Le fossoyeur marque le retour de Chihiro Watanabe après le remarqué Pygmalion. Il s’essaye ici à un genre mélangeant le shonen et l’horreur. Encore une fois, il ne lésine pas sur les représentations choquantes, limites gore (corps découpés). Sa vision de la possession par des esprits est dérangeante, glauque à la fois par le rendu graphique mais aussi dans le message que la seule issue est la mort.
Concernant l’histoire, on a un adolescent devenu fossoyeur après un drame familial qui va devoir accomplir jour après jour son lugubre travail. Entendez par fossoyeur celui qui peut délivrer l’âme humaine arrivée à un tel niveau de possession que la mort est le seul recours.
On peut craindre que l’histoire soit un peu répétitive, même si certains éléments sur la fin montre qu’il va y avoir un développement. En plus, le personnage principal étant tourmenté par l’obligation de tuer, cherche une autre solution pour sauver les possédés, cela amènera peut-être un tournant dans l’histoire. Ceux qui aiment l’action et l’horreur devraient y trouver leur compte, la série est finie en 4 tomes.
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