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(Re)Découverte 1001Bd : Les Druides


Phileas
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[b]Les Druides[/b]
[b]6 tomes pour le cycle 1[/b].
[b]Scénario[/b] : Jean-Luc Istin/Thierry Jigourel
[b]Dessin[/b] : Jacques Lamontagne
[b]Editeur[/b] : Soleil
[b]Collection[/b] : Soleil Celtic
[b]Années de parution[/b] : 2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2012,

[u]Résumé[/u] :
[i]Ve siècle. Le monde change, un conflit vient de commencer : le Christianisme s'oppose à l'ancienne religion. Druides et moines se livrent une guerre, dans l'ombre.Tandis que les Bretons descendent peupler le promontoire rocheux de l'Armorique, Gwenc'hlan, le dernier druide de cette région, et Taran, son apprenti, tentent de déjouer les pièges tendus par leurs adversaires fanatiques. L'aide de La Morrigane, une femme de l'Autre Monde, sera précieuse…Entre les vestiges d'anciens cultes néolithiques, une menace sourde s'élève…[/i]

Il faudra un jour que je demande à Istin ou à Lamontagne, si nos chemins se croisent, de m'expliquer comment une telle saga, d'une telle richesse tant par ses péripéties que par ses thèmes et les problèmes soulevés, ses personnages marquants, brassant avec talent et originalité plusieurs genres (enquête criminelle, épopée celtique, didactisme mythologique, réflexion sur les religions et le pouvoir et plus généralement l'Aventure avec un grand A) a pu être introduite par un tome 1 qui tient, au mieux, du culot monumental et au pire du quasi plagiat, assumé avec une désinvolture désarmante.
Car dans [i]Le mystère des Oghams[/i], Jean-Luc Istin ne trouve rien de mieux que de nous servir, pour l'essentiel, un copier-coller du [i]Nom de la Rose[/i]. A savoir : une série de meurtres dans un monastère, un homme de religion enquêteur et son apprenti, un vieil aveugle érudit et une explication qui pourrait bien se trouver dans un certain manuscrit ayant trop éveillé la curiosité des victimes. Avouez qu'il fallait oser !
Mais ce n'est pas tout : Lamontagne, complice, enfonce le clou comme avec malice en donnant au personnage de l'enquêteur les traits très reconnaissables de Sean Connery.
Alors, bien sûr, celui-ci n'est pas moine fransiscain mais druide et le contexte du Viè siècle de notre ère est radicalement différent. De fait, les enjeux réels des meurtres et de l'épopée le seront également, comme nous l'apprendrons les autres tomes de la série. N'empêche : si le lecteur impulsif s'en tient à ce tome introductif, on peut comprendre sa gêne et son refus de s'aventurer au-delà.
Et disons-le tout net : ce serait une erreur !

Personnellement, ma décision d'acheter les deux premiers tomes et de les lire à la suite m'a évité cette mauvaise surprise car, dès le second opus, l'histoire prend déjà nettement ses distances avec l'oeuvre d'Umberto Eco (ou le film d'Annaud).
Rappelant au lecteur la substantifique moëlle celtique dont elle se nourrit sans pour autant perdre de vue l'aspect "policier", la série nous rassure : non, il ne s'agira pas d'un thriller en huis-clos ou même se cantonnant aux limites de la petite Armorique mais bien d'un vrai récit d'aventures. Mouvementé, épique, complexe, s'étendant d'Ys la blanche jusque par-delà l'Atlantique en passant par la Bretagne (future Angleterre) et ses îles des alentours.
En outre, l'enquête se double d'une véritable "chasse au trésor" (de nature sacrée et non aussi profane qu'un coffre de pièces d'or) comme dans toute bonne quête, convoité par plusieurs camps antagonistes et avec tout ce qu'une telle situation peut engendrer de confrontations culturelles et ethniques, de croyances et d'ambitions, de manipulations et de trahisons. Bref, on ne s'ennuie pas !
La véritable richesse des [i]Druides[/i] réside toutefois dans ce contexte très particulier, compliqué et troublé, avec une Eglise Chrétienne encore jeune et emplie de sa mission "salvatrice" et pleine d'arrogance de vouloir à tout prix imposer son dieu unique à une Celtie qui n'entend pas abandonner aussi docilement ses croyances et ses traditions multi-séculaires. S'y ajoute, de surcroît, le conflit en Bretagne entre les autochtones (dont un certain Arthur et un certain Myrdyn...) et les envahisseurs Saxons, dont notre groupe de voyageurs aura un aperçu.
Car une des conséquences intéressantes de cette situation à cheval entre deux mondes est de voir cheminer ensemble, par la force des choses, un groupe aussi hétéroclite que des druides et des moins chrétiens, auxquels viendront même s'associer momentanément des Pictes. Evidemment, on ne peut parler véritablement de confrérie, tant les motivations des uns et des autres sont différentes et les tensions entre eux nombreuses : pour Gwenc'hlan et son apprenti Taran, il s'agit à la fois de trouver les véritables assassins des moines pour disculper son ordre (bouc émissaire idéal) et empêcher ces mêmes mystérieux tueurs appartenant à une non moins mystérieuse secte de mettre la main sur un artefact celtique dont la destruction entraînerait du même coup celle de l'ancienne religion.
Quant aux moines, leur recherche de la vérité et surtout le fait d'avoir été les cibles sacrifiables à une cause qui leur demeure obscur, suffit amplement à expliquer leur présence.

