Pendant la longue guerre qui opposa le Saint Empire de Shamar à l’empire de Darum, les elfes ont eu recours aux Esprits. Après la victoire, l’empereur craignant qu’ils deviennent trop puissants les exterminât et brulât tous les documents les concernant. Deux cents ans plus tard, Ahal, la dernière elfe, parcourt le pays pour libérer les esprits encore liés par un pacte, les renvoyant dans leur monde. Si son rôle de passeuse d’esprit est pacifique, ce n’est pas le cas des pourfendeurs d’esprit, qui les anéantissent définitivement.
The last elf possède un petit côté Frieren avec les voyages d’Ahal, ses relations et son métier hors du temps. Son périple accentue l’aspect mystique du récit avec une ambiance légèrement onirique. Et puis, il y a le côté aventure avec une branche de l’armée qui pourchassent les esprits mais aussi les personnes capables de les vaincre.
Il y a donc de l’action, des combats mais aussi plein de moments « paisibles ». Ce premier tome pose donc les bases de l’histoire avec un rythme qui s’intensifie progressivement. Il est encore un peu tôt pour se faire un avis mais pour le moment, ce n’est pas inintéressant.
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