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  • Le diable et coral


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    • Scenariste: José Homs Dessinateur: José Homs Coloriste: José Homs Editeur: Dargaud Note :
      Résumé:

      Prague,1938. L'Europe sombre peu à peu dans la haine et l'intolérance, et une nouvelle guerre mondiale semble inévitable. À la tête de ce chaos, un certain Hitler, que d'aucuns disent guidé par le Diable lui-même. Et si ce n'était pas qu'une simple métaphore ? Lucifer, retenu à la surface contre son gré, erre dans les rues de la capitale tchécoslovaque, incapable de retourner en enfer. La clé de sa liberté réside en Coral, une jeune fille juive à l'esprit vif, seule capable de le voir. Une étrange cohabitation s'installe alors entre eux. Chacun devra user de ruse et d'ingéniosité pour trouver une parade au maléfice qui l'empêche de se débarrasser de l'autre. Mais quel est ce lien énigmatique qui les unit ? Serait-il lié au passé du père de Coral, l'énigmatique rabbin Loew ? Dans son premier album en tant qu'auteur complet, Homs nous plonge dans une Prague sombre et mystérieuse, où s'affronte un Diable manipulateur et une héroïne aussi charismatique que futée. Le Diable et Coral témoigne du talent de Homs pour mêler une narration captivante à un univers graphique éblouissant.

      Type: BD Europeene L'acheter chez notre partenaire Genre: Aventure Prix: 22.95 Nb de pages: 112
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    Bon maintenant que c'est fini, il faut que je le relise... Ou alors que je le lise vraiment.

    Car c'est graphiquement tellement somptueux que j'ai du passer (ce qui est rare pour moi) plus de temps à regarder les planches et les détails qu'autre chose.

    Blague à part, cet album est magnifique. Vraiment. Concernant l'histoire, rassurez-vous, on est dans une histoire à la hauteur du dessin (ou presque). Par contre, ne vous attendez pas à quelque chose que vous aillez déjà lu. Ce qui me donne envie de le relire. En effet Homs nous présente une relation étrange entre le Diable et Coral.

    Une relation loin de ce que l'on imaginerait., avec un diable bien plus subtil et "joueur" que ce qu'on a l'habitude de voir, et une Coral maligne au possible et sachant comment ne pas se faire piéger par les beaux mots du Diable.

    On est vraiment dans un mano à mano. Un peu comme un duo au théâtre, échangeant des bons mots jusqu'à ce que l'un de ces protagonistes perde.

    Une BD à part. À lire, à regarder et à relire !

     

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    • Danser avec le vent
      Note :
      C'est bon la chasse aux cadeaux de Noël est finie ! Je vais acheter 15 exemplaires de "Danser avec le vent" et ça ira bien !

      Blague à part, ce nouveau voyage aux Kerguelen et ce nouveau récit documentaire est une pure merveille pour toute personne amateur d'évasion. Tout d'abord pour les dessins et aquarelles de monsieur Lepage. Il n'y a pas à dire, c'est bien l'un des maitres de l'aquarelle en France et encore, je dis cela pour ne pas lancer un débat 🙂

      Ensuite parce qu'il a une manière de raconter sans conter qui fait de ses ouvrages des véritables instants de réflexion et d'introspection. En effet, Emmanuel Lepage ne cherche pas à biaiser le récit ou à utiliser son nom et ses livres pour faire passer des messages, que se soit politique ou écologique. Il les fait 'pour être moins con". 

      Il nous raconte ce qu'il vit, ce qu'il voit, ce que lui et les autres ressentent, mais sans jugement ni déformation. Il nous donne de la matière pour que ceux qui n'ont pas la chance de faire ce genre de voyage, puisse avoir suffisamment pour se poser eux-mêmes les questions... et trouver leurs réponses. 

      Pour ceux qui, comme moi, étaient fan du voyage aux iles de la désolation, ce n'est pas une surprise, mais plutôt une preuve que monsieur Lepage, comme beaucoup, n'en a pas fini des questions sur lui-même.

      Si j'ai eu peur d'une légère redite par rapport au premier voyage, j'ai été vite rassuré. Très rapidement, on se rend compte que ce deuxième voyage n'est pas abordé comme le premier. Si les sublimes aquarelles et les animaux sont toujours la, ce "Danser avec le vent" s'attache plus à l'aventure humaine, laissant plus de place au récit des autres habitants.

