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Tout ce qui a été posté par JKKS

  1. JKKS

    Wii Fit

    Tout à fait d'accord avec ça. Je l'utilise pour travailler sur ma souplesse (parce que le reste va plutôt bien ) et je dois avouer que les exercices de yoga sont vraiment intéressants voir même ludiques alors qu'objectivement j'ai souffert un max les premiers jours. Comme l'ensemble de ce qui est proposé avec cette extension. PS: Très bon outil pour travailler son équilibre au passage.
  2. JKKS

    The Dark Knight

    Le Box-Office est en train d'exploser. D'après mes renseignements The Dark Knight aurait engrangé, pour la seule séance de minuit le 18/07, pas moins de 18,5 millions de dollars. Le record de la meilleure ouverture pour un vendredi est détenu par Spider-Man 3 (comme pour le meilleur week-end) avec 59,8 millions et pourrait finalement être battu. Edit: Exactement 18 489 000 $ pour les séances de minuit avec une combinaison de 3040 cinémas.
  3. Bonne réponse !!! Par contre le coup de "quarantine", je vais le ressortir parce que ça m'a bien fait marrer.
  4. JKKS

    The Dark Knight

    C'est chiant toutes ces critiques positives quand même ... Voilà celle de Ecran Large pour vraiment terminer le tour des sites spécialisés français: "Trois ans après avoir relancé avec prestige la franchise Batman au cinéma, Christopher Nolan revient avec une suite qui vient délibérément concurrencer la première version de Burton en remettant le Joker sur le devant de la scène. Ou comment faire du neuf avec du vieux. Et même mieux. Car répondons d’office à la question qui brûle toutes les lèvres : le film est-il à la hauteur de la bande-annonce prometteuse ? La réponse est oui. 100 fois oui. Deux fois plus de méchants, deux fois plus d’action et deux fois plus d’enjeux. Christopher Nolan emporte cette suite avec brio et en tire un film dantesque et épique. Polar à la Heat, film sur la mafia et vision pessimiste de la justice dans notre monde d’aujourd’hui, le film n’en oublie même pas pour ses personnages, complexes et fouillés, campés avec force par tous ses acteurs (même Rachel, potiche du premier opus, trouve son utilité et devient même le pivot du film). Les mauvaises langues trouveront sûrement que 2h30, c’est un peu long pour un film qui aurait gagné à être plus ramassé sur 1h45, mais les scènes d’actions sont si intenses (imaginez la scène du Tumbler de Batman Begins, mais multiplié par 10) qu’on ne voudrait oublier aucun moment. On voit surtout que ce montage final n’a voulu sacrifier aucune scène du regretté Heath Ledger pour ne pas louper une miette de sa prestation, et de ce côté-là, on est servi. C’est un festival ! Par ses mimiques inimitables, sa démarche bestiale et ses répliques instantanément cultes, Heath Ledger nous offre le Joker que l’on a toujours rêvé. Clown psychopathe doublé d’un manipulateur fou qui a toujours un coup d’avance, il incarne enfin ce pervers qui avance sans logique juste « pour voir le monde brûler » comme le désigne Alfred et pour le faire basculer dans la folie. En ce sens Nolan livre une parfaite relecture du Joker d’Alan Moore dans Rire et Mourir (The Killing Joke en VO) où il veut démontrer que le monde n’est qu’une vaste blague absurde qui finit par rendre fou. La scène de l’interrogatoire fait d’ailleurs référence à la partie de cartes qui ouvre le roman graphique, où le Joker analyse sa relation avec le Chevalier Noir. Une analyse pertinente et cruelle qu’on avait encore jamais vu ni à la TV et au cinéma et qui prouve, si besoin encore était, que Nolan a tout compris de ses personnages. Avant d’arriver à ce film puissant, il faut peut-être passer par une heure d’exposition des personnages un peu lente. Mais on se rend compte après coup qu’elle ne sert qu’à mieux mettre un univers en place afin de mieux le déconstruire. Le réalisateur de Memento ou d’Insomnia en profite pour placer ses véritables intentions sur le film. Comme avec le précédent opus, il continue de voir en Gotham City une société décadente qui justifie de manière ambiguë son rapport avec le mal. Mais au fur et mesure que le Joker devient de plus en plus présent à la manière du requin des Dents de la mer (dixit le réalisateur himself) ou les Oiseaux d’Hitchcock, le film devient de plus en plus excitant et devient un vrai film de superhéros qui n’en oublie pas son discours intelligent. Preuve que le Joker embrase le film et entâche tous les personnages, dont Batman qui n’en sortira pas indemne. The Dark Knight est donc un film riche, très riche, qui ne souffrira pas d’une vision supplémentaire, et qui, après Iron Man et dans une moindre mesure, Hulk et Hancock, signe le grand retour des superhéros au cinéma." note: 4,5/5 Par Damien Virgitti Ce matin, Tomatometer à 94% (151 revues positives 10 revues négatives) et moyenne à 8,5/10. Ca monte, ça monte ...
  5. JKKS

