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Monfreid...

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  1. Monfreid...

    Sir Arthur Benton

    CITATION(nickel)Il ne serait pas étonnant que je me laisse tenter :wink:... entre ça et incognito tes futures lectures vont être bonnes 8) en tout cas sur sir arthur je te le conseille vivement... c'est vraiment très très bon et prometteur
  2. Monfreid...

    Alias

    mon avis ? c'est simple comme ma signature :wink:
  3. tout à fait d'accord trop de mag sont devenus de la pub déguisée!!! et pas seulement parce qu'il y a des éditeurs derrière (certes pour beaucoup) puisque ekklipse c'était aussi semic si je ne m'abuser (en tout cas callipe sur :wink: ) et ça c'est bien dommage... quel choix entre des mags de pub, de nouveauté d'événementiel et des mags super pointu underground de la mort super cher ? :?
  4. [quote="Invité"][quote] Que les gens aiment une BD sexiste, et que ça rapporte à l'auteur, ça m'est égal. Pourquoi ne pas exercer son esprit critique, ne pas dire que le contenu d'une oeuvre est nul et malsain ?[/quote] Alors dis comme ça je ne susi pas d'accord dire qu'une bd est malsaine, sexiste pas de souci...c'est un droit et dans le respect de tous,le débat peut être intéressant. mais ajouter (et d'emblé...genre prolégomènes) que ça t'es égal que des gens aiment et que des gens gagnent leur vie avec..c'est autre chose.... il faut, il me semble ,un minimum d'argumentation... et savoir lire et écouter les arguments des autres. s'il s'agit juste de constater et de dire "cette bd est nulle" point à la ligne! ça ne sert à rien du tout! je ne vois pas trop l'intérêt... désolé si je suis dur... mais il me semble aussi que ce n'est pas comme ça, que tu pourras faire changer d'avis les gens sur tel ou tel album. enfin moi je dis ça :wink:
  5. Sir Arthur Benton Tome 1Opération Marmara par Tarek et Perger aux éditions Emmanuel Proust cet album contient un cahier sur la période historique concernée et les personnages en fin de volume Résumé : Sir Arthur Benton est citoyen britannique. Or, il a choisi le mauvais camp. Celui de l'idéologie nazie. Après la capitulation d'Hitler en 1945, prisonnier des alliés à Nuremberg, il n'accepte de parler qu'à son pire ennemi : le Colonel de la Taille, membre du deuxième bureau français. Avis : Un récit d'espionnage, un récit historique. Loin du fastes des commémorations sélectives qui ont pour eux la douleur collective et se gardent bien d'une quelconque analogie contemporaine, loin des leçons de morale, avec respect et intelligence Tarek et Perger nous livre le premier tome d'une trilogie qui s'avère prometteuse. Tout est confus, les images s'entrechoquent s'en dégage un contexte, un climat oppressant, les dialogues nous éclairent à peine que déjà le désordre reprend le dessus, il va nous falloir nous accrocher. Superbe parti pris que celui de ne pas tout prémacher aux lecteurs. Le récit historique doit toujours "en garder sous la semelle" scénaristiquement, plus les faits sont "connus" plus l'auteur va devoir surprendre son lecteur. Si je me met à vous parler de l'histoire de chypre en 1200 il y a des chances pour que le contexte vous bluff, vous étonne à partir de là le décor sera plus "évident" à poser. Tandis que dans le cadre d'une lecture transversale de la seconde guerre mondiale, les risques de "cassage de gueule" de la crédibilité ne sont pas en reste. Vu le sujet, la couverture, la petite intro (sur un ton très condensé et très bien écrite) de Tarek nous ont déjà emplie la tête d'idée préconçues, nous sommes "en attente". Forcément l'imbroglio ne peut que nous