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M_Spock

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Messages posté(e)s par M_Spock

  1. Le petit bonheur catégorie internationale : être coincé aux Etats-Unis pour le boulot et revenir du magasin local avec une baguette (pas mauvaise en plus) et une bonne portion de Roquefort.
    Qui c'est qui va se régaler ? En plus, y'a même des fraises de Floride.
    Le pire c'est que je vais pouvoir faire passer ça en note de frais, Rha Lovely ! comme on dit chez nous.
  2. C'est pas parcequ'on est loin de chez soi qu'il ne faut pas se tenir au courant, voici donc l'info paru sur le site du monde.
    Je fais un copier/coller de l'article car en général, ils ont une durée de vie assez faible sur le site. Je vous préviens tout de suite, à part la date de sortie, il n'y a rien à se mettre sous la dent dans cet article.

    CITATION
    Les aventures d'Astérix le Gaulois continuent, avec le lancement le 14 octobre 2005 d'un nouvel album, 4 ans après le dernier en date, "Astérix et Latraviata", ont annoncé, vendredi, les éditions Albert-René. Le phénomène Astérix ne cesse de gagner en popularité et s'étend à de nombreux secteurs culturels tels que les jeux vidéo ou les films.

    Albert Uderzo, l'auteur, qui "travaille comme un acharné" ne laisse rien filtrer sur l'histoire et n'aurait même pas décidé définitivement du titre, a-t-on ajouté. Toutefois, la présentation officielle du futur album aura lieu le 22 septembre à Bruxelles, lieu qui pourrait laisser présager que les Gaulois pourraient passer outre-Quiévrain.

    Astérix a été créé en octobre 1959, sortant dans le tout premier numéro du journal Pilote par Albert Uderzo, le dessinateur et René Goscinny, pour le scénario. Depuis la mort de Goscinny, en 1977, Uderzo a repris le flambeau en solo pour cette série dont le succès est un des phénomènes les plus spectaculaires de l'édition.

    Au total, en effet, avec 36 aventures publiées, ce sont 310 millions d'albums, en 107 langues et dialectes, qui parcourent le monde. Le phénomène Astérix dépasse le seul domaine de l'édition, comprenant aussi des jeux vidéo, des disques, neuf feuilletons radiophoniques, une adaptation théâtrale, sept films d'animation et deux longs métrages à grand succès en 1999 et 2002 avec Christian Clavier jouant le petit et Gérard Depardieu le gros. Tout cela sans oublier le Parc Astérix, ouvert en 1989 à Plailly, dans l'Oise.

    Ces dernières années, les albums avaient atteint des sommets, dépassant les deux millions d'exemplaires, mais en 2001, Astérix et Latraviata avait battu les records toutes catégories, sorti le même jour dans toute l'Europe à huit millions d'exemplaires, dont trois millions en France et trois millions en Allemagne, pays où le Gaulois jouit d'une extrême faveur.
  3. CITATION(lapingue)
    Je confirme!  :wink:

    C'est bizarre, à Nice, on a 2 librairies albums et aucune n'est indiquée sur leur site, bizarre.
    Bref, qui vivra verra, sinon, je commanderai sur bdnet s'ils l'ont. J'en serai quitte pour attendre quelques jours de plus.
  4. CITATION(okilebo)
    M_Spock> Tandis que toi, je pense que tu fait référence à celui que "Canal Bd" avait édité (avec un petit cahier de brouillon illustré) ?

    Ah oui, c'est à ça que je pense. Mais ça veut donc dire qu'on ne pourra l'avoir que si on achète la BD dans la bonne librairie ?
    J'ai déménagé, vers chez moi, je n'ai que AlbXm ou la FNXC, je ne pourrai pas l'avoir alors ? (sur le net peut-être ?)
  5. Moi j'ai adoré le "Et karoutcho vastum mundus !" excellent !

