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Nickad

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  1. Titre de l'album : Le roi des bugs tome 1 Scenariste de l'album : TONY Dessinateur de l'album : TONY Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Katsumi Haruyama est développeur dans une boîte de jeux vidéo un peu minable, au management carrément toxique. Mais il n'a pas le choix ! Car le jeune homme a des dettes à rembourser. C'est pourquoi il a accepté de corriger seul les milliers de bugs du MMORPG Re World. Un travail abyssal, que Katsumi rend plus simple en transformant certains bugs en easter eggs, des bonus cachés qui donneront des superpouvoirs aux joueurs qui les trouveront. Une idée de laquelle il tirera sa survie. Car soudain le monde autour de lui s'écroule sur lui-même. Et lorsque Katsumi se réveille, il découvre qu'il a été plongé dans l'univers de Re World, entouré de ses anciens collègues qui le martyrisaient... mais aussi de monstres ! Des monstres qu'il pourra combattre grâce aux easters eggs dont il est le seul à connaître l'emplacement... Critique : Des webtoons où le personnage principal se retrouve coincé dans un jeu vidéo, il y en a beaucoup et ils ne sont pas toujours très originaux. Le roi des bugs a quelques caractéristiques propres qui font que ce 1er tome est réussi, propose des idées originales et en font une bonne distraction. La suite nous dira si le développement tombera dans le classique (à avoir, des personnages qui vont évoluer suivant les règles du jeu vidéo) ou non. Voici donc les points importants du récit : - Katsumi est l’un des développeurs du jeu et il est chargé de supprimer les bugs mais devant la quantité de problèmes il a préféré en transformer certains en gimmicks (ou easter egg pour les habitués), il s’agit de fonctions cachées qui se déclenchent en remplissant certaines conditions. - Il n’est pas le seul développeur et ne connaît pas le jeu en détail mais il est le seul à connaître les bugs/gimmicks - Katsumi n’est pas le seul individu qui va se retrouver projeté dans le jeu, en réalité tous les humains semblent avoir été touchés. Le roi des bugs n’est pas sans rappeler un peu Dungeon reset avec un personnage qui va, grâce aux bugs, contourner certaines règles, ce qui va forcément énerver le guide du jeu. Il y a de l’action mais aussi un peu d’humour. Il serait bon que cet équilibre perdure afin de ne pas tomber dans un récit centré sur l’acquisition des compétences et la chasse aux monstres. Tony est un auteur chinois, le webtoon compte plus de 110 chapitres à ce jour, il est toujours en cours et il est disponible sur la plateforme Piccoma. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-roi-des-bugs-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Le roi des bugs tome 1

    Des webtoons où le personnage principal se retrouve coincé dans un jeu vidéo, il y en a beaucoup et ils ne sont pas toujours très originaux. Le roi des bugs a quelques caractéristiques propres qui font que ce 1er tome est réussi, propose des idées originales et en font une bonne distraction. La suite nous dira si le développement tombera dans le classique (à avoir, des personnages qui vont évoluer suivant les règles du jeu vidéo) ou non. Voici donc les points importants du récit : - Katsumi est l’un des développeurs du jeu et il est chargé de supprimer les bugs mais devant la quantité de problèmes il a préféré en transformer certains en gimmicks (ou easter egg pour les habitués), il s’agit de fonctions cachées qui se déclenchent en remplissant certaines conditions. - Il n’est pas le seul développeur et ne connaît pas le jeu en détail mais il est le seul à connaître les bugs/gimmicks - Katsumi n’est pas le seul individu qui va se retrouver projeté dans le jeu, en réalité tous les humains semblent avoir été touchés. Le roi des bugs n’est pas sans rappeler un peu Dungeon reset avec un personnage qui va, grâce aux bugs, contourner certaines règles, ce qui va forcément énerver le guide du jeu. Il y a de l’action mais aussi un peu d’humour. Il serait bon que cet équilibre perdure afin de ne pas tomber dans un récit centré sur l’acquisition des compétences et la chasse aux monstres. Tony est un auteur chinois, le webtoon compte plus de 110 chapitres à ce jour, il est toujours en cours et il est disponible sur la plateforme Piccoma.