Une série, même servie par un scénario riche et mouvementé et une documentation fournie, ne peut se passer de personnages marquants. Et là encore, on ne peut que constater avec quelle réussite les efforts conjugés de Istin et de Lamontagne ont pu faire naître des protagonistes vraiment remarquables, par leur charisme ou leur psychologie torturée, leur failles ou leurs vertus.
A commencer par le druide Gwenc'hlan, bien sûr, dont l'autorité naturelle, la sapience, la sagesse mais surtout son attachement absolu et indéfectible à la recherche de la Vérité en fait, effectivement, un digne ancêtre du Guillaume de Baskerville imaginé par Eco. Et pour rester dans les personnages au fort tempérament, on ne peut oublier la superbe autant que redoutable Dahut, princesse d'Ys, hédoniste par goût et gardienne inébranlable des anciennes traditions par foi : un personnage féminin vraiment remarquable... jusque dans ses (nombreux) excès et qui force la sympathie du lecteur car emblématique d'un monde celtique fascinant, sensuel mais agonisant, victime des ambitions hégémonistes et de l'intolérance d'une certaine partie de la chrétienneté, haineuse et prêchant pour sa part la mortification des sens.
Taran, le disciple quelque peu effacé du début, acquiert au fil des tomes une assurance et une autorité surprenante et finira par trouver sa propre voie : son évolution est également à mettre au crédit des auteurs.
Il serait trop long ici de parler des autres mais impardonnable de passer sous silence le personnage du moine Gwénolé, à l'évolution tout aussi intéressante, passant du fanatique chrétien borné à l'homme tolérant horrifié par les atrocités commises par son ordre à l'encontre de ces druides qu'il détestait pourtant.
Comme tout personnage habité par une prise de conscience radical, il est, au final, le personnage le plus attachant de la série et le plus pathétique.
Il faut aussi noter que cette réussite dans la caractérisation des protagonistes vient aussi du talent avec lequel le dessinateur parvient à rendre leurs expressions et leurs émotions, et de fait la vie qu'il parvient à leur insufler en quelques traits.
On regrettera juste cette manière trop caricatural de donner aux salauds les trognes qu'ils méritent (le cardinal Vérus est, de ce point de vue, un vrai "poème"...)

Revenons plutôt au travail graphique de Lamontagne...
J'ai déjà évoqué les couvertures des albums, qui comptent pour moi parmi les plus belles que j'ai eu l'occasion de voir dans des séries de ce genre.
Les planches ne sont pas en reste et il faut souligner combien le dessinateur se révèle aussi à l'aise dans les scènes intimistes que dans celles orientées vers l'action, les combats ou plus simplement lorsqu'il s'agit de montrer la beauté des paysages celtiques.
Dans le premier de ces registres, je retiendrai la manière dont il montre des intérieurs pourtant fort humbles (réfectoire de moines, pièce d'habitation perdue au fond d'un bois ou d'un marais) grâce à une colorisation (pourtant informatisée !) qui fait ressortir la lumière ambrée distillée par un feu dans l'âtre.
Il s'en dégage une atmosphère de sérénité, souvent trompeuse, car dans [i]Les Druides[/i], le danger est permanent et le repos bien rare.
Dans le second, les double pages, déjà à elles seules, déploient un sens du spectacle (voir par exemple la cité d'Ys dans le tome 2) qui n'empêche pas le raffinement et la poésie.
Si en bande dessinée, scénario et traitement graphique sont loin d'être toujours au diapason l'un de l'autre, c'est pourtant ce que sont parvenu à faire Istin et Lamontagne avec cette série qui se clôt par... la promesse d'un nouveau cycle que l'on espère aussi réussi et dont le premier volet paraîtra fin de ce mois.

