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  • Labyrinthus t2/2


    poseidon2
    • Scenariste: Christophe Bec Dessinateur: Fabrice Neaud Coloriste: Fabrice Neaud Editeur: Glenat Note :
      Résumé:

      Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels...

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Science Fiction Prix: -- Nb de pages: --
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    Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non.

    Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui....

    Bref une première partie brouillonne et inutilement dense.  Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ?

    Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.

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    Commentaires recommandés

    Disons que le T1 c'était sympa car ca faisait une éternité que je n'avais pas lu de Bec (donc pas d'angoisse/sf/fin du monde).

    Et le premier était plus autour de l'impact de cette attaque sur le monde. La c'est du Sanctaire de comptoir.

    Apres vous aimerez peut etre. Moi Bec c'est fini 🙂

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    il y a 6 minutes, poseidon2 a dit :

    Moi Bec c'est fini

    Attends quand même son Conan !! Et puis qui sait ? Si @The_PoP arrive à nous avoir une interview dessinée de lui ; car pour le coup , lui il sait dessiner 😉

    Pas évident , car je demande ça au rédac en chef de DBD , et il me répond à chaque fois que Bec refuse . Il a pas l'air commode le garçon ^^

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    • Ce que je sais de Rokia
      Note :
      Fiouuu grosse claque graphique sur ce "Ce que je connais de Rokia". C'est superbe ! de la ligne claire à l'ancienne, mais au crayonné marqué et aux couleurs assez vivent qui nous donne un rendu réaliste impressionnant. C'est beauuuuuuuu et l'histoire est aussi très intéressante. 

      Réalisées comme un documentaire, nos auteures réussissent à nous faire mettre à sa place. On ressent les mêmes émotions qu'elle lors des petits moments de rapprochement, mais surtout les mêmes craintes face au mutisme quasi constant de Rokia et aux interrogations sur la véracité de sa protégée.

      Une belle histoire pleine d'humanité, de doute et.... de vie
      • 0 réponse
    • Amy Winehouse en BD
      Note :
      Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais .

      Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez !
      • 0 réponse
    • Doctor Who - Il était une fois un Seigneur du Temps
      Note :
      La série Tv du Doctor Who fête son soixantième anniversaire et pour l'occasion les éditions Black river proposent les dernières adaptions en comics. Cet album se centralise autour du dixième docteur Who accompagné Martha Jones une jeune étudiante en médecine, on croisera également le neuvième docteur avec sa femme Rose. Aussi loin que remonte la série, le docteur est toujours secondé par une femme pour voyager à travers le temps et l'espace dans des aventures palpitantes. Dans cette adaptation, le docteur et Martha devront affronter les Pyroméths, des extraterrestre connus de tous les docteurs. L'auteur Dan Slott s'inspire des milles et une nuit pour écrire son intrigue, ce scénariste est connu pour ses nombreuses histoires sur Spider-man. Pour les dessins, Christopher Jones et Matthew Dow Smith collaborent ensemble sur lueurs du feu, l'un introduit l'histoire et l'autre dessine le reste. Ensuite, Mike Collins dessine Rime ou raison la seconde histoire courte de l'album.

      Les fans du doctor Who seront content de la reprise de la série par Black River pour avoir de nouvelles adaptations en comics. Les autres pourront découvrir une histoire fantastique avec une touche d'humour dans un style très anglais. On regrettera que l'album ne soit pas complété par une troisième histoire.
      • 2 réponses

    • I’m in love with the villainess tome 1 & 2
      Note :
      Franchement je n'y croyais pas. Le truc de la fille qui ne fait rien sauf être "in love" avec une fille qui ne l'aime pas jusqu'à la faire craquer… ça avait l'air niait au possible.

      Et bien pas du tout. Enfin pas vraiment. Alors oui le scenario n'est pas "fou fou" comme dirait ma fille.

      Mais c'est très mignon et au final se trouve être un vrai Isekai avec une fille très forte et pleine de connaissance. Les aventures rapprochent nos filles de façon "logique" ce qui casse l'aspect "niait" et "culcul" pour rendre cela juste mignon.

      Deux bons premiers tomes. J'attaque la suite !
      • 0 réponse
    • Kabukichô bad trip tomes 1 et 2
      Note :
      Tôru est un hôte qui a plutôt du succès et ce n’est pas uniquement dû à son physique, il peut en effet lire dans les pensées des gens et peut donc répondre au mieux à leurs attentes. Un jour, il croise le mannequin dont il est fan, Mizuki, et sans vraiment le vouloir, il découvre que ce dernier à des penchants originaux. Cela ne l’empêche pas de continuer à le côtoyer et devant l’amour qu’il ressent, il est prêt à assouvir quelques fantasmes de Mizuki.

      Avant toute chose, ce titre est réservé à un public averti, en plus des scènes osées, il y a des idées coquines à foison. Le récit joue sur deux tableaux, le premier est le pouvoir de Tôru qui peut lire les pensées des autres juste en les regardant, un pouvoir dont il ne se sert pas à mauvais escient et qui permet au lecteur de voir les différences qui existent entre les pensées et les mises en application de l’autre. L’auteur montre ainsi qu’il y a une différence entre les fantasmes et la réalité et qu’il ne faut pas forcément faire l’amalgame, il montre également qu’il ne faut pas « juger un livre à sa couverture ». Par ailleurs, cette narration permet d’entrer dans la psychologie des personnages ; le lecteur comprend ainsi les efforts qui sont fournis et les concessions qui sont faites de part et d’autre afin que leur histoire d’amour fonctionne.

      Le deuxième point abordé mais qui n’est pas vraiment approfondi dans ces deux premiers tomes, c’est l’admiration de Tôru envers un mannequin homme. S’il cache cette « passion » c’est à cause du regard de la société toujours prête à juger. Et bien sûr, il y a la romance qui évolue peu à peu, servie par un trait fin et élégant.

      Kabukichô Bad Trip fait donc un bon début avec une histoire qui sort de l’ordinaire, coquine et intéressante.
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