans un road trip avec deux amis d'enfance pour projet d'aller au Fidji afin de profiter de la vie insulaire paradisiaque. Pierre-Denis Goux découpe son intrigue en sept chapitres pour que les héros lâchent prise sur leur quotidien toujours en questionnement sur les choix et comment on évolue en prenant de l'âge. Les rêves ne sont plus les mêmes et la réalité rattrape la vie de Vincent avec son emploi peu passionnant et l'achat d'un apparemment minuscule à Paris avec sa compagne. L'arrivée de son ami Sam va lui permettre un retour à l'insouciance. La partie graphique de Jean-Luc Cano est impressionnante, les dessins sont dynamiques sans perte de rythme durant les 160 planches de ce one shot. J'ai bien aimé les clins d'œil aux chanteurs faisant du stop sur le rebord de la route pendant que les deux amis voyagent sur les petites routes de France en direction de Biarritz.
      Le final est vraiment bien trouvé, on le sent arriver deux chapitres avant la conclusion mais c'est très bien amené. Fidji est une excellente surprise et un album fort et émouvant.
       
      • 1 réponse
    • Les aventuriers de l'Urraca
      Note :
      Ah tiens j'ai pris une claque. Il arrive parfois que l'on aborde une bd avec suffisance, se basant sur notre expérience de lecteur, et jugeant parfois sur un graphisme ou un style. Les aventuriers de l'Urraca m'a proposé cette expérience déroutante. Démarrer une bd en laquelle on ne croit pas 3 secondes, tourner les premières pages en confirmant cette première impression, et puis se faire happer, lentement mais surement, par ce récit, cet art de la narration, ce mélange particulier entre haut verbe et piraterie. On n'est pas dans De Cape et de Crocs mais parfois on s'en rapproche, avec toutefois une dramaturgie et une dureté du récit qui n'est guère comparable. On oscille en permanence entre philosophie et cruauté humaine, avec pourtant une grande cohérence. Mais ne vous y trompez pas, le capitaine vous charmera tout aussi surement qu'il charme son équipage. Attachez vous à ces pirates, embarquez dans leurs aventures parfois loufoques, il y a indéniablement de l'ïle au trésor dans ces Aventuriers de l'Urraca. Eh oui, comme vous le découvrirez bien assez tôt, le capitaine Sherman a effectivement toute sa place aux côtés de Long John Silver au rang des pirates qui vous marqueront de leur empreinte.

      Ne nous y trompons pas, si le dessin m'a piégé c'est qu'il peut faire un peu enfantin au premier abord, las comme son intrigue il se révèle finalement fourmillant de détails. S'il ne plaira pas à tout le monde, je n'ai que peu de doutes que comme le capitaine Sherman, il saura vous séduire et vous embarquer. 

      Seul léger bémol, la fin pourra paraitre un peu rapide ou fouillie mais je suis sûr qu'à la seconde lecture elle m'apportera encore d'autres éclaircissements.

      C'est une très très belle surprise et une magnifique lecture, qui me demandera d'ailleurs donc une seconde lecture pour mieux en apprécier la conclusion. Je ne peux que le recommander. Chapeau bas M. Rémi Farnos pour cet excellent ouvrage que vous avez réalisé seul.

       

      Petit point aux futurs acheteurs : oui elle n'est pas donnée, mais 232 pages c'est une très belle aventure qui vous attend. Les aventuriers de l'Urraca est l'une des pépites inattendues de ce début d'année
      • 4 réponses

    • Le roi des bugs tome 1
      Note :
      Des webtoons où le personnage principal se retrouve coincé dans un jeu vidéo, il y en a beaucoup et ils ne sont pas toujours très originaux. Le roi des bugs a quelques caractéristiques propres qui font que ce 1er tome est réussi, propose des idées originales et en font une bonne distraction. La suite nous dira si le développement tombera dans le classique (à avoir, des personnages qui vont évoluer suivant les règles du jeu vidéo) ou non.

      Voici donc les points importants du récit :

      -        Katsumi est l’un des développeurs du jeu et il est chargé de supprimer les bugs mais devant la quantité de problèmes il a préféré en transformer certains en gimmicks (ou easter egg pour les habitués), il s’agit de fonctions cachées qui se déclenchent en remplissant certaines conditions.

      -        Il n’est pas le seul développeur et ne connaît pas le jeu en détail mais il est le seul à connaître les bugs/gimmicks

      -        Katsumi n’est pas le seul individu qui va se retrouver projeté dans le jeu, en réalité tous les humains semblent avoir été touchés.

       

      Le roi des bugs n’est pas sans rappeler un peu Dungeon reset avec un personnage qui va, grâce aux bugs, contourner certaines règles, ce qui va forcément énerver le guide du jeu. Il y a de l’action mais aussi un peu d’humour. Il serait bon que cet équilibre perdure afin de ne pas tomber dans un récit centré sur l’acquisition des compétences et la chasse aux monstres. Tony est un auteur chinois, le webtoon compte plus de 110 chapitres à ce jour, il est toujours en cours et il est disponible sur la plateforme Piccoma.
      • 0 réponse
    • Fends le vent tome 2
      Note :
      Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure.

      Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour.

      Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant.
      • 0 réponse
×
×
  • Créer...