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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Titre de l'album : Leviathan deep water tome 3 Scenariste de l'album : LEE Gyuntak Dessinateur de l'album : NOH Miyoung Coloriste : Editeur de l'album : Kmics Note : Résumé de l'album : Pensant qu'Union Busan allait devenir leur nouvel havre de paix, Rita et Bota font tout pour s'adapter. Malheureusement, ils déchantent vite. Harcelés par un harponneur épris de rancœur et constatant l'injustice flagrante qui sévit chaque jour, ils se révoltent. Devront-ils fuir et découvrir une nouvelle terre d'accueil dans laquelle ils pourront trouver le repos ? Dans la profondeur de l'océan, la menace rôde. Critique : Poh poh poh… Ça c’est du bon ! Les personnages ont à peine le temps d’arriver dans un nouvel endroit que tout bascule à nouveau. Les enfants de Teon Ma sont pris en grippe par des agents de sécurité qui veulent leur faire payer la « trahison » de leur père. Heureusement Kana vient à leur secours, ils arrivent à s’échapper, non sans mal, et doivent à présent trouver un autre refuge. Quelques années passent plutôt tranquillement, Bota a grandi et a appris à se défendre (il faut dire qu’il a une super prof !). Seulement dans ce nouveau monde, le danger guette partout et ils vont devoir faire face à une nouvelle menace. L’expression « tomber de Charybde en Scylla » sied à merveille à ce webtoon et ce n’est pas pour nous déplaire. Non seulement on passe d’un événement à un autre sans avoir le temps de souffler mais on savoure également la richesse des détails des constructions de fortune faites de bric et de broc. Les auteurs ont poussé la réflexion très en avant dans l’étude de leur décors et l’utilisation de ce que l’on pourrait trouver si un tel cas se présentait. Si dans un certain nombre de livres, on voit la trame de l’histoire se dessiner avec une évolution parfois cousue de fil blanc, ce n’est pas le cas ici. On ne sait pas où l’on va et on s’en moque car le rythme effréné du récit nous emporte avec lui, on n’a pas le temps de se projeter car on vit l’aventure à 200% ! J’ai hâte de découvrir ce que nous réserve la suite ! En attendant, plongez dans ce webtoon si vous ne l’avez pas déjà fait ! Le 4e tome devrait sortir en décembre, parfait pour un cadeau de Noël ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-deep-water-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Tunnel to summer tome 3

    A chaque fin de volume de cette série, j’aimerai savoir la suite. Je pourrais aller voir le film d’animation mais je préfère attendre pour savourer l’histoire une seconde fois et apprécier l’adaptation. Cela ne devrait pas trop tarder vu que le 4e et dernier tome est prévu pour le 6 décembre. Si on sait ce que recherche Kaoru, on ignorait ce que souhaitait Hanashiro. Ce nouvel opus nous permet de mieux la comprendre, on découvre sa situation familiale et ses passions. On voit aussi que la relation entre les deux commence à changer. Mais la fin de ce volume va rappeler Kaoru à une dure réalité, à un constat amer qui risque d’avoir des conséquences sur la suite. S’il souhaite découvrir ce qu’il y a au bout du tunnel, voudra-t-il en revenir ?
  3. Titre de l'album : Tunnel to summer tome 3 Scenariste de l'album : HACHIMOKU Mei Dessinateur de l'album : KOUDON / KUKKA Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un matin d'été, Kaoru Tôno entend parler d'une intrigante légende urbaine. Un tunnel connu sous le nom d'Urashima permettrait d'exaucer tous les voeux. Et si ce lieu pouvait permettre au jeune lycéen de retrouver celle qui lui était si chère ?Kaoru et Hanashiro profitent des vacances d'été pour se plonger dans une expédition en profondeur du tunnel. Malheureusement, ils n'obtiennent pas la moindre réponse sur les mystères qu'il renferme. Alors que Kaoru s'apprête à rentrer bredouille, Hanashiro l'invite chez elle et semble sur le point de lui avouer quelque chose... Critique : A chaque fin de volume de cette série, j’aimerai savoir la suite. Je pourrais aller voir le film d’animation mais je préfère attendre pour savourer l’histoire une seconde fois et apprécier l’adaptation. Cela ne devrait pas trop tarder vu que le 4e et dernier tome est prévu pour le 6 décembre. Si on sait ce que recherche Kaoru, on ignorait ce que souhaitait Hanashiro. Ce nouvel opus nous permet de mieux la comprendre, on découvre sa situation familiale et ses passions. On voit aussi que la relation entre les deux commence à changer. Mais la fin de ce volume va rappeler Kaoru à une dure réalité, à un constat amer qui risque d’avoir des conséquences sur la suite. S’il souhaite découvrir ce qu’il y a au bout du tunnel, voudra-t-il en revenir ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tunnel-to-summer-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Cherry magic tome 2