surprendre. La trame historique, n'est pas donnée comme une succession de fait à la chronologie s'en reproche. Au contraire il s'agit d'en rendre les différences d'épaisseurs, de sensation, de ressenti. Chaque moment à beau être le même, il est différent pour chacun de nous, l'erreur de beaucoup c'est de croire qu'il n'en va pas de même avec les faits passés et avec les "actions d'états". Tels des quidams quelconques les protagonistes seront tout au long perdus dans un méandres de supputation et d'analyse. Au fur et à mesure le lecteur, sera seul capable de remettre en place les morceaux du puzzle (il à le bénéfice de connaître la fin de l'histoire) et de pouvoir mesurer les conséquences futurs de tel ou tel acte. C'est cet humanisme là que va tenter de rendre Tarek, celui de la proximité d'avec l'autre que l'on ne trouve que dans l'erreur et la haine. Bien que l'on fasse régulièrement aux états, au patriotisme et autre nationalisme de rigueur, les personnages ne se résumeront jamais à être des métaphores des intérêts de leur pays. Que les amateurs d'histoire se rassurent, le contexte et les faits (tenants et aboutissants) sont parfaitement maîtrisés et respectés. Que les amateurs d'aventures se réjouissent tout n'est pas joués d'avance. Une fois les considérations "tangibles" passées, nous pouvons nous attardés au récit en lui-même, à la narration. Ce qui intrigue en premier lieu c'est le nom et la place qu'il occupe dans cette trilogie. En effet, un nom à forte consonance anglaise se retrouve propulser devant l'emblème nazi (cf la couverture), il va œuvrer à sa montée en puissance. C'est le nom d'un traître, d'un criminel, d'un "méchant" qui apparaît en tête d'affiche, coutume peut courante. C'est que sir arthur benton est un homme comme on en voit rarement. Là encore cela pose le problème de l'apprentissage et de la vision de l'histoire. Il est des faits que l'on apprend jamais (comme ce bateau bourré d'échapper des camps de concentration que l'armée américaine a gentiment bombardé, avant de les finir à la mitrailleuse !), des points de vue qui n'existent pas aux yeux de beaucoup de monde. Prendre le partie de narrer la montée en puissance du nazisme par le biais de l'espionnage nous ouvre les yeux sur un pan de cette histoire occulté (sans occultisme justement, pas de plans machiavélique ou autre contes, juste des faits). On se rend compte que les guerres entre les pays, entre les patries commencent rarement sur leur propre territoire (ici le rôle des pays arabes [dans le genre oubliés dans vos leçons d'histoire on peut difficilement faire mieux] est très bien traité). On se rend compte des enjeux réels du pouvoir, de la place de la morale, des stratagèmes mis en place (le parallèle avec la guerre froide, la déchirure en afghanistan, ou même encore de nos jours [côte d'ivoire, irak et j'en passe] c'est au lecteur de le faire). Là je passe directement au dessin, car sans lui cet aspect ne pourrait pas du tout exister. Bien entendu le scénario tire brillamment son épingle du jeu, mais il est aussi occupé à nous raconter les pérégrinations d'un groupe d'espion à la poursuite de Benton, de ce fait il ne peut tout prendre à sa charge. En agissant par petite touche (sans tomber dans le patchwork) de couleur (et donc de matière, de relief, en jouant sur le volume du monde représenté si vous voulez) Perger le "trafique" ou plutôt le déconditionne. Son approche est classique, son graphisme ne nous déroute pas, de même que les couleurs qu'il emploie le tout est donc réaliste (souvent c'est plus efficace pour les histoires d'espionnage crédible). Mais en même temps il n'est pas lisse, dépourvu