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The_PoP

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Messages posté(e)s par The_PoP

  1. Tiens j’ai revu, encore, Il etait une fois dans l’Ouest.

    De très loin le meilleur western. Probablement même dans le top 10 films tout genres confondus.

    tellement complet, si peu de fausses notes a mon goût et tellement de themes puissants abordés avec justesse. Simplement de l’immense cinéma. Celui qui mérite du temps et une salle de cinéma obscure…

     

    Et en plus un echo extraordinaire avec Il était une fois en Amérique…

     

     

     

     

  2. Oh oui c’est très vite expédié à l’école, faut dire que c’est pas glorieux et que dans le temps c’est très court sur une période hyper chargée… Comme la terreur un peu, on passe vite. 


  3. Titre de l'album : L'enfer pour aube - Tome 2 - Paris Rouge
    Scenariste de l'album : Philippe Pelaez
    Dessinateur de l'album : Tiburce Oger
    Coloriste : Estelle Kreweras
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Mai 1871. Se sachant menacé par les Communards, le gouverneur de la Banque de France décide d'en ensabler les sous-sols, sans pour autant empêcher quelques opportunistes de mettre la main sur un véritable trésor. Trente ans plus tard, Angèle, traquée par les policiers, s'apprête à affronter ses propres démons du ventre de Paris jusqu'au symbole même de la répression : le Sacré-Coeur.

    Critique :

    Et hop déjà la suite et la fin de ce diptyque consacré aux évènements de la commune et au début du vingtième siècle à paris. A travers son intrigue de polar sombre et sanguinaire, Phillipe Pelaez nous livre une histoire de la commune. Cette période de l'histoire pourtant si riche mais si peu étudiée a pourtant marqué des générations de parisiens et inspiré poètes et grands écrivains. 

    Philippe Pelaez nous livre des pages, des dialogues et des descriptions qui font honneur à la prose française et à nos écrivains. Bravo. L'histoire elle est toujours menée tambour battante mais que dire ici des illustrations de Tiburce Oger. Une maestria, mise en lumière par le choix d'une colorisation monochrome à quelques exceptions près. On se régale, il nous rend ce paris vivant, avec ces drames, ces histoires et ces humains. 

    Le choix des colorisations vous rappellera forcément une des oeuvres majeures de la bd au passage...

    Le seul léger bémol pour moi c'est la fin car si elle est logique et classique, je trouve qu'elle manque peut être un peu de panache, mais après tout c'est aussi le sens de ce diptyque, de salut il n'y aura point. 

     

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfer-pour-aube-tome-2-paris-rouge?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  4. Bon :

    Elecboy tome 4 : très très bien, grosse SF

    Space relic hunters : très bon one shot. 

    L'enfer pour aube : pfff tiburce oger quoi, et la prose de Pelaez est magnifique... en plus c'est de la vraie bd de gauche ça 🙂

    aigles de rome tome 6 : du marini en peplum, ça repart fort, un poil trop court je trouve

    bomb x : j'ai adoré

     

    • Like 1

  5. Titre de l'album : Durango La jeunesse - Tome 2 - De feu et de sang
    Scenariste de l'album : Yves Swolfs
    Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko
    Coloriste : Jackie de Gennaro
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Texas 1882. Témoin de l'assassinat de trois cowboys , un jeune vagabond échappe lui-même de justesse au tueur, un professionnel armé d'une carabine équipée d'une lunette. Le jeune homme est engagé par le propriétaire du plus grand ranch de la région pour qui travaillaient les trois victime mais ignore qu'en acceptant cet emploi, il deviendra témoin actif d'une sanglante guerre entre éleveurs.

    Critique :

    Mais pourquoi ces tomes de la Jeunesse de Durango sont ils aussi courts ? Ce tome 2 : De feu et de Sang est plutôt bon, prenant le temps de distiller son intrigue et ne faisant pas l'erreur de nous transformer trop rapidement notre jeune Durango vagabond en pur pistolero... Je l'ai par contre trouvé bien trop court, l'intrigue n'avançant finalement que bien peu, et Durango en étant spectateur tout le long. Un peu dommage car on sent aussi bien Roman Surzhenko à l'aise sur le dessin, que Swolfs sur son histoire de Western, certes classique mais bien ficelée.

    Pour les amateurs de Durango, cette série reste une bonne façon de prolonger le plaisir, les derniers tomes de la série mère ayant été un brin décevants pour moi.

     

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/durango-la-jeunesse-tome-2?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  6. Moi vu ses vilaines critiques je me cherche le conan de Masbou mais pas moyen d’y mettre la main dessus d’occaz’

     

    par contre kevin je sais pas comment tu fais sur vinted, j’y vois que du manga bordel….


