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indy 4


doll
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CITATION(Esteban @ 15/02/2008 à 11:48) [snapback]103397[/snapback]
Alors là je t'arrête tout de suite, ma voisine, elle est très sympa mais elle vit en couple avec sa copine. Je prends déjà suffisement de rateau avec les célibataires hétéros pour me lancer dans des chalenges pareil.
Et puis elle m'interesse pas.





?,,,,,,,,,,,,,,?????????? blink.gif
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  • 2 months later...
  • 2 weeks later...
Bon alors, je voudrais pas casser l'ambiance mais ça sent un peu le poisson quand même.
J'avais eu des échos de Cannes ce week-end qui laissait entendre que si la salle était restée polie c'était surtout par respect pour Steven Spielberg. Mais j'ai l'impression que la presse n'a pas vraiment tardé à se déchaîner. Voilà quelques exemples de critiques plus ou moins lapidaires.

Ecran Large:
Indy revient, ça on est d'accord, tout le monde était au courant. Ce que l'on ne va pas tarder à apprendre, par contre, c'est que ce quatrième opus déçoit à plus d'un titre. Bien entendu il faut prendre en considération l'attente et l'engouement qu'aura suscité le projet même si l'on ne se mentira pas en révélant que l'on était quand même très sceptique depuis le début. Mais bon, les quelques images du tournage, les premiers teasers et l'imminence des projections cannoises aidant, il était indéniable que la pression montait et que l'on se mettait inconsciemment à espérer ... C'est que sur le papier beaucoup de choses étaient réunis pour que cet Indiana Jones n'ait pas à rougir de ses prédécesseurs. Les ingrédients et les accessoires sont en effet bien là : le chapeau et le fouet certes, mais aussi l'exotisme du continent sud-américain, qui ne fut finalement exploré que lors des toutes premières minutes du tout premier film. Les courses-poursuites dans la jungle et sur le campus du Marshall Collège où le professeur Jones enseigne. Les combats à main nue qui ont fait la légende de la franchise ou encore les séquences spectaculaires qui riment avec "climax" à répétition, mais qui ici manquent de liants, à tel point que l'on pourrait même voir le temps passer (histoire de rester diplomate). À l'écran cela donne quelques ajouts qui s'inscrivent telle une variation sciemment voulue du premier opus justement, qui est très clairement le modèle avoué de ce « crâne de cristal ». De bad guy par exemple nous avons droit à une "bad girl" (Cate Blanchet, malheureusement pas du tout crédible), sorte de Raspoutine femelle issue du premier cercle Stalinien. C'est d'ailleurs le moment de préciser que nous sommes en 1957, que la guerre froide bat son plein et que le professeur Jones se découvre un fils (Shia LaBeouf aussi expressif qu'un crâne de cristal...) qui fait un peu de figuration en attendant sa propre quadrilogie. Le pire dans tout cela est l'indigence du scénario donnant un premier et surtout un dernier quart d'heure à la bouffonnerie digne d'un des plus mauvais épisodes d'X-files. Le plus dommageable au final c'est que le père Ford s'en sort plutôt bien du haut de ses sept décennies. Dire qu'il reste crédible serait même réducteur et insultant. Le bonhomme est en terrain connu et il traine sa panoplie avec un bonheur qui se voit, mais qui ne malheureusement ne s'entend pas. La faute à des dialogues consternants et indignes d'un personnage somme toute devenu mythique. Reste la musique de Williams qui une fois le générique du début lancé picote de bonheur dans le bas du dos et finit par remonter et bouleverser le bulbe rachidien. Que l'on aurait aimé que le reste suive ! (Sandy Gillet)

DvdRama:
Indiana Jones est de retour... Le résultat est-il à la hauteur des attentes ? Indy porte t-il toujours aussi bien le chapeau ? Shia Labeouf est il le nouveau Jones ? Spielberg a-t-il réussi son tour de force tant attendu ? Que de questions... Près de 20 ans après le dernier épisode, Steven Spielberg et toute sa clique reviennent pour un épisode honnête et franchement divertissant qui devrait certainement ravir les fans. Un plaisir qui ne parvient pas toujours à couvrir ce profond sentiment de déception, croissant tout au long du métrage et qui ne sauve pas complètement cet Indy un peu vieillissant. Rien de bien grave, il s'agit là d'une impression certainement inévitable que de nombreux spectateurs devraient connaître à la sortie de la séance. Car il faut l'avouer, le contrat est rempli mais on aurait apprécié quelques closes discrètes ajoutant du piquant au métrage. Dommage ... (Kevin Dutot)