Note : [url="http://www.servimg.com/image_preview.php?i=488&u=16913139"][img]http://i31.servimg.com/u/f31/16/91/31/39/4_515.png[/img][/url]
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[quote name='arnaud' timestamp='1350042470' post='160166']by Philéas rédacteur insomniaque :) [/quote]
Quand même pas. En fait, le texte avait déjà été rédigé la veille.
Donc... posteur insomniaque, plutôt. C'est moins fatiguant quand même. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]

[quote]mais si je ne m'abuse tu ne résumes pas l'histoire ?[/quote]
Je sais que dans la partie dites "Résumé", l'histoire n'est pas vraiment résumée mais plutôt le contexte de fond. J'avais la flemme de faire un résumé de cette longue histoire qui, en plus, aurait encore rallongé le post.
J'ai donc essayé de distiller un aperçu de l'intrigue dans les autres paragraphes, entre autres considérations.

En bref, la série commence par une enquête criminelle où un druide-enquêteur est chargé de résoudre des meurtres de moines dans un monastère sur l'île de Bréhat (son nom actuel). Tout porte à croire que les présumés meurtiers sont des druides, à cause des indices laissés sur place (notamment des oghams, signes druidiques gravés sur les pieux qui ont servi à empaler les victimes).
Evidemment, on comprend vite que ces indices ont été laissés pour en faire les boucs émissaires, à une époque où les chrétiens tentent de faire disparaître l'ordre druidique.
Ensuite, l'histoire prend une autre ampleur, comme je l'ai dit, lorsque Gwenc'hlan et son petit groupe sont obligés de quitter l'Armorique pour continuer l'enquête et se retrouve confronté à la fois aux criminels (des hommes encapuchonnés qui le suivent partout et m'ont fait un peu penser aux Nazgulls du SdA) et aux complications historico-mythologiques qui prennent de l'importance.
A partir de là, l'histoire devient une quête et une aventure qui a, entre autres, pour enjeu la recherche du Chaudron de Nagda. Je passe sur les intrigues parallèles et les tensions entre l'Eglise et les celtes : ce serait trop long.
Et puis, je ne voudrais pas trop en révéler non plus.

De toute façon, au-delà de l'histoire, la série vaut aussi (et surtout) pour tous les autres aspects dont j'ai parlé.


@Mithrandir :
Je précise que je n'ai pas lu beaucoup d'autres séries du même genre (car j'ai le même type d'appréhension à ce sujet) et je n'ai donc pas l'occasion d'établir des comparaisons avec d'autres séries ou celles de la même collection [i]Soleil Celtic[/i].
Mais je pense, en revanche, que celle-ci est de toute bonne qualité et d'une belle richesse. Pas un chef-d'oeuvre car on y retrouve aussi des passages plus banals mais néanmoins recommandable selon moi.

Et puis, autre chose, quitte à rentrer dans une polémique :
quand Pos me dit sur le fil [i]A paraître[/i][i] :[/i] "Et elle se démarque de 10235265845235 autres BD du genre ?" (commentaire qui m'a d'ailleurs incité à poster très vite ma chronique), j'ai envie de répondre :
et en quoi le tout-venant des séries d'héroïc fantasy dont on dit souvent tant de bien, qui inspirent de très bonnes notes, se démarqueraient de 10235265845235 autres BD du genre" ?
A moins d'y voir une plus grande indulgence envers ce type de séries sous prétexte qu'elles font partie d'une tradition de rôlistes ou de fan de Tolkien ?
Si un seul tome de [i]Wollodrïn [/i](série sympa mais convenue et limitée dans ses intentions) mérite, selon beaucoup, quatre étoiles et demie, je ne pense pas qu'une série comme [i]Les Druides[/i] en mérite moins.

Mais je suis ouvert au débat...
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[quote name='Phileas' timestamp='1350130745' post='160186']
Et puis, autre chose, quitte à rentrer dans une polémique :
quand Pos me dit sur le fil [i]A paraître[/i][i] :[/i] "Et elle se démarque de 10235265845235 autres BD du genre ?" (commentaire qui m'a d'ailleurs incité à poster très vite ma chronique), j'ai envie de répondre :
et en quoi le tout-venant des séries d'héroïc fantasy dont on dit souvent tant de bien, qui inspirent de très bonnes notes, se démarqueraient de 10235265845235 autres BD du genre" ?
A moins d'y voir une plus grande indulgence envers ce type de séries sous prétexte qu'elles font partie d'une tradition de rôlistes ou de fan de Tolkien ?
Si un seul tome de [i]Wollodrïn [/i](série sympa mais convenue et limitée dans ses intentions) mérite, selon beaucoup, quatre étoiles et demie, je ne pense pas qu'une série comme [i]Les Druides[/i] en mérite moins.