  3. Titre de l'album : Fends le vent tome 2 Scenariste de l'album : MIDORI Wataru Dessinateur de l'album : MIDORI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Après sa rencontre avec Chidori, un orthoprothésiste spécialisé dans l'accompagnement des sportifs, Shôta est bien décidé à devenir athlète paralympique ! Mais alors qu'il tente de s'intégrer dans le club d'athlétisme de son lycée, il se heurte à plusieurs obstacles : la réaction des autres membres qui doutent de ses capacités, les inquiétudes de sa mère, mais surtout, ses retrouvailles avec Take, son ancien ami du club de foot... Critique : Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fends-le-vent-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Fends le vent tome 2

    Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant.
  5. jusqu’à
    Le week-end prochain aura lieu la 3ème édition du Paris fan Festival Encore plus grand que l'année dernière (article détaillé ici), le 3e opus s'enrichit d'un village coréen et s'ouvre à la littérature ! Au programme : Un village coréen avec de la K-pop, de la K-food, de la K-beauty (la Corée est réputée pour ses produits cosmétiques) et bien sûr une partie dédiée aux webtoons avec la présence de nombreux auteurs français comme Natacha Ratto, Cyann, Kenjitoon, Tacméla, Goupeline, Forky, Magma et Ororo, Cécilia Garcia, Castorphénix, Kathys, Lelac, Karlu, Brian Strom et BubbleBee Une artiste alley avec de nombreux auteurs comics, BD, illustrateurs, mangakas... Vous pouvez retrouvez la liste complète ICI mais on citera quand même Didier Tarquin, RUN, Reno LEMAIRE, Enrico MARINI Des stars internationales ! Un grand tournoi caritatif Minecraft Ainsi que de nombreux autres jeux video à découvrir et à essayer ! L'arrivée du roman centré autour des genres YOUNG ADULT et ROMANTASY De nombreuses animations, des objets et des collections à admirer, des décors où s'immerger et de nombreux stands !! Pour tout savoir avant de venir Rendez-vous sur le site dédié à l'événement Paris Fan Festival - Evènement du 27 au 28 Avril 2024
  6. Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre.
  7. Titre de l'album : Chroniques de la mariée de Bretagne tome 1 Scenariste de l'album : TAKEHARA Junji Dessinateur de l'album : TAKEHARA Junji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Un récit médiéval où les apparences sont parfois trompeuses... Une quête de vengeance au cœur de la Bretagne du XIIIe siècle. XIIIe siècle, Bretagne... Thomas, un héraut, arpente un champ de bataille au péril de sa vie. À la fin de la bataille, il se voit confier une nouvelle mission : trouver une épouse pour l'héritier du duc de Bretagne ! Afin de s'acquitter de sa tâche, Thomas se rend à un tournoi en quête d' André le Bleau, un ami de son seigneur... Mais il va tomber nez à nez avec Andrée, une ravissante jeune fille habillée en chevalier, qui semble vouloir attenter à la vie du duc ! Critique : Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-de-la-mariee-de-bretagne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : L'auberge de la vie tome 1 Scenariste de l'album : ITOI Nozo Dessinateur de l'album : ITOI Nozo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À travers le quotidien d'une adolescente qui réapprend à vivre, Nozo Itoi regarde tendrement notre humanité. Le cap de Shide est aussi connu sous le nom du " cap de la mort ". C'est là que se rendent celles et ceux qui, n'ayant plus la volonté d'exister, décident de se jeter de la falaise pour mettre fin à leur existence. L'auberge Gilda se trouve à quelques minutes à pieds de là... Sumomo fait partie des personnes qui souhaitent se suicider. Mais avant de commettre l'irréparable, il lui reste une dernière chose à accomplir sur sa to do list : revoir une dernière fois la mystérieuse Yoko, qui est justement devenue la gérante de l'auberge Gilda. Mais les retrouvailles ne se dérouleront pas comme prévues... Critique : Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-auberge-de-la-vie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    L'auberge de la vie tome 1

    Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes.