MCinéma.com:
Souvent, les fortes attentes n’engendrent que d’amères déceptions, purement subjectives. Dans le cas d’Indiana Jones et Le Royaume du Crâne de Cristal, le constat est plus cruel car objectif : ce n’est pas l’usure du temps qui brise nos illusions, mais bien la piètre qualité du film. Pourtant, tout avait bien commencé, avec un premier quart d’heure enthousiasmant : élan, souffle, mise en scène, tout y est ! Même Harrison Ford, que l’on craignait trop rabougri, reste un Indy convaincant. Quant à Cate Blanchett, elle s’éclate en méchante. Puis, tout s’effondre… Dès lors, impossible de reconnaître la patte de Steven Spielberg, roi du divertissement classieux et efficace. L’humour, l’une des qualités des trois premiers films, est particulièrement bas de plafond. Le rythme ? Calamiteux. Les péripéties s’enchaînent sans aucun liant, si bien que le spectateur semble suivre le rail pré programmé d’une mauvaise attraction de fête foraine. Là où l’histoire des précédents opus enthousiasmait par sa solidité, son inventivité et sa malice, celle du Royaume du Crâne de Cristal ennuie par son manque d’intérêt. Après avoir réinventé le "serial d’aventures" des années 30 dans les trois premiers films, George Lucas voulait rendre hommage aux séries B de science-fiction des "fifties". Chouette idée sur le papier, qui s’avère proche du ridicule sur l’écran. Indiana Jones y perd son identité, comme jeté dans un univers qui n’est pas le sien. Le mystère entourant le « Crâne de Cristal » ne parvient jamais à fasciner autant que celui du St Graal dans La Dernière Croisade ou de l’Arche d’Alliance dans L'Arche Perdu, tout simplement parce qu’il n’a rien d’original et aurait pu être au centre de n’importe quel film de science-fiction réalisé ces trente dernières années. La liste des défauts ne s’arrête malheureusement pas là : le rôle narratif du personnage de Shia LaBeouf se limite à celui de rampe de lancement d’une nouvelle franchise, le prétendu effet rétro des médiocres effets spéciaux ne cache qu’une laideur numérique, les références aux premiers épisodes se révèlent sans saveur voire honteuses (un acteur n’a pas voulu revenir ? on annonce la mort de son personnage)… N’en jetons plus : avec ce plantage total, c’est bien un mythe qui s’effondre. Une saga mythique se retrouve sacrifiée sur l’autel du dieu dollar. Impardonnable. (Aurélien Allin)

Le Parisien:
Cette histoire de course-poursuite au Pérou sur la piste du crâne de cristal d'Akator, grâce auquel on peut s'assurer le contrôle de l'univers, génère plus d'ennui que de plaisir. Effet d'usure? (Pierre Vavasseur)