    Watchmen The Movie

    Et bien nous voici déjà au premier teaser que vous pouvez voir ici dans différents formats Quicktime (dont des formats HD). Juste la tuerie ultime ... C'est terriblement beau, émouvant, prenant et il n'y a que quelques secondes d'images ... Après 300 et Watchmen, je n'ai plus aucune hésitation, je veux Snyder sur la Justice League ... et personne d'autre.
  6. JKKS

    The Dark Knight

    Bon et bien on va achever la revue de presse de The Dark Knight (à partir de ce soir, je ne lirais plus rien de relatif au film) par les critiques de Dvdrama et Filmsactu. Dvdrama (extrait sans spoilers): "The Dark Knight ressemble à un tour d'illusionniste brillantissime où chaque rebondissement ne souffre d'aucune contestation, où chaque audace a quelque chose d'anthologique. C'est beaucoup, c'est presque trop. Incroyable mais vrai: The Dark Knight, second Batman réalisé par Christopher Nolan et produit par Warner Bros./Legendary Pictures, est le film de tous les exploits. Pour commencer, il se révèle supérieur au précédent Batman Begins qui marquait la renaissance d'un mythe de ses cendres et d'une franchise que l'on pensait moribonde. Ce qui n'est pas une mince affaire. En apparence, la réussite de The Dark Knight est moins surprenante que celle de Batman Begins et donc moins impressionnante parce que les fondements sont là et que l'équipe aux commandes a déjà fait ses preuves. Pourtant, Nolan ne se contente pas de recycler des formules gagnantes et propose un spectacle encore plus dense, encore plus délétère, encore plus grandiose. Sa seule faiblesse, ce serait de ne pas être assez long (il a beau durer environ deux heures trente, le temps passe trop vite). Sachant qu'il a été raccourci d'une demi-heure par la Warner de peur que le spectateur lambda décroche face à une telle profusion d'intrigues et de personnages, on attend la director's cut en DVD pour savourer la version définitive. Mais, en l'état, aucun regret à avoir: ce que l'on peut découvrir, ébloui, sur grand écran atteint des sommets dans un genre pourtant habitué à un standard élevé. The Dark Knight est le grand film de l'été (et de cette année) que l'on attendait et c'est le meilleur volet de la saga Batman. A la hauteur des espérances (et même au-delà). [...] A chaque séquence, qu'elle paraisse anodine ou cruciale, le prodige Nolan déploie une vraie intelligence de cinéma. Grâce à cette intégrité et à cette science, il a orchestré l'adaptation cinématographique de Batman quasi-parfaite. Celle que l'on attendait. Du travail dantesque, noble, fédérateur exécuté avec une connaissance absolue du matériau, qui consolide une mythologie pour la rendre plus addictive que jamais. Une forme d'idéal et de sublime qui passe aujourd'hui pour de la denrée rare." Par Romain Le Vern "D'une manière parfaite, tragique et bouleversante, Nolan pose définitivement Batman comme l'un des plus grands héros modernes, statut recherché depuis plusieurs décennies. Et avant d'être un bon film de superhéros, il livre un véritable chef d'oeuvre." Par Florent Kretz Filmsactu (critique intégrale): "Christopher Nolan a tiré toutes les leçons qu'il fallait de son Batman Begins et signe avec ce second opus un film novateur, plus puissant et plus radical. Fort d'un scénario béton, The Dark Knight fait une relecture des codes du genre pour prendre la forme d'un thriller politique d'une étonnante noirceur et venir bousculer en chacun de nous les conceptions de justice et d'héroïsme, en poussant ses personnages flamboyants dans leurs derniers retranchements. Un propos d'une grande intelligence servi par un ensemble de comédiens au sommet, parmi lesquels le regretté Heath Ledger se révèle tout simplement monumental en Joker cruel et torturé. Une ultime prestation fulgurante de nihilisme, en phase de devenir culte. Christopher Nolan affichait déjà avec Batman Begins une nette volonté d'extirper la franchise Batman des carcans mercantiles dans lesquels elle s'était enfermée. Afin de se réapproprier entièrement l'univers esthétique et narratif du superhéros, il n'hésitait pas à reprendre l'histoire à zéro pour se pencher sur la genèse de la dualité Batman/Bruce Wayne. Ce dernier prenait les traits de l'excellent Christian Bale, déjà passé maître dans l'art d'interpréter les personnages troubles, un atout supplémentaire dans le jeu du cinéaste. A l'arrivée, Batman Begins n'était certes pas exempt de quelques faiblesses mais marquait indéniablement la renaissance au cinéma d'une icône dans laquelle on ne plaçait alors plus grand espoir. Trois ans plus tard, The Dark Knight s'inscrit directement dans la même lignée, ne serait-ce que par son casting et ses partis pris esthétiques, sauf que Christopher Nolan rectifie le tir en radicalisant la saga tout comme l'avait fait il y a seize ans un certain Tim Burton. N'ayons pas peur de le dire : The Dark Knight est à ranger aux côtés de Batman Le Défi parmi les meilleures exploitations du personnage de Bob Kane, mais aussi parmi les blockbusters d'action les plus surprenants de ces dernières années. Pourtant, proposer une réflexion sur les enjeux idéologiques liés à la criminalité urbaine à travers l'univers fun et visuellement très marqué d'un comic-book n'était pas gagné. Et c'est ce que The Dark Knight fait avec une remarquable pertinence à travers un scénario fouillé digne des plus grands thrillers politiques. On n'en attendait pas moins de l'auteur des brillants Memento et Le Prestige, épaulé une fois encore à l'écriture par son frère Jonathan Nolan. Le tableau de ce Gotham City gangrené par la corruption et menaçant de partir en miettes dévoile très vite l'ampleur de ses ambitions, au point que le métrage fera dans un premier temps l'effet d'une surcharge de par ses