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SamReVolt

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  1. SamReVolt

    Sentai School

    Ce nouvelle épisode est en effet absolument succulent. Il nous apporte son lot de rebondissements des plus abracadabrantesques (le détournement de Roméo et Juliette). Quant à l'invitation des parents à venir à l'école, le prétexte était tout trouvé afin de nous proposer une galerie de nouveaux héros tous plus frappadingues les uns que les autres. A noter qu'il ne s'agit là que de la première partie. J'attends vivement la suite au prochain numéro.
  2. SamReVolt

    Lone Wolf & Cub

    CITATION(pimousse)Du point de vu dessin rien à dire ne serait-ce que parfois les combats sont assez mal retranscrit mais bon ça ne gache rien à l'oeuvre.Je crois au contraire que c'est voulu. Encrage lourd pour signifier la dureté du combat, traits rapides ou à peine esquissé pour figurer la vitesse et la fulgurence de ce dernier. En effet seul l'efficacité compte et non pas forcément la lisibilité du combat qui si cela rendrait le suivi combat parfaitement transparent, en serait (je pense et vu le style générale de l'oeuvre) que plus fade, moins transcendant et moins réaliste aussi. Il n'en reste pas moins vrai qu'il n'est guère aisé de suivre, c'est en effet assez déroutant quand on a guère l'habitude de lire des manga dans le sens originale (moi au moment de découvrir ce présent manga) et notemment quand on a pas l'habitude de la façon dont les mangaka exploitent à fond les possibilités de mise en page pour figurer les scènes d'action pure. Le style de Kojima étant en ce sens unique en son genre. A part ça ravi que ça vous plaise. Moi par contre, j'ai du retard, j'en suis au volume 5 alors que le 8 sort bientôt, va falloir rattraper tout ça afin que vous fasse part de mes impressions.
  3. SamReVolt

    Sentai School

    Au temps pour moi. Effectivement, Creamy c'est celle qui dit "bonjour les garçons" dans l'épisode où les filles débarquent.
  4. SamReVolt

    Sentai School

    Pécho hier. Je partage pleinement ton avis. Toujours aussi fendard, toujours aussi bon. Si vous avez aimé le premier, vous apprécierez encore plus celui-ci. Creamy en CPE féministe enragée, trop bon.
  5. CITATIONOsamu Tezuka - t.1 Date de parution : 24/09/2004 Dimensions : 17 X 24 cm Prix : 12,75 € L’auteur de la trilogie Ayako (récemment parue chez Delcourt) est surtout connu pour son personnage d’Astro Boy. Né en 1928, il laisse en héritage à sa mort en 1989 plusieurs dizaines de milliers de pages de manga, mais aussi une empreinte forte sur le cinéma et surtout le dessin animé, confirmant l’importance de la passerelle entre animation et manga. Ce premier volume de la biographie de Tezuka raconte les 15 premières années de la vie de cet auteur incontournable, qui a très tôt la révélation de sa vocation artistique au moment où il découvre les films de Walt Disney et des frères Fleisher. source Bref, yabon.
  6. Laisse Brodieman, il y en a même qui voudraient voir les films dès la préproduction.
  7. SamReVolt

