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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours
  2. Nickad

    Bons Plans

    peut-être mais pour un coup de 5 euros en plus pour le tshirt, ça vaut le coup, par contre sur le dessin, il n'y a pas le fond avec le bateau comme on voit sur l'image que j'ai mise désolée je ne sais pas ce que c'est que le tcg mais ce sont des cartes des personnages de one piece avec intelligence, force... qui pourront s'affronter dans un jeu ensuite
  3. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 6

    Charada le playboy du groupe a annoncé clairement à Hana ses intentions et c’est quand il commence à se moquer de Tsuyoshi que cette dernière prend vraiment conscience de ses sentiments. Pendant ce temps Ichigo essaye de gagner des points avec Tsuyoshi mais ce dernier ne cède pas. Par moments, je me demande comment des adultes peuvent être aussi niais puis je me dis que ce n’est pas forcément parce que l’on est plus vieux que l’on sait mieux assumer ses sentiments… Sauf que dans Hana l’inaccessible, il y a trop de personnages qui se comportent comme des gamins. Alors oui ça peut avoir un côté mignon, oui, le manga met à l’honneur les hésitations et rougissements amoureux mais bon, on aimerait quand même leur donner un coup de pied aux fesses pour que l’histoire avance plus vite. La série reste sympathique à lire et les dessins sont vraiment bien faits surtout les expressions des personnages quand ils sont en proie à leurs émotions.
  4. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 6 Scenariste de l'album : MURATA Kôji Dessinateur de l'album : MURATA Kôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Elle est amoureuse de Tsuyoshi Yowaki, un employé de l'entreprise, et c'est une demoiselle un peu naïve et gauche sur les bords quand il s'agit d'amour ! La distance entre eux ne cesse de s'accentuer et, à ce moment-là, un voyage d'entreprise est organisé !! Le play-boy numéro un de Mitsubachi, Charada, profite de l'occasion pour tenter une approche directe !!! Critique : Charada le playboy du groupe a annoncé clairement à Hana ses intentions et c’est quand il commence à se moquer de Tsuyoshi que cette dernière prend vraiment conscience de ses sentiments. Pendant ce temps Ichigo essaye de gagner des points avec Tsuyoshi mais ce dernier ne cède pas. Par moments, je me demande comment des adultes peuvent être aussi niais puis je me dis que ce n’est pas forcément parce que l’on est plus vieux que l’on sait mieux assumer ses sentiments… Sauf que dans Hana l’inaccessible, il y a trop de personnages qui se comportent comme des gamins. Alors oui ça peut avoir un côté mignon, oui, le manga met à l’honneur les hésitations et rougissements amoureux mais bon, on aimerait quand même leur donner un coup de pied aux fesses pour que l’histoire avance plus vite. La série reste sympathique à lire et les dessins sont vraiment bien faits surtout les expressions des personnages quand ils sont en proie à leurs émotions. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tome 8 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei , SHIKI Dôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Grâce à leur travail d'équipe, Michio et Roxanne réussissent enfin à acculer le boss du septième étage ! Et maintenant qu'ils ont un peu de marge, Roxanne aimerait bien essayer de se servir de son skill offensif... Quand vient le soir, Michio profite de son intimité avec ses deux amies pour... tester un autre skill ? Encore ?! Critique : Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage.
  7. Titre de l'album : Failure frame tome 6 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru , UCHIUCHI Keyaki Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô , KWKM Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dans son périple pour éliminer la déesse Vicius, Tôka se procure un "masque du Seigneur des Mouches" afin de dissimuler son visage. Sous cette nouvelle identité, il espère rallier des "mercenaires" pour l'assister dans son projet. Or, selon certaines rumeurs, la plus puissante gladiatrice de la capitale, une femme-léopard du nom d'Eve Speed, connaîtrait justement la cachette de la Sorcière des Tabous. Après quelques recherches, Tôka découvre qu'Eve n'a qu'un seul objectif : secourir Liz, une jeune esclave maltraitée par sa maîtresse... Critique : Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Failure frame tome 6

    Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin.
  9. Titre de l'album : Chastity reverse world tome 4 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTAROU Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Gh... Je ne m'attendais pas à ce que la chasteté inversée ait ce genre de conséquences... Catapultés dans un monde où la chasteté est inversée, Ichikawa et Urisugi, tous deux lycéens, essaient de s'acclimater à ce nouvel et étrange univers, et à sa mystérieuse vision du sexe. Les petites choses du quotidien et la moindre discussion s'avèrent bien plus compliquées que prévu, étant donné le décalage entre leur mentalité et celle des gens qui les entourent... Critique : Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Chastity reverse world tome 4

    Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé.
  11. Titre de l'album : Tokyo quatre saisons tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : HARU Dessinateur de l'album : HARU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kyôhei Saotome vient d’une famille qui ne tolère pas l’échec. Lorsqu’il rate ses examens pour entrer à l’université de médecine, sa vie prend soudainement un tournant insupportable, au point qu’il finisse par tenter de se suicider en voulant se jeter sous un train. Mais Yuito Jingûji, son rival du lycée, qui se trouve sur le même quai, le sauve in extremis. Les deux garçons passent alors un marché : Jingûji, qui est parvenu, lui, à entrer en médecine, aidera Saotome à réviser pour repasser les examens d’entrée, si Saotome le rembourse en nature. Critique : Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-quatre-saisons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture.
  13. Nickad

    Tu me coupes le souffle tome 1

    Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire.
  14. Titre de l'album : Tu me coupes le souffle tome 1 Scenariste de l'album : SUMIYA Zeniko Dessinateur de l'album : SUMIYA Zeniko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Au sein de la fanfare municipale, le saxophoniste Jun Shizuki, un épicurien doublé d'un coureur de jupons, a clairement du mal avec le joueur de flûte Yukiji Yano, un garçon populaire aux allures de prince. Mais si rien ne semble les rapprocher durant les répétitions, tous les deux ont un intérêt commun secret... Critique : Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-me-coupes-le-souffle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : How to make a delicious coffee tome 1 Scenariste de l'album : MURAYAMA Yuka Dessinateur de l'album : AONUMA Yûki , Yuu (結布) , SUZUMEMURA Ao Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Une histoire plus tendre que corsée... Au printemps de son année de terminale, Katsutoshi Izumi emménage avec ses cousins après que son père a été muté loin de chez lui. Avec son cousin Joe, tout se passe à merveille, mais lorsqu'il voit Karen, sa cousine, Katsutoshi ne peut cacher son étonnement. En effet, la Karen dont il se souvenait est devenue une beauté indicible... Série terminée en 12 tomes, avec pages intérieures colorisées Critique : Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-to-make-delicious-coffee-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER
  17. Titre de l'album : Party boy Kongming ! tome 1 Scenariste de l'album : YOTSUBA Yûto Dessinateur de l'album : OGAWA Ryo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Célèbre stratège chinois, Kongming meurt d'un âge avancé, las d'une vie de batailles au coeur des 3 Royaumes... et se réveille rajeuni, en costume de son époque, au cœur du Shibuya contemporain et en pleine nuit d'Halloween ! Se croyant en enfer, il est «sauvé» par la voix d'Eiko Tsukimi, chanteuse débutante. La jeune femme rêve de devenir une star mais n'arrive pas à percer. Convaincu de son talent, le stratège déploiera tout son génie pour aider Eiko à accomplir son rêve et triompher du monde impitoyable du divertissement japonais moderne ! Critique : Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/party-boy-kongming-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Party boy Kongming ! tome 1

    Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici
  19. Nickad

    Bons Plans

    Pour les fans de One piece ou ceux qui ont des enfants passionnés par la série, ne loupez pas cette occasion : Chez Burger King, vous pouvez avoir des tshirts ou des cartes avec votre menu l'offre est annoncée jusqu'au 13 février mais ça m'étonnerait que cela tienne si longtemps
  20. Titre de l'album : Beautiful place tome 1 Scenariste de l'album : MATSUMOTO Jirô Dessinateur de l'album : MATSUMOTO Jirô Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La guerre civile ravage le Japon. Simone Hanazawa, lycéenne et soldate, a pour mission d’éradiquer la criminalité dans sa ville... mission qu’elle partage avec son instructrice, la forte tête Momoko Takasaka, et bien d’autres jeunes filles dont les lycées se sont militarisés. Dans le chaos ambiant où la violence règne en maître, il faudra à Simone une volonté de fer (et une arme bien chargée) pour défendre ses principes moraux. Critique : Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beautiful-place-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Beautiful place tome 1

    Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge.
  22. Titre de l'album : L'enfant en moi tome 1 Scenariste de l'album : AOI Mamoru Dessinateur de l'album : AOI Mamoru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Sachi, en 2e année de lycée, sort avec Takara, un ami d'enfance du même âge qu'elle. Par un jour d'hiver, Sachi commence à se sentir mal. Nauséeuse, elle se rappelle brusquement un soir où, en pleins ébats amoureux, le préservatif de Takara a craqué. Elle décide d'aller acheter un test de grossesse dans une pharmacie loin de chez elle et se rend ensuite dans les toilettes d'un petit restaurant familial. Estomaquée, Sachi regarde les deux petits traits apparaître : le test est positif. Critique : L’enfant en moi parle d’un sujet sensible : la grossesse chez une lycéenne, le manga a déjà fait ses preuves car il vient de remporter le prix Kôdansha du meilleur shôjo qui avait récompensé précédemment les titres Nina du royaume aux étoiles et A tes côtés. L’autrice aborde le sujet avec une certaine simplicité et une certaine douceur qui se ressentent tant dans le dessin que dans les dialogues, il n’est pas rare de voir plusieurs pages presque entièrement graphiques. Cette narration permet de souligner deux choses : un quotidien tranquille qui va se retrouver chambouler et la montée de la réflexion chez Sachi, la jeune fille enceinte. L’atmosphère est particulièrement bien rendue. Au début Sachi commence à voir des changements infimes, des petites faims, un peu plus de fatigue, de sensibilité… son corps ne réagit pas comme d’habitude, ses règles sont en retard mais ça ne l’inquiète pas car elles sont irrégulières. Puis peu à peu, tout cela l’intrigue alors elle commence à se poser des questions et fait un test de grossesse. Et puis là arrivent d’autres questionnements, que faire ? Comment en parler ? Est-ce que le test est sûr ? Comment l’annoncer au père ? A la famille ? Tout un cheminement où Sachi est seule face à elle-même car c’est avant tout de son corps dont il s’agit. La narration ne rentre jamais dans l’apitoiement, elle pose les faits simplement en mettant chaque personnage en face de la réalité, chacun leur tour. Le récit est aussi très juste et pour avoir été dans une situation un peu similaire, bien que j’étais plus âgée quand c’est arrivé, j’ai ressenti le même genre de questionnement que Sachi, comment gérer l’arrivée d’un bébé quand on ne se trouve pas dans une situation classique (genre couple installé qui travaille) ? Sachi ne remet pas en cause son amour pour Takara ni le fait que ce dernier sera là pour la soutenir et l’aider mais elle porte la responsabilité de son avenir et prend conscience peu à peu de tout ce qui pourrait changer. La série compte actuellement 7 tomes et elle est toujours en cours. Nul doute que Mamoru AOI se penchera sur la réaction de chaque personnage de l’entourage des adolescents en passant par les parents jusqu’aux camarades de classe en montrant différents points de vue. De ce côté-là, pour en avoir entendu des vertes et des pas mûres, il y a de quoi faire ! L’enfant en moi nous promet une belle histoire, très réaliste, sensible qui peut aussi permettre aux adolescents de prendre conscience de certaines réalités et les aider en cas de besoin. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-en-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    L'enfant en moi tome 1

