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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 17/01/2021 dans Enregistrements

  1. La série des adaptations des aventures de Conan le cimmérien se pousuivent avec Le dieu dans le sarcophage. Doug Headline se charge de l'adaptation en scénario avec beaucoup d'originalité dans la méthode de narration. A tour de rôle, l'auteur nous donne le point de vue de chaque protagoniste présent pour résoudre le meurte commis. Par ce biais, on découvre les pensées de Conan mais aussi des gardes alors que les tensions montent. L'histoire se déroule comme dans une enquête d'Agatha Christie. Plusieurs personnes peuvent être coupable du meurtre et le chef de garde doit résoudre le mystère, avec une partie fantastique en plus. Emmanuel Civiello nous livre sa vision du cimmérien avec beaucoup de maitrise pour mettre en image cet univers. Il est amusant de voir comment différens auteurs dessine Conan au fil des albums déjà disponibles. Civiello offre en plus des illustrations en fin d'album en plus de celles d'autres auteurs de bande dessinée comme pour les tomes précédents. Le dieu dans le sarcophage est une très bonne surprise avec cette histoire plus abutie et dessins de qualité.
    1 point
  2. Je vais avoir du mal à être objectif sur cette BD tant elle fait écho à mon vécu récent. Mais je n'ai pas de gros doute sur le fait qu'elle est plutôt réussie. Le dessin d'abord, pudique et transmettant bien les émotions, il colle bien au propos. Ce n'est pas pour autant particulièrement remarquable tant ce style a été déjà vu et revu. Mais c'est bien réalisé et cela souligne avec justesse les scènes touchantes qui parsèment cette oeuvre sur le sujet difficile de la fin de vie et du grand âge. L'histoire elle est bien, bien amenée, et plutôt bien conclue. Toutefois, si elle ne présente pas une dramaturgie particulièrement puissante, elle mélange avec habileté mélancolie, tristesse et joies. Quelques passages sur d'autres sujets m'ont laissé un peu perplexe tant je les ai trouvé déconnecté du sujet principal, mais c'est probablement une question de sensibilité. Au final "Ne m'oublie pas" est une oeuvre touchante et attachante, probablement réservée aux personnes ayant déjà été confrontés à la fin de vie et à Alzheimer et ses dérivés.
    1 point
  3. Il y a des BDs difficiles. Certaines difficiles par leirs réalisations et d'autres, comme celle ci, difficiles par leur thème comme celle ci qui nous projette vers ce que l'on cherche tous à éloigner : la vieillesse et la fin de vie. Et cette répulsion, viscéralement ancrée en chacun de nous, nous fait en oublier que nos anciens, qui sont eux déjà vieux, ont besoin de notre soutient et sont des personnes qui méritent de continuer à vivre comme tout un chacun. Ce qui est dure dans cette BD c'est qu'elle nous montre ce plongeon, ou cette chute, et ce depuis le début. Début qui vient souvent des enfants et petits enfants qui juge que "cela sera mieux pour mamie de ne plus être toute seule". SI ce jugement théorique est vrai dans 80% des cas, il est souvent prit sans tenir compte de ce que peut representer de refaire sa vie à plus de 75 ans. une vie deja remplie de souvenir que l'on a pas envie d'oublier. Ce que Severine Vidal fait superbement bien dans ce "Plongeon" c'est qu'elle ne cherche pas à cacher les moments de profondes tristesses mais elle ne cherche pas non plus nous apitoyer outre mesure. Et cela reussit car on s'imagine bien qu'Yvonne pourrait etre notre grande mère.... ou qu'elle pourrait etre nous dans pas si longtemps que cela... et c'est cette realité de la vie en Ephad et la vraisemblance du changement de la vie solitaire à la vie à plusieurs qui rend cette BD difficile. Car on ne peut s'empecher de se dire que c'est ce qui nous arrivera un jour.... Mais cela nous met aussi une piqure de rappel et, même si nous avons des vies de bordées de choses d'importances discutables, nous encourage à prendre le temps qu'il faut pour pour profiter de nos anciens tant qu'il est encore temps.
    1 point
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