  7. Titre de l'album : Le mystère du col Dyatlov
    Scenariste de l'album : Cédric Mayen
    Dessinateur de l'album : Jandro González
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Le Lombard
    Note :
    Résumé de l'album :

    Janvier 1959. Un groupe d'alpinistes chevronnés entame une ascension en direction d'un mont russe. Aucun d'entre eux n'en reviendra vivant. Un mois plus tard, le procureur Lev Ivanov est appelé pour assister à la recherche des corps. Le « limier de Sverdlovsk » s'interroge : pourquoi les alpinistes se sont-ils séparés ? Pourquoi certains ont-ils lacéré leur tente pour en fuir sans leurs chaussures ? Et pourquoi les autres ont-ils été atrocement mutilés ? Et le pire, c'est que personne ne semble tenir à ce qu'il trouve les réponses...

    Critique :

    Humpf encore une bd inclassable... On est presque sur un documentaire concernant un fait divers ayant eu lieu dans le grand nord russe sous période URSS, sauf que voilà, le mystère n'ayant jamais été officiellement résolu, il s'agit ici de la présentation de la partie la plus probable de l'histoire. Car si la partie concernant l'enquête s'avère relativement documentée et précise, ce qu'il s'est passé pour ces alpinistes reste encore aujourd'hui un mystère. A noter qu'à ce titre l'enquête présentée dans le dossier documentaire de la fin d'album est presque plus intéressante que la partie bd pour ceux qui veulent comprendre les dessous de ce dossier mystérieux... J'ai par contre du coup plus de mal avec la partie reconstitution de l'aventure de ces alpinistes puisqu'on s'enfonce là alors dans les conjectures... Un mystère irrésolu reste très très frustrant pour le lecteur, et la conclusion de l'enquête soviétique en bd nous laisse forcément sur notre faim. 

    La partie graphique de Jandro Gonzalez est plutôt très réussie avec une vraie expressivité des personnages, même si la colorisation, imposée par le contexte (paysages fortement enneigés et mauvais temps) à tendance à rendre un peu terne. 

    Par contre j'avoue que pour ceux qui ne connaissent pas ce fait divers, se plonger dans un mystère de l'ère soviétique dans un univers aussi hostile et glacial cela change et apporte pas mal de fraicheur à l'ensemble pour le lecteur occidental moyen que je suis.

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mystere-du-col-dyatlov?ref=44

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  8. Titre de l'album : Je suis au delà de la mort
    Scenariste de l'album : L'homme étoilé
    Dessinateur de l'album : L'homme étoilé
    Coloriste : L'homme étoilé
    Editeur de l'album : Le Lombard
    Note :
    Résumé de l'album :

    Il n'est jamais trop tard pour réaliser ses rêves : après des années à écumer les petites salles avec son groupe de rock, Jean s'apprête à s'envoler en direction des États-Unis pour y enregistrer son premier album. Malheureusement, il n'est jamais trop tôt pour se réveiller brusquement : Jean apprend qu'il est atteint d'un cancer, et ses projets d'avenir s'accordent très mal avec la chimio. En plus, son voisin de chambre à l'hôpital est un infâme grincheux qui ne jure que par Sinatra... Mais quand tout semble se refermer...

     

     

    Critique :

    N'y allons pas par quatre chemin, c'est mon coup de coeur de la rentrée. 

    Ma femme, mes potes, les femmes de mes potes se sont jetés dessus. Pas un ne l'a lâché sans l'avoir fini. Quelques larmichettes, larmes ou sourires, jamais d'indifférence. 

    Graphiquement c'est fluide, terriblement expressif en peu de traits, ce n'est peut être pas encore du Larcenet, mais il y a indéniablement du talent.

    L'histoire elle, est forcément poignante, et on pourrait considérer que c'est facile finalement. Sauf que, sauf que. D'abord le dosage entre émotions est génial, tristesse et joie sont habilement mêlées, sans jamais nous déborder dans un sens ou dans l'autre. L'histoire flirte parfois avec l'angélisme mais la réalité pointe toujours le bout de son nez sans concession. 

    Bref, le roman graphique de la rentrée est là. C'est un régal, cela se lit sans faim, c'est facile, bon et intéressant. Peut-être pas philosophique ou vraiment profond, mais paradoxalement tellement vivant. 

