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  • Simon Spurrier présente Hellblazer


    alx23
    • Scenariste: Simon Spurrier Dessinateur: Aaron Campbell, Matias Bergara, Tom Fowler & Marcio Takara Coloriste: Jordie Bellaire, Jordan Boyd & Cris Peter Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Brutalement réchappé d'un enchevêtrement de futurs apocalyptiques où les actes de Timothy Hunter signeraient la fin d'un monde, John Constantine retrouve les recoins sombres et hantés de Londres avec pour mission de sauver son âme promise une nouvelle fois à une éternité de souffrances. Sa quête est rapidement interrompue par le canon d'une arme pointée par le chef d'un gang local. Haruspice illuminé, ce dernier a lu dans les entrailles que seul Constantine serait capable de sauver son gang décimé aux prises avec un ange vengeur. Ce ne sont là que les premières péripéties d'une odyssée qui amènera le mage de la classe ouvrière à se confronter à son pire ennemi...
       

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --
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    John Constantine est de retour à partir du relaunch de la série Sandman universe en introduction, pour expliquer l'absence de cet anti-héros de l'occulte. Quelle joie et quel plaisir de pouvoir lire les nouvelles aventures de Constantine d'après la vision du scénariste Simon Spurrier. Une fois de plus, John est en mauvaise posture et plus seul que jamais pour faire face aux nouvelles menaces qui planent contre l'humanité. Les histoires sont bien sombres à souhait et les dimensions différentes n'arrangent rien pour John. 
    Les dessins sont confiés à plusieurs auteurs suivant les histoires de quelques chapitres. Aaron Campbell réalise un travail exceptionnel pour dépeindre ces aventures et signe une grande partie de cette intégrale. Marcio Takara offre quelques planches aux couleurs psychédéliques avec un montage ou plusieurs personnages sont représentés du plus bel effet.
    Tous les amateurs des aventures de John Constantine seront heureux de retrouver cet univers dark. A noter qu’un autre album Rise and fall de Constantine est sorti le même jour et dessiné par Darick Robertson le co-créateur de la série The boys.

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    Commentaires recommandés

    Et apparemment il n'y aura qu'un seul tome si j'ai bien compris de Spurrier. 

    Je me rappelle pas pourquoi je n'ai pas mis 5 étoiles... J'adore toutes les histoires autour de ce personnage.

    Modifié par alx23
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    Raaah , je vais  me lancer dans l'aventure , j'aime bien le côté héro décalé de Constantine , j'avais adoré le film , je le remate souvent d'ailleurs . Vous me conseillez quoi alors , le run de Ennis (j'ai lu que les dessins étaient assez inégaux) , Spurrier , je peux le lire sans pré-requis ?

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    Mike Carey me semble le plus abordable pour commencer, mais ils sont tous très bien 🙂 même le run de Waren Ellis.

    Tu peux même commencer avec Les dossiers de Hellblazer le premier c'est Sean Murphy qui le dessine et le deuxième Jock, j'en garde un bon souvenir.

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    Il y a 8 heures, kvin a dit :

    si t'y mets un pied dedans, t'es foutu^^

    J'irais pas jusque la. IL ont fait ca intelligemment chez Urban : Chaque "cycle" d'un auteur est globalement indépendant. 

    Le Mike Carey est pour moi le plus emblématique avec de la magie, une ambiance très british, des pubs et tout. 

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    Il y a 10 heures, kvin a dit :

    Haha! Tu vois, ils disent la même chose que moi 😉 En revanche, fais gaffe! si t'y mets un pied dedans, t'es foutu^^

    Constantine est des personnages que je préfère.

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    Il y a 3 heures, poseidon2 a dit :

    J'irais pas jusque la. IL ont fait ca intelligemment chez Urban : Chaque "cycle" d'un auteur est globalement indépendant. 

    Le Mike Carey est pour moi le plus emblématique avec de la magie, une ambiance très british, des pubs et tout. 

    J'ai lu le pitch de celui de Ennis , avec son cancer , il a l'air bien cool aussi , mais quid des dessins ?