dialogues très denses, son abondance de personnages, mais aussi un montage trop rapide, comme si Christopher Nolan avait tellement de choses à dire qu'il était impossible de tout faire tenir en un seul film. Une impression qui n'est partiellement vraie puisque toutes les pistes amorcées ne sont nullement laissées à l'abandon et fusionnent par la suite pour former une trame commune d'une grande cohérence, prenant subitement son envol suite à une scène d'action pivot très mouvementée. Car si le film s'avère pourvu d'un vrai propos, il ne s'agit pas non plus pour Christopher Nolan de renier les ingrédients qui ont toujours caractérisé la saga Batman. Blockbuster d'action oblige, The Dark Knight se doit de remplir un certain cahier des charges en termes d'action musclée. Dire qu'il s'agit du point fort du film serait mentir et Nolan ne peut pas encore se targuer d'avoir révolutionné la manière de filmer les affrontements physiques. Il leur imprime toutefois un degré de violence assez inédit dans la saga, tandis que les courses-poursuites comportent leurs petits moments d'anthologie et atteignent des sommets de netteté et de beauté visuelle grâce à l'utilisation du procédé IMAX. Mais la franchise a toujours été avant tout une affaire de méchants exubérants et jouissifs, n'hésitant pas à verser dans le grotesque. Là encore, The Dark Knight ne déroge pas à la règle avec sa galerie très généreuse de personnages hauts en couleurs. Des personnages torturés qui entrent dans des jeux d'opposition assez subtils et viennent titiller chez chacun d'entre nous et sans aucun simplisme des notions fondamentales telles que la justice et l'héroïsme, quitte à bousculer nos convictions. L'élément qui va mettre le feu aux poudres n'est autre que le personnage le plus tordu et le plus fascinant de l'univers Batman, à savoir le Joker. Autant dire les choses clairement : malgré l'immense respect que l'on porte à Jack Nicholson, le show imposant auquel il se livrait dans le Batman de Tim Burton se voit ici définitivement enterré par la prestation bluffante de Heath Ledger. Prenant le contre-pied de son aîné, qui utilisait le Joker pour faire exploser son propre charisme, Ledger l'incarne de manière tellement saisissante que l'on en vient presque à oublier qu'un comédien se cache derrière le visage scarifié de ce psychopathe sorti de nulle part. Compte tenu du contexte entourant la sortie du film, à savoir le récent décès de l'acteur, l'expérience peut s'avérer assez perturbante. D'autant que le portrait de ce clown aussi glaçant qu'insaisissable atteint des sommets de nihilisme, suscitant des sentiments ambigus chez le spectateur qui sera partagé entre l'effroi inspiré par ses agissements et la complicité inspirée par son humour subversif. L'autre grosse surprise du métrage s'avère être la naissance fort bien amenée de Double Face, auquel l'acteur Aaron Eckhart apporte une rage magnifique qui s'oppose à la pureté presque énervante de Harvey Dent. Si les personnages d'Alfred (Michael Caine) et de Lucius Fox (Morgan Freeman) assurent le minimum syndical, on se réjouit du retour de Gary Oldman, qui apporte une touche d'humanité bienvenue, et surtout du changement de comédienne pour le rôle de Rachel Dawes qui trouve une classe nettement supérieure grâce à Maggie Gyllenhaal. Au sein de cette riche galerie de personnages, on pouvait craindre que le chevalier noir dont il est question ne parvienne finalement pas à trouver sa place. Mais il n'en est rien, Christian Bale s'avérant même nettement plus en forme que dans Batman Begins. Soulignons le caractère atypique du titre The Dark Knight qui ne fait aucunement mention de Batman, un parti pris annonciateur de l'évolution du sombre superhéros, dont la dualité confine ici à la schizophrénie. Aussi brutal que peu engageant en Batman, propre sur lui et au top de son charme en Bruce Wayne, le justicier se métamorphose sous nos yeux au contact de ses opposants pour devenir un parfait antihéros. D'une certaine manière, la franchise Batman de Christopher Nolan suit une logique semblable à celle de Spider-man de Sam Raimi, à savoir le questionnement de la condition et des méthodes de son icône. Nolan va plus loin en mettant en doute le bien-fondé de l'action de son redresseur de torts qui agissait jusqu'alors en tout légitimité - et impunité. Si l'on étend la métaphore à l'échelle géopolitique, l'idée devient alors lourde d'implications. Difficile d'affirmer s'il faut voir de telles intentions dans la tournure prise par ce chevalier, mais une chose est sûre, le noir lui va décidément très bien. note: 17/20" Par Elodie Leroy Concernant le Tomatometer de rottentomatoes (voir le premier poste de la page si vous ne savez pas ce que c'est), on termine la journée avec un 93 % (124 critiques positives pour 9 négatives) et une note moyenne de 8,4/10. Je surveillerais ça régulièrement (sachant que la moitié des critiques ont été déposées) mais dans le pire des cas on devrait terminer avec un Tomatometer à 90% et une moyenne de 8/10. En voyant les choses de manière plus réalistes il est plus probable que l'on ait au finish 93 ou 94% avec une note à 8,4 ou 8,5. J'essaierais aussi de vous tenir au courant des premiers résultats du Box-Office sachant que TDK a d'ors et déjà remporté le record de la plus grande combinaison de salles pour le lancement d'un film aux Etats-Unis (4366 cinémas pour son premier week-end soit de mémoire 4 de plus que Pirate des Caraïbes 3). La Warner, sur ce coup-ci, vise ni plus ni mois que le record du meilleur week-end U.S. pour le lancement d'un film (il faudra pour cela battre les 151 millions de Spider-Man 3 ce qui paraît assez délicat). Plus de nouvelles normalement lundi.
  7. Ce n'est pas Le Monde De Narnia.
  8. JKKS

