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  • L'ogre - Acte 1


    The_PoP
    • Scenariste: Jean Dufaux Dessinateur: Juan Luis Landa Coloriste: Juan Luis Landa Editeur: Glenat Note :
      Résumé:

      Quand le chemin d'un tueur fou croise celui d'une sainte.  1427. Le Pays de France est ravagé par la guerre de Cent Ans qui oppose Français et Anglais, Armagnacs contre Bourguignons. Les Anglais ont pris l'avantage et occupent la moitié du pays. Ils se sont installés à Paris où la reine mère, Isabeau de Bavière, leur fait bon accueil. Son fils, le dauphin Charles VII, s'est réfugié à Chinon où il tente d'organiser la résistance contre l'envahisseur pour reconquérir les territoires perdus. Dans ce pays en proie à la famine, à la guerre et aux pillages, un tueur, talonné par la faim et le goût des carnages, profite du désordre général pour occire femmes et enfants sans pitié. On le surnomme « l'Ogre ». Charles VII doit agir et charge son capitaine, Guillaume de Blamont, de le retrouver pour mettre fin à ses exactions. Pendant ce temps, l'Ogre continue de tuer jusqu'à ce qu'il tombe sur une apparition : une jeune femme qui ne semble pas le craindre et devant laquelle il mettra, enfin, genou à terre. Son nom est Jeanne d'Arc. Elle se prépare à rejoindre le dauphin à Chinon. L'Ogre attachera ses pas à Jeanne. La protégeant, il y trouvera sa rédemption. Alors que le destin les conduit devant la cour royale, l'Histoire de France se prépare à basculer... 

      Type: BD Europeene L'acheter chez notre partenaire Genre: Historique Prix: 29 Nb de pages: 112
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    C'est une tuerie. Foncez le prendre. On est sur l'une des bd de l'année. 

    Voilà chronique terminée, merci au revoir.

    Comment ? il faut que j'étoffe ?

    Vous êtes sûrs ?

    ...

    Bon. Ok.

     

     

    C'est très très bien parce que c'est sublimement dessiné déjà et parce que ce récit à l'art de nous mettre en haleine et de préparer des dilemmes cornéliens le tout dans une guerre de cent ans qui suscite notre imaginaire romanesque au possible. 

    Alors oui j'en redemande. Oui j'espère que la conclusion au prochain tome sera épique et cohérente. A noter que si l'on savait depuis Roncevaux et Arthus Trivium que  Juan Luis Landa avait un sacré coup de crayon, c'est chose actée désormais avec ce coup de pied dans la porte pour rentrer 

    On est dans la veine directe de 1629. De la très grande bd donc. Merci Glénat, c'est du très très joli boulot d'éditeur.

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    Commentaires recommandés

    Chacune des apparitions de Jeanne est incroyable, ils ont rendu le personnage "divin" , plus qu'iconique ! J'ai fini la saga (restée sans fin) du Trône d'argile , qui est très bien faite et visiblement très respectueuse de l'Histoire et j'ai apprécié le traitement de Jeanne d'Arc. Tu vois la mère du dauphin qui agit dans l'ombre et qui va littéralement créer la pucelle, sous le poids aussi d'une prophétie :" Le royaume sera perdu à cause et d'une femme, une pucelle le ramènera" en gros. Elle et quelques personnes de confiance organisent une sorte de casting géant pour identifier la personne idoine et une jeune fille de Domrémy va l'emporter. Subterfuges, mise en avant de la religion, création d'une héroïne en laquelle même le dauphin place tous ses espoirs, c'est presque de la propagande positive. Une vision possible et plausible de ce personnage historique toujours aussi mystérieux. On dit aussi qu'elle serait une bâtarde du roi et que son éducation notamment littéraire viendrait de ses origines ! 

    Enfin, pour en revenir à L'ogre, j'ai vraiment adoré 🙂 

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    Il y a 2 heures, VladNirky a dit :

    J’ai lu que le début de ta chronique, je suis convaincu. Je l’ai pris.

