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Monfreid...

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Tout ce qui a été posté par Monfreid...

  1. Monfreid...

    Necrolympia

    vi la couv' est superbe,marrant l'impact de l'humour noir mais je ne l'ais pas vu non plus :?
  2. CITATION(anne)ai feuilleté :dessins pour le climat...bof bof : tu voulais des histoires longues bof; tu ne trouves pas ça "bien" au vu du sujet bof; tu n'aimes pas les auteurs : bof : tu trouves ça facile bof : tu trouves ça cher bof : tu trouves que c'est du déjà vu bof : tu voulais plus de dessin bof : les auteurs choisis bof : ça n'apporte rien de plus au sujet bof : la présentation bof : l'alternance des dessins entre eux bof : les textes bof : les couleurs bof : le papier recyclé bof : il neigé tu as loupé ton train ça ne te disait pas de lire ça bof: tu t'attendais à un truc super génial de la mort et c'est juste des dessins bof : tu voulais acheter une bd, tu ne trouvais rien, tu as pris ça comme ça pour voir et tu n'as pas eu envie de prendre celle ci bof : il y avait du monde dans la magasin, trop de chauffage...pas le moment idéal pour le compulser bof: il faisait gris tu n'étais pas d'humeur bof : un peu tout ça, un truc diffus qui fais que tu l'as reposé sans avoir envie de le reprendre :?: :wink:
  3. Monfreid...

    Dien Bien Phu

    merci de l'info (le cachotier il à "oublié" de me le dire) il est aussi en expo (dédicace je en sais pas) à charles villes mézières durant le mois de mars, je vais tâcher de vous scanner l'affiche :wink:
  4. Monfreid...

    Alias

    je rejoint tout à fait brodie (on remarquera aussi que je n'en ais pas trop fait sur la mise en abime de l'auteur dans ma chronique...pour une fois ) d'autant plus, que bendis se sert habilement de ce procédé, en jouant très bien sur plusieurs registres... le lecteur en prend vraiment plein les mirettes et ce sur quelques pages c'est dense et bien fait et surtout ce n'est pas lourd ou trop long, ça ne pollue pas l'histoire au contraire car [SPOILER] l'idée de dire la personne qui à l'origine de jessica, de son état dans le premier tome c'est l'homme pourpre, mais c'est aussi l'auteur et donc de faire intervenir les deux dans une même entité...c'est très fort ! [/SPOILER] la remarque de brodie, concernant les limites narratives inhérentes à son pouvoir par le "méchant" est aussi très bien vue! ce qui est fort, c'est qu'en prime ça ne gâche en rien le plaisir... quand au dessinateur, j'ai repris les tomes marvel intégrale de spiderman pour "comparer" le graphisme, il est vraiment fort... franchement c'est un exercice pas évident du tout. (on dirait terry moore avec xena la guerrière ou la partie super héros au début de l'un des tomes!) sur le fait que les auteurs ne sont que les narrateurs. c'est une remarque souvent faites par les auteurs...et je pense que c'est vrai...au bout d'un moment. Tiens pour prendre un exemple perso, pas plus tard qu'hier je fais part d'une idée au dessinateur avec lequel je travaille en ce moment, il me dit qu'il à eu la même! ce n'est pas du à une symbiose entre nous qui atteint la perfection... mais bel et bien à la marque du personnage, qui finit par nous amener dans sa propre direction... dans les séries on perçoit souvent cela entre le tiraillement du perso qui "en veut plus" et celui de l'auteut qui estime que c'est finit... cela donne parfois des séries trop denses, trop courtes, ou au contraire qui n'en finissent pas de finir là alias : c'est parfait 8)
  5. Monfreid...

    Koblenz

    je ne connaissais pas non plus et bien après lecture de ton avis... ça m'a donné fort envie 8) et puis je suis vraiment "dans l'histoire" en ce moment je vais aller voir si je trouve les premiers tomes (pas avant lundi donc, faut que je me le note...) merci... bien à toi Monfreid...
  6. Monfreid...