de "défaut", ce n'est pas tant du dessin que de la gestion de la luminosité. Une luminosité dans l'ombre définirait les contours et les limites. C'est ce dessin si particulier si troublant et malsain à la fois qui rend la portée dramatique des enjeux. Le rouge du drapeau est rouge sang, le jaune de salle de réunion rappelle celui blafard d'une scène de torture, le noir passe du second plan (l'avenir pas cool) à la cruauté du premier (c'est "ici et maintenant" que cela se joue) assez superbement, les personnages sont souvent "dans l'ombre" pour mieux illustrer leur tourments, le poids qu'ils ont sur les épaules. Bref, un dessin qui s'allie harmonieusement (si je puis dire, mais en même temps "ergonomique" ça ne le fait pas trop) au propos, qui arrive à rendre toute la tension. [img]http://www.1001bd.com/bd/decouvertes/tarek/6.jpg[/img] Le tout nous tenant en haleine par (aussi) une course poursuite entre deux hommes qui se vouent une haine farouche, et par un sens du rythme particulier. En effet la mise en branle de l'histoire est chaotique, désordonnée sur un mode "cinématographique" le lecteur doit faire l'effort de "comprendre" ce qui se passe (ce qui donc nous entraîne forcément dans la lecture !), puis une logique se dégage de tout ça, les choses se croisent et s'enchaînent, les rôles s'inversent puisque le lecteur peut faire appelle à sa connaissance pour tirer "profit" des agissements de certains protagonistes, sans que cela ne nuise à sa captation par l'histoire. Un premier tome très bien construit, qui tient en haleine tout en nous permettant de voir sous un autre angle cette période de l'histoire, un projet ambitieux qui ne se dégonfle pas. A noter en plus de l'introduction de qualité, un cahier "historique" vraiment passionnant ( sa présence explique pourquoi je ne me suis pas attardé sur certains aspect de l'histoire!) bourré d'informations sur le contexte, sur les personnages réels ou imaginaire et proposant des références, comme autant de pistes pour aller voir plus loin. Un très bon premier tome! Bonne lecture Monfreid… Merci aux auteurs pour les images [img]http://www.1001bd.com/bd/decouvertes/tarek/5.jpg[/img]
  6. mon cher Posseidon (ravi de te lire déjà 8) ) je pense que nous nous sommes mal compris je ne dis pas "ouh les nouveaux magazine sont nuls vivent les vieux!" puisque dès le début ou pas loin je dis "pèchent à trouver leur public" c'est à dire, que pour moi il existe (ou existait, il y a peu) de bon mag sur la bd, qui comme tu le fais remarquer essayaient de proposer quelque chose à lire aux lecteurs! mais quid des lecteurs ? ce genre de mag à besoin (encore plus que les autres) d'un lectorat qui se veut nombreux... or en ces temps "pas cool" qui sont les notres... cela ne réclame pas (malheureusement) uniquement l'achat d'un numéro mais véritablement c'est un combat! or apparamment aucun éditeur n'est près à laisser le temps faire son oeuvre, à commencer par perdre de l'argent, en laissant un magazine, on va me dire que c'est normal. et bien je ne pense pas. tant qu'il n' y aura pas l'équivalent d'un cahier du cinéma, littérature, positif, ou autre...la bd continuera d'aller mal (en termes constructif et non en terme de plaisir ou de ventes). je dis juste que les mags qui ont permis à la bd d'être connus, non pas eu de remplaçant (ce qui ne veut donc pas dire que personne n'a tenté l'aventure...mais quand on voit les pratiques actuelles et la fermeture de vécu :? ) et que la liberté du net...ce n'est pas mieux. sur le plan des magazines, je pense donc que nous ne sommes pas si éloignés que ça non ? :wink: bien à toi, Monfreid...
  7. Monfreid...