    Des fois la simplicité c’est le plus important. 

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  • Dernières Critiques

    • Le château des animaux tome 4 - Le sang du roi
      Note :
      Et voilà, clap de fin pour cette sublime adaptation libre de La ferme des animaux de Georges Orwell ! Dans cet ultime tome de la saga, vous découvrirez dans quelles circonstances se déroulent le vote promis par Silvio et les répercussions que la vérité des urnes aura sur le destin du "château" et ses habitants. Une Miss B toujours aussi déterminée et soutenue par César et le rat Azélar retrouvant peu à peu la santé, un dictateur écoutant les conseils de sa femme et se raccrochant à tout ce qu'il peut pour préserver son statut et pour finir la meute de chien qui commence à se poser des questions ! Xavier Dorison poursuit avec talent sa métaphore sociale où l'on retrouve les bastions des grandes dictatures avec trucage d'élection, bourrage des urnes, influences en tous genres, propagande bien évidemment mais aussi résistance avec ce fameux Mouvement des Marguerites. La chute d'un énième empire paraît inéluctable, mais vous verrez dans quelles circonstances et pour quel résultat 😉 . Un dernier tome peu avare en surprises (trahisons) et prenant ses distances avec l'oeuvre originelle dans un final aux notes positives et empreintes d'espoir. Félix Delep poursuit son sans fautes avec un dessin appliqué, toujours aussi expressif et dynamique. On y retrouve avec plaisir les personnages attachants qui font le sel de cette aventure animalière terriblement humaine ! En ces heures bien sombres pour le 9ème art à l'image des grands problèmes que rencontre le Festival d'Angoulême, il est bon de contempler un dessin faisant honneur à la BD franco-belge ! Voilà donc un tome abouti qui termine la série avec brio en mêlant habilement suspens politique, émotions et réflexions sur la résistance non-violente imprimée par ce duo d'auteurs que l'on retrouverait bien volontiers sur d'autres aventures 🙂 
      • 0 réponse
    • Le petit derrière de l'histoire - intégrale
      Note :
      Quelle bonne idée de l'éditeur Tabou de sortir à l'occasion de cette fin d'année une intégrale du "petit derrière de l'histoire" ! Les quatre volumes de cette histoire "érotico-historico-temporelle" sont ainsi regroupés en un seul volume de 240 pages pour notre plus grand bonheur. On y suit donc les voyages temporels de Marie, dans le plus simple appareil et jamais rassasiée de partager science et confidences sur oreiller 😉 Vous suivrez son "petit derrière" dans ses péripéties et galipettes avec entre autres Léonard de Vinci (peu inspiré par les avances de notre héroïne ^^), Nikola Tesla, Einstein, Stephen Hawking, mais aussi Mozart et Beethoven, une multitude de grands noms de l'histoire derrière lesquels se cache un petit bout de femme les ayant "orientés" un jour par le plus grand des hasards ! Soit vers la chambre à coucher, soit vers des études sérieuses et autres compléments d'infos sur leurs recherches actuelles. Car rappelons-le, Marie est ingénieure de son état, elle n'est donc pas qu'un corps et peut bien souvent soutenir les propos scientifiques de ces inventeurs non sans une pointe d'humour parfois. Car il est bien là le talent de Katia Even, allier friponnerie légère à culture générale le tout enrobé d'un soupçon humoristique bienvenu ! Son trait rond et mignon convient parfaitement au ton donné à la saga, d'autant qu'il est magnifié par les splendides couleurs de Marina Duclos. Marie en tant que femme libérée et attachante, assumant pleinement sa féminité et sa sexualité, nous réserve cependant des fins d'albums plus sérieuses ! En effet, à chaque fin de tome, elle revêt sa tunique de professeure et revient de façon plus solennelle sur les rencontres effectuées en amont au cours de ses voyages temporels. Elle explique les découvertes réalisées et dans quelles circonstances au fil d'exposés assez complets et faciles d'accès. Une parfaite accession à un éventuel complément de culture générale pour les plus curieux(ses) d'entre nous. J'ajoute que si la sphère érotique est bien présente, elle reste néanmoins discrète et assez subjective. Cette intégrale a tout du sympathique cadeau de Noël pour les personnes majeures bien entendu 😉 
      • 0 réponse
    • Largo Winch tome 25 - Si les dieux t'abandonnent
      Note :
      Nouveau tome de Largo et... nouveau scénariste. Exit Giacometti, bienvenu à Jérémie Guez. Un petit nouveau dans le monde de la BD mais quelqu'un de connu dans le monde du 7 ieme art. Scénariste et réalisateur, sa série BRI a récemment eu un beau succès.