    Sir Arthur Benton

    alors... laissez le ton au monfreid t'arriver déjà, enfin surtout zéas, même pas j'ai lu son avis que déjà il m'assaille (mara...celui qui comprend cette vanne à tout mon respect) de question... sinon vi c'est une injonction...je trouve que vu l'époque entre commémoration et "politique étrangère" pire que dans les plus mauvais romans de gare (je n'ais rien contre les romans de gare en même temps). c'est un album très très bien et puis le "cahier" en plus est vraiment très très bien. alors, concernant le trait. disons que comme je disais (en gros et rapidement) la représentation historique est souvent chronologique... dès que l'on touche à l'histoire il faut être "sérieux" et c'est assez logique de là vient la crédibilité. ainsi nous avons souvent deux tendances. la tendance super réaliste, qui cherche à faire de l'exacte...et là kant serait ravi...(sisi kant, dans critique dela faculté de jugé si je me souviens bien) puisque l'on s'y croirait, c'est frappant...ce "procédé" sied donc aux époques assez éloignés de nous, ça donne un patte "documentaire" bien sympa. on le retrouve ausis dans des travaux genre XIII qui se donnent une couche de crédible en adoptant cette technique. ici ce n'est pas vraiment ça, en tout cas au niveau des persos...et de l'approche des couleurs. pourtant le contexte matériel (voiture, immeuble, rues) est traités avec force détails...on s'y croirait. donc ce n'est pas tout à fait éloigné non plus. l'autre tendance, souvent elle va de paire avec les époques plus proches de nous car plus vivaces dans nos mémoires et plus dur à effacer et à négliger moralement, c'est la crédibilité "émotionnelles", par exemple "mauss". le dessin n'est pas réaliste (des petites souris, des chats tout ça tout ça) et pourtant ça marche parfaitement. un autre exemple, mais bon beaucoup plus complexe en fait alors on ne le prend pas au pied de la lettre, tardi dans adèle blanc sec (ou même dans ces trucs sur les tranchés) il rend un paris début du siècle rès "réaliste" au niveau des impressions...mais le dessin n'est pas très "pointilleux" (enfin au premier regard je veux dire parce qu'en fait...mais bon passon j'ai déjà dit que l'exemple avait ses limites). mais rosy (rozy ...j'ai oublié) à du épurer son trait lorsqu'il mis en scène les camps de concentration. et là, au niveau des "visages" benton s'en rapporche, c'est effectivement plus bordélique, plus chaotique, plus diffus...le dessinateur cherche à rendre plus les émotions, le ressenti, l'atmosphère qui se reflète et joue sur les visages: (dans le jeu des couleurs surtout !!!!) je pense donc que le dessin navigue bien entre ces deux tendances... qu'il donne une ambiance, un univers historique super crédible, sans pour autant se figer dans l'illustratif et qu'il en rend la vitalité en ne le "dessinant" pas à l'exact (moins content kant plus ravi platon ) ça c'est pour le dessin. pour la ponctuation...ça ne m'a pas géné. par contre, les dialogues, ce n'est pas faux. notamment sur une phrase de la fille qui m'a fait m'arrêter... je vais relire le tout et revenir en causer bien à vous, Monfreid...
  7. CITATION(lapingue)Soupe Froide de Masson : extrêment bien et ça m'a fait beaucoup réfléchir!  :| je peux te dire qu'en plus de me faire plaisir à moi, ce sont on se fout en fait, tu fais plaisir à l'auteur ! qui voulait faire une carthasis aussi, mais touché le lecteur l'inciter à se poser des questions sur ses propres sentiments et comportements (je n'affabule pas là, j'ai une source sûre : l'auteur). donc 8)
  8. Monfreid...

    Soupe Froide

    CITATION(lapingue)Juste une petite question à Monfreid qui écrit: CITATION...C'est l'histoire d'un vieux monsieur, plutôt brillant et lucide... Pourquoi tu utilises ces deux adjectifs? :| C'est vrai que je vais chercher la petite bête là... :roll: :wink: bon déjà, il faut toujours remonter un topic pour donner son avis :wink: ensuite... 1.5 ans après la chronique :shock: :roll: (enfin pas loin) et en attente du prochain masson. je pense que j'ai utilisé ses deux termes parce qu'il à brillament échappé à ses gardiens... :wink: (et je ne blague pas) et lucide parce qu'il va à sa mort, il sait où il se dirige, c'est aussi l'incarnation de la conscience d'un monde qui s'éteint, d'une flamme qui vacille...le chagrin, la misère, la douleur etc ont toujours été pour moi lié à la lucidité. voilà, j'espère que j'ai répondu à ta question bien à toi et merci de ton avis, Monfreid...
  9. Monfreid...

    Necrolympia

    il va falloir que j'aille voir ça moi tu me donnes envie ça me fait penser à vaudou doo wap et à une autre histoire de zombies aux humanos... les goules ont le vent en poupe j'essaie de feuilleter (au moins) et je reviens :wink:
  10. CITATION(Rand)il n'est pas ridicule au contraire de Daredevil par exemple. je m'insurge daredevil est un très grand film... nan j'déconne
  11. CITATION(Rand en grande forme)Oh Gambit je t'aime tellement mais je ne peux pas te toucher.... Un peu d'imagination que diable!!!) et hop...sans les mains
  12. Monfreid...