    café des sports

    Mais les contrôles, les suspensions, les amendes ne décourageront jamais aucun coureur de se doper. La seule méthode pourrait être de leur appliquer les règles de droit commun auxquelles sont soumis les dealers de stupéfiants. A savoir: garde à vue de 48 heures + détention préventive de six mois + 12 à 18 mois de prison ferme. Là je pense que ça en soignerait beaucoup. Enfin, j'ai arrêté de regarder la Formule 1 lorsque ce sport est devenu un sport d'ingénieur. Il faut bien admettre qu'aujourd'hui le cyclisme est devenu un sport de pharmaciens ... Et que je n'en ai plus grand chose à foutre parce que je pense in fine que la plupart des coureurs (du moins dans les 20 premières places) sont sur un pied d'égalité au regard des "soins" qu'il reçoivent.
  9. Non, non c'est pas seulement parce que je passe moins. Il y a certains films que je n'aurais jamais trouvé. Voilà pour la nouvelle énigme:
  10. Petit récapitulatif des scores pour commencer vu qu'il y a un certain temps que ça n'a pas été fait: Pos'2: 6 pts JKKS: 5 pts Esteban: 4 pts Alucard: 4 pts Snoop: 2 pts RR: 2 pts Fredodo: 2 pts Doll: 1 pt Blacksad: 1 pt Et il faut bien dire que c'est plutôt serré comme histoire.
  11. JKKS

