Aller au contenu
  • S’inscrire

Nickad

Members
  • Compteur de contenus

    4 235
  • Inscription

  • Jours gagnés

    91

Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Nickad

    Arena tome 3

    Gabriel et ses camarades de classe ont donc affronté leurs premiers adversaires. S’ils pensaient que c’était des monstres, ils ont vite compris qu’ils s’agissaient d’extraterrestres et qu’ils se trouvaient sur une autre planète. Ils ont aussi découvert que tous les combattants des premières sélections sont obligés de combattre contre leur gré et qu’ils viennent de nombreuses planètes. Mais il y a un moyen de s’en sortir. Si vous avez 3 victoires, vous pouvez alors choisir entre devenir un esclave ou devenir un combattant professionnel avec l’aide d’un sponsor. Les meilleurs sont d’ailleurs de vraies stars et gagnent bien leur vie. Si un jour, ils veulent retourner sur Terre, il leur faut obtenir une certaine liberté et gagner assez d’argent pour acquérir un vaisseau spatial. Seulement gagner dans l’arène n’est pas facile et si l’équipe de Gabriel progresse ce n’est pas sans perte : tous ne survivent pas aux combats. En plus, devant cette situation désespérée, des groupes se forment, des alliances et aussi des trahisons. Si certains s’effondrent, Gabriel s’épanouit et il peut enfin être lui-même. A présent, il est temps de passer à la deuxième étape : s’entrainer pour devenir plus fort et monter dans l’arène. Arena continue d’être une bonne surprise, avec le positionnement de l’histoire sur une autre planète, l’auteur nous éloigne de l’isekai classique et nous entraine plutôt vers la science-fiction. Le scénario est travaillé et ne contient pas que des combats. Ce sont les relations entre les personnages et l’adaptation à leur nouvelle vie (avec tout ce qu’il peut y avoir de fantastique à découvrir) qui donne de la consistance au récit. Arena est donc une revisite de l’époque des gladiateurs romains, qui n’avaient pas non plus le choix de combattre et où certains pouvaient obtenir une grande renommée voir être affranchis. L’histoire tient la route, se lit très bien et nous donne envie d’aller lire la suite.
  2. Nickad