    I.n.r.i.

    CITATION(nickel)"et si Jésus n'était pas mort sur la croix ?". mais à à la bannière ? désolé... :arrow:
  13. Monfreid...

    Bienvenue sur le forum !

    bienvenue à toi :wink: j'espère que tu vas bien t'amuser.. sinon pendant que j'suis...si tu pouvais réduire les dimensions de ton avatar, ça serait une bonne chose à te lire ...
  14. Monfreid...

    I.n.r.i.

    moi je suis plutôt content je trouve ça mieux amené que le code de leonard par exemple, je suis bien plus dans l'ambiance et curieux de voir ce que ça va donner :wink:
  15. Monfreid...

    IRS

    perso, c'est définitivement le genre de truc auquel je n'accroche pas. le dessin est sympa (il faut le faire!) le scénario bien ficelé les dialogues efficace l'histoire sans casser des briques en vaut bien d'autres. mais non décidement rien ne se passe... je trouve ça trop dans un crénau, trop pour un type de lecteur et de lecture... reste quand même une bonne série dans le genre :wink:
  16. CITATION(Mr froissard)je vais suivre tes conseils monfreid.   Incognito sera en top priorité sur ma shopping list :!: en même temps si j'ai vraiment apprécié cet album... je n'ais pas voté pour lui moi
  17. ben moi je n'ais rien contre le principe... m'enfin... et d'une je trouve certains raccourcis facile (et hop les réalisateurs ont une large palette pour "montrer" leur film...déjà ça me fait marrer...parce que la palette n'est pas si grande et en plus de moins en moins de réal ont leur mot à dire dans ce genre de chose) ensuite... la présentation du "reste du monde " de la bd comme "uniforme" (en gros) qui en bouge pas, avec tout partout le même format, je trouve ça un peu vite fait et vite dit disons, quand ça préjugé de la qualité des albums ou du concept la manière de le "vendre" ne me plait pas trop. il ne me semble pas qu'un bon peintre se reconnait à la dimension de ses toîles, ou qu'un écrivain ayant décider d'écrire dans un format carré écrive de meilleurs romans. le glissement entre la forme et le fond... me parait bien légerement amené ce qui est dommage... reste effectivement que j'ai lu leDracula et qu'il est très bien bien à vous, Monfreid...
  18. Monfreid...