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  • Dernières Critiques

    • Hellboy & B.P.R.D. tome 8 - La nuit du cyclope
      Note :
      Pour ce nouvel album d'Hellboy, Mike Mignola s'entoure une fois de plus de dessinateurs et scénaristes talentueux pour faire vivre des aventures improbables à sa créature. Le plus surprenant dans cet album est la participation d'Olivier Vatine à l'univers d'Hellboy. Vatine fait des merveilles comme d'habitude et c'est un réel plaisir de voir son style sur Hellboy. Mignola et Vatine envoient Hellboy dans la Grèce antique pour venir en aide à un peuple maudit. Pour la deuxième histoire, Mignola collabore de nouveau avec Christopher Golden le scénariste de Lord Baltimore. Le récit prend place dans une maison hantée avec un héritage en jeu où Hellboy vient en renfort en cas de besoin face aux fantômes. Shawn McManus dessine avec maitrise ce récit. Pour la troisième histoire, Mike Mignola fait appel à Gabriel Walta pour mettre en image une suite directe à l’histoire du tome 12 de la série principale. Walta livre des planches soignées. Ensuite pour terminer, Mignola scénarise deux petits récits courts dessinés par Mark Laszlo se déroulant sur deux époques dans les rues de Budapest. Le tome se termine sur de nombreux bonus, recherches graphiques et esquisses des dessinateurs.
      Ce huitième tome est une très bonne occasion de lire cette série comme les récits sont complets avec en plus la participation de dessinateurs de renommés. A noter qu'il existe une version librairie Pulp's mais j'ai préféré la couverture de la version classique.
      • 0 réponse
    • Ce que je sais de Rokia
      Note :
      Fiouuu grosse claque graphique sur ce "Ce que je connais de Rokia". C'est superbe ! de la ligne claire à l'ancienne, mais au crayonné marqué et aux couleurs assez vivent qui nous donne un rendu réaliste impressionnant. C'est beauuuuuuuu et l'histoire est aussi très intéressante. 

      Réalisées comme un documentaire, nos auteures réussissent à nous faire mettre à sa place. On ressent les mêmes émotions qu'elle lors des petits moments de rapprochement, mais surtout les mêmes craintes face au mutisme quasi constant de Rokia et aux interrogations sur la véracité de sa protégée.

      Une belle histoire pleine d'humanité, de doute et.... de vie
        • Like
      • 1 réponse
    • Amy Winehouse en BD
      Note :
      Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais .

      Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez !
      • 1 réponse

    • Notre été éphémère tome 3 & 4
      Note :
      On va être très honnête : Ces deux tomes avaient pour eux la lourde charge de statuer sur le devenir de la série à la maison…En effet, j'ai trouvé les deux premiers un peu trop convenus et faciles...

      Et bien cette suite a réussi sa mission : on continue ! Ce revirement est dû à un changement dans notre histoire avec une orientation du récit non pus sur les sentiments de notre héroïne, mais bien sûr la maladie de Kaori et, surtout, le difficile rapport d'une ado à la possibilité de la fin de vie.

      J'ai trouvé que ce traitement était très juste et très émouvant. Shizuku est dépassée, mais l'est d'une façon qui semble réellement naturelle.

      C'est très émouvant et bien plus prenant que les deux premiers tomes ne pouvaient le laisser penser.
      • 0 réponse
    • I’m in love with the villainess tome 1 & 2
      Note :
      Franchement je n'y croyais pas. Le truc de la fille qui ne fait rien sauf être "in love" avec une fille qui ne l'aime pas jusqu'à la faire craquer… ça avait l'air niait au possible.

      Et bien pas du tout. Enfin pas vraiment. Alors oui le scenario n'est pas "fou fou" comme dirait ma fille.

      Mais c'est très mignon et au final se trouve être un vrai Isekai avec une fille très forte et pleine de connaissance. Les aventures rapprochent nos filles de façon "logique" ce qui casse l'aspect "niait" et "culcul" pour rendre cela juste mignon.

      Deux bons premiers tomes. J'attaque la suite !
      • 0 réponse
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