    Arena tome 3

    Titre de l'album : Arena tome 3 Scenariste de l'album : Le Chef Otaku Dessinateur de l'album : Clarity Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Gabriel et ses camarades n'ont plus qu'un combat à mener avant de pouvoir décider de leur sort sur Arena : combattants ou serviteurs. Mais avant ça, il faudrait encore survivre... Leurs ennemis sont plus monstrueux que jamais et Gabriel vient de perdre absolument tout ce qu'il possédait dans un combat illégal... Kaligan aurait-il misé sur la mauvaise équipe ? Mais c'est compter sans l'esprit démoniaque qui agite Gabriel, et qu'il n'hésite plus à utiliser, quitte à transgresser les règles d'Arena. Critique : Gabriel et ses camarades de classe ont donc affronté leurs premiers adversaires. S’ils pensaient que c’était des monstres, ils ont vite compris qu’ils s’agissaient d’extraterrestres et qu’ils se trouvaient sur une autre planète. Ils ont aussi découvert que tous les combattants des premières sélections sont obligés de combattre contre leur gré et qu’ils viennent de nombreuses planètes. Mais il y a un moyen de s’en sortir. Si vous avez 3 victoires, vous pouvez alors choisir entre devenir un esclave ou devenir un combattant professionnel avec l’aide d’un sponsor. Les meilleurs sont d’ailleurs de vraies stars et gagnent bien leur vie. Si un jour, ils veulent retourner sur Terre, il leur faut obtenir une certaine liberté et gagner assez d’argent pour acquérir un vaisseau spatial. Seulement gagner dans l’arène n’est pas facile et si l’équipe de Gabriel progresse ce n’est pas sans perte : tous ne survivent pas aux combats. En plus, devant cette situation désespérée, des groupes se forment, des alliances et aussi des trahisons. Si certains s’effondrent, Gabriel s’épanouit et il peut enfin être lui-même. A présent, il est temps de passer à la deuxième étape : s’entrainer pour devenir plus fort et monter dans l’arène. Arena continue d’être une bonne surprise, avec le positionnement de l’histoire sur une autre planète, l’auteur nous éloigne de l’isekai classique et nous entraine plutôt vers la science-fiction. Le scénario est travaillé et ne contient pas que des combats. Ce sont les relations entre les personnages et l’adaptation à leur nouvelle vie (avec tout ce qu’il peut y avoir de fantastique à découvrir) qui donne de la consistance au récit. Arena est donc une revisite de l’époque des gladiateurs romains, qui n’avaient pas non plus le choix de combattre et où certains pouvaient obtenir une grande renommée voir être affranchis. L’histoire tient la route, se lit très bien et nous donne envie d’aller lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arena-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nouvel isekai. Itsuki Shinomiya est un commercial trentenaire mort d’épuisement. Du coup quand il se réincarne dans ce nouveau monde, il ne rêve que d’une chose : gagner de l’argent en travaillant le moins possible et avoir une vie tranquille. Il demande donc comme compétence spéciale « argent de poche » qui lui permet de recevoir une somme fixe en fonction de son niveau. Autant dire que son niveau n’est pas très haut quand il arrive et qu’il doit quand même trouver du travail. Mais bon dans ce monde, il est aussi possible de payer ses dettes en devenant esclave. Ainsi Itsuki se retrouve vite avec un maître lui enseignant l’alchimie et deux jolies esclaves aventurières. Sa vie tranquille ne semble pas être prête d’arriver ! J’avais découvert ce manga il y a quelques années et arrêté par manque de temps. Si je ne ressentais pas une absolue nécessité de lire la suite, je me demandais quand même, de temps en temps, où en était l’histoire. Cela veut dire deux choses : qu’il laisse une trace dans la mémoire, ce qui est déjà pas mal au milieu de tous ces titres, et qu’il n’est pas non plus exceptionnel. En relisant ces deux premiers tomes, j’ai ressenti exactement la même chose. Slow life in another world est un manga d’aventure sympathique qui se lit bien et qui se classerait dans la moyenne des isekai. Il a un côté fan service avec de charmantes demoiselles (c’est ce qui est d’ailleurs mis en avant, le héros n’apparaissant pas sur les couvertures) et un graphisme adapté. C’est un bon divertissement. Extrait
  4. Titre de l'album : Slow life in another world (I wish) tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHIGE Dessinateur de l'album : NAGAYORI / OUKA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je veux profiter pleinement de ma seconde vie dans cet autre monde !! Les souhaits de ce bourreau de travail sont... De l'alcool !! De l'argent !! Une beauté !! Itsuki Shinomiya, un employé de bureau en burn out, est envoyé dans un autre monde où il cherche à obtenir la vie tranquille de ses rêves. Son atout est une compétence appelée argent de poche qui lui permet de recevoir une fois par jour une somme d'argent fixe. Cependant, c'est loin de suffire, et il se retrouve à devoir travailler. Il se fait employer par la guilde des alchimistes mais en vendant ses potions, il est la cible de railleries. Et ce n'est pas tout, puisqu'une magnifique jeune femme demande à devenir son esclave ! Que va devenir sa vie dans ce nouveau monde ? L'aventure ? Des compétences pétées ? Pas besoin de ça ! Le premier acte d'un monde de fantasy dans lequel un bourreau de travail se donne à fond pour gagner une vie tranquille ! Critique : Nouvel isekai. Itsuki Shinomiya est un commercial trentenaire mort d’épuisement. Du coup quand il se réincarne dans ce nouveau monde, il ne rêve que d’une chose : gagner de l’argent en travaillant le moins possible et avoir une vie tranquille. Il demande donc comme compétence spéciale « argent de poche » qui lui permet de recevoir une somme fixe en fonction de son niveau. Autant dire que son niveau n’est pas très haut quand il arrive et qu’il doit quand même trouver du travail. Mais bon dans ce monde, il est aussi possible de payer ses dettes en devenant esclave. Ainsi Itsuki se retrouve vite avec un maître lui enseignant l’alchimie et deux jolies esclaves aventurières. Sa vie tranquille ne semble pas être prête d’arriver ! J’avais découvert ce manga il y a quelques années et arrêté par manque de temps. Si je ne ressentais pas une absolue nécessité de lire la suite, je me demandais quand même, de temps en temps, où en était l’histoire. Cela veut dire deux choses : qu’il laisse une trace dans la mémoire, ce qui est déjà pas mal au milieu de tous ces titres, et qu’il n’est pas non plus exceptionnel. En relisant ces deux premiers tomes, j’ai ressenti exactement la même chose. Slow life in another world est un manga d’aventure sympathique qui se lit bien et qui se classerait dans la moyenne des isekai. Il a un côté fan service avec de charmantes demoiselles (c’est ce qui est d’ailleurs mis en avant, le héros n’apparaissant pas sur les couvertures) et un graphisme adapté. C’est un bon divertissement. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slow-life-in-another-world-i-wish-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Tous les soirs Keisuke voit passer devant le restaurant où il travaille un bel employé de bureau. Un jour de pluie, poussée par sa collègue, il se lance et l’aborde. Chance ou pas, il arrive pile au moment où ce dernier (Yukufumi) est effondré par sa récente rupture. Ayant besoin de réconfort, ils passent la nuit ensemble. Mais peu à peu, Keisuke va découvrir que Yukufumi est dans une situation compliquée avec un passé tout aussi compliqué. Il va faire son possible pour l’aider. Lonely playground va vite sortir des sentiers battus, pas pour son histoire d’amour mais par le contexte autour du personnage de Yukufumi. Sa rencontre avec son ex-amant va l’emmener non seulement dans une relation de soumission mais aussi dans le sadisme. Mais quand on a une dette comme il a et que l’on a nulle part où aller, prendre conscience de l’anormalité de la situation est déjà compliqué. Le manga nous montre donc d’autres aspects des relations humaines et sexuelles. Sans être inintéressant, la psychologie des personnages aurait pu être plus poussée. Cela reste un bon yaoi.
  6. Titre de l'album : Lonely playground tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : DAYOO Dessinateur de l'album : DAYOO Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Keisuke travaille dans un restaurant chinois près d'une gare. Tous les jours, il voit passer devant son restaurant un bel employé de bureau en costume, mais celui-ci ne s'arrête jamais pour y manger. Un soir de pluie, la collègue de Keisuke lui apprend que l'homme est sous le pont de la voie ferrée, à côté du restaurant, et qu'il attend. C'est l'occasion ou jamais pour Keisuke qui, sous prétexte de lui apporter un parapluie, décide d'aller lui parler. Mais lorsqu'il arrive, l'inconnu est en train de pleurer... Keisuke apprend son nom, Yukifumi, et il apprend également qu'il vient de se séparer de son partenaire après sept ans de relation, alors que celui-ci avait une femme et des enfants. Voyant que Yukifumi cherche à apaiser sa tristesse dans les bras de quelqu'un d'autre, Keisuke lui propose de passer la nuit ensemble. Mais tout se complique lorsque l'ex de Yukifumi, Utsugi, débarque le lendemain matin dans son appartement et découvre qu'ils ont couché ensemble... Critique : Tous les soirs Keisuke voit passer devant le restaurant où il travaille un bel employé de bureau. Un jour de pluie, poussée par sa collègue, il se lance et l’aborde. Chance ou pas, il arrive pile au moment où ce dernier (Yukufumi) est effondré par sa récente rupture. Ayant besoin de réconfort, ils passent la nuit ensemble. Mais peu à peu, Keisuke va découvrir que Yukufumi est dans une situation compliquée avec un passé tout aussi compliqué. Il va faire son possible pour l’aider. Lonely playground va vite sortir des sentiers battus, pas pour son histoire d’amour mais par le contexte autour du personnage de Yukufumi. Sa rencontre avec son ex-amant va l’emmener non seulement dans une relation de soumission mais aussi dans le sadisme. Mais quand on a une dette comme il a et que l’on a nulle part où aller, prendre conscience de l’anormalité de la situation est déjà compliqué. Le manga nous montre donc d’autres aspects des relations humaines et sexuelles. Sans être inintéressant, la psychologie des personnages aurait pu être plus poussée. Cela reste un bon yaoi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonely-playground-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Salad days tome 1

