Hana a commencé à faire cour aux enfants, mais les parents sont méfiants envers les humains et elle n’a que quelques élèves. Mais peu à peu, le bouche à oreille se propage, certains enfants arrivent à revenir et avec l’aide de quelques thérianthropes et des explications sur leurs activités, Sanathi en 1er, les parents commencent à moins se méfier. D’un autre côté Hana et Sanathi semblent filer le parfait amour, aussi bien sentimentalement que sexuellement.
Ce deuxième et dernier tome est nettement inférieur au 1er ! Ce n’est pas sur le côté graphique qu’il y a une baisse mais sur le choix des éléments de l’histoire à développer : pour être claire, il y a trop de scènes de sexe qui n’apportent rien à l’histoire. Je ne suis pas contre quelques passages érotiques mais il faut savoir doser et ici, il y a pas loin de 60 pages sur le sujet sur les 244 du livre alors qu’il y avait d’autres thèmes à approfondir. Il aurait été intéressant par exemple de voir comment les chiens et chats se sont mis à vivre ensemble, voir les conséquences d’avoir un professeur humain sur les mentalités, montrer un peu plus les similitudes entre les peuples… des sujets présents mais évoqués assez rapidement.
En conclusion, Hana et la bête est un manga qui a une ambition mais qui ne se donne pas les moyens d’aller au bout, peut-être parce que l’auteur semble hésiter sur son orientation entre une histoire d’amour qui dépasse les différences et un hentai.
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