      Une fois la jalousie passée (car il n'est, depuis le covid, plus possible de faire ce voyage en "touriste"), il nous reste un sublime voyage illustré. Un voyage ou Emmanuel Lepage réussi (encore une fois) à nous téléporter au sein de cette équipe de scientifique, comme si c'était nous derrière les pinceaux.

      C'est beau, ca fait rêver et réfléchir... c'est LE cadeau de noël !
      • 0 réponse
    • Le Livre sans nom
      Note :
      La série de romans du livre sans nom a été un succès dès le premier tome, avec cette ambiance des films de Quentin Tarantino ou encore de Robert Rodriguez dans un univers complétement déjanté. Tous les lecteurs connaissant le livre sans nom se font une très bonne idée de Sanchez, le barman du Tapioca et de sa spécialité. Aujourd'hui, les éditions Sonatine ont eu la bonne idée de nous proposer justement une adaptation en bande dessinée de ce thriller fantastique. Quand on lit un roman avec des personnages aussi intense, cela est compliqué pour les auteurs de satisfaire tous les lecteurs en leur donnant une image. Au niveau de l'histoire, on reprend l'intrigue générale, mais je pense que les auteurs se sont inspirés de plusieurs tomes pour construire ce premier épisode en bande dessinée. On suit l'enquête d'un agent spécial et d'un policier investit dans la traque de celui que tout le monde surnomme le Bourbon Kid, un serial killer agissant dans cette ville paumée. En parallèle, on découvre plusieurs autres personnages emblématiques comme le King, un tueur un gage, Sanchez, la pègre locale et des moines étranges. La partie graphique est dans un style manga ou du moins très influencé par les manga, le tout en noir et blanc. 
      Les lecteurs du livre sans nom seront contents de replonger cette série en bande dessinée et les autres pourront découvrir une œuvre hors norme et culte.
      • 0 réponse

    • Ruridragon tome 2
      Note :
      Une nouvelle capacité apparaît chez Ruri, elle produit à présent de l’électricité !! Encore un élément qu’elle va devoir intégrer à son quotidien. Heureusement sa mère est là pour l’aider ; par contre elle est un peu avare en information qu’elle ne donne qu’au compte-goutte. Ruri apprend quand même qu’il existe neuf caractéristiques qu’elle pourrait développer.

      Passée l’excellente surprise du début, Ruridragon continue sa route sous le même format : du fantastique qui s’intègre à la vie quotidienne comme si c’était la chose la plus naturelle au monde. Mais Ruri vit également les préoccupations propres à la vie de lycéenne : interagir avec les autres ! Elle n’est pas la plus douée pour ça (même avant qu’elle n’ait des cornes) mais elle a le mérite de demander clairement aux autres ce qui ne va pas.

      Au final, on a une série sympathique, agréable à lire et amusante par moment, de quoi passer un bon moment de détente.

       Pour information, avec le tome 2 et pour le même prix, vous pouvez avoir une planche de stickers ! Et ça, c’est bien !
      • 0 réponse
    • One week family
      Note :
      Ren est devenu acteur car il admirait Kei quand il était enfant. Mais son prochain rôle risque de lui causer quelques soucis, il doit jouer avec un enfant et n’est vraiment pas à l’aise avec eux. C’est là que la directrice de l’agence lui impose de passer une semaine avec son propre fils. Ce dernier arrive avec son manager qui n’est autre que Kei, disparu des écrans depuis plusieurs années.

      La romance entre Ren et Kei est un peu anecdotique dans ce livre, ce n’est clairement pas le sujet principal. Il y a plusieurs aspects intéressants, tous liés au monde du cinéma. Il y a l’importance du manager, l’impact que peut avoir le succès sur les enfants comédiens et bien sûr la vie médiatique : être tout le temps sous les feux des projecteurs, devoir faire attention à tout et surtout, avoir sa vie privée être le sujet de ragots et discussions.

      C’est une bonne histoire à lire et à regarder avec un graphisme fin et délicat.
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    • Reborn to master the blade tome 5
      Note :
      Pfff Ces séries qui prennent super longtemps à sortir sont souvent frustrantes. Deja parce qu'en manga on a l'habitude d'avoir du contenu rapidement.

      Mais encore plus quand l'histoire est bonne comme ici. On a un gout de vraiment trop peu. Et c'est dommage car ce tome est encore une fois très bon. De l'aventure, des pouvoirs, des bons sentiments et une véritable histoire avec les Célestiens de plus en plus obscure vu qu'on ajoute un petit lien entre l'ancien royaume de notre roi et l'actuel.

      Bref énormément d'info et une belle lecture mais une attente trop longue pour une série de ce genre ( 1 an et demi).

       
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