    Alias

    Alias tome 5 : pourpre par Bendis et Gaydos aux éditions Marvel Résumé : Découvrez pour la première fois tous les secrets de cette ancienne super-héroine, comment elle a hérité de ses pouvoirs et rejoint le panthéon des êtres surhumains, et l'événement qui a fait basculer sa vie. Peter Parker, Jean Grey, et les Vengeurs partagent avec elle l'affiche avis : succint au vu de la densité du tome et de la série! Faisons simple : on touche au génie ! Dernier tome de l'une des meilleures séries comics de ces dernières années…dernier tome de la meilleure série comic de ces dernières années. Une série géniale de bout en bout, distillant inventivité et cohérence là où il faut quand il faut. Le dernier tome est toujours celui que l'on attend et que l'on craint le plus, la pose de la dernière carte celle qui sacralise la pièce montée ou qui fait tout s'écrouler. Là non seulement l'exercice est réussi, mais en plus on se rend compte qu'il s'agit d'une véritable tour d'ivoire, un monument que l'on pourra relire à loisir sans que jamais on ne puisse en faire le tour où s'y ennuyer. Il va être particulièrement difficile de faire le tour d'horizon de cet album sans en dévoiler l'intrigue et les multiples rebondissements. Après quelques aventures "extérieures", mais pas pour autant vierge de révélations bien au contraire, nous replongeons ici dans le vif du sujet à savoir le passé de Jessica. Il est intéressant de noter l'inversion qui à lieu ici, en effet là où la plupart des comics commence par l'explication (plus ou moins crédible) du pourquoi et du comment une personne à obtenu ses supers pouvoirs et/ou ses origines, ici il nous à fallut patienter jusqu'au dernier volume. Une inversion d'autant plus forte, puisqu'elle s'opère aussi graphiquement et temporellement. Chronologiquement c'est assez logique d'user d'un (et plusieurs) flash back pour expliciter le pourquoi du comment, mais penser à reprendre le style de l'époque, c'est extrêmement ingénieux, si le lecteur néophyte ne trouvera trop rien à dire (sans déplaisir pour autant) l'amateur de comics y trouvera largement son compte avec pléthore de référence savamment disséminées par un scénariste en état de grâce. Quand on s'aperçoit que le dessinateur tient le choc, qu'il rend ) merveille les époques traversés, dosant admirablement la pastiche et le savoir faire, le premier et le second degré passant de l'un à l'autre en une seule case. On commence à avoir une idée de potentiel de cet album. On parle souvent d'entente entre deux auteurs, mais là on peut vraiment parler de symbiose. Non seulement il y a une complicité évidente, une écoute, mais aussi une compréhension et le tout toujours au service de l'histoire. Une histoire pas facile, si les premiers épisodes donnés déjà dans le romantisme, dans le frisson qui vous parcours l'échine, celui-ci bât des records. C'est bien simple, rien ne sera épargné à Jessica. J'en vois déjà qui prennent peur voyant débarquer le spectre d'un spider man replié sur ses pauvres sentiment de pauvres super héros, mais Alias ne tombe jamais dans le misérabilisme. Le malheur étant la chose du monde la mieux partagé, les souffrances qui sont les siennes deviennent les nôtres par un jeu habile de miroir. Une galerie des glaces que Bendis à pris le soin d'installer au fur et à mesure, au fil des épisodes. Parler d'emblée de la crise de son enfance, de son adolescence, de "pourpre" aurait été une erreur, rien n'aurait été possible l'identification des 60 's à définitivement foutu le camp. Et si comme le dit le méchant de l'histoire, il faut en faire beaucoup pour rametter les super héros, on peut parier que c'est encore pire pour fidéliser le lecteur dans le monde impitoyable du comics. L'ancrage dans le quotidien poisseux d'une femme au passé trouble et à l'avenir pas guilleret mais au caractère de chiotte, ça nous renvoie la vision contemporaine d'un pays en plein mal être, cherchant des solutions dans la radicalité. Et comme Jessica (enfin on suppose) on a envie de se laisser aller à la paranoia facile, de coller des beignes à des vengeurs bien propre sur eux. Le récit de ses malheurs, n'est plus la petit glace (sans tain) dans laquelle le lecteur se mire fébrilement, c'est bien la psyché de toute une nation, de toute une génération qui à la gerbe. Pour en revenir à la symbiose entre les auteurs qui amène cette liberté de ton (pas de "scène où tout le monde rigole" puis "scène où l'on pleure puis l'on découvre l'horrible vérité" ) dans le climat particulier qu'est celui de Jessica, dans cet automne crépusculaire aux allures d'apocalypse, il faut bien comprendre que certaines scènes ne sont pas aussi "lisibles" qu'on pourrait le croire. Il y a plusieurs niveaux de lectures, plusieurs niveaux de sentiments [SPOILER] Jessica qui se prend un peignée par un nombre incroyable de super héros c'est la tristesse de cette femme qui n'agit pas par sa propre volonté, mais c'est aussi l'ironie d'une telle situation, une ironie douloureuse certes qui à pourtant le mérite de recadré les supers héros dans leur monde et leur lois, sans compter le côté cathartique du truc.etc. [/SPOILER] Encore une fois Jessica parvient à nous toucher parce qu'elle lutte, contrairement à beaucoup de héros elle ne lutte pas contre les méchants mais avant tout pour survivre, pour que les jours s'égrainent les uns après les autres, tant bien que mal. Bendis réussie l'exploit d'être parfois acrimonieux, souvent cynique, lucide et très souvent nihiliste; sans que jamais l'espoir ne disparaisse. Ici, seule la misère est crédible…la misère et cette femme improbable, ce destin que l'on croise chaque matin. Le haut le cœur, le dégoût du monde peut aussi engendrer l'espoir. Une série splendide, à lire et à relire de toute urgence ! Bonne lecture Monfreid…
  19. CITATION(Alucard)je sais pas mais il y a un quelque chose qui me gene. là effectivement je ne peux pas t'aider mais merci d'avoir donné ton avis
  20. ça va faire plaisir à dufaux (le scénariste) de savoir qu'il dessine bien ok ok c'est facile :wink: je comprends bien ton point de vue mon cher alucard. mais connaissant dufaux, on peut dire qu'il en fait pas ça pour en "rajouter une couche" mais parce qu'il à envie de revenir sur son univers et d'y revenir différement. avec une autre représentation... je te conseille, d'attendre le tome 2 (qui je l'espère sera aussi bon) l'histoire devrait avoir plus de densité... ce qui te permettra peut être de te détacher d'une vision "comparative" entre les deux sagas..(vision nécessaire bien entendu, mais qui peut parfois être "alourdissante") bien à toi Monfreid...
  21. Monfreid...