    The Dark Knight

    Personnellement, je pense que je vais être obligé de couper internet à partir de demain (jour de la sortie US). Il sera à mon avis trop difficile de ne pas être spoilé (déjà qu'un enfoiré de m**** a posté le twist de Wanted sur les forums allociné) et le truc c'est que j'en sais déjà beaucoup trop à mon goût. Et le screener, c'est non, non, non et renon, je ne supporte définitivement pas de voir un film lambda dans ce genre de conditions. Alors The Dark Knight ... Juste pour info, The Dark Knight recueil actuellement 92 critiques positives pour 8 critiques négatives sur le site Rotten Tomatoes (Tomatometer à 92% donc) avec une note moyenne à 8,3/10. Le consensus dégagé est le suivant: "Dark, complex and unforgettable, The Dark Knight succeeds not just as an entertaining comic book film, but as a richly thrilling crime saga." Pour comparaison: - Indiana Jones 4 obtient un Tomatometer à 76 % et une note de 6,9/10 - Iron Man a pour le moment un meilleur Tomatometer que The Dark Knight (93%) mais une note très inférieure (7,6/10) - There Will Be Blood, Tomatometer à 92% et noté 8,4/10 - The Godfather II (auquel on compare souvent TDK) Tomatometer à 98% et noté 9,3/10 (mais avec peu de critiques) - Batman Begins, Tomatometer à 84% et noté 7,7/10
  12. JKKS

    The Dark Knight

    Et celle de Studio qui, je dois par contre le reconnaître, est particulièrement mal écrite, ce qui m'étonne de la part d'un média aussi sérieux. "Dans le précédent volet, on apprenait comment le milliardaire Bruce Wayne était devenu ce caverneux homme chauve-souris vengeur. Pour sa deuxième exploration du comic book qu'il a fait renaître de ses cendres, Christopher Nolan – qui a coécrit le scénario avec son frère Jonathan – nous livre, cette fois, un Batman formé et affranchi. Baignant dans une atmosphère toujours aussi sombre, mais encore plus réaliste (à des années-lumière de la fantasmagorie des Batman de Tim Burton !) et encore plus cérébrale que celle de Batman Begins. Tout le film est mis en scène avec une main de fer dans un gant de velours, éclaboussé d'effets spéciaux suaves et de cascades spectaculaires (on voudrait davantage encore voir la Bat-Bike à l'œuvre !), orchestré par une bande-son qui se fond dans les gratte-ciel new-yorkais jusqu'à ceux de Hong Kong où Batman va rendre justice… D'autant que l'interprétation est donnée, avec une cohésion envoûtante, par un casting étincelant composé de familiers du précédent Batman, et de nouveaux visages choisis avec tact. Christian Bale, et sa voix d'outre-tombe lorsqu'il porte le masque, est encore plus habité, mûri, avec un petit côté de James Bond cynique entouré de jolies filles. Son amertume s'explique par le fait que l'honnête mais vulnérable procureur de la République de Gotham City, Harvey Dent alias Two Face (solide Aaron Eckhart), sort avec son ex-petite amie (dynamique Maggie Gyllenhaal qui a remplacé Katie Holmes). Mais soulignons surtout LA grande idée de The Dark Knight : avoir donné au mythique méchant de la bande dessinée, Le Joker, la modernité et la fièvre d'un Heath Ledger méconnaissable et extraordinaire. Traumatisé et traumatisant, avec son visage mutilé, sa gestuelle et sa voix qui dégagent à l'unisson la folie d'un serial killer, l'acteur fait oublier la performance légendaire de Jack Nicholson dans le même rôle de clown dingue, et ce tour de force digne d'un Oscar rend la disparition du comédien encore plus tragique. Subsiste cependant une question qui atténue la maestria de cette suite : le film avait-il vraiment besoin de durer 2h30 ?" Note: 3/4 Par Juliette Michaud
  13. JKKS