    Sens de lecture du manga

    A la question préférez-vous le sens de lecture européen ou japonais, je réponds que je préfère le sens de lecture original, tout simplement. Donc, un manga en sens japonais et une BD "occidentale" dans le sens européen, tout bêtement. Est-ce que celà vous plairait de lire vos Tintin dans l'autre sens, je ne crois pas, vous seriez les premiers à crier à la trahison, ne reconnaissant plus l'oeuvre originale. Et les auteurs n'apprécieraient pas non plus, sauf si accords de leur part (Hergé ayant retravaillé ses planches pour les édition arabes par exemple), d'ailleurs au Japon, les BD étrangères ne sont jamais retournées, les japonais ayant pour habitude de lire tout aussi bien dans un sens comme dans l'autre. Donc s'ils font cette effort, nous pouvons le faire tout aussi bien, la preuve, sinon ça ne se vendrait pas. L'argument de la feignantise de retravailler chaque planche est un des plus fallacieux que l'on puissent entendre ! Comme si chaque éditeur avaient les moyens de payer, en plus des services de traductions et d'adaptations, des services de retournages changement de sens de lecture. A moins de faire explosé les prix de vente (tout bonnement impensable, ils augmentent déjà suffisement chaque année) et/ou nous produire de la merde au kilomètre, ça n'a strictement aucun intérêt. Au contraire, cela demande beaucoup moins de travail à fournir en ce concentrant sur le principal, à savoir la traduction/adaptation. Franchement le Boilet et tous les parangons de "la nouvelle manga" de chez Casterman and Co me font doucement rigoler avec leur vision auteurisante du manga, avec d'un côté "la vraie manga" et de l'autre la merde mainstream pour la plèbe otakiste avec toute la considération que ces messieurs doivent avoir pour ces oeuvres et leur lectorat, merci bien... Alors certes, c'est Frédéric Boilet (le chantre de "la nouvelle manga", tout un programme...) qui s'est chargé d'adapter toutes les planches du manga en retravaillant chaque case une par une (tu parles d'un boulot) avec l'accords de l'auteur bien entendu (à noter que rares sont les mangaka qui auraient accepté). D'où, un travail soigné et une adaptation de qualité, mais réclamant bien plus de travail (et donc d'argent) qu'un vulgaire retournage de planches à la batarde made in Glénat/Tonkam. Il faut savoir que Casterman joue clairement la carte des mangas d'auteur (comme pour le cinoche), de "la manga" donc, afin d'attirer leur clientèle CSP+ à lire de la "belle" BD japonaise, la "vraie" et surtout pas la "dépravée mainstream shojo/shonen/seinen", n'est-ce pas. Et ce sans froisser leurs petites habitudes "franco-belges" telle que le sens de lecture français, l'épaisseur, le format et la qualité du papier et le prix pas trop bas parce que ce que faudrait surtout pas les prendre pour des pauvres vous comprenez. Du coup ça donne des édition chères, de très bonne qualité avec couverture robuste, car vendus comme des produits de luxe, au format largement plus grand que les éditions originales, recourant à un papier glacé certes de très bonne qualité, mais d'un aspect froid et impersonnel, contrairement au bon