    Je suis Légion

    que le dessin ne soit "vraiment pas beau"..bon je veux bien, je ne suis pas fan non plus...m'enfin il me semble qu'il sied bien au scénario, du moins il donne une certaine ambiance. par contre pour le côté "répétition" de certaines images... on peut aussi voir ça comme un "zoom" au sens cinématographique du terme souvent ce procédé suppose que le dessinateur redessine le visage en gros plan... or ce changement suppose qu'il s'est passé un temps... un temps étrange qui n'est pas mesurable (contrairement au cinéma) qui est quelque part entre notre temps de lecture, les dialogues, le dessin... ici, on peut voir ça comme une tentative d'abolir le temps au niveau graphique d'en faire autre chose... e tout cas ça peut être intéressant, une tentative en dehors de la répétition d'un trondheim...qui elle se pose sur la longueur et la continuité ou alors, c'est juste une case rajouté là parce qu'il fallait un "ancrenage" de plus à la machine... et que du coup, comme ça s'est vu au dernier moment... ils ont ajoutés...un "copier coller" plus serré
  22. je pense surtout... que le "nombre" de tait (c'est récurrent chez toi aujourd'hui )dans les premiers tomes est du à un manque de confiance à une volonté d'illustrer, de surenchérir... c'est souvent le cas dans les premiers tomes d'une série. par la suite, le dessinateur prend véritablemet possession de son univers, il peut en jouer plus librement et se sépare de son besoin de "rendre compte" surtout qu'il à déjà pas mal aiguillé le lecteur pour que ce dernier ne soit pas perdu... je pense qu'il peut se permettre d'épurer, du moins d'alléger "son propos" enfin ici, c'est comme ça que je le perçois bien à toi Monfreid...
  23. alors : il n'y a pas de sujet spécifique puisqu'il s'agit de la suite de la première série. :wink: ensuite sur le dessin, je comprends bien que cela puisse moins plaire que celui de rosinsky...qui est plus strident, plus envoutant toujours à al limite de la rupture et contribue ainsi grandement à rendre une atmosphère viciée et malsaine. mais il me semble qu'ici justement le "but" de dufaux et de donner une autre vision de son univers. une vision plus "proprette", plus perméable, plus lisse... mais plus pernicieuse aussi. il me semble que l'ambiance décrit dans la première série est désormais derrière lui...et qu'il cherche plus à toucher à la symbolique du propos. c'est un album à la fois de préparation, de mise en place mais aussi de transistion; en ce sens il met beaucoup d'élément en place (ne serait ce que la statut). ensuite, je ne pense pas que la chasse au sorcière soit juste un vague prétexte, ça lui offre surtout les portes d'un monde de fastes et de protocole, tout en baise main...en attente. un monde dans lequel l'honneur et la droiture on une grande place. mais aussi un monde pourri de l'intérieur, rongé par un mal qu'il contribue à engendrer et à entretenir. c'est pourquoi la quête de vertu, la destiné du héros on le sait est déjà voué à sa perte... mais c'est une fable plus universelle, plus complexe que nous compte là dufaux. il revient aux sources de la sorcellerie et des sorcières, avec cette rousse falamboyante (dieu qu'elle est belle!) qui est le symbole de la tentation et d'un mal séculaire. un mal devant lequel nous avons bien du mal à résister...nous même un mal qui nous séduit; qui nosu ronge aussi... le chemin de l'enfer est pavé de bonne intention. sans côté l'aspect "politique", des tractations et des devoirs dans un monde qui nie sa décrépitude et se cache derrière les aparats...et les coutumes. en cela le dessin me parait parfaitement adapté...il cache autant qu'il dévoile, une beauté faussement plastique. quand à savoir s'il y a un nombre de trait idéal pour rendre la beauté, la force ou la pertinence d'un visage je ne sais pas :roll: bien à toi, Monfreid...
  24. tu t'attendais à quoi au niveau du dessin ? parce que là c'est classique, impeccable même avec un décor et des attitudes très réalistes, et des figures parfois un peu "exagérés" enfin dands le plus pur style du genre... tu aurais appréciés quelque chose d'autres ?
  25. je sais bien que c'est un scénario de miller m'enfin un scénario de film dans les années 80 que l'on adapte pour faire une bd dont il ne signe ni l'adaptation ni le dessin... et ne mettre que son nom en couverture je trouve ça limite sinon, je conseille daredevil pour commencer, c'est "léger"...et pusi au fur et à mesure ça part bien en cacahouètes quand même... parce qu'attaqués ronin (faut que je lise le dernier tome sortie moi)ça peut faire un choc graphiquement quand à sin city...ou darknight ce sont des oeuvres d'une rares cynisme et d'une rare accuité 8)
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