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Le second m'avait laissé la très désagréable impression que l'auteur des paroles des chansons était un enfant de 6 ans...
Et au delà de la performance de Johnny Depp, qui peut d'ailleurs finir par lasser un brin, je n'avais rien trouvé de chouette à ce film si ce n'est la demoiselle qui m'y accompagnait. Ceci explique peut être cela...
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[quote name='Phileas' timestamp='1357861624' post='161642']

Par contre, deux autres films de Burton sont repassés aussi à la télé au même moment : [i]Beetlejuice[/i] et [i]Sweeney Todd[/i].
Le premier est vraiment un de mes préférés (et le plus fun) et je l'ai (encore) revu avec plaisir. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]
[/quote]


J'ai revu Beetlejuice aussi, vraiment génial aussi ce film... et complètement barré, Mickael Keaton est vraiment délirant !
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[quote name='arnaud' timestamp='1357897838' post='161647']
moi j'aime pas burton :( son univers et tous ces trucs bizarres qui tournent autour de la mort me dérangent, nan vraiment sans façons...
[/quote]

Pareil, jamais été un grand fan, même si je reconnais le réalisateur et son univers. Ce qui me gène beaucoup c'est son incapacité à explorer d'autres thèmes, à tenter des expériences et à se remettre en cause actuellement. Big Fish était justement très bon pour ça justement. Il y'avait beaucoup de plus d'écart entre ses vieux films que les derniers. Beetlejus, Edward, Batman, Ed Wood, mars attaque, des films vraiment différents tout en portant sa marque. Après sleepe Hollow pour moi il s'est perdu, hormis Big fish. La planete des singes une grosse daube, sweedney inintéressant au possible, les noces funêbres pas mal,mais pas non plus le top du top, Charlie une bonne demi heure puis après le festival Johnny qui tue le film, un Alice d'une pauvreté émotionnel, Dark shadows pour passer 2 mois avec son pote Johnny, et enfin frankenweeni que je n'ai pas vu, donc peu pas me prononcer mais la bande annonce m'a fait dire : ok ça change pas d'un iota.
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C'est vrai qu'il y a un manque d'inspiration depuis... le début des années 2000 pour moi (qui débute très mal avec le navet La planète des singes, en 2001).
Ensuite, c'est Big Fish (bof), Charlie (re-bof), Les noces funèbres (mouais), Sweeney todd (re-mouais), Alice (complètement loupé !), Dark Shadows (re-re mouais) et le petit dernier que je n'ai pas vu.
Rien de comparable avec ce qu'il avait fait dans la décennie précédente, où les réussites se suivent dans une belle constante : à partir de 1990, on a quand même coup sur coup Edward, Batman le défi, Ed Wood, Mars attacks, Sleepy Hollow. Que du bon !
Serait-il sur la pente descendante, comme Terry Gilliam ?
En ce qui concerne le fait qu'il y avait plus d'écarts (et donc plus de variété) dans ces films des années 90 que ceux des années 2000, je reste quand même sceptique.
Entre La planète des singes et Big Fish, Charlie, Sweeney Todd et Alice, je ne vois pas beaucoup de ressemblance, tant dans les univers que sur le plan esthétique.
En tout cas, je ne vois pas trop la différence avec les films des années 90.
Ca, c'est pour la question du qualitatif.

Maintenant, il y a le problème du manque de renouvellement dont parle Doll...

Il faut dire que le cinéma de Tim Burton est du genre ultra-référentiel.
Il n'a cessé durant toute sa carrière de recycler ses fantasmes de gosses, du temps où il biberonnait devant la télé aux vieux films d'épouvante et de SF des années 50.
Toute sa matière est là. Et, au bout de trois décennies à la recycler encore et encore, parfois avec bonheur, d'autres fois avec maladresse, il arrive un moment où ça sent forcément le réchauffé et où l'on se dit, comme Doll (et je suis plutôt d'accord) : "ok, ça change pas d'un iota".
Mais c'est peut-être un problème inhérent à ce type de réalisateur... Et si Burton se mettait à réaliser un film très différent des autres, à "explorer d'autres thèmes"... serait-ce encore [u]du[/u] Burton ? Ce que le public attend d'un film de Tim Burton ?