  10. Titre de l'album : Kotaro en solo tome 1 Scenariste de l'album : TSUMURA Mami Dessinateur de l'album : TSUMURA Mami Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : À 4 ans, Kotaro vit seul en ville, dans un modeste appartement. Où sont ses parents ? Comment s'en sort-il au quotidien ? D'où vient l'argent qui lui permet de vivre ? En tout cas, il peut compter sur ses voisins pour ne pas s'ennuyer ! Il y a Shin Karino, un mangaka un peu fainéant qui peine à rencontrer le succès. Pas très loin, une femme travaille la nuit dans un club privé. Quant à l'homme qui habite à l'étage du dessous et qui est toujours en costume, il est le parfait cliché d'un yakuza. En dépit de sa situation saugrenue, et même s'il parle comme un seigneur féodal, Kotaro semble parfois moins bizarre que ses voisins ! Critique : Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kotaro-en-solo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Kotaro en solo tome 1

    Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix.
  12. Titre de l'album : Pumpkin night tome 4 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Après de longues années de silence, Kazuya ose enfin avouer ses sentiments à Naoko, alias Pumpkin Night. Malheureusement pour lui, Naoko ne survit pas au piège tendu par Tatsuo Kuroki, père de Naruto et maire de la ville, qui a voulu se débarrasser des deux adolescents. Fou de désespoir, Kazuya décide de prendre la relève de Naoko en portant à son tour le masque en forme de citrouille, créant alors son propre personnage. À présent, sa haine est entièrement dirigée contre les responsables de la mort de sa bien-aimée. Pumpkin Night, l'incarnation des ténèbres les plus profondes, reviendra sans cesse... jusqu'à ce que sa vengeance soit totale ! Critique : A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Pumpkin night tome 4

    A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains.
  14. Titre de l'album : One half of a married couple tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NATSUKAWA Yukino Dessinateur de l'album : KUROSAWA Akiyo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Aya, 29 ans, est mariée depuis deux ans. Elle jouit d'un quotidien paisible aux côtés de son époux Kazuma, un homme honnête et séduisant que tout le monde autour d'elle lui envie. Mais un jour, Aya découvre sur le téléphone de son mari un message lourd de sens. De plus, ce dernier se met à rentrer plus tard que d'habitude... "Dois-je enquêter sur l'infidélité de mon mari ?" "Est-ce que mon mari me trompe... ?!" Ainsi commence une vie conjugale pleine de doutes... Le thriller sentimental n°1 des ventes numériques au japon ! Le manga au succès retentissant ! Critique : Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/one-half-of-a-married-couple-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes
  16. Nickad

    Tsugai tome 3

    Titre de l'album : Tsugai tome 3 Scenariste de l'album : ARAKAWA Hiromu Dessinateur de l'album : ARAKAWA Hiromu Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Du mystère, du surnaturel, de l'aventure, une histoire de fraternité : le nouveau Hiromu Arakawa est un manga inclassable qui réserve bien des surprises !? Après l'assaut sur la résidence Kagemori, Yuru apprend qu' Asa est déjà morte une fois. Se remémorant des moments tragiques de leur passé, Yuru et sa sœur tentent ensemble de trouver des indices qui les mèneraient à leurs parents disparus... C'est alors que Dera arrive à la résidence Kagemori sans y avoir été invité... Une nouvelle aventure de Dark Fantasy issue de l'imagination de Hiromu Arakawa, créatrice de FULLMETAL ALCHEMIST ! Critique : Yuru et Aya peuvent enfin se parler, c’est le moment de revenir sur les