    The Dark Knight

    La critique du site "Comme Au Cinéma": "Le Parrain des films de super-héros ! Des mois et des mois de buzz médiatique, de suspense et de rumeurs aboutissent enfin avec la sortie en salles de The Dark Knight, soit des nouvelles aventures du nouvel homme chauve-souris que Chris Nolan avait rebooté avec Batman Begins en 2005. Après tant d’attente, le film se devait d’être à la hauteur... Le réalisateur du Prestige ne déçoit pas, bien au contraire, il place ici la barre encore plus haut et efface les frontières entre les genres, faisant de cette adaptation de comic book un polar sombre et violent se mesurant aux plus grands films du registre. Plus ancré encore dans la réalité que dans le premier opus, Bruce Wayne/Batman doit faire face à son plus redoutable ennemi, le Joker, dans une Gotham City corrompue et contaminée par la mafia et la pègre. Dans la peau du millionnaire justicier, Christian Bale approfondit son personnage, plus torturé que jamais, tiraillé par les responsabilités de sa double vie. Mais celui vers qui tous les yeux sont rivés est sans aucun doute le regretté Heath Ledger, qui livre ici une performance phénoménale dans la peau d’un Joker anarchique et redoutable. Complètement habité par son personnage, le regard perçant, il ne joue pas, il EST le méchant par excellence qui ne se soucie guère des dégâts qu’il cause avec allégresse et non sans un humour aliéné. Sa prestation est telle qu’elle fait oublier dès sa première apparition (magistrale) la version de Jack Nicholson qui paraît désormais bien fade. Outre ce casting parfait, The Dark Knight est aussi un excellent polar noir, qui s’articule autour d’un scénario riche et haletant, abordant des thèmes aussi divers que la politique et le social. Résolument sombre, le spectre du 11 septembre plane sur le film - le Joker est un terroriste qui n’a aucune tendresse pour le genre humain - et la population est ici dépeinte avec pessimisme (et réalisme ?). Contrairement au patriotisme de Spider-man, Batman est une peinture noire peu reluisante de l’Amérique paranoïaque. Les scènes de bravoure sont également de très bonne facture. Moins brouillons que sur Begins, les combats sont percutants et surtout, lisibles. La course-poursuite dans les rues de Gotham impliquant une Batmobile survoltée, un Joker au volant d’un poids lourds nerveux qui finira par faire trois saltos, reste un monument du film. Le tout évidemment dans un univers esthétique bleu sombre de toute beauté, accompagné d’une partition dantesque issue de la collaboration entre Hans Zimmer et James Nexton Howard, deux grands noms de la musique de film. The Dark Knight parvient à dépasser son statut de simple blockbuster estival et se hisse au panthéon des grands films de genre." Par Jonathan Rabeute
  14. JKKS

    The Dark Knight

    Helloooo !!! Ca fait au moins un mois qu'on parle de l'écart qui existe entre les sorties belges et françaises. Et que l'on réclame un blackout complet d'informations/avis/critiques et spoilers entre le 18/07 (sortie américaine) et le 13/08 (sortie française).
  15. JKKS

    The Dark Knight

    Tony Di DiMizio pour The Reporter: "One of the greatest movies you'll see this decade, "The Dark Knight," is about to hit the screens. [...] The Dark Knight is the greatest superhero movie you will ever see on screen. It is sadistic, visually stunning and a gritty, gripping crime epic that would make even Scorcese jealous. Do yourself a favor and stand in line for this film. You won't be disappointed and it will definitely put a smile on your face. Permanently."
  16. JKKS

    The Dark Knight

    Une des premières critiques françaises, celle du site "Film De Culte": "Avec Batman Begins, la résurrection du célèbre super-héros chauve-souris, le réalisateur américain avait mis la barre haute, avec une noirceur peu commune pour un blockbuster grand public. Batman: the Dark Knight, le deuxième opus d'une trilogie qui pourrait devenir culte, est encore plus sombre et réussi, une authentique réussite dont l'ampleur formelle et thématique rappelle les grands films politiques des années 70, du jamais vu pour un film de super-héros mais finalement très proche de l'esprit des comics de Frank Miller. Jonathan et Christopher Nolan ont ressucité deux méchants mythiques de Batman, le Joker et Harvey Dent, pour tisser un scénario d'une complexité croissante, qui laisse la part belle à la psychologie des personnages et à une réflexion sur l'héroïsme et la dualité entre le bien et le mal. Au détriment de l'action et de l'émotion ? Non. Sans dévoiler les temps forts du film et les développements dramatiques, signalons juste une hallucinante séquence de course-poursuite dans les rues de Gotham et bien des surprises sur le plan scénaristique. Plus qu'un simple blockbuster estival de plus, Batman: The Dark Knight est un chef d'oeuvre du genre, tout simplement." Par Yannick Vély
  17. Cette daube d'Alien Vs Predator non ???
  18. JKKS