    A présent qu’Adachi sait à quoi s’en tenir vis-à-vis de Kurosawa, il commence à voir les choses autrement mais au point non plus de succomber au charme de son collègue. N’oublions pas qu’Adachi est puceau, il a zéro expérience sentimentale ! C’est peut-être parce que j’ai découvert ce titre au travers du drama mais je trouve que le graphisme aurait pu être plus séduisant, il manque une petite touche de glamour ! Ce qui est bien également, c’est que les pensées ne peuvent être sues que s’il y a contact physique. Cela permet de ne pas aller trop vite dans la relation et de ne pas faciliter la tâche de notre héros. S’il pouvait savoir à tout moment ce que tout le monde pense, ce serait à la fois trop facile et absolument invivable (pour lui). La romance poursuit son cours avec beaucoup de douceur et de mignonneries.
  5. Titre de l'album : Cherry magic tome 2 Scenariste de l'album : TOYOTA Yuu Dessinateur de l'album : TOYOTA Yuu Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec humour et une pointe de magie, Yuu Toyota met en scène une adorable romance entre deux hommes adultes. Grâce à sa bienveillance, Cherry Magic ne manquera pas de faire fondre vos cœurs ! D'abord mal à l'aise vis-à-vis des sentiments que Kurosawa éprouve envers lui, Adachi a fini par accepter cette idée. D'ailleurs, il commence même à être un peu moins sur la défensive, ce qui ne laisse pas son collègue indifférent... À l'occasion d'un voyage d'entreprise, les deux hommes se rapprocheront-ils ? Critique : A présent qu’Adachi sait à quoi s’en tenir vis-à-vis de Kurosawa, il commence à voir les choses autrement mais au point non plus de succomber au charme de son collègue. N’oublions pas qu’Adachi est puceau, il a zéro expérience sentimentale ! C’est peut-être parce que j’ai découvert ce titre au travers du drama mais je trouve que le graphisme aurait pu être plus séduisant, il manque une petite touche de glamour ! Ce qui est bien également, c’est que les pensées ne peuvent être sues que s’il y a contact physique. Cela permet de ne pas aller trop vite dans la relation et de ne pas faciliter la tâche de notre héros. S’il pouvait savoir à tout moment ce que tout le monde pense, ce serait à la fois trop facile et absolument invivable (pour lui). La romance poursuit son cours avec beaucoup de douceur et de mignonneries. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cherry-magic-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Pumpkin Night tome 1