événements passés, la fuite des parents, la présence d’une fausse Aya, les pouvoirs découlant de la naissance des jumeaux et c’est surtout le moment pour Yuru de prendre une décision : qui va-t-il suivre et que compte-t-il faire ? Un tome nécessaire qui permet de faire le point sur les informations des deux premiers tomes qui sont arrivées très vite et toutes en même temps. On comprend mieux à présent quels sont les enjeux autour des jumeaux et surtout comment sont organisés les différents camps. Un volume un peu moins dans l’action mais tout aussi important si ce n’est indispensable. Il y a encore beaucoup à découvrir dans ce manga surtout que nous sommes dans un nouvel univers où le lecteur manque de repères. C’est une aventure à plusieurs niveaux dans laquelle on ne peut rien prévoir et c’est très bien comme ça ! Un bon shonen à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tsugai-daemons-of-the-shadow-realm-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Tsugai tome 3

    Yuru et Aya peuvent enfin se parler, c’est le moment de revenir sur les événements passés, la fuite des parents, la présence d’une fausse Aya, les pouvoirs découlant de la naissance des jumeaux et c’est surtout le moment pour Yuru de prendre une décision : qui va-t-il suivre et que compte-t-il faire ? Un tome nécessaire qui permet de faire le point sur les informations des deux premiers tomes qui sont arrivées très vite et toutes en même temps. On comprend mieux à présent quels sont les enjeux autour des jumeaux et surtout comment sont organisés les différents camps. Un volume un peu moins dans l’action mais tout aussi important si ce n’est indispensable. Il y a encore beaucoup à découvrir dans ce manga surtout que nous sommes dans un nouvel univers où le lecteur manque de repères. C’est une aventure à plusieurs niveaux dans laquelle on ne peut rien prévoir et c’est très bien comme ça ! Un bon shonen à suivre.
  18. Nickad

    Kabukichô bad trip tomes 1 et 2

    Tôru est un hôte qui a plutôt du succès et ce n’est pas uniquement dû à son physique, il peut en effet lire dans les pensées des gens et peut donc répondre au mieux à leurs attentes. Un jour, il croise le mannequin dont il est fan, Mizuki, et sans vraiment le vouloir, il découvre que ce dernier à des penchants originaux. Cela ne l’empêche pas de continuer à le côtoyer et devant l’amour qu’il ressent, il est prêt à assouvir quelques fantasmes de Mizuki. Avant toute chose, ce titre est réservé à un public averti, en plus des scènes osées, il y a des idées coquines à foison. Le récit joue sur deux tableaux, le premier est le pouvoir de Tôru qui peut lire les pensées des autres juste en les regardant, un pouvoir dont il ne se sert pas à mauvais escient et qui permet au lecteur de voir les différences qui existent entre les pensées et les mises en application de l’autre. L’auteur montre ainsi qu’il y a une différence entre les fantasmes et la réalité et qu’il ne faut pas forcément faire l’amalgame, il montre également qu’il ne faut pas « juger un livre à sa couverture ». Par ailleurs, cette narration permet d’entrer dans la psychologie des personnages ; le lecteur comprend ainsi les efforts qui sont fournis et les concessions qui sont faites de part et d’autre afin que leur histoire d’amour fonctionne. Le deuxième point abordé mais qui n’est pas vraiment approfondi dans ces deux premiers tomes, c’est l’admiration de Tôru envers un mannequin homme. S’il cache cette « passion » c’est à cause du regard de la société toujours prête à juger. Et bien sûr, il y a la romance qui évolue peu à peu, servie par un trait fin et élégant. Kabukichô Bad Trip fait donc un bon début avec une histoire qui sort de l’ordinaire, coquine et intéressante.