    Jiang Shen est un jeune garçon qui vit à la campagne avec ses parents. Ils n’ont pas beaucoup d’argent alors quand Jiang Shen souhaite faire de la danse classique, il doit renoncer à ses autres activités. C’est en se rendant à son cours de danse qu’il rencontre Bai Jinyi, un garçon du même âge pratiquant la boxe et issu d’un milieu aisé. A force de se croiser, les deux garçons commencent à communiquer et deviennent amis. Chacun découvre auprès de l’autre des choses qu’ils ne connaissent pas ; Shen mange son premier fast food et offre en retour un poussin à Jinyi. Chacun va grandir en développant sa passion. Salad Days est un boy’s love taiwanais tout en douceur. Il oppose deux garçons que tout semble opposer (leur milieu d’origine et leur goûts) mais qui vont se rapprocher poussées par la curiosité. Ils vont d’abord devenir amis et plus sans doute en grandissant. Il y a un côté Billy Elliot dans l’histoire, des similitudes dans le contexte familial. Avec ses personnages aux visages arrondis et aux grand yeux ainsi qu’une colorisation dans les tons pastel, le webtoon dégage beaucoup de douceur. La lecture est fluide et agréable et le livre est ponctué de quelques notes de traduction intéressantes et culturelles. Un vrai petit plaisir.
  8. Nickad

    Salad days tome 1

    Titre de l'album : Salad days tome 1 Scenariste de l'album : JING Shuibian Dessinateur de l'album : TANG Liuzang Coloriste : Editeur de l'album : Nazca Editions Note : Résumé de l'album : 2 enfants venant d'univers différent : l'un est chétif et pauvre et veut faire de la danse, l'autre est viril et riche et fait de la boxe. Leur rencontre va les amener à s'ouvrir au travers de leurs différences et à se rapprocher. Un Yaoi léger où les sentiments vont se développer au fur et à mesure. Critique : Jiang Shen est un jeune garçon qui vit à la campagne avec ses parents. Ils n’ont pas beaucoup d’argent alors quand Jiang Shen souhaite faire de la danse classique, il doit renoncer à ses autres activités. C’est en se rendant à son cours de danse qu’il rencontre Bai Jinyi, un garçon du même âge pratiquant la boxe et issu d’un milieu aisé. A force de se croiser, les deux garçons commencent à communiquer et deviennent amis. Chacun découvre auprès de l’autre des choses qu’ils ne connaissent pas ; Shen mange son premier fast food et offre en retour un poussin à Jinyi. Chacun va grandir en développant sa passion. Salad Days est un boy’s love taiwanais tout en douceur. Il oppose deux garçons que tout semble opposer (leur milieu d’origine et leur goûts) mais qui vont se rapprocher poussées par la curiosité. Ils vont d’abord devenir amis et plus sans doute en grandissant. Il y a un côté Billy Elliot dans l’histoire, des similitudes dans le contexte familial. Avec ses personnages aux visages arrondis et aux grand yeux ainsi qu’une colorisation dans les tons pastel, le webtoon dégage beaucoup de douceur. La lecture est fluide et agréable et le livre est ponctué de quelques notes de traduction intéressantes et culturelles. Un vrai petit plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/salad-days-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Pour le moment ce sont effectivement des choix intéressants On va en avoir plus à partir de la rentrée car ils ont passé un partenariat avec Webtoon pour sortir les grands succès de la plateforme, les premiers titres seront Marry my husband et High School mercenary : deux très bons webtoons
  10. Nickad

