poseidon2 Posté(e) le 11 juillet 2013 Share Posté(e) le 11 juillet 2013 [center][url="http://www.bdfugue.com/bosnie?ref=44"]<IMG SRC="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/250x320/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782754806992_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Clichés de bosnie [b]Scénario :[/b] Aurelien Ducoudray [b]Dessin :[/b] Francois Ravard [b]Genre :[/b] Reportage [b]Edition :[/b] Futuropolis [url="http://www.bdfugue.com/bosnie?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [b]Résumé :[/b][i]En 2004, Aurélien Ducoudray, photographe de presse dans un petit quotidien de province, décide d'accompagner un convoi humanitaire se rendant en Bosnie, en dépit du désintérêt manifeste de son rédacteur en chef. Ce livre, qui démarre sur le ton de la comédie, tant les protagonistes semblent être des « branquignols » raconte ce voyage, fait le portrait des volontaires du convoi et la découverte d'un pays encore blessé par la guerre fratricide qu'il a connu auparavant. L'ouvrage nous fera passer du rire aux larmes, car à la cocasserie de nombreuses situations s'oppose la dure réalité de ce pays dont la guerre a marqué la fin du XXe siècle. En complément du roman graphique, Aurélien Ducoudray propose les photos réalisées sur place et restées inédites, ainsi que quelques croquis pris sur place par François Ravard quelques années plus tard.[/i] La Bosnie. Pour les plus jeunes c'est un pays comme un autre. Pour les un peu moins jeunes c'est un pays qui fut en guerre lors de l’explosion des balkans dans les années 90. Pour tout le monde c'est en tout un pays redevenu normal. Et c'est ce désintérêt d'un pays détruit par la guerre que cherche à combattre Aurelien Ducoudray. Car il faut dire ce qui est : une fois qu'un pays ne fait plus la une des infos, on pense à tord que c'est parce que tout va bien (dans une certaine mesure bien sur). Aurélien Ducoudray nous fait donc vivre la claque qu'il a pris en se rendant sur place. Car c'est bien une claque. Une claque humanitaire tellement on se rend compte que les dégâts causés par la guerre sont encore la. Pas forcement les dégâts physiques qui eux se réparent. C'est surtout les dégâts économiques qui sont quasi irréversibles. Entre pauvreté et joie de vivre, Aurelien Ducoudray et Francois Ravard nous livrent, un peu comme Lepage et son Tchernobyl, un reportage sans partis pris mais avec une vraie chaleur humaine. J'ai vraiment bien aimé la discussion avec le médecin qui nous donne quand même un point de contraste sur l'aide humanitaire en général. Un reportage touchant et intéressant. Tout ce qu'on aime. Pos², Marquant [b]Ma note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.5.png[/img] Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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