Mais je suis ouvert au débat...
[/quote]

Et tu ne classerais pas cette série dans l'Heroic Fantasy ? A priori ça y ressemble quand même, non ? (question naïve, sans aucun sous entendu et posée en n'ayant aucune intention de polémiquer ! ;) )
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Les Druides s'apparente plutôt au m[i]édiéval fantastique[/i].
La distinction est subtile, c'est vrai, mais il faut croire qu'il y en a une si j'en crois ce que je lis sur le Net.
Et on considère en général que la différence est celle-ci : des histoires se situant dans un monde imaginaire (comme la Terre du Milieu, Akbar, etc...) sont considérées comme faisant partie de [i]l'héroïc-fantasy[/i]. Celles se situant dans notre monde, dans notre Histoire mais avec de petites différences (comme la présence de la magie et l'incorporation d'éléments mythologiques) font partie du m[i]édieval fantastique[/i].
C'est ce que je voulais dire en distinguant Les Druides et Wollodrin.

De plus, dans [i]Les Druides[/i], la magie reste ambiguë, plus symbolique qu'effective en fait.
Exemples : le raz-de-marée qui engloutit Ys est associé à la perte de la Lance de Lug et la colère des dieux par ses habitants. Mais cela pourrait tout aussi bien être un phénomène climatique mal interprété.
De même, le statut en partie "divin" de Dahut (dont elle use pour asseoir son pouvoir) est aussi sujet à caution et les moines en doutent fort.
Et il n'est pas montré non plus que le chaudron de Nagda, censé apporter l'immortalité, a effectivement cette vertu.

Bref, dans cette série, la réalité historique se mêle aux mythes et aux légendes (comme c'était le cas à l'époque) mais rien de vraiment probant en matière de magie et de surnaturel n'est vraiment montré sans l'ombre d'un doute.
C'est aussi la grande différence avec l'héroïc-fantasy au sens strict.
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En fait par ma remarque je voulais surtout parler d'une mode qu'il y a eu des reprises des mythe celtiques divers et variés et de leurs interpretations en BD, plus ou moins réussit.

De Merlin, la série sérieuse, au champ d'excalibur,on a un nombre assez important de BD utilisant les mythes Celtics et pas toutes de bonnes factures...
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Oui, j'avais compris. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]
Et d'ailleurs, dans la première version de mon post, je commencais par cette introduction (mais je l'ai ensuite coupée car c'était trop long) :

[i]Comme pour l'héroïc-fantasy "à la tolkienne" qui d'ailleurs y puise une grande partie de son inspiration, les légendes celtiques (et nordiques) et son vaste corpus n'en finissent pas d'alimenter de nombreuses séries sorties ces dernières années, au point qu'on peut parler d'un genre en soi. Et, bien souvent, devant cette avalanche de parutions et à moins d'être un passionné de mythologie, le lecteur lambda en ressent une certaine lassitude, blasé par des histoires et des archétypes mille fois racontés et rencontrés.[/i]
[i]Du coup, ce même lecteur, certain de la prévisibilité des scénarios, reporte son attention sur le travail graphique en se disant qu'à défaut d'être emballé par une enième resucée de la sempiternelle quête du Graal ou du destin de l'inévitable Arthur, il pourra toujours satisfaire sa fibre artistique.[/i]
[i]Je partais moi aussi avec le même a priori sur Les Druides. Et pour tout dire, je ne sais pas trop ce qui a pu m'inciter à jeter un oeil sur cette série plutôt que tant d'autres, particulièrement celles qui poussent comme des bégonias sous un certain Soleil... [/i]

Mais celle-ci m'a bien plu et je l'ai trouvée de bonne qualité (on l'aura compris [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]).
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  • 2 years later...
Bon et bien je me suis mis à cette série, et c'est vrai que c'est pas mal. les dessins sont bien troussés, l'histoire aussi avec des personnages qui ne sont pas caricaturaux (je craignais une histoire stéréotypée type gentils druides poursuivis et massacrés par méchants catholiques inquisiteurs). Seul bémol, c'est que le 1er cycle est un peu délayé sur la longueur et que l'histoire aurait gagné à être un peu plus condensée.
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  • 2 weeks later...

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