vieux papier gaufré japonais au grammage certe pauvre, mais respectant une certaine authenticité de l'oeuvre (qui a dit Ikkyu version trois kilos vendue à prix d'or ? :mrgreen:) Personnellement, j'estime que cela tiens de la pure bouffonnerie sachant que c'est le seul éditeur "prestigieux" à retourner le sens de lecture. Je pense au Seuil par exemple qui a pris le risque (calculé) de sortir les deux tomes de Le temps de Botchan dans le sens original. Sans compter que les éditeurs traditionnels de manga "mainstream" (not. Kana et GC) se sont déjà mis à lancer des collections de manga adultes d'auteurs indépendants et ont prouvés plus d'une fois que l'on pouvait attirer une nouvelle clientèle mature, y compris venu de la "franco-belge" tout en respectant le sens de lecture. Exemple de grands classique comme Lone Wolf & Cub (GC), ou d'oeuvres aussi atypique comme Number 5 (Kana, col. Made in Japan). Bref, exit cette vision séparatiste et condésendante que voudrait nous faire partager les tauliers de "la nouvelle manga", qui voudrait qu'il y est d'un côté les "merdes réservés à la plèbe" et de l'autre "la manga" d'auteur top-moumout pour clientèle branchouille éduquée et friquée. Vision qui n'existe d'ailleurs même pas au Japon, même si (mais la question n'est pas là) il existe aussi des auteurs indépendants bien entendu. Et de parler aussi à ces petits éditeurs qui ont récemment débarqués comme Asuka (Black Jack, Nanairo Iko) ou Kabuto (Sanctuary) et qui se targuent de compter un bon nombres de chefs-d'oeuvres dans leur catalogue vendu à prix modestes dans des éditions qui sont les copies conformes des tokubon (livres reliés) japonais (c'était d'ailleurs déjà le cas des éditeurs les plus connus) CITATION(brodieman)plus que de la flemme des éditeurs, c'est peut-être aussi que le public ciblé à l'origine étant ces fameux 'otaku français', les manga se doivent d'être en sens original (argument marketing majeur, c'est plus vendeur comme la vost pour les animés).Pas vraiment non. Tous les éditeurs ont au contraire penser que jamais personne en France ne voudrait lire des BD dans le sens japonais. Donc au début, les planches étaient systématiquement inversées et retournées, très souvent au petit bonheur la chance d'ailleurs... C'est par la suite, justement sous la pression des lecteurs (qui n'est certe pas le lectorat "franco-belge"), que les éditeurs ont découvert à leur grand étonnement que ce dernier préférait découvrir les oeuvres dans le sens original. Depuis la quasi-totalité des manga sont édités dans le sens d'origine. Et même encore aujourd'hui, Tonkam, pourtant l'un des pionnier du manga en France, se pique de rééditer les oeuvres majeures de Tezuka (Bouddha, Trois Adolphe) dans le sens français, justement dans le but d'attirer une nouvelle clientèle. Mais c'est de plus en plus rare, sachant que les éditeurs et auteurs japonais sont de plus en plus regardant sur le qualité des traductions françaises et imposent des clauses de plus en plus exigeante, notamment en ce qui concernent justement le strict respect du sens de lecture, de la possibilité ou non de retoucher les onomatopées, etc.
  8. SamReVolt