C'est pareil pour Tarantino, par exemple.
Là aussi, on a affaire à un réalisateur qui recycle beaucoup et puise aussi dans la culture-bis en général et le cinoche de série B (voir Z) en particulier (qui remonte à l'époque où il bossait dans un video-club).
On a donc deux réalisateurs autodidactes et aux références marginales : un accroc aux "craignos monsters" et un fan de la culture bis (polar 70's, blacksploitation, kung-fu et cie).
Qui ont réussi malgré tout à proposer un cinéma personnel mais qui n'en reste pas moins marqué par toute une sous-culture.
Avec Tarantino aussi, on peut avoir la même sensation de lassitude. Surtout qu'avec lui (petite parenthèse), ça tourne souvent à l'exercice de style, le tape à l'oeil visuel, le second degré, le fun... mais côté propos, c'est creux. Il n'y en fait aucun propos, aucun sujet de réflexion. Fin de la parenthèse, qui n'engage que moi.
Alors... Reservoir dogs, c'était sympa. Pulp Fiction aussi. Jackie Brown, je sentais déjà venir le "mouais..." Avec Kill Bill, je n'adhérais déjà plus. Avec Boulevard de la mort estampillé "Grindhouse", j'ai décroché (sans parler de sa participation à Une nuit en enfer et d'autres réalisateurs comme Rodriguez qui ont surfé sur la même vague).
Et aujourd"hui, il nous ressort Django !
Demain, il pourrait tout aussi bien nous ressortir de la naphtaline les "Maciste aux Enfers" et autres kitcheries italiennes d'une certaine époque.

Ce que Doll reproche à Burton (ne pas se renouveler), on pourrait aussi le reprocher à Tarentino. Car aller voir un Tarantino, c'est presque aller voir une marque déposée @.
On sait que ça va être un film probalement "décalé, trash et bourré de références"
Ce type de cinéma référenciel qui puise dans une culture de "freaks" ou de programme "Grindhouse", ça peut être sympa quelques fois (surtout si c'est bien fichu) mais au bout du compte, ça montre aussi ses limites.
Mais là aussi, comme pour Burton, on peut se dire que le public qui aime Tarantino s'attend à trouver... [u]du[/u] Tarantino.

Quoiqu'il en soit, je me demande si ces réalisateurs peuvent vraiment durer longtemps avec ce genre d'éternel recyclage du même fond "bis".

Pour comparer avec un tout autre genre de réalisateur, Woody Allen a sans doute senti venir le danger (et la lassitude qui va avec !) avec le sempiternel thème "psychanalytico-narcissique" du bourgeois new-yorkais perpétuellement en analyse.
Il en a fait un dernier film-somme avec [i]Deconstructing Harry[/i], puis il est passé à quelque chose d'autre : des films davantage tournés vers les autres que sa propre petite personne.

Bref, c'est une question à laquelle on revient souvent, et que doivent se poser autant les artistes que leur public : comment être moi tout en évitant de trop me répéter pour ne pas lasser tout en restant fidèle à mon univers etc... etc... etc...
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Oula pas d'accord du tout pour Tarentino. Là ou Burton s'enlise, tarentino cherche à mûrir ! Kill Bill amorce justement une étape. Celui de la profondeur de son personnage, héros. Là ou il jouait avec plein de monde, il se concentre dorénavant sur 1 ou 2. Boulevard de la mort il le reconnait volontiers comme une erreur et son plus mauvais film, il avait dit oui à son pote Rodriguez sans être convaincu. Unglorius est justement le film de l'après transformation opéré par Kill Bill. ( la vengence d'une femme laissée pour morte croyant avoir perdu son enfant ) Là ou tu parles qu'il n'y avait pas de fond ( et je te l'accorde c'était surtout des histoires de vies ) on a justement ce fameux fond qui faisait tant défaut. Son regard sur la seconde guerre mondial, la folie des hommes, les conséquences de cette folie. Pour Django on est dans l'univers de l'esclavage et comment un esclave affranchi prêt à tout pour retrouver sa femme va t'il s'y prendre pour la sauver.

Si ce n'est pas un pitch avec un fond psychologique plus travaillé, ça. Ensuite dans Unglorius tu as justement beaucoup moins de références. Comme si il avait liquidé la chose avec Kill bill qui en était bourré.

Bref autant je suis d'accord avec toi sur Burton autant pas du tout sur Tarentino qui justement à mon sens devient plus mature.
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En passant vu [b]Cloud Atlas[/b] hier soir qui sort donc en Mars chez nous :)

Et bien, comme le Livre je dirais ! beaucoup d'espérance de voir les défauts du livre corrigés et au final non. Bonne réal, bons acteurs, musique passable, l'adaptation suit plus ou moins correctement le livre ( grincement des dents sur certaines histoires )donc c'est du tout bon à ce niveau. Et pourtant je suis ressorti avec une idée de "bon film" mais rien de plus. Là ou pour V comme Vendetta ils avaient à mon sens magistralement réussi le coup, le frère et la soeur n'ont pas réussi à passer le Handicap déjà présent dans le livre. Ce fameux fil rouge en forme d'énigme qui manque au livre, manque donc au film, dommage. Quitte à faire comme le seigneur des anneaux, transgresser et apporter des idées tout en gardant l’esprit. exemple avec Saroumane.