    L’enfant en moi parle d’un sujet sensible : la grossesse chez une lycéenne, le manga a déjà fait ses preuves car il vient de remporter le prix Kôdansha du meilleur shôjo qui avait récompensé précédemment les titres Nina du royaume aux étoiles et A tes côtés. L’autrice aborde le sujet avec une certaine simplicité et une certaine douceur qui se ressentent tant dans le dessin que dans les dialogues, il n’est pas rare de voir plusieurs pages presque entièrement graphiques. Cette narration permet de souligner deux choses : un quotidien tranquille qui va se retrouver chambouler et la montée de la réflexion chez Sachi, la jeune fille enceinte. L’atmosphère est particulièrement bien rendue. Au début Sachi commence à voir des changements infimes, des petites faims, un peu plus de fatigue, de sensibilité… son corps ne réagit pas comme d’habitude, ses règles sont en retard mais ça ne l’inquiète pas car elles sont irrégulières. Puis peu à peu, tout cela l’intrigue alors elle commence à se poser des questions et fait un test de grossesse. Et puis là arrivent d’autres questionnements, que faire ? Comment en parler ? Est-ce que le test est sûr ? Comment l’annoncer au père ? A la famille ? Tout un cheminement où Sachi est seule face à elle-même car c’est avant tout de son corps dont il s’agit. La narration ne rentre jamais dans l’apitoiement, elle pose les faits simplement en mettant chaque personnage en face de la réalité, chacun leur tour. Le récit est aussi très juste et pour avoir été dans une situation un peu similaire, bien que j’étais plus âgée quand c’est arrivé, j’ai ressenti le même genre de questionnement que Sachi, comment gérer l’arrivée d’un bébé quand on ne se trouve pas dans une situation classique (genre couple installé qui travaille) ? Sachi ne remet pas en cause son amour pour Takara ni le fait que ce dernier sera là pour la soutenir et l’aider mais elle porte la responsabilité de son avenir et prend conscience peu à peu de tout ce qui pourrait changer. La série compte actuellement 7 tomes et elle est toujours en cours. Nul doute que Mamoru AOI se penchera sur la réaction de chaque personnage de l’entourage des adolescents en passant par les parents jusqu’aux camarades de classe en montrant différents points de vue. De ce côté-là, pour en avoir entendu des vertes et des pas mûres, il y a de quoi faire ! L’enfant en moi nous promet une belle histoire, très réaliste, sensible qui peut aussi permettre aux adolescents de prendre conscience de certaines réalités et les aider en cas de besoin. A lire.
  24. Titre de l'album : Badducks tomes 1 à 3 Scenariste de l'album : Toryumon TAKEDA Dessinateur de l'album : Toryumon TAKEDA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Morgan n’a jamais eu de chance. À 10 ans, il est abandonné par ses parents, et 20 ans plus tard la mafia vient lui réclamer le règlement de la dette qu’ils lui ont léguée. Sans le sou, le seul moyen de s’en acquitter est de servir de cobaye aux expériences de Nguyen, maître du monde du crime. Les rejetés de la société, et en particulier les non-humains, finissent sous ses ordres en tant que tueurs, prostitués ou travailleurs forcés. Morgan se réveille avec un tube dans la nuque et… une force exceptionnelle ! Son identité a été effacée : le voici condamné à une vie de servitude. Au moment où il croit tout perdu, Lisa, dernière représentante de son espèce et esclave de la mafia, lui propose un plan d’évasion. Rien ne tourne comme prévu, et les fugitifs se retrouvent avec un bébé dans leurs bagages ! Peu importe, ils font avec… Les deux comparses n’ont ni expérience du combat ni ressources, mais leur soif de liberté est sans égale ! Critique : Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/badducks-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Badducks tomes 1 à 3

    Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour.
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