    Vos achats de février

    nous sommes le premier mars hein ? nous sommes le premiers mars hein ? nous sommes le premiers mars hein ? nous sommes le premier mars ha! tu veux dire que nous ne sommes plus en février
  8. Monfreid...

    Le Virus Manga

    en même temps, la demande du marché est énorme le nombre de mag sur le sujet est de plus en plus nombreux le nombre d'acheteur de magazine bd en baisse la parution tout les deux mois ne devaient pas être suffisante et des mag non spécialisés sortent des hors séries... forcément et malheuresement :? :roll:
  9. Mad, Pilote, fluide…autant de révolution pour la reconnaissance d'un art populaire et combatif, toujours en mouvement. Des revues mythiques et fondatrices, aujourd'hui disparues, remplacées par des ersatz, des essais peu concluants ou qui pèchent à trouver leur public. Beaucoup de fanzines finissent au cour bouillon ou dans les filets du consensualisme. Le lecteur a bien changé, l'avènement d'internet correspond à son acceptation dans le cercle socio-médiatique. Pendant longtemps le lecteur de bd était assimilé à la lie de nos sociétés, un adolescent attardé, névrosé. La cause de tous les maux et plus si affinité. Le voir aujourd'hui comme parti prenante de "l'histoire de l'art" médiatique est un bond en avant inespéré. Désormais le lectorat compte, il a son mot (ou plutôt son chiffre) à dire dans l'équation complexe qui prélude (et préjuge) toute sortie. Ses goûts sont connus, analysés, décortiqués. A se demander s'il peut encore respirer au milieu de tous ces choix si bien calibrés ? La "libération" de son statut, son ancrage dans la réalité du marché, donne lieu à des "événements", des festivités, des campagnes…autant de tributs qui vont de paire avec la renommée de l'art. Mais quand est-il de la lecture ? La création est avant tout une affaire de coupure, de retrait, de soustraction et non d'ajout ou de compilation. Pour comprendre ce processus, le "lecteur" (je désigne ici tout type d'activité consistant à être en rapport actif et volontaire vis-à-vis d'une œuvre) se doit de s'arrêter, de prendre du temps, pour digérer ses propres sentiments, pour les remettre en cause, pour relire, revenir en arrière. De cela dépend le regard "critique", la prise de conscience, la construction d'une véritable culture, d'un esprit et, par écho, la "reconstruction" perpétuelle de l'art lui-même. La portée de cette démarche n'existe pas en terme populaire et inconscient (on portera ici son regard sur Jung), il est exclu qu'elle puisse s'épanouir au sein d'une communauté restreinte. Il est nécessaire d'oublier le "up today", le côté salon de la bande dessinée, qui la limite à la connaissance de noms, l’acquisition de signatures. Ce savoir, se glorifiant de sa propre érudition, éclipse toute "lecture" de par son aspect « répétitif ». Il faut se soustraire de la gangue élitiste qui vise soit un discours à tout prix rationnel, soit l'accessit, la distinction du lecteur le plus "au courant". Là où les choses se compliquent, c'est lorsque la plupart des lecteurs confondent "populaire" et "popularité". En effet, entraîné par le flot de sorties toujours plus nombreuses, d'un choix de plus en plus important, se démarquent (le plus souvent) les albums qui auront bénéficié d'une meilleure promotion, d'une couverture médiatique plus grande, d'un "coup d'édition" plus approprié. On entre alors dans le cercle vicieux du "ça plait parce que ça se vend/ça se vend parce que ça plait". Bien évidemment le lecteur à toujours le "choix", la possibilité de ne pas prendre l'album le plus attendu, le plus connu, le plus courtisé par les médias. Il peut s'acharner à dénicher la perle rare. Toutefois, réussir cet exercice sans tomber dans les affres des esthètes aristocrates n'est pas chose aisée. Et je ne vous parle pas des pièges, savamment orchestrés, des éditions originales. Toujours est-il que le constat est d'évidence : la majorité achète les sorties les plus "démocratiques", au sens de plus accessible, plus plébiscité. Et le choix qui est le sien, le droit du consommateur n'est que fantoche, douce illusion. Il faut se rendre à l'évidence. Si, comme je l'ai affirmé plus haut, l'art est affaire de retour en arrière pour le lecteur, de temps que l'on prend, de relecture, les sorties bd ne permettent en rien ce comportement, bien au contraire elles s'acharnent à nous infliger le contraire. Le lecteur de manga "type" possède assez de référent culturel théorique pour écrire une thèse. Socialement, il est bourré jusqu'à la gueule de données japanisantes (nom des îles, des sports, du maquillage, pratique sociale, vie en famille, à l'école, vision des femmes, de la sexualité) et ce, sans jamais que le doute ne l'étreigne un seul instant. Les "otaku" en savent plus sur l'histoire du japon