    Cette nouvelle série Mangetsu ne vous laissera pas de marbre. Ou vous aimerez ou vous détesterez, c’est le genre de série qui ne fait pas consensus. Pourquoi ? Car elle tranche dans le vif, ne fait pas dans la demi-mesure et vous prend aux tripes dès la 1ère page ! Un massacre sanglant dès le début, des cranes fracassés, des viscères éparpillés… de quoi vous soulevez le cœur ! Car Pumpkin night est le surnom d’une jeune fille étrange cachée sous un masque de citrouille, une jeune fille internée suite aux maltraitances du harcèlement scolaire, une jeune fille qui veut se venger et qui se moque d’entrainer des innocents dans sa quête. Est-ce qu’elle était déjà dérangée préalablement ? C’est une possibilité qui n’est pas avérée dans ce 1er tome (la série est en cours avec 7 tomes sortis au Japon). Ce qui est sûr, c’est qu’elle souhaite s’amuser en se vengeant, faire des vues sur youtube au passage en faisant du grand spectacle. Il y a cependant un point qui me dérange légèrement : la plausibilité des situations. Autant dans un manga comme Denjin N, la mise en scène des meurtres était acceptable car on était dès le début dans un genre fantastique. Ici, les capacités physiques de Pumpkin Night et la force qu’elle met pour passer au travers des os me semble improbable. On n’est pas dans un contexte « possible » de vengeance comme on l’était dans Revenge classroom. Le manga est profondément violent, choquant et parfois écœurant mais dans le genre horrifique, il fait son travail et le fait bien. Le graphisme est parfaitement adapté et nous glace d’effroi. Un bon manga d’horreur pour ceux qui aime avoir peur.
  7. Titre de l'album : Pumpkin Night tome 1 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Ce soir, Asumi Nakatani a gagné une nouvelle followeuse sur les réseaux sociaux : la mystérieuse Pumpkin Night. Peu de temps après, elle reçoit une menace de mort... avant d'être sauvagement assassinée, le soir même, par une jeune fille avec une citrouille en guise de masque. Kazuya, à l'autre bout du fil, reçoit lui aussi un avertissement. Ses amis et lui seront les suivants ! Serait-ce une simple coïncidence ? Une fois qu'elle vous a pris pour cible, impossible d'échapper à Pumpkin Night... Rien ni personne ne pourra l'empêcher d'assouvir sa soif de vengeance !Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : Cette nouvelle série Mangetsu ne vous laissera pas de marbre. Ou vous aimerez ou vous détesterez, c’est le genre de série qui ne fait pas consensus. Pourquoi ? Car elle tranche dans le vif, ne fait pas dans la demi-mesure et vous prend aux tripes dès la 1ère page ! Un massacre sanglant dès le début, des cranes fracassés, des viscères éparpillés… de quoi vous soulevez le cœur ! Car Pumpkin night est le surnom d’une jeune fille étrange cachée sous un masque de citrouille, une jeune fille internée suite aux maltraitances du harcèlement scolaire, une jeune fille qui veut se venger et qui se moque d’entrainer des innocents dans sa quête. Est-ce qu’elle était déjà dérangée préalablement ? C’est une possibilité qui n’est pas avérée dans ce 1er tome (la série est en cours avec 7 tomes sortis au Japon). Ce qui est sûr, c’est qu’elle souhaite s’amuser en se vengeant, faire des vues sur youtube au passage en faisant du grand spectacle. Il y a cependant un point qui me dérange légèrement : la plausibilité des situations. Autant dans un manga comme Denjin N, la mise en scène des meurtres était acceptable car on était dès le début dans un genre fantastique. Ici, les capacités physiques de Pumpkin Night et la force qu’elle met pour passer au travers des os me semble improbable. On n’est pas dans un contexte « possible » de vengeance comme on l’était dans Revenge classroom. Le manga est profondément violent, choquant et parfois écœurant mais dans le genre horrifique, il fait son travail et le fait bien. Le graphisme est parfaitement adapté et nous glace d’effroi. Un bon manga d’horreur pour ceux qui aime avoir peur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    From FPS to RPG tome 1

