C'est une tuerie. Foncez le prendre. On est sur l'une des bd de l'année.
Voilà chronique terminée, merci au revoir.
Comment ? il faut que j'étoffe ?
Vous êtes sûrs ?
...
Bon. Ok.
C'est très très bien parce que c'est sublimement dessiné déjà et parce que ce récit à l'art de nous mettre en haleine et de préparer des dilemmes cornéliens le tout dans une guerre de cent ans qui suscite notre imaginaire romanesque au possible.
Alors oui j'en redemande. Oui j'espère que la conclusion au prochain tome sera épique et cohérente. A noter que si l'on savait depuis Roncevaux et Arthus Trivium que Juan Luis Landa avait un sacré coup de crayon, c'est chose actée désormais avec ce coup de pied dans la porte pour rentrer
On est dans la veine directe de 1629. De la très grande bd donc. Merci Glénat, c'est du très très joli boulot d'éditeur.




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