    The Dark Knight

    Et celle de Steve Persall: "The Dark Knight: Superheroic Shakespeare I'm pleased to announce that everything extraordinary you're heard, read, speculated and prayed for regarding The Dark Knight is absolutely true. This isn't only the greatest comic book movie ever, and one of the top-10 or so action flicks, it's the Academy Awards' ticket to engaging a moviegoing public believing the Oscars don't speak for their tastes, and caring less about the show each year. That's right. I'm guessing The Dark Knight will be a best picture finalist next spring. And academy voters don't need to worry about compromising their high-falutin' standards. Director/co-writer Christopher Nolan crafted a ruthless epic of adrenaline (which the academy typically stashes in technical categories) and labyrinthine morality and ethics no less complex and compelling as The Departed and No Country for Old Men. The Dark Knight deserves mention in such Oscar-winning company."
  19. JKKS

    The Dark Knight

    La critique de Scott Mantz pour Access Hollywood: "The existential, psychological, intelligent approach of “The Dark Knight” makes it less of a superhero movie and more of an epic crime drama that puts Nolan in the same league as Brian de Palma, Martin Scorsese and Michael Mann. And despite all the attention surrounding the late Heath Ledger, this is not “The Joker Show” (the character comes and goes). The tragedy is that he won’t be around to bask in the glow of his amazing performance, which is only part of a spectacular film that solidifies 2008 as an exceptional year for superhero movies."
  20. Le règne du feu sans convictions ...
  21. JKKS

    Derniers achats Comics....

    CITATION(poseidon2 @ 08/07/2008 à 07:34) [snapback]108250[/snapback]donc que je devrais attendre la version relié D'ici 15 ou 20 ans. Je le répète pour la millième fois sur ce topic (j'exagère à peine ) mais étant donné la façon dont marche DC en France (c'est à dire plutôt mal) Panini ne prévoit pas de sortir en librairie (même à long terme) les séries déjà publiées en kiosque. Un de ces quatre matin, va quand même falloir penser à se réveiller. Il est acquis que DC ne réussira pas à s'implanter durablement en France tant que certains attendront d'hypothétique sorties en librairie ou lirons des sagas trois ans après leur sortie. Je vous rappelle quand même que, faute de lecteurs, Batman & Superman a disparu comme le mensuel Batman, le mensuel Superman et les titres All Star. Que Superman & Batman originellement sorti en mensuel est devenu bimestriel (comme Infinite Crisis: 52 qui n'ira pas au delà de son treizième numéro et ne sera pas remplacée) et que DC Universe devrait prochainement subir le même sort. C'est pas contre vous mais honnêtement ça me bouffe ce genre de trucs.
  22. JKKS

    Derniers achats Comics....

    R.I.P. Michael Turner justement. Mort à 37 ans d'un cancer c'est moche quand même. Pas fan de son travail en règle générale mais admiratif de sa combativité.
  23. joyeux anniv' man. et oui, la wii ça défonce, mais la wii fit ça peut t'exploser méchamment aussi. enfin un accessoire pas mal pour les gens qui veulent faire un peu de sport à domicile.
  24. Code Name: The Cleaner !!!! Voilà c'est ça. Bien vu chef.
  25. JKKS

    The Dark Knight

    Autre petite critique (dont je ne trouve pas la source mais qui sent tellement bon que je la poste quand même): "Martin Scorsese's The Departed. Michael Mann's Heat. Brian de Palma's The Untouchables. And now, Christopher Nolan's The Dark Knight can join the ranks as one of the best crime dramas in modern movie history. It's only incidental it's set in the fictional gritty city of Gotham, and it just happens to feature a superhero wearing a bat-suit and an arch-villain in clown makeup." C'est demain le 13 août, hein, dites moi que c'est demain !!!
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