     

    Une réussite. Et je ne dit pas ça souvent sur les ouvrages venant de "stars" des réseaux 🙂

    Autres infos :

    Type de l'album : Roman graphique
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-au-dela-de-la-mort?ref=44

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  9. Titre de l'album : Tango - Tome 7 - La flèche de Magellan
    Scenariste de l'album : Matz
    Dessinateur de l'album : Philippe Xavier
    Coloriste : Jérome Maffre
    Editeur de l'album : Le Lombard
    Note :
    Résumé de l'album :

    Manille, Philippines. Tango et Mario ont du temps à tuer, alors pourquoi ne pas se mettre en chasse de reliques oubliées : le casque du plus grand navigateur de l'histoire, Magellan, et la flèche qui l'a tué sur ces rivages lointains ? Seulement, cette idée romantique et aventureuse s'avère bien plus compliquée et dangereuse que prévu. Tango n'est pas au bout de ses surprises...

    Critique :

    Qu'il est difficile d'expliquer pourquoi l'on s'attache parfois à une série et pas a une autre... Tango est clairement une des séries que j'aime beaucoup et dont je lis toujours les aventures avec grand plaisir... Pour autant la baisse d'intensité des derniers tomes, le côté assez prévisible des situations, et l'ensemble finalement très classique et masculin des aventures rendent l'ensemble ni vraiment original ni particulièrement audacieux. Alors pourquoi j'aime autant cette série ? Tango c'est de la bd de polar / aventures à l'ancienne, avec les bonnes recettes traditionnelles : héros baroudeur charismatique, taiseux et mystérieux, aventure en pays exotique pour nous franco-belges, belles femmes fatales et violence maitrisée... Il y a du Bob Morane, du XIII et du Bernard Prince dans Tango. Pour les amateurs de jeux vidéo, ce nouvel opus vous fera forcément penser à Nathan Drake aussi...

    Car oui ce tome 7 lance un nouveau cycle qui nous emmène sur la trace d'un trésor presque de pirate aux philippines ! Et ce n'est pas plus mal tant l'intrigue des premiers tomes était arrivée au bout, et tant Tango gagne en intérêt dans les scénarios clairs et limpides. 

    Bref, voici un nouveau tome de Tango, et je ne peux que m'en réjouir, je continue cette série qui relance bien son intérêt après quelques tomes moins trépidants et plus faciles. Certes les ficelles sont toujours connues et un peu grosses, certes l'histoire a pour le moment un parfum de déjà vu, mais il continue de faire rêver le petit garçon qui sommeille encore en moi, et ça ce n'est pas rien finalement. Tango c'est avant tout un parfum des bd d'aventures action des années 70-90, héros viril, jolies filles, soleil et aventures exotiques... 

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tango-tome-7-la-fleche-de-magellan?ref=44

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  10. Avec La Ballade d'un homme violent,
    Denis Van P signe son grand retour en Bande Dessinée, depuis l'épopée Sandawe ! 

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    A découvrir, dès maintenant,
    sur Ulule 
     
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    1977. Du pénitencier de Kairnes, perdu au beau milieu du désert brûlant, s’évade le très dangereux condamné à mort Floyd Thorne. Sa cavale effrénée, dont le seul but, mystérieux, se trouve au cœur de la ville de Camooda, s’étalera sur dix heures, et se déroulera au rythme des souvenirs sombres de son passé, à la cadence des corps qui tomberont sous ses balles
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    Kamiti lance une mini-collection de BDs / Romans Graphiques dédiés à des thrillers, récits policiers ou histoires sombres en one-shots.

    La Ballade d’un homme violent sera le 1er récit de cette nouvelle collection.

    Nous avons eu un coup de cœur pour cette histoire poignante ainsi que pour son créateur : Denis Van P que certains d’entre vous le connaissent probablement déjà. Denis avait publié une BD très émouvante lors de l'aventure éditorale Sandawe. Joseph Carey Merrick nous racontait la vie du tristement célèbre Elephant Man.

    10 ans ont passé, et Denis nous propose ici avec La ballade d’un homme violent, un récit prenant, puissant, et encore une fois très touchant !

    Une histoire sombre, sanglante, parsemée d’humour noir, au langage parfois cru, qui pourrait être un hommage à certains films des années 1970, tels que Wake in FrightThe Gauntlet, Bring Me the Head of Alfredo Garcia, The Getaway, ou Mad Max.
     
    « Comme une balle expulsée d'un canon de revolver, la Ford Torino poursuit dans le désert sa trajectoire chaotique, sous un soleil écrasant. Un soleil de plomb, même. Elle soulève, dans son sillage, une tonne de poussière. »
     
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  11. Il y a 10 heures, nicokino a dit :

    Mais pour faire toutes ces critiques vous avez des éditeurs qui vous envoient des bds pour faire les chroniques ? 
     

    parce que vous faites des review sur les sorties récentes donc pas d’occasion la.

     

    moi je suis au double mais faut que je me calme.. entre les veilles collection à collectionner et le nouveau c’est compliqué 😅

    Oui bien sur. Mais pas toutes loin de la. Apres on se repartit aussi les sorties entre nous. A 6 ca va pas si mal…

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