    Tearmoon Empire Story tomes 1 et 2

    A 20 ans, la princesse impériale Mia Luna Tearmoon est exécutée pour avoir plus ou moins dilapidé les biens du pays et n'avoir pensé qu'à elle-même. Une mauvaise princesse en résumé qui régresse dans le temps et se retrouve âgée de 12 ans. Elle va essayer de changer son destin comme cela arrive fréquemment. Mais Mia ne s'est pas assagie pour autant, elle n'a pas appris de ses erreurs ! Si elle agit différemment dans le seul but d'échapper à la guillotine, au fond d'elle-même, elle reste la même princesse égoïste et bonne à rien. Heureusement pour elle, ses actions (qu'elle fait souvent à contre cœur) sont interprétées au 1er degré qui vont la faire passer pour une sainte intelligente. Une régression pour échapper à un funeste destin ! Ce n'est pas une nouvelle thématique... ce qui est nouveau c'est que le personnage ne change pas. Mia ne cherche pas à se venger, elle agit de façon à se faire bien voir de ceux qui l'ont condamnée dans sa vie précédente mais sans conviction, sans intention de mieux agir, sans avoir aucune notion de la réalité et surtout en continuant à profiter de sa position de princesse. Le manga se veut donc humoristique ! Il y a de bonnes idées, c'est rafraichissant mais en même temps, les autres personnages passent tous pour des cruches et cela pourrait devenir lassant. En attendant de lire la suite pour voir comment va se développer l'histoire, le personnage de la princesse Mia est intéressant et apporte de la nouveauté. 6 tomes en cours
  11. Titre de l'album : Tearmoon Empire Story tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MOCHITSUKI Nozomu Dessinateur de l'album : MORINO MIZU / GILSE Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'histoire de la réincarnation d'une princesse, juste après sa décapitation ! La série N°1 de sa catégorie !! Alors que la révolution déchire l'empire Tearmoon, la princesse Mia, aussi capricieuse que tyrannique, se fait décapiter... Enfin, c'est ce qui aurait dû se passer, mais voilà qu'elle se réveille au petit matin, dans son corps de fillette de douze ans, bien des années avant son exécution !! Décidée à profiter de cette nouvelle chance pour échapper à la guillotine, elle va tenter par tous les moyens de sauver son pays... Accompagnée d'une servante aussi loyale que maladroite et d'un jeune fonctionnaire à l'intelligence inégalée, elle va lutter au quotidien pour corriger les erreurs du passé ! Bien qu'elle ne soit motivée que par l'idée de protéger sa petite personne, en éloignant ses ennemis mortels et en se construisant un réseau d'influence, ceux qui l'entourent peinent à percevoir sa véritable nature et interprètent ses intentions de travers, au point de créer de véritables miracles ! Ce qui n'est au départ qu'un enchaînement de caprices changera finalement la destinée d'un continent entier, et pas qu'un peu !! Une princesse bonne à rien utilise les souvenirs de sa vie précédente pour se battre contre le destin, et profiter de cette chance unique pour changer l'histoire ! Critique : A 20 ans, la princesse impériale Mia Luna Tearmoon est exécutée pour avoir plus ou moins dilapidé les biens du pays et n'avoir pensé qu'à elle-même. Une mauvaise princesse en résumé qui régresse dans le temps et se retrouve âgée de 12 ans. Elle va essayer de changer son destin comme cela arrive fréquemment. Mais Mia ne s'est pas assagie pour autant, elle n'a pas appris de ses erreurs ! Si elle agit différemment dans le seul but d'échapper à la guillotine, au fond d'elle-même, elle reste la même princesse égoïste et bonne à rien. Heureusement pour elle, ses actions (qu'elle fait souvent à contre cœur) sont interprétées au 1er degré qui vont la faire passer pour une sainte intelligente. Une régression pour échapper à un funeste destin ! Ce n'est pas une nouvelle thématique... ce qui est nouveau c'est que le personnage ne change pas. Mia ne cherche pas à se venger, elle agit de façon à se faire bien voir de ceux qui l'ont condamnée dans sa vie précédente mais sans conviction, sans intention de mieux agir, sans avoir aucune notion de la réalité et surtout en continuant à profiter de sa position de princesse. Le manga se veut donc humoristique ! Il y a de bonnes idées, c'est rafraichissant mais en même temps, les autres personnages passent tous pour des cruches et cela pourrait devenir lassant. En attendant de lire la suite pour voir comment va se développer l'histoire, le personnage de la princesse Mia est intéressant et apporte de la nouveauté. 6 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tearmoon-empire-story-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Summer ghost tomes 1 et 2 (fin)