Bref voilu, c'était bien, mais on passe à côté d'un très bon film, dommage.
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[quote name='doll' timestamp='1358070285' post='161668']
Oula pas d'accord du tout pour Tarentino. Là ou Burton s'enlise, tarentino cherche à mûrir ! Kill Bill amorce justement une étape. Celui de la profondeur de son personnage, héros. Là ou il jouait avec plein de monde, il se concentre dorénavant sur 1 ou 2. Boulevard de la mort il le reconnait volontiers comme une erreur et son plus mauvais film, il avait dit oui à son pote Rodriguez sans être convaincu. Unglorius est justement le film de l'après transformation opéré par Kill Bill. ( la vengence d'une femme laissée pour morte croyant avoir perdu son enfant ) Là ou tu parles qu'il n'y avait pas de fond ( et je te l'accorde c'était surtout des histoires de vies ) on a justement ce fameux fond qui faisait tant défaut. Son regard sur la seconde guerre mondial, la folie des hommes, les conséquences de cette folie. Pour Django on est dans l'univers de l'esclavage et comment un esclave affranchi prêt à tout pour retrouver sa femme va t'il s'y prendre pour la sauver.

Si ce n'est pas un pitch avec un fond psychologique plus travaillé, ça. Ensuite dans Unglorius tu as justement beaucoup moins de références. Comme si il avait liquidé la chose avec Kill bill qui en était bourré.

Bref autant je suis d'accord avec toi sur Burton autant pas du tout sur Tarentino qui justement à mon sens devient plus mature.
[/quote]
Tu sais... on peut toujours trouver du fond dans tout et n'importe quoi si on cherche bien (les psychanalystes sont très forts pour ça) mais, avec la meilleure volonté, je n'ai rien vu de tout ça chez Tarantino, que ce soient ses premiers films ou les plus récents et certainement pas dans [i]Kill Bill[/i], que je trouve aussi creux que les autres sinon plus encore.
Tarantino reprend un thème archi-éculé (la vengeance) comme prétexte à une suite de scènes "fun" et "anthologiques" (pour le genre), très excessives, qui s'inspirent des films de kung-fu, des japanimés, du Jeu de la Mort (avec Bruce Lee), d'un clin d'oeil à Caradine, etc... et tout ça sur la durée de deux films en plus.
Parler d'une femme meurtrie/trahie (et encore cet aspect-là est expédié en quelques scènes) et qui se venge (pour le reste), je n'appelle pas ça de la profondeur... surtout de la manière dont il traite le sujet, où l'esthétique et les effets de style (agacants) en font un film où, comme ses précédents, tout est sacrifié au style (justement) et aux références du cinoche bis.
Et ce n'est pas non plus parce que l'on se concentre sur UN personnage plutôt que toute une galerie que cela rend le film plus "profond" non plus.
Robert Altman a toujours eu l'habitude de jongler avec plein de personnages, ce qui ne les empêche pas d'être bien développés.

Quant à [i]Inglorious Bastards[/i]... je ne l'ai pas vu donc je ne m'avance pas trop (sinon on va encore dire que je parle d'un film sans savoir !) mais je reste sceptique à l'idée que le propos de Tarantino ait été de proposer une [i]réflexion sur le sujet de la violence, de la guerre, de la déshumanisation qu'elle entraîne[/i], etc...
J'ai juste vu la BA. J'ai vu Brad Pitt qui dit à ses hommes un truc du genre "ouais, on va scalper des nazis les gars !". Et Hitler qui s'énerve en tapant du poing sur la table en vociférant : "nein ! nein ! nein !"
Bon. Je ne dis pas que ça résume tout le film (encore une fois je ne m'avance pas trop sans savoir) mais je me suis dit, a priori : "c'est la guerre à la sauce Tarantino, au trente-sixième degré". Presque du dessin animé (trash). Son "Douze Salopards" à lui, référence encore et toujours car on dirait que ce mec est incapable de réaliser un film [u]sans s'appuyer sur un autre[/u]. Voilà surtout ce que je lui reproche, d'ailleurs.
Bref, [u]du[/u] Tarantino.
Et ça ne m'a pas donné envie. Et je me suis fait la même réflexion que toi avec Burton pour [i]Frankenweenie[/i] (en te basant aussi sur la BA) : "ça change pas, quoi !"
Voilà pourquoi je faisais la comparaison entre les deux.

