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  • Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond


    The_PoP
    • Scenariste: Jérôme Le Gris Dessinateur: Didier Poli & Luca Bulgheroni Coloriste: Bruno Tatti Editeur: Dargaud Note :
      Résumé:

      À la veille de l'an Mil, une pluie de feu s'abat sur la terre et plonge le monde dans l'obscurité.

      Fuyant l'Anglia dévastée, Elaìne brave la redoutable Mer des Aigles et atteint la Terre des Meutes, un territoire hostile où rôdent les terrifiants hommes-cerfs. Au cours de cette traversée périlleuse, elle croise Mara, une mystérieuse arpenteuse qui l'aide à survivre.

      Guidée par l'héritage de son père, Elaìne cherche à percer les secrets du savoir perdu, celui qui, jadis, permit aux hommes de bâtir des cités et de prospérer. Son périple la conduit jusqu'à la mythique Cité du Roi Taon, où l'ancien monde semble encore murmurer à travers ses ruines. Mais les règles de ce lieu sacré vacillent, et l'accès aux connaissances oubliées s'avère plus dangereux que jamais...

      Plongez dans une fresque épique où l'histoire et le mythe se rejoignent, sublimée par les illustrations magistrales de Didier Poli et Luca Bulgheroni.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Fantasy Prix: 17.50 Nb de pages: 56
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    Oh qu'on l'attendait celui-ci. Il faut dire que les deux premiers tomes des âges perdus nous avaient présentés une chouette histoire, dans un monde que l'on ne connaissait pas, qu'on n'avait pas l'impression d'avoir déjà lu cent fois. Et vu que c'était servi avec les très jolis dessins de Didier Poli, on en redemandait. 

    Sur ce tome Didier Poli a été rejoint aux crayons  par Luca Bulgheroni mais c'est toujours Bruno Tatti qui gère les couleurs. Alors que donne cet ajout de talent à notre équipe ? Et bien le dessin de la série continue d'évoluer doucement, comme entre le tome 1 et le tome 2, avec des visages qui se lissent un petit peu, mais des décors qui s'étoffent globalement rendant les atmosphères et ce monde là encore plus palpable. 

    Côté histoire, c'est aussi peu dire que je faisais confiance à Jérôme Le Gris pour nous créer une belle histoire avec une belle fin. Et bien pas de doutes non plus de ce côté là, c'est toujours aussi bien. On a du rythme, une montée en puissance de l'intrigue et des enjeux, des personnages dont on se demande à chaque page s'il va y passer ou pas, et un monde dont chaque page nous en fait découvrir un peu plus. Vous l'avez compris j'en redemande encore et bonne nouvelle, le tome 4 doit sortir l'année prochaine, même si, et c'est je trouve très triste, ce sera aussi le tome de fin de cette série. 

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    Commentaires recommandés

    Non c’est vraiment dans la lignée du 2.

    Je trouve que le 1 était le meilleur mais c’est un peu normal… le reste est toujours aussi sympa à lire

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    Oui, surtout qu'ils se lisent vite. Bon après la trame principale est pas trop compliquée non plus. Mais autant ne pas se priver de ce plaisir car je trouve que sinon tu vas perdre le lien qui s'est créé avec les persos, car le rythme reste très soutenu dans l'aventure et l'action. 

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    J'ai recommencé ce matin et j'ai eu une interrogation : ca commence avec un prêtre qui parle de ce qu'il voit en voie off... voie qui continue jusqu'à...1000 années après le déluge... mais ca ne peut pas être le moine qui parle...

    Bizarre comme incohérence sur les deux premières pages...