Pour être totalement objectif je rajoute la très bonne critique de Libération:
Autant le dire d’entrée : Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal ne nous a pas déçus. A ceux chez qui le film suscite cette attente très particulière que la saga de Spielberg (à la mise en scène) et Lucas (inventeur du personnage et producteur) a su nourrir depuis sa création il y a vingt-cinq ans, on peut affirmer que le contrat est rempli. Certes, on pouvait espérer que ce volume IV des aventures de l’archéologue baroudeur nous entraîne au-delà des conventions que ses créateurs ont eux-mêmes inventées. C’est sans doute demander l’impossible à Spielberg, dont le surmoi artiste ne prend jamais le risque de supplanter la raison du box-office  : il tient ses promesses, et ce n’est déjà pas si mal. Le ride frénétique et généreux fonctionne à plein tube  : le luxe de la reconstitution fifties et l’excellence des techniques se conjuguent dans ce cinéma de milliardaires sans complexe auquel le binôme Spielberg­-Lucas nous a accoutumés. Flanqué d’un gommeux en ­Harley-Davidson (Shia LaBeouf, sorte de Fonzie à dégrossir), le flegmatique mais balèze Indiana (Harrison Ford en papy fort résistant) part en quête d’un nouvel artefact magique en Amérique du Sud. Tel est le prétexte de cet épisode qui ne propose au fond que de faire un tour insouciant à bord des nouvelles attractions du « theme park » Indiana Jones. Comme d’habitude, l’histoire se conclura par le dévoilement de vérités extraordinaires et de trésors mirobolants, qui finiront aussitôt et à jamais engloutis ... Accessoirement, mais significativement, il y a à l’œuvre derrière cet Indiana Jones IV, une leçon de cinéma administrée par Spielberg à ses pairs hollywoodiens. Il fait la preuve qu’un certain film d’action à la papa peut encore en remontrer aux réalisations devenues pratiquement virtuelles, dont le cinéma à grand spectacle et images de synthèse à fait sa norme. Les scènes d’action, par exemple la longue et canonique scène de poursuite en véhicules blindés à travers la jungle amazonienne, sont à cet égard éloquentes  : filmées au maximum dans la durée, avec juste ce qu’il faut de montage dynamique et en s’en remettant d’abord à des dispositifs de mise en scène. « Sinon, quand on trafique trop, ça me donne un sentiment de triche », confiait dernièrement le cinéaste au New York Times. Dans cette perspective, le Royaume du crâne de cristal peut être vu comme une révérence un poil nostalgique à un genre en péril, le baroud dont l’honore un cinéaste certes en pleine forme mais sexagénaire et dont on ne voit pas bien encore quels sont les héritiers. Les premiers Indiana revisitaient le film d’aventure classique, entre le Tombeau hindou et Gunga Din. Celui-ci revisite les premiers Indiana  : malgré son inépuisable bonne humeur, c’est là le signe d’une certaine mélancolie. (Olivier Séguret)

A noter que les critiques U.S. sont assez divisées Aint'il Cool a vraiment apprécié le film, Chud beaucoup moins. Critiques positive de Iesb, OC Register. Critiques négatives de Moviehole, Associated Press.

Y'a plus qu'à se faire sa propre idée cool.gif
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Moi je me fait pas forcement d'illusion se serait fou. Je pense plutot que c'es la nostalgie de quand j'étais petit qui me pousse a y aller. La musique aussi et l'ambiance indy.

De toute façon depuis cette suprême déception qu'était Star wars 1, je ne me fais pas d'illusion sur les "retour" de vieux film. Mais pour l'ambiance, pour les replique, j'irais et avec les 3 freres et ma moman wink.gif
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je reprendrais un avis simple


le critique du parisien est le même qui ai mis 0 étoiles à transformers.


donc à partir de là je ferais ma propre opinion parce mettre 0 étoile à transformers ce n'est pas trés juste.


d'ou je suis certain que l'on va passer un trés bon moment comme il se doit, du divertissement haut de gamme!
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J'ai vu un bout de bande annonces, ca s'annonce visuellement tres chargé il me semble. Pour le reste j'ai le sentiment qu'on va aller vers un film a la Die Hard 4 (c'est à dire avec un fils ici, et un héros vieillissant). Bref, autant le 1er star wars (le neuf) était quand meme une bonne suprise et les 2 autres super moyens (surtout a cause du charisme d'huitre d'un certain soit disant dark vador), autant la j'ai peur qu'on nous ressorte un film d'un autre age qui ne sera pas déplaisant mais ne sera pas la tuerie que tout le monde attend. Il remplira son cahier des charges, c'est tout.
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Je viens tout juste de revisionner Indiana Jones Et La Dernière Croisade (je ne devais pas l'avoir revu depuis une dizaine d'années au moins) et ben franchement rien à dire, c'est de la vraie bonne came. Les Aventuriers de l'Arche Perdu en mieux, donc mon préféré de la série. Quoique la musique de John Williams soit un peu spéciale à certains moments.
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J'ai remis le dvd de l'arche perdue hier, (je crois que je les avais encore jamais vu en VO d'ailleurs). Je l'ai pas fini car j'étais explosé, mais c'est du bon. J'étais pas sur pour la musique, mais il y a un gros air de famille avec star wars je trouvais. Tout s'explique. biggrin.gif
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Bon ben, je l'ai vu à la première séance de ce matin (9h50 fallait pas rater son réveil).
A chaud un super film, avec des acteurs qui prennent leur pied et un réal qui nous régale.
Alors Le Royaume du Crâne de Cristal n'est évidemment pas particulièrement novateur (encore que la résolution de l'intrigue/mystère offre une originalité certaine), pâtit d'un scénario prévisible et alambiqué, voir même parfois très incohérent mais le truc c'est qu'on en a un peu rien à foutre.