Si on devait parler d'un réalisateur qui, lui, s'est renouvelé et a gagné en maturité, je pense plutôt à David Fincher depuis [i]Zodiac[/i].
Et je n'ai pas vu ce genre d'évolution avec Tarantino, personnellement.

[quote]Pour Django on est dans l'univers de l'esclavage et comment un esclave affranchi prêt à tout pour retrouver sa femme va t'il s'y prendre pour la sauver.

Si ce n'est pas un pitch avec un fond psychologique plus travaillé, ça [/quote]
On ne doit pas avoir la même perception d'un "fond psychologique plus travaillé", je crois. C'est probablement là aussi le point de divergence. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]
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Ah j'aime bien ce débat :)

Bon d'abord pour la petite parenthèse sur Woody Allen, je suis plutôt fan de ses films et de ses thèmes mais honnêtement le seul Woody Allen que j'ai vu où sur le fond il change et surprend c'est Match Point, parce qu'il nous livre la un film d'une vraie noirceur, et qui fondamentalement est un drame. En plus il résiste dans ce film à la tentation des scènes ou répliques comiques. Après on peut également parler de Midnight in Paris pour son côté rafraichissant... Il n'en reste pas moins que Woody Allen est un bon exemple de réalisateurs pas vraiment éclectique à mon avis...

Pour Burton, je suis évidemment d'accord avec vous deux. J'ai une certaine lassitude. Et là où à l'époque voir le duo Burton/Depp me donnait envie d'aller au cinéma, aujourd'hui c'est l'inverse. Par contre je trouve qu'effectivement les thèmes qu'il abordait étaient plus variés sur ces films des années 90...

Pour Tarantino, je le trouve quand même plus varié. Effectivement il ne sort pas beaucoup de la sous culture série Z qu'il affectionne. Mais quand cette sous-culture va du film de guerre au western en passant par les films d'horreurs et les film de gangster c'est quand même déjà plutôt vaste. Alors effectivement on l'a pas encore vu sur le registre de la comédie romantique ou du drame passionnel. Mais bon.
Et sur le fond de ses films je trouve dommage de ne pas faire de distinction entre Kill Bill Vol 1, qui pour moi est un assemblage de "scènes cultes", un petit peu comme Inglorious Bastard finalement, et Kill Bill Vol 2 qui reste un grand moment de cinéma à mon sens et peut être l'un de ses meilleurs films par sa profondeur justement, par son intensité et ses dialogues et par ses images beaucoup plus soignées et "propres" que dans le 1.

Finalement je ne reproche pas à Burton de ne pas avoir changé de thèmes dans ses films, mais plutôt de ne pas avoir vraiment assez modulé la façon de les explorer. Sur la forme au moins je trouve que Tarantino a quand même exploré des univers plus différents que Burton (depuis les années 2000 évidemment).
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Yeah à moi aussi de rajouter un petit mot:

A propos de Burton je pense qu'on est tous d'accord. Je n'ai même pas vu ses derniers films pour dire à quel point ça ne me botte plus. Par contre vous avez oublié le génial étrange noël de Mr Jack.

Avant d'entamer sur Tarantino je tiens à préciser que je suis un immense fan de son boulot.
D'abord un film ne se juge pas seulement sur le fond sinon on lirait des livres à la place d'aller au ciné (et encore ça vaut pas pour tous les livres).
Tarantino est excellent au niveau de la photo de ses films. Une mise en scène et des angles de vue maitrisés sur le bout de doigts. Avec ça il rajoute une très bonne son qui acroche dès l'ouverture.
Les personnages sont aussi tous bien foutus. Ils ne sont certes pas très profonds mais ils sont tous biens définis et ont tous leurs petits problèmes. Il y a beaucoup de personnes mais elles sont toutes utiles à l'histoire.
Après dire que Tarantino évolue dans le sens s'améliorer je ne pense pas. Doll à raison en disant qu'il explore de nouveaux univers. Le pitch reste toujours assez simple mais les persos et les décors sont énormément travaillés. Il y a toujours la pate Tarantino mais ce sont des films biens différents à chaque fois. Mon top 3 reste Reservoir Dogs, Pulp Fiction et Inglorious Basterds.
Après c'est chacun sont style, je ne connais pas vraiment de réalisateur qui a complètement changé de genre. Tarantino c'est un peu on aime ou on aime pas.
En tous cas moi je vais aller voir Django au ciné dans les semaines qui viennent :)