    Avant de lire ce manga, préparez vos mouchoirs ! A l'origine de cette histoire il y a un long métrage d'animation présenté au festival d'Annecy, puis il y a la sortie simultanée du manga (fini en 2 tomes) et du roman, tous les deux aux éditions Delcourt. Tomoya, Aoi et Ryo se sont rencontrés sur internet, un jour Tomoya leur parle d'une légende urbaine "le summer ghost", un fantôme de femme qui n'apparaitrait que l'été et que lorsque l'on tire des feux d'artifice. Ils décident de se donner rendez-vous et d'aller à la rencontre de ce fantôme. Si la légende est vraie, c'est ce que dit le fantôme, une jeune femme du nom d'Ayane qui va marquer l'histoire : seuls ceux qui sont proches de la mort peuvent la voir. On découvre les personnages, chacun de leur côté, leurs histoires personnelles et leurs souffrances. Un mal grandissant au fur et à mesure des pages, une douleur qui semble sans fin et qui les plonge en plein désarroi, les entrainant peu à peu vers le gouffre. On suit des adolescents mal dans leur peau, n'arrivant pas à faire face à un destin qui les dépasse, ne sachant pas comment affronter la vie... ou la mort jusqu'à ce que la situation explose et que les mots sortent. Le récit est fort, triste et profondément bouleversant. Le lecteur plonge dans leur intimité sans retenue, espère qu'ils vont pouvoir surmonter la situation ensembles et compatit avec eux et pour eux. La fin apporte une touche d'espoir. Carpe diem les amis.
  13. Titre de l'album : Summer ghost tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : LOUNDRAW / OTSUICHI Dessinateur de l'album : INOMI Yoshi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Summer Ghost : voici le nom d'une légende urbaine selon laquelle un fantôme apparaîtrait sur l'ancien site d'un aéroport si l'on y lance des feux d'artifice. Un jour d'été, Tomoya, Aoi et Ryo, trois lycéens qui se sont rencontrés sur Internet, décident d'aller à la rencontre de ce fantôme. C'est pendant cette nuit d'été, à la frontière entre la vie et la mort, que commence une histoire qu'ils ne seront pas près d'oublier. Critique : Avant de lire ce manga, préparez vos mouchoirs ! A l'origine de cette histoire il y a un long métrage d'animation présenté au festival d'Annecy, puis il y a la sortie simultanée du manga (fini en 2 tomes) et du roman, tous les deux aux éditions Delcourt. Tomoya, Aoi et Ryo se sont rencontrés sur internet, un jour Tomoya leur parle d'une légende urbaine "le summer ghost", un fantôme de femme qui n'apparaitrait que l'été et que lorsque l'on tire des feux d'artifice. Ils décident de se donner rendez-vous et d'aller à la rencontre de ce fantôme. Si la légende est vraie, c'est ce que dit le fantôme, une jeune femme du nom d'Ayane qui va marquer l'histoire : seuls ceux qui sont proches de la mort peuvent la voir. On découvre les personnages, chacun de leur côté, leurs histoires personnelles et leurs souffrances. Un mal grandissant au fur et à mesure des pages, une douleur qui semble sans fin et qui les plonge en plein désarroi, les entrainant peu à peu vers le gouffre. On suit des adolescents mal dans leur peau, n'arrivant pas à faire face à un destin qui les dépasse, ne sachant pas comment affronter la vie... ou la mort jusqu'à ce que la situation explose et que les mots sortent. Le récit est fort, triste et profondément bouleversant. Le lecteur plonge dans leur intimité sans retenue, espère qu'ils vont pouvoir surmonter la situation ensembles et compatit avec eux et pour eux. La fin apporte une touche d'espoir. Carpe diem les amis. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/summer-ghost-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération !
  15. Titre de l'album : Je suis tombée dans un jeu de harem inversé tome 1 Scenariste de l'album : INUI Dessinateur de l'album : GOYA Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Dur réveil quand on se retrouve dans le corps de la terrifiante princesse impériale Elvia. D'autant plus qu'il s'agit de la méchante d'un jeu vidéo vouée à mourir dans d'atroces souffrances. Pour échapper à ce destin funeste, une seule solution : s'impliquer dans la vie du château, forger des alliances, et contrecarrer les manigances de l'intrigante Urielle, l'héroïne du jeu, prête à tout pour l'emporter ! Critique : Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-tombee-dans-un-jeu-de-harem-inverse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Caché sous son masque tome 1 Scenariste de l'album : SANGOU Mitsuru Dessinateur de l'album : SANGOU Mitsuru Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Personne n'avait encore jamais vu le timide Sayama sans son masque, jusqu'au jour où le populaire Saikawa décide de lui enlever ! Malheureusement pour Sayama, le mystère autour de son masque a attisé la curiosité de Saikawa. En échange de son aide pour les révisions, Saikawa demande alors une contrepartie étonnante à Sayama, celle de pouvoir toucher son masque comme il l'entend. Sayama n'apprécie pas que Saikawa voie son visage démuni, touche ses lèvres et sa bouche, mais pourquoi n'arrive-t-il pas à le repousser ? Qui a dit que porter un masque ne pouvait pas être sexy ?! Découvrez la touchante histoire de Sayama, un garçon complexé et grincheux, et Saikawa, son parfait opposé. Critique : Suite à une histoire s’étant déroulée quand il était en école primaire, Sayama porte en permanence un masque. C’est sa façon de se couper du monde et de s’isoler des autres. Mais son comportement intrigue aussi, notamment son camarade de lycée Saikawa, qui va se mettre à le taquiner. A force de se côtoyer, les deux garçons vont se rapprocher. Bon, je m’attendais à un peu plus de profondeur et je ne parle pas de sexe. Certes le traumatisme d’enfance est évoqué mais on passe assez rapidement sur sa « résolution ». Les personnages se rapprochent un peu trop vite sans vraiment se connaître… L’histoire reste bien faite et la lecture est fluide mais reste assez banale dans son ensemble. La seule surprise sera la contenu du tome 2... Un livre qui ne laissera pas forcément son empreinte. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cache-sous-son-masque-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Caché sous son masque tome 1