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  • Dernières Critiques

    • Dans l'indifférence générale
      Note :
      Voilà un sacré coup de coeur pour cet "essai" graphique au dessin somptueux et innovant dans son découpage, ainsi que le propos si fort et lourd de conséquences. Je lui souhaite la même réussite dans les bacs des libraires que Le monde sans fin de Jancovici et Blain (Dargaud). Dans un genre moins scientifique mais avec des phrases "coup de poing" et surtout une symbiose des cases dessinées ingénieuse et parlante, Roberto Grossi frise le génie pour imprimer notre rétine de messages. On se rend bien compte que nos petits gestes écologiques ne suffisent plus, il devient impératif d'imprimer une direction responsable aux élites gouvernantes. Nous faisons partie des pays les plus riches et nous polluons sans vergogne avec des chiffres de production de CO2 inimaginables. Sur la même ligne que Jancovici, Roberto Grossi "accuse" le capitalisme et sa surproduction, on pense ainsi à la "décroissance" souhaitée par l'ingénieur français. Il démontre chiffres à l'appui l'accentuation majeure de nos rejets de gaz à effet de serre depuis la révolution industrielle anglaise avec la machine à vapeur de Watt notamment. Un peu plus de 200 ans durant lesquels les progrès scientifiques ont été les plus importants mais aussi les plus néfastes pour la planète bleue. L'auteur utilise subtilement en fil directif de l'histoire un homme dans l'océan, seul, avec en face un requin fonçant gueule béante vers lui ! La catastrophe est imminente, que peut-il faire ? Nous en sommes là avec Taylor Swift prenant son jet privé comme l'on prendrait son scooter pour aller chercher du pain. Il raconte aussi ses souvenirs d'enfance en voyage à Chamonix et sa Mer de glace, glacier en constant retrait depuis des années. J'ai vu aussi le glacier lors de ma jeunesse et j'y retourne régulièrement avec le Montenvers, on ajoute toujours plus de marches pour descendre arpenter la glace... Jusqu'où allons nous descendre ? A lire et à faire lire à tous vos proches. 
      • 0 réponse
    • Kabuki
      Note :
      Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
      • 0 réponse
    • Partitions irlandaises tome 3 (fin) - Le refrain
      Note :
      Voici le dernier tome de cette trilogie de Kris et Bailly sur l'histoire conflictuel de l'Irlande du Nord et le conflit entre catholique et Protestant.

      Ce tome trois, que l'on a attendu longtemps, conclu de bien belle façon cette histoire de famille et qui nous montre qu'il est tous sauf aisé de se défaire de l'historique familial.

      Entre suspens, échange de coup de feux et révélations sur le passé de chacun, on a un troisième tome sans temps mort pour une trilogie engagée qui nous raconte l'histoire d'un petit bout de terre qui cherche à se défaire des histoires du passé pour se focaliser sur l'avenir.

      Note : dû au temps espacé ( tous les deux ans) de parutions des albums, je conseille une relecture de l'intégrale pour bien apprécier ce troisième tome.
      • 0 réponse
    • Coups de coeur
      Note :
      Dans cette autobiographie, l'autrice Tcheque Jislová nous livre une véritable psychanalyse sur sa relation à... l'amour. Rien de moins que ca. Une grande question qui travaille tout le monde mais qui est encore plus prégnant chez Štěpánka vu... ce que l'on apprend sur son passé.

      Je ne vous révèlerais pas cette surprise mais vous encourage à découvrir cette BD qui réussit, sur un très gros volume de pages, à nous accrocher de bout en bout. Le graphisme dynamique et un choix de nuance de rouge très intelligent. Štěpánka joue avec les pages et les limites de la BD pour nous livrer un ensemble réussi qui réussi, malgré le sujet déjà vu et revu, à ne pas nous ennuyer et à nous faire réfléchir sur notre définition à l'amour et au sexe opposé.

      Petite cerise sur un gâteau déjà beau, Štěpánka nous livre quelques pages de psychologie infantile intéressante et documentée.
      • 0 réponse

    • Beast king and medicinal herb tome 2
      Note :
      Le tome 1 de The beast king and medicinal herb était une des bonnes surprises de ce début d'année avec un point de vue rafraîchissant sur les monstres des donjons.

      C'est donc un peu tristement que j'ai découvert que ce tome deux rentrait deja "dans le rang". Non pas qu'il ne soit mauvais. On découvre des nouveaux monstres dans un nouveau donjon et notre héroïne avance dans sa compréhension de Galion.

      Mais on est déjà dans l'aventure qui part pour être super linéaire avec à chaque épisode son donjon et chaque donjon son monstre à soigner. C'est dommage car le premier avait bien utilisé le copain "différence de point de vue" entre monstres et humains tout comme la fait que c'est le gagnant qui écrit l'histoire.

      J'aurais préféré retrouver cela plutôt que de découvrir un super gros monstres qui vole avec ses poils....

      J'espère que le tome trois me surprendra en tout cas !

       
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