Dans les derniers films vu j'ai regardé [b]Platoon[/b]. Bon définitivement les films de guerre ce n'est pas pour moi. J'ai l'impréssion de les avoir vus cent mille fois.
[b]Elizabethtown[/b] : Orlando Bloom un peu transparent mais Kirsten Dunst excellente. J'ai bien accroché sur la deuxième partie du film, une histoire bien racontée.
[b]The Town [/b]: Bon bah je ne m'attendais pas à mieux. Pas terrible.
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Marrant, [b]The town[/b] est vraiment un film superbe selon moi. J'y avais trouvé de vrais personnages très fouillés et une vraie ambiance. Mais c'est comme pour Tarantino et consorts, tout est question de goûts. ^^

Vu [b]The Secret[/b]. J'aime beaucoup le boulot de Laugier depuis Saint Ange. (oui, même[b] Martyrs[/b] qui est pourtant un des films les plus traumatisant que j'ai pu voir). Là, avec The secret, j'avoues avoir été un peu déçu. Le film essaie tellement de trimbaler le spectateur dans tous les sens qu'on finit par décrocher un peu. C'est bien foutu, avec une super ambiance bien glauque, mais il y a un peu trop de tiroirs à ouvrir dans ce film. ça reste pas mal du tout, mais alors faut s'accrocher pour pas décrocher !
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[quote name='The_PoP' timestamp='1358150535' post='161694']Ah j'aime bien ce débat :)[/quote]
Tant mieux. Parce que j'ai toujours peur de gonfler les gens (même quand je ne parle pas de Tolkien ^^) [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]
Et puisque tu m'encourage (fallait pas [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) ...

[quote]Pour Tarantino, je le trouve quand même plus varié. Effectivement il ne sort pas beaucoup de la sous culture série Z qu'il affectionne. Mais quand cette sous-culture va du film de guerre au western en passant par les films d'horreurs et les film de gangster c'est quand même déjà plutôt vaste[/quote]
Une petite précision quand même : réaliser des films de genres différents ne signifie pas pour autant qu'un réalisateur se diversifie.
Que Tarantino fasse un polar, puis un film de guerre, puis un western (et pourquoi pas pour la suite un film de SF) n'est ni le problème pour moi ni mon propos du post précédent. Le problème est plutôt dans la manière de les aborder, qui reste toujours "à la sauce tarantinesque". Voilà ce que je voulais dire.
D'autres réalisateurs, comme Kubrick ou Ridley Scott, ont aussi abordé des tas de genres différents. Mais j'ai moins eu le sentiment de répétition et, personnellement, de lassitude avec eux.
Evidemment, on retrouve toujours chez tout artiste une sensibilité (et des tics) qui lui sont propres : Kubrick avec sa vision clinique, mysantropique et satirique (voir sardonique), Scott avec son côté ultra-esthétisant et son détachement (apparent en tout cas) par rapport à son sujet.

Je pourrais aussi citer Spielberg (l'exemple est peut-être plus pertinent d'ailleurs). Et pour ceux qui (je sens venir la remarque) me diraient que dans le cas de Spielberg, il s'est toujours attaché à un certain "courant" très référencé aussi (fantastique et SF "enfantin" si on fait abstraction d'exceptions comme Duel ou Jaws ...), c'était surtout le cas dans les années 80. Depuis, il a quand même sorti des films comme Schindler, Soldat Ryan, Attrape-moi si tu peux, Munich... assez éloignés de ce qu'il avait l'habitude de montrer. Et pas seulement parce qu'il change de genre !
Car Spielberg aurait très bien pu réaliser à chaque fois ses films de guerre "à la sauce Spielberg" (comme il l'a fait avec Empire du Soleil d'ailleurs). Hors, que ce soit dans le ton, la vision de la guerre et la manière, Soldat Ryan est fort éloigné d'Empire du Soleil. Il a même pris le contre pied de son propre cinéma de SF, façon E.T., avec La Guerre des Mondes.
C'est la [b]manière[/b] qui diffère. Et aussi la profondeur du propos pour certains. Et le fait que, contrairement à Tarantino, il a montré qu'il n'était pas [b]seulement[/b] un bon "faiseur" qui sait bien filmé. Tout ça parce qu'il n'est pas aussi lié (et limité) que Tarantino à une sous-culture et à un style qui s'en inspire.
Bref, ces trois réalisateurs (et surtout Steven) ne me donne pas le même sentiment qui me fait dire, à la vision d'une BA : "mouai, ça change pas quoi, c'est [u]du[/u] machin", comme pour Tarantino et cela vaut aussi maintenant pour Burton.