C'est drôle, classique, spectaculaire, souvent diablement beau et suffisamment référencé pour foutre la trique à n'importe quel fan d'indy.
Et pourvu qu'on attende pas un traité de physique quantique ou une thèse sur "la part du religieux dans les civilisations pré-colombiennes mésoaméricaines du XI ém siécle A.V JC au XVI èm siècle" et bien ce film rythmé et spectaculaire satisfera aussi le spectateur lambda.

Je comprends d'autant moins la sévérité des critiques assez injustifiées à mon sens.

PS: Je trouve le score de John Williams très réussi cette fois. wink.gif
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JKKS blink.gif blink.gif blink.gif blink.gif je te comprends pas là


alors alors réaction à chaud....: oh mon dieu mais qu'ont ils fait...? indiana jones et le mal de crane de cristal!..(réaction du fan ayant été berçé par les 3 premiers....)



réaction du critique : film trés trés moyen.


alors je ne sais vraiment pas par quel bout commencer : si je flingue tout de suite ou si j'essaye d'être modéré....


j'ai vraiment du mal à croire ce que j'ai vu ce soir. Est ce mon côté scénariste qui crie au scandale? ou est ce mon regard de spectateur ? je ne sais vraiment du quel me vient ce sentiment de frustration mais ce film est de loin le plus mauvais des indiana jones, le plus mal pensé, le plus "indy-geste".

scènes baclées, action action action et encore action....aucun suspense, de l'humour à tout bout de champs jusqu'au pathétisme et la fin...oh mon dieu la fin....


mais ce qui m'a vraiment le plus choqué : le scénario......incohérant au possible, sans intérêt, improbable, incompréhensible, totalement débridé enfin..tellement de superlatif qu'il vaut mieux arrêter...

les acteurs: papy jones s'en sort honorablement, le reste oscille entre le moyen...et le catastrophique.


il m'est vraiment trés dur de tout expliquer tant j'ai de choses et encore de choses à redire sur ce film qui et bien m'a profondément énormément déçu.


et je le suis d'autant plus qu'avec un mythe comme indy on a pas le droit à l'erreur. l'erreur de vouloir faire de la surenchère, l'erreur de se vendre à la machine commercial, l'erreur de faire dans l'ultra facilité...l'erreur de suivre un homme...


GEORGE LUCAS

cet homme a réussi à lui seul à détruire tout ce qu'il avait fait.. starwars et maintenant indy


alors mr lucas par pitié stop....un film ce n'est pas que des dollars...

mr lucas un indiana jones c'est un film D'AVENTURE...pas d'action. Un film a suspens et non pas une succession de scènes bêtement montées.


voilà trés trés déçu...( et pourtant je suis bon public...)


le point positif : c'est beau...

voilà sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif sad.gif
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ben en gros pareil dry.gif

disons que c'est bien ça fera un chouette jeu vidéo pour les gamins... parce que niveau scènes d'actions ben y'a que ça... à croire qu'ils ont pensé la prochaine attraction disney...

donc moi aussi très déçue par ce film, il y avait tellement mieux à proposer, et puis trop d'incohérences scénaristiques...

mais où est passé l'esprit d'aventure ? allez j'ose le dire même benjamin gates (le indy du pauvre tongue.gif ) est mieux ficelé énigmatiquement parlant...

alors ok on a compris qu'ils avaient un super budget, oui c'est beaux les décors et oui harisson est encore capable de sautiller... mais rien d'autre au final

sad.gif
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