  19. Titre de l'album : Kabukichô bad trip tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NAGISA Eiji Dessinateur de l'album : NAGISA Eiji Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Tôru Miyama est un jeune homme séduisant et très populaire au quartier Kabukichô, le quartier rouge de Shinjuku, où il travaille en tant qu'hôte dans un bar. Mais Tôru cache deux secrets : il sait lire dans les pensées et il est un grand fan du mannequin Mizuki Hikawa. Jusqu'au jour où il va le rencontrer par hasard et où tout va basculer... Aux anges, Tôru est pris d'une envie soudaine de jeter un œil dans ses pensées. C'est alors que celui-ci le voit l'attacher, le frapper et se jouer de lui ! Qu'est-ce que ça peut bien signifier ?! Critique : Tôru est un hôte qui a plutôt du succès et ce n’est pas uniquement dû à son physique, il peut en effet lire dans les pensées des gens et peut donc répondre au mieux à leurs attentes. Un jour, il croise le mannequin dont il est fan, Mizuki, et sans vraiment le vouloir, il découvre que ce dernier à des penchants originaux. Cela ne l’empêche pas de continuer à le côtoyer et devant l’amour qu’il ressent, il est prêt à assouvir quelques fantasmes de Mizuki. Avant toute chose, ce titre est réservé à un public averti, en plus des scènes osées, il y a des idées coquines à foison. Le récit joue sur deux tableaux, le premier est le pouvoir de Tôru qui peut lire les pensées des autres juste en les regardant, un pouvoir dont il ne se sert pas à mauvais escient et qui permet au lecteur de voir les différences qui existent entre les pensées et les mises en application de l’autre. L’auteur montre ainsi qu’il y a une différence entre les fantasmes et la réalité et qu’il ne faut pas forcément faire l’amalgame, il montre également qu’il ne faut pas « juger un livre à sa couverture ». Par ailleurs, cette narration permet d’entrer dans la psychologie des personnages ; le lecteur comprend ainsi les efforts qui sont fournis et les concessions qui sont faites de part et d’autre afin que leur histoire d’amour fonctionne. Le deuxième point abordé mais qui n’est pas vraiment approfondi dans ces deux premiers tomes, c’est l’admiration de Tôru envers un mannequin homme. S’il cache cette « passion » c’est à cause du regard de la société toujours prête à juger. Et bien sûr, il y a la romance qui évolue peu à peu, servie par un trait fin et élégant. Kabukichô Bad Trip fait donc un bon début avec une histoire qui sort de l’ordinaire, coquine et intéressante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kabukicho-bad-trip?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : 365 days to the wedding tome 1 Scenariste de l'album : WAKAKi Tamiki Dessinateur de l'album : WAKAKi Tamiki Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Rika et Takuya sont agents de voyages chez J.T.C. De nature peu sociable et discrète, ils mènent chacun de leur côté une petite vie solitaire mais épanouie à Tokyo. Cependant, une nouvelle inattendue risque de chambouler leur quotidien : l'agence pour laquelle ils travaillent recherche une personne non mariée pour gérer sa toute nouvelle succursale à Irkoutsk en Sibérie. Heureusement, Rika a un plan... Se marier alors qu'ils se connaissent à peine ? Critique : Une agence de voyage compte ouvrir une succursale en Sibérie et comme c’est une mutation lointaine qui prendra du temps, seules les personnes célibataires sont concernées. Hélas, personne ne semble vouloir y aller mais quand on est un célibataire endurci sans véritable vie sociale, refuser semble compliquer. C’est là que Rika, une jeune femme passionnée par les cartes mais qui n’aime pas vraiment voyager à une idée de génie, elle propose à son collègue Takuya, un jeune homme réservé dont la seule préoccupation est de s’occuper de son chat, de faire un faux mariage. Si l’agence accueille plutôt bien cette nouvelle, certains semblent soupçonner l’arnaque, arriveront-ils à donner le change pour éviter la mutation ? Le début du manga est un peu mou et pour cause, les personnages principaux sont les deux personnes les plus réservées et les moins communicatives de l’agence ! Celles qui ne se font pas remarquer et qui ont tendance à se cacher dans un trou de souris ! Ils vont vite se rendre compte que l’enthousiasme autour de leur mariage dépasse leurs prévisions et qu’il va falloir donner le change. Ce qu’ils n’avaient pas prévu en revanche, c’est un éventuel rapprochement. L’histoire gagne cependant en intérêt au fil de la lecture quand ils se retrouvent confrontés à leurs collègues qui commencent à leur poser plein de questions. C’est donc un début de série plutôt tranquille qui va s’étoffer peu à peu. La série est finie en 11 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/365-days-to-the-wedding-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    365 days to the wedding tome 1