Donc, je ne trouve pas que les films de Quentin (j'en ai marre de taper tout le temps son nom de famille : il me pardonnera cette familiarité [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]) sont aussi différents que vous le dites.
Il change de genre, oui, mais la sauce est souvent un peu la même. Et montre ses limites.
Voilà ce que je voulais dire.
Bon, maintenant, c'est mon avis, voilà tout. Et c'est pourquoi j'associais (à mes yeux du moins) Burton et Quentin dans la même lassitude.


[quote]Et sur le fond de ses films je trouve dommage de ne pas faire de distinction entre Kill Bill Vol 1, qui pour moi est un assemblage de "scènes cultes", un petit peu comme Inglorious Bastard finalement, et Kill Bill Vol 2 qui reste un grand moment de cinéma à mon sens et peut être l'un de ses meilleurs films par sa profondeur justement, par son intensité et ses dialogues et par ses images beaucoup plus soignées et "propres" que dans le 1.[/quote]
Oui, c'est vrai qu'il y a une petite différence, j'avoue. Tu as raison de le signaler.
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Plutôt d'accord avec toi sur le fond des propos Phileas.
Je reste personnellement moins lassé par Tarantino que par Burton mais j'ai aussi sans doute une plus grande tolérance car ses thèmes me parlent plus.
Pour son Django, au vu de la bande annonce, je me dis qu'il peut devenir une bonne et agréable surprise. Un petit peu comme Kill Bill Vol 2.

Après je pense pas qu'on puisse vraiment comparer un Tarantino avec un Spielberg...

Pour [b]The Town[/b], je l'avais trouvé réussi moi à l'époque...
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C'est vrai que Tarantino a une pate bien à lui, il faut l'admettre. Par contre dire qu'aller voir son prochain film c'est revoir les précédents là je dis non. Il faut voir aussi le nombre de films réalisés. Il en a pas fait tant que ça non plus donc peut être qu'un jour il ira voir ailleurs.

Pour The Town le problème c'est que tu peux dérouller l'histoire dès la fin du premier braquage. Aucune surprise. Alors certe c'est bien fait mais au final ça fini en film popcorn.

Y'a ça aussi que j'adore chez Tarantino c'est qu'il n'y a pas de méchant ou de gentil et que tout le monde peut perdre. Et je pense que ça c'est un peu aussi la base de tous ses films en plus du "fun" qu'il veut en sortir.
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Ce soir, c'était le genre de séances entre potes "matez un peu le truc bizarre que j'ai dégoté pour 3 € à mon vidéo-club qui est en pleine liquidation" [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]
Au programme donc...
[b]
[/b][b]Capitaine Kronos, tueur de vampires[/b] (ta-dam !).

[url="http://www.servimg.com/image_preview.php?i=538&u=16913139"][img]http://i13.servimg.com/u/f13/16/91/31/39/capita10.jpg[/img][/url]

Avec un titre pareil, vous vous doutez bien qu'on est pas franchement dans la catégorie Art & Essai mais plutôt dans un petit "nanar" (encore que plus proche de la série B fauchée que du véritable Z-movie parce qu'il y a une différence) et à regarder entre potes pour rigoler (ça tombe bien).
Plus précisément, c'est une production de la Hammer de 1974.
Un poil fadasse, souvent involontairement comique, au rythme bien trop mou vu le contexte proposé (surtout selon les standards d'aujourd'hui !) [u]mais[/u] qui a au moins pour elle l'originalité (du moins pour l'époque) de faire s'entrecroiser le film de vampire, de cape et d'épées et l'enquête criminelle, voir même le western !.
Il faut au moins lui reconnaître ça.

En fait, ce petit film anticipe des films contemporains comme [i]Van Helsing, Le Pacte des loups, Abraham Lincoln, tueur de vampire[/i] et d'autres de cette mouvance actuelle. Rien que pour ça, il est assez amusant (voir instructif), malgré ses (énormes) limites.
Il y a aussi quelques bizarreries : par exemple, en sus d'une rapière, le héros manie un... katana. On ne sait pas trop comment il l'a obtenu mais là encore, ça montre que [i]Le Pacte des Loups [/i]n'a rien inventé en matière de décalage exotique un peu déconcertant (comme le kung-fu en pleine France du XVIIIiè, par exemple).

Bref, une curiosité rigolote de derrière les fagots dont on retiendre surtout sa volonté de mélanger les genres et en fait une sorte de précurseur, même bancal, de ces pots-pourris cinématographiques qu'on nous sert de nos jours, où les héroïnes de Jane Austen affrontent des zombies.