    Un personnage qui se retrouve dans le jeu vidéo auquel il jouait, c’est du déjà-vu. Un personnage qui se fait « isekaïer » dans un monde de fantasy, ce n’est pas original non plus. MAIS un joueur en plein jeu vidéo FPS (comprendre jeu de tir avec méga armement et plein de gens à dégommer) qui se retrouve dans un monde de fantasy avec tout son équipement ultra moderne, c’est une première (pour moi en tout cas !). C’est ce qui arrive au personnage principal Ren Saitô. Tout à coup il débarque en pleine cambrousse et va voler au secours d’une jeune fille en détresse enlevée par les gobelins. Autant dire qu’il faut qu’il se dépêcher, ces créatures n’étant vraiment mais vraiment pas tendres avec les filles. S’il ne peut pas encore communiquer son interface jeu lui permet de comprendre le langage d’Ashley (la demoiselle). Le voilà parti pour devenir aventurier sous le nom de Schwartz, travailler pur gagner des sous et de l’expérience et trouver des indices pour pouvoir revenir dans son monde d’origine. Sa seule difficulté : il ne peut pas se servir de la magie, il est donc considéré comme un bon à rien. Heureusement, il a accès à tout son équipement FPS et comme il était doué, il a plein d’armes. Il lui faut à présent trouver une solution pour recharger son artillerie. Le véritable intérêt de ce manga réside dans l’opposition entre les deux styles de jeux : FPS et RPG. C’est plutôt intéressant de voir comment il va s’en sortir avec des armes modernes et comment cela va être perçu. Pour la suite de l’histoire, le scénario semble être cousu de fil blanc : monsieur va s’en sortir, se faire une réputation, avoir des filles à ses côtés, etc… J’espère être surprise, la suite nous le dira.
  9. Titre de l'album : From FPS to RPG tome 1 Scenariste de l'album : JIRAIGEN Dessinateur de l'album : SAIKI Junichi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Tout commence avec un homme passionné par les FPS. Un jour, en pleine partie, celui-ci dérape malencontreusement et tombe en dehors de la map. Pensant mourir jusqu'aux derniers instants de la plus stupide des façons, Ren Saitô se réveille finalement dans un RPG d'heroic fantasy. Pour survivre dans ce monde peuplé de monstres extrêmement agressifs, il pourra compter sur l'interface du jeu et sur ses armes à feu favorites ! Critique : Un personnage qui se retrouve dans le jeu vidéo auquel il jouait, c’est du déjà-vu. Un personnage qui se fait « isekaïer » dans un monde de fantasy, ce n’est pas original non plus. MAIS un joueur en plein jeu vidéo FPS (comprendre jeu de tir avec méga armement et plein de gens à dégommer) qui se retrouve dans un monde de fantasy avec tout son équipement ultra moderne, c’est une première (pour moi en tout cas !). C’est ce qui arrive au personnage principal Ren Saitô. Tout à coup il débarque en pleine cambrousse et va voler au secours d’une jeune fille en détresse enlevée par les gobelins. Autant dire qu’il faut qu’il se dépêcher, ces créatures n’étant vraiment mais vraiment pas tendres avec les filles. S’il ne peut pas encore communiquer son interface jeu lui permet de comprendre le langage d’Ashley (la demoiselle). Le voilà parti pour devenir aventurier sous le nom de Schwartz, travailler pur gagner des sous et de l’expérience et trouver des indices pour pouvoir revenir dans son monde d’origine. Sa seule difficulté : il ne peut pas se servir de la magie, il est donc considéré comme un bon à rien. Heureusement, il a accès à tout son équipement FPS et comme il était doué, il a plein d’armes. Il lui faut à présent trouver une solution pour recharger son artillerie. Le véritable intérêt de ce manga réside dans l’opposition entre les deux styles de jeux : FPS et RPG. C’est plutôt intéressant de voir comment il va s’en sortir avec des armes modernes et comment cela va être perçu. Pour la suite de l’histoire, le scénario semble être cousu de fil blanc : monsieur va s’en sortir, se faire une réputation, avoir des filles à ses côtés, etc… J’espère être surprise, la suite nous le dira. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/from-fps-to-rpg-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Si l’on veut être honnête, ce spin-off de la série principale n’a aucun intérêt si on n’a pas lu l’original. Il faut un minimum de connaissance sur Limule, ses compagnons et son pays de monstres pour apprécier les subtilités des mises en situation. Heureusement pour moi, j’aime cette série alors même si l’histoire s’articule autour de 3 nouveaux personnages, chacune envoyée par un pays étranger pour espionner Tempest. Il est plaisant de lire ces petites histoires et d’y retrouver dans un contexte moins sérieux les personnages phares du manga. Si le scénario est toujours de Fuse, le dessin a été confié à Tae TONO dont c’est la 1ère œuvre en France. Un graphisme dans la lignée de la série principale et qui n’a rien à lui envier. Au final, on obtient une histoire sympathique qui fera plaisir aux fans de la série.
  11. Titre de l'album : Moi, quand je me réincarne en slime - Trinité tome 1 Scenariste de l'album : FUSE Dessinateur de l'album : TONO Tae Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Découvrez les nouvelles aventures à Tempest de trois héroïnes pleines d'énergie dans ce nouveau spin-off de Moi, quand je me réincarne en Slime ! Trois jeunes guerrières sont arrivées à Tempest en provenance de trois contrées différentes, chargées d'une mission secrète par leurs dirigeants respectifs : le seigneur Callion d'Eurasanie, le royaume des hommes-bêtes, Millim de la capitale des dragons et Frey de Frubrosie, la nation céleste. Suivez les aventures rocambolesques de nos trois héroïnes qui ne manqueront pas de mettre de l'animation dans la paisible ville fondée par maître Limule ! Critique : Si l’on veut être honnête, ce spin-off de la série principale n’a aucun intérêt si on n’a pas lu l’original. Il faut un minimum de connaissance sur Limule, ses compagnons et son pays de monstres pour apprécier les subtilités des mises en situation. Heureusement pour moi, j’aime cette série alors même si l’histoire s’articule autour de 3 nouveaux personnages, chacune envoyée par un pays étranger pour espionner Tempest. Il est plaisant de lire ces petites histoires et d’y retrouver dans un contexte moins sérieux les personnages phares du manga. Si le scénario est toujours de Fuse, le dessin a été confié à Tae TONO dont c’est la 1ère œuvre en France. Un graphisme dans la lignée de la série principale et qui n’a rien à lui envier. Au final, on obtient une histoire sympathique qui fera plaisir aux fans de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-quand-je-me-reincarne-en-slime-trinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Kaiju Defense Force tome 1

    Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir.
  13. Titre de l'album : Kaiju Defense Force tome 1 Scenariste de l'album : INOUE Junya / SHIRATO Seiichi Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Quelque temps plus tard, à bord du paquebot de luxe Fugaku, se trouve Konoé Sakimori, militaire fraîchement diplômée de l'Académie de défense nationale. Quand un kaijû attaque le navire, une lutte sans merci débute pour les Forces japonaises d'autodéfense qui tentent de repousser ces monstres redoutables. Dans leurs rangs, la jeune Konoé pourrait bien devenir l'héroïne dont le monde a besoin pour sortir de ce cauchemar.. Critique : Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Witch and cat

    Sudô est un jeune homme qui vit au jour le jour, il trempe même dans des histoires louches. Cependant, il salue son voisin tous les jours mais ce dernier l’ignore. Un soir où Sudô revient blessé, il fait plus ample connaissance avec Juichi. De confidence en confidence mais surtout à cause d’un événement violent, Sudô finit par apprendre que Juichi est un sorcier pourchassé et que leurs destins sont à présent liés. L’histoire autour des sorciers et de leur familier est plutôt intéressante et il y a de bonnes idées comme le nombre de vies du familier où l’exploitation du pacte. Seulement pour en faire un titre plus yaoi, le pacte s’entretient par les relations charnelles (une transmission d’énergie plus intense !). Ce n’était pas vraiment nécessaire à l’histoire, enfin si on considère que la relation sorcier/familier est au cœur du scénario… Par contre, si l’objectif est le sexe et que le reste ne sert que d’enrobage, il y a de quoi faire mais peut-être un léger manque. Globalement, on se perd un peu sur les priorités de l’auteur et on aurait aimé un peu plus de teneur par rapport au monde des sorciers mais le manga reste distrayant et bien dessiné.
  15. Nickad