      Le voilà aux commandes d'une des franchises les plus historiques du panel franco-belges, mais surtout une des séries les plus codifiées. On ne fait pas ce que l'on veut avec Largo. Donc pour prendre ses marques, Jérémie Guez fait du pur Largo. Un mix des premiers albums avec un retour sur le devant du côté aventureux de Largo. On retrouve le Largo qui se retrouve embarqué dans une histoire liée au groupe par l'intermédiaire de la mort violente de quelqu'un qui "ne pouvait parler qu'à Largo".

      Donc rien de bien nouveau mais.... c'est très bien rythmé. On ne s'ennuie pas une seule seconde comme à la grande époque des albums de Van Hamme. Le contexte Indiens ajoute un petit coté exotique sans être trop caricatural et permet un jeu de couleur dynamique et rafraîchissant.

      On espère juste que l'histoire économique se relèvera plus complexe que ce qu'elle nous laisse voir dans ce premier tome. Ne pas oublier que le succès de largo vient du bon mix entre aventure et business.... pas juste aventure.
      • 1 réponse
    • Le loup en slip tome 9 - Les lopins du lapin
      Note :
      Le retour du loup en slip pour la 9 ieme année consécutive et une nouvelle fable métaphorique de Lupano.

      Une fable qui nous parle cette fois du principe de propriété. À l'échelle de la foret du loup en slip, Lupano nous décrit la problématique de la définition d'appartenance. 

      Qu'est-ce qui appartient à qui ?  Et qu'est-ce qu'il se passerait si toute chose appartenait à quelqu'un ? Y compris l'air que l'on respire ?

      Lupano garde les recettes qui ont fait le succès du Loup en slip, à savoir monter au niveau absurde les contradictions du monde du XXIieme siècle et la double lecture qui permet aux enfants de voire une histoire d'animaux et aux parents une possibilité de présenter des sujets de société à leurs plus jeunes.

      Encore un bon tome pour une série qui n'a vraiment aucune raison de s'arrêter.
      • 0 réponse

    • Une belle-fille à croquer tomes 1 à 3
      Note :
      Dans sa première vie, Baekhap était une créatrice de mode pour enfant, elle a beaucoup souffert de dénigrement à cause de son physique et s’occuper des enfants, faire des vêtements et accessoires mignons était son seul réconfort. Morte d’épuisement et sans doute de problèmes de santé dus à une mauvaise alimentation, elle se réincarne en Abigail, la méchante belle-mère de Blanche-Neige ; enfin dans la revisite de l’histoire originale.

      Abigail n’a alors qu’une obsession, se faire aimer de Blanche, lui faire de belles tenues, la gâter et la rendre heureuse. Elle se heurte cependant à quelques déconvenues vu son passé de belle-mère acariâtre et doit d’abord réussir à convaincre son époux, l’empereur actuel qui a quelques problèmes avec la gent féminine.

      La revisite de Blanche-Neige reprend quelques éléments clefs comme la petite fille, et surtout le miroir, qui est assez autonome et ne va pas par quatre chemins pour dire ce qu’il pense. La passion de Baekhap se fait bien ressentir et cela tourne même à l’obsession. Cet aspect pourrait devenir un peu lourd s’il se répète un peu trop, il apporte cependant le côté humoristique au titre.

      Au final, on a une série sympathique, agréable à lire et assez joyeuse, une série parfaite pour se détendre avec un très joli graphisme !
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