    Lone Wolf & Cub

    Je confirme. A chaque nouveau tome, c'est un plaisir à chaque fois renouvelé, de nouveaux rebondissement, de nouvelles histoires plus diverses et complexes les unes que les autres. Bref aucune lassitude. Vivement le volume 5.
  9. SamReVolt

    Ayako

    Enfin, on va pouvoir se fritter sur ce manga. :arf: :oscour: :epee: :croise: Plus sérieusement, tu est loin d'être la seule ne pas avoir accrocher à l'univers d'Ayako ni à son histoire. Et personne ne t'en tiendra rigueur. Par contre, en quoi trouves-tu qu'il y a des erreurs ou impossibilités d'ordres spacio-temporelles dans le roman ? J'avoue m'être moi-même poser la question eu égard le découpage sur plusieurs décennie du manga, étant donné particulièrement sourcilleux de cette aspect de la construction de l'intrigue. Personnellement, je n'en ai pas relever. Il faudra d'ailleurs que je le relise d'une seule traîte pour percer les éventuelles incohérences. :wink:
  10. SamReVolt

    Sentai School

    Vu le rythme de parution de la BD dans Coyote Mag, il est plus que prématurer que de tabler sur une date éventuel de sortie.
  11. SamReVolt

    Ayako

    Je confirme entièrement tes dires Fr@nçois75. Cette oeuvre est tout simplement extraordinaire. L'on a droit à une véritable montée en tension durant tout ce dernier tome qui multiplie moultes rebondissements et retournements de situation Le tout servi par un final d'anthologie. Il s'agit là d'une oeuvre parfaitement maitrisée de bout en bout, qui ne décoit jamais, un véritable roman noir qui évite habilement les écueils auquels l'on a souvent droit lorsque qu'un auteur s'attaque un à tel mélange de genre, où réalité politico-historique, fiction policière et saga familiale (pardon pour le pléonasme) se cotoient dans un écheveau complexe. Un grand merci à Akata/Delcourt de nous avoir permis de découvrir ce pure bijou.
  12. Oui mais les pages en anglais et en français restent toujours vides, espérons qu'elles soient rapidement mises en route D'ailleurs voici le trailer de leur dernière production: http://www.deadleaves.jp/mov/trailer480.mov Dead leaves: Court métrage de 50 min. On se retrouve dans un monde futuriste habité uniquement par des clones. L'homme à la tête de téléviseur, c'est Retro. LA fille à la tâche de vin, c'est Panty. Le desing est signé IMAI Toonz, un dessinateur issu de la publicité et du jeu vidéo (il a oeuvré pour Sega, MTV...) A la mise en scène l'on retrouve IMAISHI HIroyuki (directeur de l'animation sur FLCL et Abenobashi). Le film est coproduit avec Manga Etertainment, ce qui laisse présager une sortie prochaine et rapide chez Manga Vidéo, et au vue de la qualité du DVD de Blood The last Vampire (Aussi signé Production IG), c'est tout de bon. Info pécho sur le dernier Animeland.
  13. Tu as très bien deviné. Monsieur a un basset et depuis il en met dans tout ces films depuis GITS.
  14. CITATION(Rand)Je me pose une question sur cette histoire de sens. Pour nous un personnage va vers la droite , il s'en va , il va vers la gauche il revient (c'est peut être un peu trop schématisé). Quand est il pour les japonais ?Bien difficile d'expliquer le ressenti si l'on a jamais eu l'occasion de lire un manga dans un sens ou dans un autre ce qui n'est pas courant pour un Japonais. J'ai eu l'occasion de m'apercevoir du degrès de "trahison" du phénomène en comparant l'édition française de Lone Wolf & Cub (qui respecte le sens de lecture originale) avec l'édition américaine. j'avoue avoir eu toute les peines du monde pour relire les pages dans l'autre sens, car cela faisait vraiment bizarre, j'avais vraiment l'impression de voir une oeuvre totalement différente, pourtant je savais pertinement que c'était exactement la même, mais a priori simplement en miroir. Ca m'a même choqué. Vous pouvez aussi tenter l'expérience suivante un test simple, essaie de lire Tintin devant un miroir, j'avais fait l'expérience une fois, c'est assez révélateur de l'importance du sens des images dans l'apréhension et la compréhension des images. Alors bien entendu, comme on découvrir directement une oeuvre retournée, celà parait moins flagrant, mais c'est exactement comme si vous découvrer un film recadré, généralement l'on ne s'en rend pas compte, sauf si l'on fait attention aux dialogues où des nez se parlent. Mais une fois que vous le découvrait au format respecté, le film change du tout au tout, et les nez retrouvent leur visages. :wink: Il y a un autre problème, c'est la façon dont les éditeurs s'y prennent pour retourner les planches: Méthode 1: tu reproduit toutes les planches en miroir. Avantage: respect de la fluidité de lecture, puisque comme tout est retourné, tu as vraiment l'impression que la BD a été fait dans le sens de lecture occidentale. Inconvénient: tout le monde devient gaucher et tout les objets assymétriques changent de sens, ce qui peut en perturber plus d'un. Méthode 2: Tu conserves le sens des planches, tu te contentes simplement