    Le reste de l'album ? Ben rien à dire, encore une fois, c'est au top. Moi aussi, il ne m'a pas arraché de francs éclats de rire (mais c'est surement aussi une question d'état d'esprit) mais je l'ai trouvé beaucoup plus riche que les autres.
    Je m'explique, au lieu de voir 2 citadins qui essaient de contruire un cocon de survie au milieu d'un univers hostile, dont les autochtones ne sont que des caricatures, on sent que Manu et Mariette commencent vraiment à s'intégrer et de nouveaux personnages secondaires mettent leur grain de sel (le lama, les nouveaux chasseurs, les beaux parents) et apportent un petit plus.
    Et surtout, il y a la Mortemont (quoi ?!?! Elle a été jeune ??) qui devient un véritable personnage de grande envergure grace à son passé professionel mais chut...

    Bref, cette série continue a être un must, je crois que je n'ai pas fini de tous les relire, j'espère qu'il y aura encore des tomes de cette qualité.
  6. Excellent toutes ces nouvelles.
    Ce que cela m'inspire, c'est que Monsters est réellement devenue LA série phare de Donjon, celle qui donne toute liberté aux auteurs d'explorer n'importe qu'elle époque. Au bilan, Potron-minet, Zénith et crépuscule ne servent plus que de référence temporelle. Quand à Parade, qui est quand même le sujet de ce topic, je continue à penser qu'elle fait un peu pâle figure au milieu de ce monument, même si je comprends que les auteurs aient envie de se défouler un peu...
  7. Et une bonne nouvelle pour les amateurs de cette BD : Le photographe Tome 2 vient de recevoir le prix France Info de la BD d'actualité.
    Avec ça, vous pouvez être sur que tous les journalistes vont l'avoir chez eux...
    Seul lien disponible pour l'instant, la sélection.
  8. CITATION(Luuna)
    ça doit être le jeune age  :roll:

    Et oui, on voit là le fossé d'incompréhension qui sépare les générations.
    Moi aussi, j'ai adoré léguman dans ma jeunesse. Quelle nostalgie dans cette image...
    Alors, pour les plus jeunes qui n'ont pas connu ça, c'était simplement un super héros particulièrement débile qui faisait partie de Téléchat, un petit bijou créé par Roland Topor. Ca passait dans récré A2 si je me souviens bien, ça devait durer 5 minutes à tout casser et c'était un monument de non sens et d'absurde, un véritable OVNI télévisuel et, en plus, c'était destiné aux enfants. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu ça, est-ce que ça a bien vieilli ?
  9. Enfin j'ai lu ces 2 albums, que j'avais inscrits sur ma liste au père Noel.
    Que dire ? Une claque !! Comme tout le monde.
    Pour rebondir sur la thématique de l'oubli abordée par Monfreid, il me revient une phrase de Doisneau : il disait que la photo, à raison de 1/125 de s par ci et par là, en fin de carrière, cela ne faisait que quelques secondes volées à l'éternité. L'association de la BD et de la photo est une idée géniale permettant de voler encore un peu de temps à l'éternité, celui que le photographe n'a pu voler dans l'instant, faute de lumière, d'envie, de film ou surtout parce que la photo n'aurait rien exprimé (alors que le dessin a plus de liberté).

    Le témoignage est d'une force inouie car il est raconté par un étranger à tout ça, quelqu'un qui n'avait rien à faire là et qui sait dire tout naturellement les choses. Il peut décrire le travail des médecins de manière neutre (de toutes façons, il n'y connait rien), il sait aussi nous montrer ce que sont les afghans tels qu'ils les a ressentis en tant qu'occidental. Bref, c'est un vrai récit de voyage très réussi avec, à la clé, un retour sur une histoire récente pré talibans et 11/09 que l'on commençait déjà à rayer de notre mémoire collective.

    En plus de cet aspect des choses, la série fournit une intéressante réflexion sur le travail du photographe. Au lieu de proposer un livre de photo, où les clichés sont soigneusement sélectionnés et tirés avec grand soin, on a droit directement aux films tels qu'ils sont sortis du développement. J'ai beaucoup apprécié, en particulier, l'épisode de l'ane au milieu du torrent : une page entière n'est ni plus ni moins qu'une planche contact avec tous les clichés pris durant ces quelques instants, la pleine page suivante est le cliché finalement retenu comme le bon de la série. D'une certaine, manière, cette BD nous fait participer au processus de fabrication (car la photo ne se fait pas qu'à la prise de vue).