    Suite à une histoire s’étant déroulée quand il était en école primaire, Sayama porte en permanence un masque. C’est sa façon de se couper du monde et de s’isoler des autres. Mais son comportement intrigue aussi, notamment son camarade de lycée Saikawa, qui va se mettre à le taquiner. A force de se côtoyer, les deux garçons vont se rapprocher. Bon, je m’attendais à un peu plus de profondeur et je ne parle pas de sexe. Certes le traumatisme d’enfance est évoqué mais on passe assez rapidement sur sa « résolution ». Les personnages se rapprochent un peu trop vite sans vraiment se connaître… L’histoire reste bien faite et la lecture est fluide mais reste assez banale dans son ensemble. La seule surprise sera la contenu du tome 2... Un livre qui ne laissera pas forcément son empreinte.
  18. Titre de l'album : HORIZON tome 1 et 2 Scenariste de l'album : JUNG Ji-Hun Dessinateur de l'album : JUNG Ji-Hun Coloriste : Editeur de l'album : Nazca Editions Note : Résumé de l'album : 2 enfants avançant dans un monde en guerre, ensemble en marche vers l'horizon. Une narration profonde douce-amère sur la solitude face à l'(in)humanité. Critique : En pleine guerre, dans un endroit sans nom et des combattants non identifiés, un petit garçon voit sa mère mourir. Seul et ne sachant que faire, il décide d’avancer. En chemin, il croise la route d’une petite fille, seule également. Ensemble ils marchent vers l’horizon parce qu’il n’y a rien d’autre à faire et parce que l’horizon ne prend jamais fin. Ils rencontrent des soldats, des civils et beaucoup de victimes. Horizon parle de guerre mais pas des batailles ni des enjeux, le livre parle des conséquences sur les civils, ceux qui n’ont rien demandé à personne et qui se retrouvent pris entre deux feux. Cela montre l’effroyable vérité de la destruction : des familles abattues, des hommes qui ne font plus confiance à personne au point d’éliminer tous ceux qu’ils voient, de ceux qui deviennent fous, des enfants orphelins… C’est au travers du regard de ceux-là que le récit avance, c’est la perte des proches, le contact avec la mort, l’apprentissage douloureux du deuil et une réflexion involontaire et inévitable de la valeur de la vie. C’est chercher une raison de continuer à avancer, aller au hasard, droit devant, quand il n’y a plus aucun endroit où se rendre réellement. Le livre commence par une scène très forte, choquante, du petit garçon voulant reconstituer sa mère. Il n’y a pas beaucoup de mots mais un graphisme extrêmement bien maitrisé qui montre toute l’horreur de la situation. Il y a cette façon très forte de se retrouver devant le néant et le désespoir. L’auteur Jung Ji Hun, que l’on a découvert avec The boxer, réalise là une œuvre qui tient plus du roman graphique que du manga. Il arrive à faire passer dans son récit toute une palette d’émotions fortes et volontairement marquantes. Les éditions NAZCA réalise une très bonne adaptation du webtoon, en respectant les silences, la temporalité (pas trop d’images sur une page) et en gardant les moments intenses en les proposant sur une double page (il y a aura 3 tomes au final). Horizon est une œuvre incontournable à lire. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-horizon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    HORIZON tome 1 et 2