    Witch and cat

    Titre de l'album : Witch and cat Scenariste de l'album : KUROI Yodaka Dessinateur de l'album : KUROI Yodaka Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : À première vue, il n'est qu'un simple livreur mais la nuit, il devient trafiquant pour la pègre. Un jour, il finit par se retrouver avec son voisin Juichi Uno, qui l'intéresse depuis quelques temps, autour d'un nabe. Ils passent la nuit ensemble apres avoir bu, et le lendemain, Juichi finit par prendre ses distances. Alors que Sudô craint qu'il n'ait remarqué ses intentions, il surprend Juichi faire face à des hommes sans scrupules dans la rue et s'empresse d'attraper sa main pour s'enfuir. Sudô, grièvement blessé sous les coups ennemis, est sauvé de justesse par un pacte fait avec Juichi qui n'est autre qu'un descendant d'une famille de sorciers. Pour échapper à ses poursuivants, Sudô retourne chez lui pour fuir avec son argent. Mais c'est sans compter sur ses ennemis qui l'y attendent de pied ferme... Critique : Sudô est un jeune homme qui vit au jour le jour, il trempe même dans des histoires louches. Cependant, il salue son voisin tous les jours mais ce dernier l’ignore. Un soir où Sudô revient blessé, il fait plus ample connaissance avec Juichi. De confidence en confidence mais surtout à cause d’un événement violent, Sudô finit par apprendre que Juichi est un sorcier pourchassé et que leurs destins sont à présent liés. L’histoire autour des sorciers et de leur familier est plutôt intéressante et il y a de bonnes idées comme le nombre de vies du familier où l’exploitation du pacte. Seulement pour en faire un titre plus yaoi, le pacte s’entretient par les relations charnelles (une transmission d’énergie plus intense !). Ce n’était pas vraiment nécessaire à l’histoire, enfin si on considère que la relation sorcier/familier est au cœur du scénario… Par contre, si l’objectif est le sexe et que le reste ne sert que d’enrobage, il y a de quoi faire mais peut-être un léger manque. Globalement, on se perd un peu sur les priorités de l’auteur et on aurait aimé un peu plus de teneur par rapport au monde des sorciers mais le manga reste distrayant et bien dessiné. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manga?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Les mondes des ombres apparaissent chaque année et représentent la plus grande menace du monde, si on les combat pas, ils empiètent sur le monde normal, infestant les terres d’un brouillard épais où aucun être vivant ne peut y vivre. En 3616, le plus grand monde des ombres et le plus dangereux « le labyrinthe » est apparu, sur les 150 millions de combattants et après 10 ans de combats, il ne reste que 6 personnes pour affronter le boss final. Le combat finit mal et Desir Herrman, l’un des derniers magiciens revient 13 ans en arrière pour donner une nouvelle chance à l’humanité. Le voilà retourné à son entrée à l’académie Hébrion, l’une des plus prestigieuses académies de magie formant les futurs magiciens destinés à affronter le monde des ombres. La véritable originalité de l’histoire réside dans la conception des mondes des ombres. Ce sont des sortes de mondes parallèles régit par des lois qui leur sont propres, un peu comme les donjons. Chacun a un scénario défini qui a un rapport avec un événement historique ; par exemple si dans la réalité le pays X a vaincu le pays Y, dans le monde des ombres, il faudra faire en sorte que le pays Y gagne la guerre. Les mondes sont catégorisés selon leur difficulté et il en existe une infinité. Donc Desir doit faire en sorte de changer le futur, pour cela il faut que les magiciens deviennent plus forts ! Cela commence dès l’académie où la ségrégation est de mise car les élèves roturiers n’ont pas accès aux mêmes enseignements et sont dénigrés. Et pourtant parmi eux se cachent de vrais génies ! Si le webtoon ressemble plus à un shonen de régression assez classique au départ, la suite nous montrera que l’univers est beaucoup plus sombre. Ce qui se passe dans le monde des ombres n’est pas sans incidence sur le monde réel. On peut regretter un graphisme un peu grossier, celui de l’anime est plus fin et raffiné, anime qui a commencé il y a peu (4 épisodes sur crunchyroll). Quant à la série, elle compte 242 chapitres au 31/10 et elle est l’adaptation d’un roman de 8 tomes. A returner’s magic should be special a une histoire intéressante mais assez longue.
  17. Titre de l'album : A returner's magic should be special tome 1 Scenariste de l'album : USONAN Dessinateur de l'album : WOOKJAKGA Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Le Labyrinthe des Ombres, la pire catastrophe que l'humanité ait jamais connue, s'est ouvert sur Terre. Desir Herrman est l'un des derniers survivants, mais il échoue à la dernière étape et doit assister à la destruction du monde. Il se réveille et découvre qu'il est revenu 13 ans plus tôt, à son entrée à l'académie de magie. Il a alors trois ans pour s'entraîner avant l'apocalypse. Critique : Les mondes des ombres apparaissent chaque année et représentent la plus grande menace du monde, si on les combat pas, ils empiètent sur le monde normal, infestant les terres d’un brouillard épais où aucun être vivant ne peut y vivre. En 3616, le plus grand