d'inversé l'ordre des pages. Avantage: les dessins sont présentés dans leur sens d'origines. Inconvétions: rupture de la fluidité puisque l'inversion de la numérotation fait que tu ne sais plus où commence une action à la fin de la page de gauche et où elle commence dans celle de droite. Méthode 3: Un mixage des deux méthodes précédentes, ne riez pas, certains éditeurs l'on déjà fait, notemment sur leur premiers titres sorties, et là bonjour les dégats... Ca va des simples illustrations couleurs qui concervent leur sens d'origine, comme dans Akira, ce qui rompt la fluidité avec le reste des pages de dialogues en noir et blanc qui elles sont retournées 'Akira qui voit son bras robotisé changé de côté ) au charcutage prise de tête où selon les pages, on respectent plus ou moins la mise en page. Avantage: aucun Inconvénient: perte de temps pour l'éditeur, perte d'argent pour le lecteur. Bref comme le dit Brodieman, celà rajoute plus de problème que cela n'est censé en retirer.
  15. CITATION(Rand)Je ne pense que cela soit aussi simple. Je me souviens d'une interview de Frédéric Boilet (dans un numéro de Calliope je crois) où il disait que les mangaka regardait d'un bon oeil que l'on adapte leur oeuvre. Il en tirait une sorte de fierté. Il faudrait que je retrouve l'argumentaire exacte.Bien entendu que c'est une fierté que d'être traduit et diffusé à l'étranger, le problème n'est pas là. Je te parle de la qualité des adaptations, et celà vaut autant pour la qualité des traductions (toujours délicates), de l'impression et du respect du sens de lecture. Or c'est sur ce dernier point que j'insiste dans ce topic. CITATION(Rand)Bien que personellement je n'ai pas de problème pour lire dans le sens original, ce n'est pas le cas de tout le monde. Il serait plutôt dommage de ne pouvoir lire des oeuvres de qualité pour une raison "physique"La barrière est bien plus psycologique que physique. Ensuite, est-il normal que l'on est pas le choix en la matière ? Or quitte à ne pas l'avoir, justement ce choix, autant nous le présenter dans le sens de lecture original. Au départ les premiers éditeurs à se lancer dans le manga pensaient que personnes ne voudraient lire les manga dans le sens japonais de lecture, or ils se sont apercus que cela faisait partie des premières exigeances des lecteurs que de pouvoir lire leur manga dans le sens original de lecture. CITATION(Rand)Et puis on accepte bien les traductions que l'on pourrait aussi qualifié de trahison.Ben justement, là aussi l'on pourrait y avoir à redire pour la plupart des manga, mais généralement celles faites pour les manga édités par les "retourneurs de planches" en question sont généralement de bonnes qualité paradoxalement. CITATION(Renardrouge)Perso j'ai attaqué le manga aec quartier lointain et effectivement ca ne m'a pas dérangé des masses. Maintenant dans un sens ou un autre il n'y a pas de problèmes de lecture on s'habitue très vite.Tu viens de prononcer la phrase magique, c'est tout sauf un problème, encore une fois, les auteurs ont bien plus peur de la barrière psychologique que d'autre chose et obéissent bien plus à leur a priori que les lecteurs étant donné qu'il sont aussi des commercants et que leur métiers est une constante compromission entre les souhaits de leur lecteurs les plus fidèles exigeants et la volonté légitime de plaire aux plus grand nombre et de rentabiliser leur investissement. Je n'ai jamais dit que leur décisions étaient toujours facile à prendre, juste qu'elles amènent des choix assez incompréhensibles voire ubuesques concernant certaines d'entre elles. CITATION(Tanuki)De toute façon les _fans_ n'ont aucune légimité pour juger de la pertinence/bien-fondé du retournement des planches d'un titre. Seul l'auteur le peut.Alors pourquoi certains éditeurs s'obstinent-ils à retourner les planches si ce n'est pour satisfaire une clientèle peu enclin à se lancer dans la BD japonaise ? Les éditeurs se doivent d'être à l'écoute des lecteurs et donc de les respecter (cf remarques prédédentes) Or tout les éditeurs "classiques" dont le manga ne représente qu'une infime partie de leur catalogue et qui prétendent présenter des auteurs japonais à un lectorat amateur d'oeuvre adultes/sérieuses mais ne connaissant pas ou très mal le monde du manga, proposent pourtant leurs oeuvres dans le sens de lecture original et ne se laissent pas aller à la facilité en retournant les planches et font le choix de respecter le plus possible l'oeuvre originale, ce qui sommes toutes logiques. Il s'appelle le Seuil, Panini Comics ou Delcourt/Akata pour ne citer qu'eux. Et l'on m'a confirmer que leurs titres se vandaient très bien, donc l'argument commercial ou la soi-disante frilosité des lecteurs "franco-belges" avancé par les "retourneurs de planches" sont quelques peu bancales. Où alors c'est qu'il veulent ratisser large et dans ce cas ils ne font plus de l'édition mais du commerce pure.
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