    En pleine guerre, dans un endroit sans nom et des combattants non identifiés, un petit garçon voit sa mère mourir. Seul et ne sachant que faire, il décide d’avancer. En chemin, il croise la route d’une petite fille, seule également. Ensemble ils marchent vers l’horizon parce qu’il n’y a rien d’autre à faire et parce que l’horizon ne prend jamais fin. Ils rencontrent des soldats, des civils et beaucoup de victimes. Horizon parle de guerre mais pas des batailles ni des enjeux, le livre parle des conséquences sur les civils, ceux qui n’ont rien demandé à personne et qui se retrouvent pris entre deux feux. Cela montre l’effroyable vérité de la destruction : des familles abattues, des hommes qui ne font plus confiance à personne au point d’éliminer tous ceux qu’ils voient, de ceux qui deviennent fous, des enfants orphelins… C’est au travers du regard de ceux-là que le récit avance, c’est la perte des proches, le contact avec la mort, l’apprentissage douloureux du deuil et une réflexion involontaire et inévitable de la valeur de la vie. C’est chercher une raison de continuer à avancer, aller au hasard, droit devant, quand il n’y a plus aucun endroit où se rendre réellement. Le livre commence par une scène très forte, choquante, du petit garçon voulant reconstituer sa mère. Il n’y a pas beaucoup de mots mais un graphisme extrêmement bien maitrisé qui montre toute l’horreur de la situation. Il y a cette façon très forte de se retrouver devant le néant et le désespoir. L’auteur Jung Ji Hun, que l’on a découvert avec The boxer, réalise là une œuvre qui tient plus du roman graphique que du manga. Il arrive à faire passer dans son récit toute une palette d’émotions fortes et volontairement marquantes. Les éditions NAZCA réalise une très bonne adaptation du webtoon, en respectant les silences, la temporalité (pas trop d’images sur une page) et en gardant les moments intenses en les proposant sur une double page (il y a aura 3 tomes au final). Horizon est une œuvre incontournable à lire.
  20. Titre de l'album : Fun territory defense by the optimistic lord tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : AKAIKE Sou Dessinateur de l'album : AOIRO Maro / KURURI Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'ancien enfant prodige va créer une révolution ! Banni dans un village éloigné, il a décidé de profiter de la vie ! À seulement deux ans, Van, quatrième fils d'un marquis, est appelé l'enfant prodige . Tout en cachant le fait qu'il ait gardé des souvenirs de sa vie antérieure dans un autre monde, il profite aujourd'hui d'une existence d'enfant de noble à qui tout le monde sourit... Sa vie bien confortable se retrouve chamboulée ?! Je vivrai la vie la plus heureuse qui soit ! Mais son rêve se brise le jour de ses huit ans, lors de son évaluation magique durant laquelle il découvre qu'il ne possède pas la magie offensive que son père espérait pour lui. Devenu la honte de la famille, il se fait bannir dans un village loin de tout ! Mais... Là-bas, je pourrai me bâtir une vie encore plus confortable et amusante qu'ici ! Ainsi commence pour le jeune noble une épopée fantasy et paisible de développement de territoire ! Critique : Nouvel isekai ! Oui, oui la mode n’est pas encore finie et en plus comme on a la nouvelle gamme de se réveiller dans un roman, on en a encore pour un moment. Mais ici, c’est plutôt un isekai classique : un employé de bureau surmené s’endort et se réveille dans un autre monde, dans un autre corps ! Il est probablement mort d’épuisement. Petit aparté culturel : si ce cas de figure revient si souvent dans les isekai, c’est qu’il y a un vrai sujet au Japon (en Corée du sud aussi) : il n’est pas rare pour les employés de dormir sur leur lieu de travail pour finir un dossier, de travailler le week-end, d’aller au boilot avec de la fièvre… Le phénomène porte même un nom « le karōshi », en 2009, on recensait plus de 10 000 morts par an, en 2013, une journaliste est décédée après avoir fait 159 heures supplémentaires dans le mois, ce qui a poussé le gouvernement a voté une nouvelle loi limitant les heures supplémentaires (60H mais pouvant aller jusqu’à 100H/mois en cas de dossiers urgent). Bref, notre héros se réveille donc dans la peau de Van Nei Ferutio, un enfant de deux ans et 4e fils du marquis Jalpar, une famille réputée pour sa maitrise de la magie élémentaire de feu. Van, grâce à ses connaissances de sa vie antérieure, développe très vite ses capacités et il est même surnommé l’enfant prodige. Loin de se comporter comme un noble hautain, il est proche des habitants et se fait des vassaux loyaux. Hélas, le jour de ses huit ans, lors de l’évaluation magique, Van obtient la magie de production et dans ce monde où seules les magies élémentaires et celle de soin sont considérées comme valables, avoir une autre magie fait de vous la honte de la famille. Van se retrouve expulsé et doit aller gérer un petit village au milieu de deux territoires hostiles. Non sans avoir un petit air de Noble new world adventure (avec un peu moins d’humour), les aventures de Van sont sympathiques et les personnages sont agréables et attachants (surtout quelques secondaires). Le graphisme, les décors et les monstres sont réussis et on rentre facilement dans l’histoire et dans ce nouveau monde. La magie de Van va vite se retrouver très utile et il va réaliser de grandes choses très rapidement (un peu trop cheaté à mon avis, genre fabriquer un manoir en quelques minutes) mais heureusement, il n’y a pas que ça dans l’histoire ! Bref c’est un bon début pour cette nouvelle série qui compte 3 tomes à l’heure actuelle. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fun-territory-defense-by-the-optimistic-lord-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nouvel isekai ! Oui, oui la mode n’est pas encore finie et en plus comme on a la nouvelle gamme de se réveiller dans un roman, on en a encore pour un moment. Mais ici, c’est plutôt un isekai classique : un employé de bureau surmené s’endort et se réveille dans un autre monde, dans un autre corps ! Il est probablement mort d’épuisement. Petit aparté culturel : si ce cas de figure revient si souvent dans les isekai, c’est qu’il y a un vrai sujet au Japon (en Corée du sud aussi) : il n’est pas rare pour les employés de dormir sur leur lieu de travail pour finir un dossier, de travailler le week-end, d’aller au boilot avec de la fièvre… Le phénomène porte même un nom « le karōshi », en 2009, on recensait plus de 10 000 morts par an, en 2013, une journaliste est décédée après avoir fait 159 heures supplémentaires dans le mois, ce qui a poussé le gouvernement a voté une nouvelle loi limitant les heures supplémentaires (60H mais pouvant aller jusqu’à 100H/mois en cas de dossiers urgent). Bref, notre héros se réveille donc dans la peau de Van Nei Ferutio, un enfant de deux ans et 4e fils du marquis Jalpar, une famille réputée pour sa maitrise de la magie élémentaire de feu. Van, grâce à ses connaissances de sa vie antérieure, développe très vite ses capacités et il est même surnommé l’enfant prodige. Loin de se comporter comme un noble hautain, il est proche des habitants et se fait des vassaux loyaux. Hélas, le jour de ses huit ans, lors de l’évaluation magique, Van obtient la magie de production et dans ce monde où seules les magies élémentaires et celle de soin sont considérées comme valables, avoir une autre magie fait de vous la honte de la famille. Van se retrouve expulsé et doit aller gérer un petit village au milieu de deux territoires hostiles. Non sans avoir un petit air de Noble new world adventure (avec un peu moins d’humour), les aventures de Van sont sympathiques et les personnages sont agréables et attachants (surtout quelques secondaires). Le graphisme, les décors et les monstres sont réussis et on rentre facilement dans l’histoire et dans ce nouveau monde. La magie de Van va vite se retrouver très utile et il va réaliser de grandes choses très rapidement (un peu trop cheaté à mon avis, genre fabriquer un manoir en quelques minutes) mais heureusement, il n’y a pas que ça dans l’histoire ! Bref c’est un bon début pour cette nouvelle série qui compte 3 tomes à l’heure actuelle. Extrait
  22. Titre de l'album : Je découvre le plaisir féminin Scenariste de l'album : URI Dessinateur de l'album : URI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans ce bar, deux collègues se cotoient : Kobayashi et Takatsu. Le premier est bavard, curieux, naïf... Tandis que le deuxième est plutôt taciturne et réservé. On pourrait croire qu'ils ne s'entendent pas. Pourtant, lorsque Kobayashi devient soudainement une femme, il n'a qu'une envie... Faire l'amour avec lui. Critique : Un beau jour, après une soirée bien arrosée, un jeune barman Kobayashi se réveille en femme. Loin de paniquer, il se dit que c’est la bonne occasion de tester le sexe vaginal, il demande alors à son collègue de l’aider dans cette entreprise. Un sujet qui semble un peu déjà vu de prime abord mais qui réserve de nombreuses surprises, tellement qu’on ne s’y attend pas du tout ! Tout est dans la façon dont le sujet est traité et la cause de ce changement. En plus et si vous en avez envie, vous pourrez réfléchir sur certaines questions : l’intensité du plaisir chez les hommes ou les femmes, l’importance du psychique dans les relations… Mais vous pouvez juste prendre l’histoire comme elle vient et en profiter car certaines situations et certains dialogues sont inattendus. C’est drôle, avec ce qu’il faut d’érotisme et surtout, ça met la pêche. Ce n’est pas souvent qu’une histoire nous fait bien rire alors autant en profiter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-decouvre-le-plaisir-feminin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Je découvre le plaisir féminin