    Une agence de voyage compte ouvrir une succursale en Sibérie et comme c’est une mutation lointaine qui prendra du temps, seules les personnes célibataires sont concernées. Hélas, personne ne semble vouloir y aller mais quand on est un célibataire endurci sans véritable vie sociale, refuser semble compliquer. C’est là que Rika, une jeune femme passionnée par les cartes mais qui n’aime pas vraiment voyager à une idée de génie, elle propose à son collègue Takuya, un jeune homme réservé dont la seule préoccupation est de s’occuper de son chat, de faire un faux mariage. Si l’agence accueille plutôt bien cette nouvelle, certains semblent soupçonner l’arnaque, arriveront-ils à donner le change pour éviter la mutation ? Le début du manga est un peu mou et pour cause, les personnages principaux sont les deux personnes les plus réservées et les moins communicatives de l’agence ! Celles qui ne se font pas remarquer et qui ont tendance à se cacher dans un trou de souris ! Ils vont vite se rendre compte que l’enthousiasme autour de leur mariage dépasse leurs prévisions et qu’il va falloir donner le change. Ce qu’ils n’avaient pas prévu en revanche, c’est un éventuel rapprochement. L’histoire gagne cependant en intérêt au fil de la lecture quand ils se retrouvent confrontés à leurs collègues qui commencent à leur poser plein de questions. C’est donc un début de série plutôt tranquille qui va s’étoffer peu à peu. La série est finie en 11 tomes.
  22. Ume est un lycéen qui excelle en littérature, il aime les lettres, les mots, et se sent tel un écrivain talentueux. Hélas, il est nul en science et risque de redoubler ! Afin de remonter sa moyenne, sa professeure principale lui fait intégrer le conseil des élèves. Il y fait la rencontre des autres membres qui ont tous un grain plus ou moins important. Ce manga humoristique est sous forme de yonkoma (4 cases verticales). En général, ce format raconte sur une colonne une petite histoire ; ici, même si l’on garde une chute à chaque fin de colonne, il y a un lien entre les saynètes et donc une progression dans les relations entre les personnages. Concernant le partie humoristique, les gags tournent souvent autour de quiproquos ou plutôt comme l’on dit par chez moi de ceux qui ont l’esprit « mal tourné » et qui pensent tout de suite à des choses coquines. On aura par exemple une méprise autour d’un bilboquet… Cependant, le manga ne va jamais trop loin, il n’est pas vulgaire et il est facile à lire. Je crains cependant une lassitude si les gags ne se renouvellent pas assez mais c’est le lot de tous les mangas humoristiques ! En attendant, c’est un manga assez distrayant pour un moment de pure détente.
  23. Titre de l'album : Les allumés du conseil tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MUCHIMARO Dessinateur de l'album : MUCHIMARO Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Découvrez la comédie mignonne et coquine du conseil étudiant !! Plus de 700 000 exemplaires vendus au Japon ! " Bienvenue parmi nous, Ume ! " Dans une école à l'extrémité de la ville, Mizunoe Ume, un passionné de littérature, se retrouve dans l'obligation d'intégrer le conseil des élèves pour éviter le redoublement. Cependant, tous les membres du conseil sont de drôles d'oiseaux. Une bande de sacrés crétins, tantôt pervers, tantôt terrifiants. Suivez la vie scolaire riche en émotions de ces personnages aux personnalités uniques ! Une histoire d'ados déjantés !! Découvrez les amitiés du conseil des élèves ! Vous allez craquer pour eux Critique : Ume est un lycéen qui excelle en littérature, il aime les lettres, les mots, et se sent tel un écrivain talentueux. Hélas, il est nul en science et risque de redoubler ! Afin de remonter sa moyenne, sa professeure principale lui fait intégrer le conseil des élèves. Il y fait la rencontre des autres membres