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  • X-men - Inferno


    Kevin Nivek
    • Scenariste: Jonathan Hickman Dessinateur: Stefano Caselli, R.B. Silva , Valerio Schiti Coloriste: David Curiel Editeur: Panini Note :
      Résumé:

      Jonathan Hickman dit son dernier mot sur la franchise qu'il a totalement redynamisée avec House of X / Powers of X, concluant avec brio les trames posées dès Dawn of X.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Super héros Prix: -- Nb de pages: --
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    Et voilà , clap de fin pour la vision de Monsieur Hickman sur l'aventure mutante de Marvel . Une saga débutée par House of X/Power of X , puis 16 tomes de Dawn of X, suivi de l'event X of swords en 4 tomes , 22 pour Reign of X avec 2 tomes de Hellfire gala ,et enfin , un event nommé Inferno concluant l'histoire , encore que , j'y reviendrai ...

    Après avoir fini ce Inferno , on reste assez circonspect , l'histoire est bien menée , Hickman nous balade dans le temps comme il sait bien le faire , tout en ménageant un suspens important . Les dialogues sont bien écrits , c'est même parfois complexe de les lire , car il faut être attentif , les apparences sont trompeuses , surtout avec un personnage "oublié" des opus précédents : Mystique , la métamorphe . L'arc va tourner autour d'elle et de sa vengeance savamment préparée . Bien aidé par 3 dessinateurs aux talents assez identiques , on ne ressent pas de différences graphiques dans le traitement des protagonistes , c'est un style propre aux comics , dans le genre d'Opena (qui signe des couvertures) qui a travaillé avec Hickman sur les Avengers notamment . Bref, on en prend plein les yeux , comme Hox/Pox , même intensité , même suspens etc...

    MAIS , car il y a un gros "mais" pour moi ! En voyant Hickman superviseur du monde mutant je pensais qu'il allait avoir une main mise totale et surtout un véritable début et une fin pour son run . J'espérais donc , un dénouement à toutes les interrogations distillées dans les nombreux tomes sortis . Inferno ne résout pas tout , hélas ... Terrible constat mais j'ai l'impression qu'il est possible de juste lire Hox/Pox et Inferno , voire X of swords et le Hellfire gala . Mais les 16 et 22 tomes du reste sont presque dispensables , j'en veux pour preuve :

    Révélation

    On ne sait toujours pas pourquoi Kitty ne peut pas utiliser les portails krakoans !

    La menace Nemrod hautement létale pour les mutants , n'est pas non plus résolue !

    En revanche , Jonathan Hickman laisse à ses successeurs un bac à sable fourni et attrayant . Ils héritent d'une multitude de portes ouvertes avec ce nouveau monde  qu'il a créé . Espérons que la suite répondra à mes (nos) interrogations dans moins de 10 tomes 🙂

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Mmmhhh alors mis figue mi raisin donc... faut que j'attaque Reign of X.... Mais sur Dawn of X on avait quand même l'aspect famille mutante qui le plaisait. J'espère retrouver ca dans Reign of X.

     

    Tu continues toi apres Inferno ? 

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    il y a 8 minutes, Kevin Nivek a dit :

    ces questions sans réponse me gave

    Tu veux tuer le fond de commerce de marvel toi a demander des réponses 😄  

     

    il y a 8 minutes, Kevin Nivek a dit :

    Tu as lu le texte caché ?

    Surtout pas 🙂

    • Haha 1
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    Bon je n'ai pas trouvé de sujet associé mais je me suis lancé dans omnibus FF de Hickman et c'est excellent ! Rien que le prologue avec la partie secret invasion est excellente.

    Je vais vite regretter que le volume deux ne soit pas disponible moi

    • Like 1
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  • Dernières Critiques