    Bref, cette BD est la grande révélation de 2004 pour moi (je suis un peu à la bourre sur le coup) et je ne saurai que trop la conseiller, en particulier aux amateurs de photographie.
  10. CITATION(Monfreid...)
    bref, les deux intrigues principales, ne sont guères novatrices!  
    les personnages sont bien campés, rien à dire, mais de manière assez prévisible.

    Sur ce point, je rejoins aussi Monfreid. Pour ma part, quand j'ai découvert cette BD, le scénario m'a très fortement rapelé les thématiques récurrentes des téléfilms France télévision (je dis récurrentes mais en général, je n'en voie que les bandes annonces...).
    En tout cas l'étranger un peu sur de lui qui arrive dans ce milieu d'hommes rudes et difficiles d'abord et qui va finalement devenir leur copain parce que finalement ils ont bon fond. Il se tape une fille du coin et finalement, c'est la guerre qui met fin à cette belle aventure humaine. Résumé comme ça, ça sonne creux...

    CITATION(Monfreid...)
    ce qui fait la force et le charme de cet album, c'est tout ce que son histoire ne nous dit pas, c'est tout ce qu'il laisse supposer. ce récit "perméable" à de "grands sentiments et situations"...nous offre du temps pour nous attarder sur d'autres choses, on peut tourner la tête, pour contempler plus que la vie d'un homme, le destin de l'humanité en marche.  
    sans parler de ce symbole qu'est la construction d'un phare au milieu d'un port de pêcheur qui n'en veut pas...etc.
    si tel est le "scénario" qui fut récompensé, j'en suis ravi.

    Cette vision du scénario est quand même beaucoup plus réjouissante. La manière de raconter l'histoire, par le jeu des lettres en particulier donne aussi du relief à tout ceci.
    Il n'empêche que le dessin joue, pour moi, un très grand role dans la force de cette histoire, par exemple par l'absence volontaire de détails sur les visages par exemple.

    J'espère quand meme que France Télévision ne va pas en faire une adaptation, cela ruinerait tout...
  11. Après 1 semaine privé d'internet, voici es achats de décembre, ou plutôt mes cadeaux du papa Noël (je précise que c'est moi qui avait fait la liste donc j'ai pas eu caméra café laugh.gif )

    3 éclats blancs : suite aux nombreux avis très positifs entendus ça et là,
    L'esprit du vin l'ail et l'huile : La chronique de Monfreid m'avait bien tenté
    Le Photographe T1 et T.2 on en parle tellement que ça m'a paru incontournable (et je dois dire que je n'ai pas été déçu).
    Et je rajoute ce qui n'est pas tout à fait une BD mais quie st vachement bien quand même :
    Les inédits du petit Nicolas Parce que j'adore le petit Nicolas.

    Bon, j'ai plus qu'à alimenter les sujets de chaque BD (enfin, quand j'aurai rattrapé mon retard de lecture sur le forum...)

    Et puis, comme c'est mon premier message de l'année, je vous souhaite une excellente année à tous (en espérant que les modos me pardonnent ce hors topic).
  12. CITATION(Esteban)
    Mais malgré tout Lanfeust est une série qui se lit bien, j'ai beau lui trouver des tas de défaut, je continue à lire avec pas mal de plaisir.

    Moi, j'avoue que j'ai de plus en plus de mal à accrocher à cette série :
    - Ce dessin en toutes petits cases spéciales myopes (et pourtant je le suis), autant je l'adore quand c'est du Plessix, autant je préférais l'ancienne méthode de Tarquin,
    - Les péripéties du scénario finissent par toujorus un peu revenir sur les mêmes thèmes et ne se renouvellent pas beaucoup,
    - enfin, l'humour et les jeux de mots : je trouve que ça manque de plus en plus de subtilité et de finesse.