Voici une BA (aussi rigolote que le film mais plus rythmée somme toute) qui donne une petite idée de cet étrange bidule : [url="http://vimeo.com/16675549"]http://vimeo.com/16675549[/url]

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Malgré ce que j'ai pu dire sur Tarantino, je viens de voir [b]Inglorious Bastards[/b] et... ben, j'ai trouvé le film plutôt réussi et j'ai bien aimé dans l'ensemble (moins la dernière partie dans le cinéma). Sans doute parce que le film ne ressemble finalement pas à l'idée que je m'en faisais (sorte de version trash/BD des Douze Salopards) et c'est tant mieux.

Au fond, le plus curieux dans ce film, c'est que les personnages secondaires servent d'avantage l'histoire et sont mieux mis en valeur que les "inglorious bastards" eux-mêmes, finalement peu présents et dont les "exploits" sont davantage évoqués de manière elliptiques que montrés. D'ailleurs, à part Brad Pitt, les autres acteurs/personnages sont plutôt oubliables, surtout si on les comparent aux autres.
De ce point de vue, je trouve le titre très trompeur.

Ce que j'ai aussi apprécié, c'est la tension qui règne dans certaines (longues) scènes dialoguées, comme celle au début dans la ferme et celle dans la taverne en sous-sol (ma préférée) : vingt grosses minutes de tension à chaque fois, avant les coups de feu. Bien foutu, suspense garanti.
Ensuite, il y a cet étonnant personnage du colonel Hans Landa (l'acteur est formidable) à la perspicacité flippante. Toutes ses scènes sont réussies.

En comparasion, avec le massacre dans le cinéma, on est plus dans la "tarantinade" de base et j'ai moins aimé cette partie : les corps tressautant sous les impacts de balles, Mélanie Laurent riant aux éclats sur l'écran qui crame... mouais... j'ai moins accroché. Là on revient dans la grosse série B et les exagérations "tarantiniennes". La vengeance de la jeune fille n'a pas le potentiel dramatique qu'on pouvait espérer et c'est dommage pour elle. Tout ce qui avait précédé était dans un registre relativement plus retenu et efficace.
Autre petit point négatif : la présence (incongrue pour moi) de la chanson de Bowie qu'on retrouvait dans la BO du film [i]La Féline[/i]. Pas trop aimé la scène qui va avec, d'aillleurs (Mélanie Laurent devant la fenêtre) : trop vidéo-clip glamour à mon goût. D'ailleurs, pour une fois, je n'ai pas aimé la BO, alors que d'habitude Tarantino sait choisir les titres qui collent bien à ses films.

Mais bon... sur les 2h30 de film (que je n'ai pas vu passer), le trois-quart m'a convaincu. C'est un de mes Tarantino préférés, avec [i]Reservoir Dogs[/i] et [i]Pulp Fiction[/i].
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Et bien malgré ce que j'ai dis sur Tarantino, je pensais passer un gros moment de ciné avec [b]Django[/b] et...ba non.

Je passe la réal et les acteurs, au top, dicaprio en tête, vraiment un putain de bon acteur ce mec. Alors oui Tarantino a muri mais là pour le coup, il n'écoute plus trop les avis ou les critiques je pense. Le rythme du film est inégal, ça traine beaucoup trop en deuxième partie, pas mal de scène qui ne servent à rien ou qui pourraient être largement réduites, histoire que le rythme ne retombe pas. Puis un film beaucoup trop classique dans son histoire qui ne révèle aucune surprise, aucun rebondissement.

J'ai des personnages, je veux leur carrer des dialogues de mon cru hop voilà, rien de plus. La seule émotion véritable et puissante qui aurait du transporter le spectateur tout au long du film se trouve dans les flash-backs très rapide et très peu utilisés.
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[quote name='poseidon2' timestamp='1359035846' post='161827']
pffff moi j'aimerai bien discuté avec vous.. mais a cause des gosses je ne peux pas aller au ciné ... :( :(

Bon j'appelle papie et mamie pour me faire une week end cure de ciné ! :angry:
[/quote]

[img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/biggrin.gif[/img]

ouais, tout pareil !!
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J'avais été déçu par son Inglorious Bastard perso. J'avais trouvé justement le rythme de son film trop inégal et les scènes trop déséquilibrées entre elles. Chaque scène prise indépendamment est vraiment réussie, mais je n'ai pas trouvé que le tout formait réellement un film. Trop décousu pour moi. Et puis pour ma part j'ai regretté un peu de ne pas plus voir les 12 salopards effectivement...