monde des ombres et le plus dangereux « le labyrinthe » est apparu, sur les 150 millions de combattants et après 10 ans de combats, il ne reste que 6 personnes pour affronter le boss final. Le combat finit mal et Desir Herrman, l’un des derniers magiciens revient 13 ans en arrière pour donner une nouvelle chance à l’humanité. Le voilà retourné à son entrée à l’académie Hébrion, l’une des plus prestigieuses académies de magie formant les futurs magiciens destinés à affronter le monde des ombres. La véritable originalité de l’histoire réside dans la conception des mondes des ombres. Ce sont des sortes de mondes parallèles régit par des lois qui leur sont propres, un peu comme les donjons. Chacun a un scénario défini qui a un rapport avec un événement historique ; par exemple si dans la réalité le pays X a vaincu le pays Y, dans le monde des ombres, il faudra faire en sorte que le pays Y gagne la guerre. Les mondes sont catégorisés selon leur difficulté et il en existe une infinité. Donc Desir doit faire en sorte de changer le futur, pour cela il faut que les magiciens deviennent plus forts ! Cela commence dès l’académie où la ségrégation est de mise car les élèves roturiers n’ont pas accès aux mêmes enseignements et sont dénigrés. Et pourtant parmi eux se cachent de vrais génies ! Si le webtoon ressemble plus à un shonen de régression assez classique au départ, la suite nous montrera que l’univers est beaucoup plus sombre. Ce qui se passe dans le monde des ombres n’est pas sans incidence sur le monde réel. On peut regretter un graphisme un peu grossier, celui de l’anime est plus fin et raffiné, anime qui a commencé il y a peu (4 épisodes sur crunchyroll). Quant à la série, elle compte 242 chapitres au 31/10 et elle est l’adaptation d’un roman de 8 tomes. A returner’s magic should be special a une histoire intéressante mais assez longue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-returner-s-magic-should-be-special-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Yuru est descendu de sa montagne avec ses deux tsugais protecteurs. En apprenant que ses parents sont peut-être vivants, il décide de retrouver sa sœur Asa pour lui demander des explications et des informations. Il se retrouve à combattre le groupe Kagemori, mais l’existence des jumeaux semblent intéresser de nombreuses personnes et les retrouvailles de Yuru et Asa ne durent pas longtemps avant d’être la cible de nouveaux tsugais. Ce second tome est dans la lignée du 1er, l’aspect découverte en moins. On voit cependant que les tsugais peuvent être très variés que ce soit par leur forme ou leurs compétences. Cela ouvre le champ des possibles et on sait que Hiromu Arakawa est très douée pour créer des rebondissements et des univers complets à ces œuvres. Donc même si ce deuxième tome est moins surprenant, avec un léger déséquilibre entre histoire & combats, il n’en reste pas moins divertissant et très bien exécuté. On apprécie toujours le mélange action / humour qu’elle aime à mettre dans ses mangas et dans celui-ci c’est le décalage entre la vie un peu moyenâgeuse du village de Yuru avec le monde moderne qui l’inspire. Tsugai est un bon shonen que l’on continuera à lire.
  19. Titre de l'album : Tsugai daemons of the shadow realm tome 2 Scenariste de l'album : ARAKAWA Hiromu Dessinateur de l'album : ARAKAWA Hiromu Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Du mystère, du surnaturel, de l'aventure, une histoire de fraternité : le nouveau Hiromu Arakawa est un manga inclassable qui réserve bien des surprises !? Ayant pris la fuite après l'attaque du village, Yuru découvre que la vie dans le monde inférieur est bien différente de ce qu'il imaginait. Il décide de partir à la recherche de la mystérieuse Asa prétendant être sa véritable sœur. Mais Yuru tombe dans un piège tendu par une famille de puissants meneurs de Tsugai : les Kagemori ! Critique : Yuru est descendu de sa montagne avec ses deux tsugais protecteurs. En apprenant que ses parents sont peut-être vivants, il décide de retrouver sa sœur Asa pour lui demander des explications et des informations. Il se retrouve à combattre le groupe Kagemori, mais l’existence des jumeaux semblent intéresser de nombreuses personnes et les retrouvailles de Yuru et Asa ne durent pas longtemps avant d’être la cible de nouveaux tsugais. Ce second tome est dans la lignée du 1er, l’aspect découverte en moins. On voit cependant que les tsugais peuvent être très variés que ce soit par leur forme ou leurs compétences. Cela ouvre le champ des possibles et on sait que Hiromu Arakawa est très douée pour créer des rebondissements et des univers complets à ces œuvres. Donc même si ce deuxième tome est moins surprenant, avec un léger déséquilibre entre histoire & combats, il n’en reste pas moins divertissant et très bien exécuté. On apprécie toujours le mélange action / humour qu’elle aime à mettre dans ses mangas et dans celui-ci c’est le décalage entre la vie un peu moyenâgeuse du village de Yuru avec le monde moderne qui l’inspire. Tsugai est un bon shonen que l’on continuera à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tsugai-daemons-of-the-shadow-realm-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Mes cent contes mortels tome 1

    Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait
  21. Titre de l'album : Mes cent contes mortels tome 1 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... La légende urbaine raconte que si vous lisez les Cent contes jusqu'au dernier, un esprit vengeur viendra s'abattre sur vous. Aussi, quand Yuma, garçon aux pulsions suicidaires, apprend l'existence de cette tradition, il décide de se plonger chaque soir dans un de ces terribles récits... Mais quelles sont ses véritables intentions ? Que vit-il dans son foyer pour avoir de telles envies ? Et surtout, survivra-t-il à cette expérience morbide ? Critique : Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    High school mercenary tome 1

    moi je fais les deux, quand on aime, on compte pas... 😁
  23. Nickad

    The runway tome 4

    La période d’observation que mène Hyeonmin envers Jian est terminée, il lui demande donc la permission de l’aimer mais espère bien avoir une réponse positive en retour. Pendant ce temps, le grand frère avocat, Haebeom, est en plein conflit avec sa femme et veut divorcer. Mais ces deux-là sont trop fiers pour se parler franchement et risquent de prendre la mauvaise décision. C’est toujours un plaisir de suivre les aventures amoureuses des différents personnages et c’est bien que l’on s’appesantisse un peu plus sur les relations amoureuses des frères de Hyeonmin. On sent qu’un triangle amoureux pourrait advenir, problème qui se résoudra à grands coups de franchise, de conversations et peut-être de larmes !! Le moment où chacun pourra vivre heureux n’est pas encore arrivé et en attendant, on profite des mini tornades qui mettent un peu de piquant dans le scénario. The runway confirme sa place au box office des office romance. La série est encore en cours et compte 103 chapitres actuellement (on est au chapitre 48 à la fin du tome 4).
  24. Nickad

    The runway tome 4

    Titre de l'album : The runway tome 4 Scenariste de l'album : HIRACHELL Dessinateur de l'album : NOKDU Coloriste : Editeur de l'album : K! Addict Note : Résumé de l'album : Hyeonmin fait le point sur ses sentiments envers Jian. Il se demande si elle ne l'apprécie pas uniquement pour son physique. Tant pis si c'est le cas, il déclare sa flamme à Jian et attend en retour sa réponse. Les relations se compliquent, surtout de la part de Hyeonmin qui n'arrive pas à cerner Jian. L'amour, toujours l'amour, les souvenirs, les incertitudes, les regrets... On a tous besoin, à un moment ou un autre, de réfléchir avant de poursuivre sa route. Sous fond de préparatif de la Fashion Week à Séoul, Hyeonmin arrivera-t-il à faire de Jian sa petite amie ? Critique : La période d’observation que mène Hyeonmin envers Jian est terminée, il lui demande donc la permission de l’aimer mais espère bien avoir une réponse positive en retour. Pendant ce temps, le grand frère avocat, Haebeom, est en plein conflit avec sa femme et veut divorcer. Mais ces deux-là sont trop fiers pour se parler franchement et risquent de prendre la mauvaise décision. C’est toujours un plaisir de suivre les aventures amoureuses des différents personnages et c’est bien que l’on s’appesantisse un peu plus sur les relations amoureuses des frères de Hyeonmin. On sent qu’un triangle amoureux pourrait advenir, problème qui se résoudra à grands coups de franchise, de conversations et peut-être de larmes !! Le moment où chacun pourra vivre heureux n’est pas encore arrivé et en attendant, on profite des mini tornades qui mettent un peu de piquant dans le scénario. The runway confirme sa place au box office des office romance. La série est encore en cours et compte 103 chapitres actuellement (on est au chapitre 48 à la fin du tome 4). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-runway-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    la boutique du magicien

    Dans ce monde fantastique, les magiciens qui ont beaucoup de pouvoirs doivent porter des vêtements et masque filtrant pour ne pas nuire à leur entourage, leurs paroles pourraient influencer directement les autres. Sylvain est un magicien qui a recueilli Tim, un esclave échappé du pays voisin. Sa boutique propose toutes sortes de service si on y met le prix : potion pour devenir beau, pour devenir invisible, pour changer d’apparence… A force de travailler pour Sylvain, Tim en est tombé amoureux et pour le séduire, il utilise en cachette une potion pour changer d’apparence. Mais en a-t-il vraiment besoin ? Si l’histoire d’amour n’est pas originale et ne présente pas de rebondissements extraordinaires, le point fort de ce manga est le dessin et le soin apporté à la création de cet univers fantastique. On découvre un trait fin, élégant, des décors soignés, un style vestimentaire proche du steam punk et des mises en scènes qui savent faire ressortir les passages où la magie est en œuvre. Avec un tel univers, on aurait aimé en apprendre plus sur la magie, les pouvoirs de Sylvain, la transformation du père, l’environnement plus général. C’est dommage que ce nouveau monde ne serve qu’un one shot où l’histoire n’est pas à la hauteur de son écrin.
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