qui ont tous un grain plus ou moins important. Ce manga humoristique est sous forme de yonkoma (4 cases verticales). En général, ce format raconte sur une colonne une petite histoire ; ici, même si l’on garde une chute à chaque fin de colonne, il y a un lien entre les saynètes et donc une progression dans les relations entre les personnages. Concernant le partie humoristique, les gags tournent souvent autour de quiproquos ou plutôt comme l’on dit par chez moi de ceux qui ont l’esprit « mal tourné » et qui pensent tout de suite à des choses coquines. On aura par exemple une méprise autour d’un bilboquet… Cependant, le manga ne va jamais trop loin, il n’est pas vulgaire et il est facile à lire. Je crains cependant une lassitude si les gags ne se renouvellent pas assez mais c’est le lot de tous les mangas humoristiques ! En attendant, c’est un manga assez distrayant pour un moment de pure détente. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-allumes-du-conseil-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : L'amour le plus lointain au monde tome 1 Scenariste de l'album : ASOU Mitsuaki Dessinateur de l'album : ASOU Mitsuaki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : C'est par hasard que se rencontrent Isuzu et Tôka, l'un atteint de surdité profonde et l'autre violoniste. Ensemble, ils vont petit à petit trouver chez l'autre ce qui leur fait défaut et se rapprocher. Tôka réalise alors qu'il a des sentiments pour Isuzu. Mais une fois sa flamme déclarée, il se rend compte qu'Isuzu est plus qu'hésitant... Critique : Voici une belle histoire, joliment racontée sans jamais tomber dans le cliché ni dans le larmoyant. C’est l’histoire d’une rencontre entre un jeune violoniste et un homme malentendant. Tokâ a 19 ans il est violoniste autodidacte, n’a jamais appris la technique et ne sait pas vraiment déchiffrer les partitions, cela le rend très talentueux d’un côté et très déroutant de l’autre car il ne vit sa musique qu’à travers ses émotions sans prendre en compte l’environnement qui l’entoure. Isuzu, 29 ans, travaille en free-lance et souvent de chez lui, il est né sourd mais cela ne l’empêche pas de ressentir les vibrations de la musique. Cette rencontre va être un déclic pour l’un comme pour l’autre, c’est un peu comme s’ils allaient se retrouver en face de leur opposé. Celui pour qui le son est toute sa vie se retrouve en face de celui pour qui le son n’existe pas et qui compense ce trouble de la communication par des expressions faciales plus marquées. Chaque moment du livre est beau car on sent les efforts que chacun met pour aller vers l’autre et essayer de comprendre son univers. Que ce soit le graphisme ou la narration, tout est fait avec élégance et finesse, même le handicap est abordé simplement, sans jugement, sans parti pris et avec beaucoup de justesse. Un très beau 1er tome, vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-amour-le-plus-lointain-du-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Voici une belle histoire, joliment racontée sans jamais tomber dans le cliché ni dans le larmoyant. C’est l’histoire d’une rencontre entre un jeune violoniste et un homme malentendant. Tokâ a 19 ans il est violoniste autodidacte, n’a jamais appris la technique et ne sait pas vraiment déchiffrer les partitions, cela le rend très talentueux d’un côté et très déroutant de l’autre car il ne vit sa musique qu’à travers ses émotions sans prendre en compte l’environnement qui l’entoure. Isuzu, 29 ans, travaille en free-lance et souvent de chez lui, il est né sourd mais cela ne l’empêche pas de ressentir les vibrations de la musique. Cette rencontre va être un déclic pour l’un comme pour l’autre, c’est un peu comme s’ils allaient se retrouver en face de leur opposé. Celui pour qui le son est toute sa vie se retrouve en face de celui pour qui le son n’existe pas et qui compense ce trouble de la communication par des expressions faciales plus marquées. Chaque moment du livre est beau car on sent les efforts que chacun met pour aller vers l’autre et essayer de comprendre son univers. Que ce soit le graphisme ou la narration, tout est fait avec élégance et finesse, même le handicap est abordé simplement, sans jugement, sans parti pris et avec beaucoup de justesse. Un très beau 1er tome, vivement la suite !
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