Ecrire une BD d'humour sur le racisme quotidien et sur les problèmes de mixités sociales, c'est prendre le risque de se faire taper sur les doigts, dans une société ou les réseaux sociaux ont pris le pouvoir sur la liberté de parole et de caricature.
Rien que pour cela ce Quartier Fovéla mérite un coup de pousse. Car en effet dans ce premier tome les clichés sont légions et, pour la plus part, réel : Les vieux papis réactionnaire qui critiques tout et tout le monde et encore plus les jeunes des banlieues. Les jeunes des banlieues qui font du Wheeling en pleine rue et tag à longueur de journée des phrases qui ferait passer Wejdene pour JJ Rousseau.
Bref des clichés souvent rigolos pour une BD d'humour qui a le mérite de parler d'une fracture de la population française, à défaut d'être vraiment très drôle.
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