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  • Glacé


    alx23
    • Scenariste: Philippe Thirault Dessinateur: Mig Coloriste: Mig Editeur: Philéas Note :
      Résumé:

      Le commandant Martin Servaz se voit confier l’enquête la plus étrange de toute sa carrière : les ouvriers d’une centrale hydroélectrique découvrent le corps sans tête d’un cheval, accroché à la falaise d'une vallée encaissée des Pyrénées.
      L'ADN d'un criminel interné à l'asile proche est retrouvé sur le corps du cheval... et quelques jours plus tard, le premier meurtre a lieu. Aidé par la capitaine de la gendarmerie Irène Ziegler, il va devoir mettre fin aux agissements d'un criminel diabolique.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Polar Prix: -- Nb de pages: --
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    Bernard Minier est un romancier à succès, avec Glacé il a reçu le prix du meilleur roman francophone au festival Polar de Cognac en 2011. Philippe Thirault se charge de l'adaptation en bande dessinée, avec la présentation du commandant Martin Servza, un personnage central dans les romans de Bernard Minier. Dès l'introduction, on comprend que cette enquête nous réserve bien des surprises avec un récit bien sombre comme le veut l'ambiance des polars. L'enquêteur va devoir remonter dans le temps pour comprendre les agissements du tueur et résoudre l'affaire. En parallèle, on suit sa vie personnelle centrée autour de sa fille, une adolescente qu'il ne voit jamais avec son travail.
    Les planches de Mig sont magnifiques avec des aquarelles qui rendent à merveille une atmosphère pesante dans les montagnes enneigées. La couverture représente très bien les dessins intérieurs avec une dominance de couleurs bleutées ou orangées suivant la situation.
    Les éditions Philéas poursuivent leur adaptation de romans à succès français pour notre plus grand plaisir avec un catalogue de titre de grande qualité. J'ai toujours eu envie de lire un roman de Minier, cette adaptation est un très bon moyen de découvrir le travail de l'auteur.

     

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    • Les nageuses de Minuit
      Note :
      Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. 

      Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. 

      C'est fin et intelligent. 
      • 0 réponse
    • La fabrique des insurgées - 1869 : la première grève d'ouvrières
      Note :
      Bruno Loth nous propose de revenir sur un évènement historique peu connu, avec le début de la révolte des femmes ouvrières de la soie, les ovalistes. L'album commence en 1867 quand deux jeunes femmes quittent leur campagne avec l'espoir de travailler dans l'industrie de la soie à Lyon. Très vite, les deux femmes vont déchanter en découvrant les conditions de travail, le nombre d'heure de travail et sept jours sur sept avec un salaire en dessous de ce qu'on leur avait promis. Bruno Loth ajoute quelques coupures de journaux de l'époque relatant des évènements se mettant en place. L'histoire est romancée avec les deux femmes tout en retraçant la mise en place de grève par des femmes. C'est une première fois pour l'époque et c'est un exemple qui marqua fortement les mouvements sociaux du 19ème siècle. La partie graphique est en noir et blanc avec des dégradés de gris en guise de couleur. Les planches sont bien travaillés pour nous plonger dans cette époque passée.
      Les amateurs de récits historique devraient trouver leur compte avec roman graphique complet en un tome. Ce mouvement de grève est un élément majeur pour la lutte des classes. 
      • 0 réponse
    • Le diable et coral
      Note :
      Bon maintenant que c'est fini, il faut que je le relise... Ou alors que je le lise vraiment.

      Car c'est graphiquement tellement somptueux que j'ai du passer (ce qui est rare pour moi) plus de temps à regarder les planches et les détails qu'autre chose.

      Blague à part, cet album est magnifique. Vraiment. Concernant l'histoire, rassurez-vous, on est dans une histoire à la hauteur du dessin (ou presque). Par contre, ne vous attendez pas à quelque chose que vous aillez déjà lu. Ce qui me donne envie de le relire. En effet Homs nous présente une relation étrange entre le Diable et Coral.

      Une relation loin de ce que l'on imaginerait., avec un diable bien plus subtil et "joueur" que ce qu'on a l'habitude de voir, et une Coral maligne au possible et sachant comment ne pas se faire piéger par les beaux mots du Diable.

      On est vraiment dans un mano à mano. Un peu comme un duo au théâtre, échangeant des bons mots jusqu'à ce que l'un de ces protagonistes perde.

      Une BD à part. À lire, à regarder et à relire !

       
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      • 1 réponse

    • Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin)
      Note :
      Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. 

      Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. 

      Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être.  

      Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. 

      Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. 
      • 0 réponse
    • Samurai deeper kyo - star edition tome 1
      Note :
      En parallèle du lancement du manga Kagurabachi, kana profite de la publicité engendrée par ce retour des samourais au premier plan pour nous sortir une "star édition" de Samourai Deeper Kyo. L'un des hits des années 2000.

      Peut-être le premier manga de samourai post pour ado paru en France (2001 - 2008) avec Kenshin...

      Comme toujours, l'intérêt de ces stars éditions, c'est que pour moins de 11 euros, on a un double album. On devrait donc avoir 19 tomes de cette star édition pour conclure l'histoire de Samourai Deeper Kyo. Un véritable bon plan pour qui n'a jamais lu cette série de samourai pour ado. Une série de samourai qui, si elle tire en longueur sur le milieu, reste bien plus adapté à un lectorat de 10 à 15 ans que Kagurabachi. En effet le dessin est bien moins fouillis, les personnages plus faciles à cerner et le tout moins gore et plus facile à lire.

      Une aventure au long cours qui ravira vos enfants fan de samourai sans avoir à réellement avoir peur du niveau de violence présent.

      Les adultes préféreront l'habitant de l'infini, mais on n'est pas dans le même degré de violence et de réalisme.

       

       
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