que sur celle de la France, ce n'est pas un constat réac', bien au contraire, c'est l'affirmation de l'impossibilité d'un tel fait. Il est impossible d'en savoir autant sur un pays, ce n'est pas de la culture, de la connaissance mais du folklore de bas étage, de la poudre aux yeux. Et il en va de même pour la plupart des sujets, des albums ou des auteurs. Dans sa grande liberté, le lecteur reste inféodé aux sorties, il n'est libre que de choisir. Les limites même du questionnement et donc de la réflexion sont : "où vais-je prendre le plus grand plaisir ?". Certes il en va de même pour tous les arts, et le plaisir reste affaire de "goûts". Mais il faut bien se rendre compte qu'au fil de leur histoire les autres arts ont su mettre en place des outils accessibles à tous, des outils permettant aux "lecteurs" d'établir une réelle connaissance, un savoir qui agit sur sa vision du monde. Même si les blockbusters continuent de parader en tête des box office même si des succès restent intouchables par une opération de sacralisation (les choristes pour prendre un exemple récent), le "commun des lecteurs" sait faire la part des choses entre les différents cinémas, car il sait qu'il existe des outils critiques à sa disposition. Quoiqu'on veuille nous faire croire, une grande partie de passionnés, de "connaisseurs" s'emploient à transmettre aux autres leur savoir-faire. L'accession à la liberté, à la démesure, au succès a fait se poser des questions à nombres d'amateurs qui ont su choisir d'autres voies, à mi chemin entre "populaire" et "élitisme" (pas mal de revues ont vu dans leur colonne se faire et se défaire ses différentes étapes). Il en va de même en théâtre, en peinture, en musique, en littérature et autres. Qu'en est-il pour la bande dessinée ? La parole des internautes donne lieu à des chamailleries peu productives, aux relais de campagnes de promotions, à la lecture silencieuse non participative, à l'échange non productif, à la prise de décision par procuration (c'est le plus pratique, on peut se dédouaner de toute responsabilité), au tri communautaire, à la prise de gueule permanente, au droit de figurer en quatrième de couverture de sortie de bd, à l'échange de vannes, à la constatation navrée, à de l'euphorie, à de la haine. Mais à quoi de constructif pour l'art et pour le lecteur ? Mad, pilote, fluide etc… autant de rédactions, d'auteurs…qui ont su faire avec le meilleur et le pire, qui ont su louvoyer avec les annonceurs…qui ont su combattre et défendre l'indéfendable…qui ont conquis la liberté. Apparemment ils auraient dû fournir le mode d'emploi aux lecteurs ! bien à vous, Monfreid...
  10. CITATION(camilla)en tant qu'italienne d'origine, je dois dire que je comprends Lambert: qu'est-ce qu'on ferait pas pour être à côté d'une italienne come Monica Bellucci. jouer dans matrix justement sinon, ben vi : intrigué je me suis penché sur ses "activités" et je l'ais trouvé (comme je disais ) très droit. c'est bien ça. il à une notoriété un peu british, genre le mec froid pas cool, glacé et hautain...avec un sens de la dérision poussé... donc au niveau de ses rôle c'est souvent dans la démesure (sauf dans on connait la chanson là il est bien) et ce qui est remarquable c'est qu'il n'utilise pas sa "notoriété"...pour parler du climat. parce que le vois nous faire la leçon à la télé sur l'environnement au milieu d'une tournée promo...ça aurait quelque de vulgaire, alors que là pas du tout... je trouve que dans sa démarche il y a quelque de sain. et ça me fait pense que je voulais soulever un point, sur ce bouquin. je le trouve sain. c'est à dire pas racolleur, on à pas de "bon point" en l'achetant, pas de bon de réduction, dans ma f..c pas vu non plus d'opération marketing à outrance.. je trouve que greenpeace est souvent montré du doigt pour ses exagérations (mon point de vue est simple, la baleine elle va pas assigner l'harponneur en justice, ni venir se venger 15 ans après [nous ne sommes pas dans "orca"!] et ses parties pris à l'emporte pièce et son ton "on fait chier le monde" or sur ce coup là, je les trouve soft et courtoix...respectueux de ce qu'il propose. et je trouve ça bien :wink:
  11. a noter (en plus des précisions de Camilla (qui à le droit de s'inscrire :wink: ) ) la participation de lambert wilson donc acteur que je n'aime pas! disons que je le trouve assez bon, mais nul dans ses choix de carrière, je comprends qu'il faille manger m'enfin...quand même matrix :? par contre, que ce soit dans son cours texte d'introduction ou dans sa participation au césar de cette années (très complémentaire d'agnes jaoui l'année dernière 8) ). je trouve ce garçon très "droit" et bien en place. et aussi pour dire que les interventions de marion cottillard et autre "non dessinateur" sont bien aussi
  12. Monfreid...