    Un beau jour, après une soirée bien arrosée, un jeune barman Kobayashi se réveille en femme. Loin de paniquer, il se dit que c’est la bonne occasion de tester le sexe vaginal, il demande alors à son collègue de l’aider dans cette entreprise. Un sujet qui semble un peu déjà vu de prime abord mais qui réserve de nombreuses surprises, tellement qu’on ne s’y attend pas du tout ! Tout est dans la façon dont le sujet est traité et la cause de ce changement. En plus et si vous en avez envie, vous pourrez réfléchir sur certaines questions : l’intensité du plaisir chez les hommes ou les femmes, l’importance du psychique dans les relations… Mais vous pouvez juste prendre l’histoire comme elle vient et en profiter car certaines situations et certains dialogues sont inattendus. C’est drôle, avec ce qu’il faut d’érotisme et surtout, ça met la pêche. Ce n’est pas souvent qu’une histoire nous fait bien rire alors autant en profiter.
  24. Nickad

    Ocean rush tome 2

    Titre de l'album : Ocean rush tome 2 Scenariste de l'album : TARACHINE John Dessinateur de l'album : TARACHINE John Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : En racontant une histoire d'amitié intergénérationnelle, Ocean Rush s'impose comme un hommage au septième art. Véritable ovni, ce manga de John Tarachine ne manquera pas de vous émouvoir grâce à l'humanité de ses personnages. Depuis qu'elle a repris ses études, Umiko est en proie au doute. Se sentant mise de côté par les étudiants plus jeunes qu'elles, elle commence à se décourager. N'était-ce pas présomptueux, à son âge, de se lancer dans ce projet de devenir réalisatrice de films ? Heureusement qu'elle peut compter sur le soutien de Kai. Tandis que ce dernier se confie sur son passé, la vieille dame a une nouvelle révélation : son film, c'est avec lui qu'elle le fera. Dès lors, la voilà motivée comme jamais ! Critique : Umiko a commencé l’université et fait sa première vidéo mais devant les critiques du professeur elle se demande si ce n’est pas trop tard pour elle de réaliser son rêve. En même temps, elle s’intègre peu à peu avec les autres étudiants et en vient même à aborder des sujets plus personnels comme les histoires d’amour. Mais c’est surtout la présence de Kai qui lui permet d’avancer, l’adolescent, énigmatique séduit partout où il passe. Ocean rush est empreint d’une certaine beauté tranquille, avançant au rythme d’Umiko, on apprécie son regard sur le 7e art, sa passion hésitante et son envie sans limite. C’est aussi l’amitié avec Kai qui se joue de la différence d’âge et qui ne laisse que deux personnes qui apprennent à se connaître, deux êtres qui se dévoilent peu à peu devant et derrière la caméra. C’est à la fois l’apaisement de savoir qu’il n’y a pas d’obsolescence programmée pour les rêves et la déferlante d’une passion qui nous pousse à vouloir aussi nous lancer dans une aventure qui pourrait changer notre vie. Un livre inspirant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ocean-rush-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Ocean rush tome 2

    Umiko a commencé l’université et fait sa première vidéo mais devant les critiques du professeur elle se demande si ce n’est pas trop tard pour elle de réaliser son rêve. En même temps, elle s’intègre peu à peu avec les autres étudiants et en vient même à aborder des sujets plus personnels comme les histoires d’amour. Mais c’est surtout la présence de Kai qui lui permet d’avancer, l’adolescent, énigmatique séduit partout où il passe. Ocean rush est empreint d’une certaine beauté tranquille, avançant au rythme d’Umiko, on apprécie son regard sur le 7e art, sa passion hésitante et son envie sans limite. C’est aussi l’amitié avec Kai qui se joue de la différence d’âge et qui ne laisse que deux personnes qui apprennent à se connaître, deux êtres qui se dévoilent peu à peu devant et derrière la caméra. C’est à la fois l’apaisement de savoir qu’il n’y a pas d’obsolescence programmée pour les rêves et la déferlante d’une passion qui nous pousse à vouloir aussi nous lancer dans une aventure qui pourrait changer notre vie. Un livre inspirant.
×
×
  • Créer...