    • Dans l'indifférence générale
      Note :
      Voilà un sacré coup de coeur pour cet "essai" graphique au dessin somptueux et innovant dans son découpage, ainsi que le propos si fort et lourd de conséquences. Je lui souhaite la même réussite dans les bacs des libraires que Le monde sans fin de Jancovici et Blain (Dargaud). Dans un genre moins scientifique mais avec des phrases "coup de poing" et surtout une symbiose des cases dessinées ingénieuse et parlante, Roberto Grossi frise le génie pour imprimer notre rétine de messages. On se rend bien compte que nos petits gestes écologiques ne suffisent plus, il devient impératif d'imprimer une direction responsable aux élites gouvernantes. Nous faisons partie des pays les plus riches et nous polluons sans vergogne avec des chiffres de production de CO2 inimaginables. Sur la même ligne que Jancovici, Roberto Grossi "accuse" le capitalisme et sa surproduction, on pense ainsi à la "décroissance" souhaitée par l'ingénieur français. Il démontre chiffres à l'appui l'accentuation majeure de nos rejets de gaz à effet de serre depuis la révolution industrielle anglaise avec la machine à vapeur de Watt notamment. Un peu plus de 200 ans durant lesquels les progrès scientifiques ont été les plus importants mais aussi les plus néfastes pour la planète bleue. L'auteur utilise subtilement en fil directif de l'histoire un homme dans l'océan, seul, avec en face un requin fonçant gueule béante vers lui ! La catastrophe est imminente, que peut-il faire ? Nous en sommes là avec Taylor Swift prenant son jet privé comme l'on prendrait son scooter pour aller chercher du pain. Il raconte aussi ses souvenirs d'enfance en voyage à Chamonix et sa Mer de glace, glacier en constant retrait depuis des années. J'ai vu aussi le glacier lors de ma jeunesse et j'y retourne régulièrement avec le Montenvers, on ajoute toujours plus de marches pour descendre arpenter la glace... Jusqu'où allons nous descendre ? A lire et à faire lire à tous vos proches. 
      • 0 réponse
    • Kabuki
      Note :
      Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
      • 0 réponse
    • Partitions irlandaises tome 3 (fin) - Le refrain
      Note :
      Voici le dernier tome de cette trilogie de Kris et Bailly sur l'histoire conflictuel de l'Irlande du Nord et le conflit entre catholique et Protestant.

      Ce tome trois, que l'on a attendu longtemps, conclu de bien belle façon cette histoire de famille et qui nous montre qu'il est tous sauf aisé de se défaire de l'historique familial.

      Entre suspens, échange de coup de feux et révélations sur le passé de chacun, on a un troisième tome sans temps mort pour une trilogie engagée qui nous raconte l'histoire d'un petit bout de terre qui cherche à se défaire des histoires du passé pour se focaliser sur l'avenir.

      Note : dû au temps espacé ( tous les deux ans) de parutions des albums, je conseille une relecture de l'intégrale pour bien apprécier ce troisième tome.
      • 0 réponse
    • Coups de coeur
      Note :
      Dans cette autobiographie, l'autrice Tcheque Jislová nous livre une véritable psychanalyse sur sa relation à... l'amour. Rien de moins que ca. Une grande question qui travaille tout le monde mais qui est encore plus prégnant chez Štěpánka vu... ce que l'on apprend sur son passé.

      Je ne vous révèlerais pas cette surprise mais vous encourage à découvrir cette BD qui réussit, sur un très gros volume de pages, à nous accrocher de bout en bout. Le graphisme dynamique et un choix de nuance de rouge très intelligent. Štěpánka joue avec les pages et les limites de la BD pour nous livrer un ensemble réussi qui réussi, malgré le sujet déjà vu et revu, à ne pas nous ennuyer et à nous faire réfléchir sur notre définition à l'amour et au sexe opposé.

      Petite cerise sur un gâteau déjà beau, Štěpánka nous livre quelques pages de psychologie infantile intéressante et documentée.
      • 0 réponse

    • Beast king and medicinal herb tome 2
      Note :
      Le tome 1 de The beast king and medicinal herb était une des bonnes surprises de ce début d'année avec un point de vue rafraîchissant sur les monstres des donjons.

      C'est donc un peu tristement que j'ai découvert que ce tome deux rentrait deja "dans le rang". Non pas qu'il ne soit mauvais. On découvre des nouveaux monstres dans un nouveau donjon et notre héroïne avance dans sa compréhension de Galion.

      Mais on est déjà dans l'aventure qui part pour être super linéaire avec à chaque épisode son donjon et chaque donjon son monstre à soigner. C'est dommage car le premier avait bien utilisé le copain "différence de point de vue" entre monstres et humains tout comme la fait que c'est le gagnant qui écrit l'histoire.

      J'aurais préféré retrouver cela plutôt que de découvrir un super gros monstres qui vole avec ses poils....

      J'espère que le tome trois me surprendra en tout cas !

       
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