    Alias

    ben handicapant... pas à ce point là disons que des références nous passent à côté c'est sûr mais savoir qui est daredevil peut quand même aider... pour le reste ça donne envie d'aller découvrir d'autre trucs :wink:
  13. CITATION(Bruce23)C'est chez Albin Michel et c'est sûr que si tu fais la comparaison, c'est pas terrible par rapport à Darknight mais c'est pas si pourrit que ça, même si c'est pas génial. pareil... mais ce qui est énervant c'est de voir en gros marqué MILLER alorq qu'il n'a pas signé le dessin et que c'est l'adaptation d'un scénar pour le ciné donc bon :roll: je veux bien que ça "fasse vendre" mais en plus de trouver que c'est de l'arnaque pour le lecteur je trouve ça méprisant pour le mec qui à adapaté et ce quelque soit la qualité du produit :!:
  14. j'allais t'envoyer un mail :wink: (j'avais la flemme de tout recopier en fait ) merci Camilla 8) au plaisir de te lire
  15. CITATION(zeas)CITATION(brodieman)darknight : un chef d'oeuvre Il est dans mes futurs achats celui-là avec Sin city, pour me familiariser à l'oeuvre de Miller... ça pour te familiariser, ça va te familiariser... miller c'est du lourd, du très très lourd c'est bon c'est grand c'est beau oh oui oh oui prend moi...euh :roll: sans déconner... c'est vraiment bien au fait pour les amateurs qui seraient pressés si vous voyez le tome "robocop" avec marqué"miller" en gros : fuyez 8)
  16. moi je trouve que ça fait bonus dvd et comme la plupart des bonus dvd sont sans intérêt :roll: certes c'est beau...
  17. Monfreid...

    Black op

    pour résumé...(mais très vite hein) j'ai peur que le sujet ne tombe dans la conspiration. quand je relis XIII ou revoit les dernières saisons d'xfiles, ou relis ou revoit des doc sur l'assassinat de kennedy, ou même si je vois les films de moore. je me dis que le thème de la conspiration est vraiment un bon terreau en amérique... que cela prend sans souci. non pas que "tout soit faux"... mais je ne pense pas que ce soit le meilleur des partis pris pour essayer de "comprendre". et comme je disais j'ai peur, vu le contexte, d'en demander trop à l'album et qu'il tombe là dedans. un genre de 24 heure chrono sérieux en fait :roll: mais je vais allé voir plutôt que de causer
  18. CITATION(zeas)CITATION(brodieman)CITATION(zeas)Ah ben oui, dans la collection Lattitudes en effet, je devrais trouver mon bonheur. ouaip faut avoir la positive lattitudes ! :wink: Merci Lorieman pour cette belle intervention!
  19. Monfreid...

    Vos achats de février

    CITATION(zeas)CITATION(Monfreid...)les deux mêmes  :wink: Comment ça? Tu as acheté ces deux albums en février??? C'est dingue ça!!??? ... C'est pas toi cette grande blonde très mignonne qui me suis partout dès que j'entre dans ma librairie??? OUI!!!!!!! 8) (j'ai acheté les mêmes albums)
  20. Monfreid...