Par contre ma maman, pas vraiment amatrice des films de Tarantino a trouvé son Django très bon. Moi j'y vais ce weekend (pas de gosse :) )
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Pour [i]Django[/i], en ne voyant que les BA, j'ai surtout retenu la présence, à nouveau, de Christoph Waltz, qui était formidable dans [i]Inglorious Bastards[/i] (dans celui-ci, je ne sais pas trop, ne l'ayant pas vu).
Et puis aussi le fait que, si je ne m'abuse, c'est la première fois que Di Caprio joue un bad guy.
Sinon... pour les scènes inutiles et/ou trop longues, les chutes de rythme, et l'histoire trop classique... je n'ai pas trop de mal à croire Doll.
Bon, je me ferai ma propre opinion quand je le verrai... en DVD (ce n'est pas pour tout de suite).

Sinon, pour ma part, vu [b]The reader (Le liseur)[/b], film dont j'avais beaucoup entendu parler à sa sortie mais que j'avais raté à l'époque.
Un film émotionellement fort, dérangeant, parfois poignant mais très sobrement réalisé et interprété (Kate Winslet y est impressionnante dans le rôle d'un personnage pas évident à cerner). Pourtant, je n'ai vraiment compris son propos que dans la dernière demie-heure. Trop focalisé sur le passé de gardienne à Auschwitz de son anti-héroïne (et le côté "diable au corps" de sa relation avec un ado ^^), j'ai failli louper l'histoire de son analphabétisme, qui y joue un rôle essentiel. Et permet de mieux comprendre la phrase mise sur l'affiche : "Jusqu'où iriez-vous pour protéger un secret ?", le secret en question n'étant pas comme on pourrait le penser son rôle dans la Shoah (même si ce problème n'est pas écarté non plus et pose la sempiternelle question du "comment en arrive t-on à participer à [i]ça[/i]").
Un film troublant sur la complexité des sentiments humains, sans moralisme appuyé et dont on ressort avec un curieux arrière-goût et pas mal de questions laissées en suspens.
Bref, le genre de film qui continue à vous trotter dans la tête après l'avoir vu.
Et de me dire aussi que, dans le registre du drame, les acteurs/actrices anglais(es) restent les meilleurs pour moi (contrairement aux ricains qui en font trop souvent des caisses...)
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Vu [b]Les Contes du Disque-Monde[/b], un téléfilm de 3h adapté de l'oeuvre de Terry Pratchett et en particulier du roman [i]Le Père Porcher[/i].
Plutôt sympa, même si la production n'a, on s'en doute, pas bénéficié des moyens d'un métrage cinéma. Ca reste assez fidèle à l'esprit et à l'humour de la série et ça, c'est au moins une bonne chose.
Je retiendrai surtout le personnage de la Mort, reconverti pour la (bonne) cause en Père Porcher (équivalent du Père Noël dans le Disque-Monde) qui a disparu, avec le décalage amusant que l'on imagine entre sa nature sinistre et sa nouvelle fonction (on pense d'ailleurs un peu à [i]L'étrange Noël de Mr Jack[/i], qui faisait de même).
Ensuite, un tueur de la Guilde des Assassins, Mr Lheureduthé (Mr Teatime en V.O.) joué par un acteur excellent.
Pour les points négatifs : un rythme trop mou pour commencer. Ensuite, je n'ai pas compris pourquoi certains décors et costumes sont du style fin XIXiè alors que le contexte du Disque est du genre médiéval. C'est surtout gênant quand on voit, par exemple, deux hommes du Guet, avec leurs accoutrements moyen-âgeux, se retrouver dans une boutique qui a l'air de sortir d'un roman de Dickens. Je n'ai pas compris.
Ensuite, les scènes avec les mages de l'Université Invisible paraissent plutôt inutiles et je n'ai pas saisi ce qu'elles venaient faire dans l'histoire principale, qui concerne plutôt la Mort, sa petite-fille (Susane Sto Hélit), l'Assassin et ses acolytes, etc...
Divertissant quand même.
En bonus, le DVD propose une série de 12 petits documentaires marrants où la Mort en personne rend visite à Terry Pratchett, Stephen Briggs et d'autres spécialistes de l'oeuvre pour les interroger sur tel personnage ou aspect du Disque-Monde. Sympa. Surtout quand ils ouvrent leur porte et que la Mort leur dit d'emblée : "pas de panique : il ne s'agit pas d'une visite officielle".
En attendant de voir l'adaptation cinéma prévue prochainement, qui jouiera certainement de plus de moyens.
Mais en conservera t-elle l'esprit ?
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