    Black op

    la question sur le nombre de tome... me fait penser à un truc. cette série est sortie chez dargaud... or on peut supposer qu'à la fin de la série un coffret va sortir...donc déjà je suis plus dans l'optique de l'attente :wink: d'autant plus lorsque je lis le sujet de l'album. en effet, il me semble que si je le lis maintenant je risque d'être...comment dire...trop critique... de trouver le parti pris super facile, de ne voir que les défauts, que l'exploitation scénaristique d'une pensée consensuelle (ouh les méchants américain). bref une remix contemporain de vieilles recettes d'espionnages des 50 et 60's... là déjà ça me gène...de me dire ça hein...pas la bd,; je l'ais pas lu. de plus, je me demande si une telle série ne vaut pas le coup "après coup"... plus exactement, je me dis que le lectorat "de base" (je m'inclus dedans là) lis beaucoup d'album...(trop!) du coup, cette histoire va rentrer dans sa vision d'une bd bien ficelé (ce qu'elle doit être ) qui prend appuit sur la réalité. or, la proximité de cette réalité me gène... je veux dire par là. est ce que le contexte sera encore valide et valable d'ici 5 à 10 ans. ou n'était ce qu'un château de carte habilement mis en oeuvre ? je vais donc aller la feuilleter, voir la lire mais en attendre un peu... par peur d'être trop exigeant... mais surtout pour avoir du recul vis à vis du sujet. bien à vous, Monfreid...
  21. CITATION(nickel)Et maintenant, que vais-je faire (comme disait Aznavour ) ? tu vas faire comme moi et lire les premières planches dans ta librairie...pour voir si ta curiosité est piquée
  22. Le choix de ce mois ci est représentatif d'une "tendance" en effet, à l'heure de la parution masive, de l'explosion des prix et autres barométrie du "tout va bien", la rédaction à jetée son dévolu sur le premier tome d'une série pas si joyeuse que ça, un peu malsaine. deuxième volume de la collection "expresso" édité par Dupuis, deuxième volume à être promu "coup de coeur". si ça ce n'est pas un signe. les votes furent : 2 incognito 1 inside moebies 1 someday's dreamer 1 bone (tome 11) 1 real 1 la musique de marie nous vous conseillons donc bien à vous et surtout bonne lecture
  23. Monfreid...

    Incognito

    je remonte le topic, car l'album à était élu coup de coeur du mois de février ! ce qui est une bonne raison de vous jeter dessus 8)
  24. :wink: on peut dire ça. mais je voulais surtout dire, que si il y a quelques années ce souci posais des problèmes de conscience aux gens, ce phénomène à tendance à disparaitre. en effet... la récupération politique, économique et médiatique du problème à fait, que comme dans beaucoup de cas, tout le monde en à parler, à amener son lot de chiffres scientifiques, d'articles, de savoir...pour raconter tout et son contraire. du coup la "connaissance" du sujet c'est apauvri de l'intérieur au moment où elle touchait de plus en plus de monde... c'est un phénomène (climatique) courant dans l'information contemporaine (ça et les dérives des champs sémantiques...bref). or, je me disais que cela pouvait tout de même amener quelques curieux (d'ici et d'ailleurs) à lire et acheter ce livre... qui propose tout de même une vision assez noire et pessimiste du futur...une vision lucide pourrait on dire dans la plupart des cas. mais pas seulement ce qui amène à réfléchir...ça c'est rare il faut le signaler. en plus, il propose des dessins (inédits tous je pense) originaux et vraiment sympa... donc, je m'étonne du peu de réaction. qu'un album "peu populaire" au tirage confidentiel n'émeuve pas grand monde ce n'est pas étonnant... mais là... :shock: :?
  25. Monfreid...

    Vos achats de février

    les deux mêmes :wink:
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