    Bref, j'aurai toujours une tendresse particulière pour Lanfeust de Troy que je n'arrive pas à éprouver pour la série "des étoiles" que je finis par trouver un peu insipide. même si on passe quand même un bon moment de lecture.
  13. En attendant de voir si le père Noël a bien lu ma liste, j'ai quand même fait quelques achats :

    Les sales blagues de l'écho T.12 : Je ne m'en lasse pas...
    Lanfeust des étoiles T.4 : histoire de continuer la série.
    Le quatrième pouvoir T.1 et 2 : Je n'en n'ai aucun souvenir mais je sais que j'avais bien aimé le T.1. Et puis c'est intéressant de lire un T.2 qui sort 15 ans après le T.1 (rien que ça, Loisel est battu...)
  14. CITATION(brodieman)
    moi ce que j'ai pas compris, c'est pourquoi il parle du sommet de la tour

    Je suppose que Jackson trouvait que c'était plus cohérent avec la tentative de Saroumane de reprendre le dessus. En attendant, sur ce point, je chipotte mais c'est plus fort que moi, c'est le premier que je me suis dit en voyant la scène : "mais il peuvent pas s'entendre de si loin là !".

    CITATION(brodieman)
    pour les pb d'incrustation de gollum, tu le verras dans les bonus, les effets spéciaux ont été terminés à peine quelques jours avant la sortie tellement Peter Jackson en a fait rajouter.

    Je n'ai pas encore vu les bonus mais c'est un peu ce que je pensais en le voyant, que ça sentait l'urgence de finir. En attendant, çA nous promet la version ultimate dans 4 ans, avec tous les SFX refaits et sur HD-DVD / Blu ray (rayer la mention inutile...)

    CITATION(brodieman)
    la scène eowin/faramir : effectivement clin d'oeil et c'est tout mais au moins on comprends pourquoi faramir et eowin sont ensembles durant le couronnement alors que dans la version courte non.
    pareil pour le baton de gandalf.

    Ca explique un peu le pourquoi mais je reste sur mon idée que si on n'a pas lu le bouquin, la scène de la maison de guérison ne donne pas beaucoup d'information.

    CITATION(brodieman)
    la compagnie des orques: je trouve que la scène est importante

    Je ne conteste pas l'importance de la scène, je la trouve juste ratée : trop rapide et la bagare générale n'est pas crédible à mon gout.

    Il y a d'autres points qui ont fait bondir les puristes dont 2 sont intéressants à discuter à mon avis et dans le même esprit :
    - Gandalf semble jeter délibérément Denethor dans le feu, ce qui fait de lui un meutrier. C'est, pour certains, en contradiction totale avec l'esprit de Gandalf qui prone la pitié et refuse de tuer de sang froid. Personellement, cela ne m'a pas choqué car on peut voir tout çA comme quelque chose qui est dans le feu de l'action.

    - La décapitation de l'émissaire de Sauron par Aragorn : j'aurais tendance à rejoindre certaines critiques sur ce sujet : il n'est pas digne d'un roi de décapiter un émissaire sans défense avant une bataille. Le comportement d'Aragorn, ici (quoique certains trouvent que cela lui donne un peu de faiblesse humaine) est en contradiction avec les valeurs qu'est censé véhiculer le personnage. Le débat est ouvert. En attendant, vous remarquerez une erreur de raccord ici : à l'ouverture de la porte noire, aucune trace des restes de l'émissaire au sol (à moins qu'il se soit volatilisé ?).
  15. Ca y est !
    J'ai enfin pu voir cette satanée version longue que j'attendais depuis un bon moment et boucler cette série.
    Il y a cependant quelques petits détails qui m'ont un peu génés dans les nouvelles scènes, je ne sais pas si c'est pareil pour les autres amateurs du forum :

    - Dans la scène avec Saroumane, petit détail curieux, les acteurs se parlent normalement alors que Saroumane est tout en haut d'une tour qui fait, au bas mot, 100 mètres. Cela sonne un peu faux au bilan. Je précise que je parle de la version française, je n'ai pas encore eu le temps de vérifier si c'est pareil en vo. Cette scène est cependant un ajout vraiment indispensable au film.

    - La scène des maisons de guérisons, m'a un peu décue. Je l'ai trouvée trop courte et, surtout, il ne s'agit que d'un clin d'oeil à ceux qui ont lu le livre. Elle est même muette, c'est dire si aucune information ne passe vers le spectateur (à part le fait qu'Eowin se laisserait bien tenter par Faramir...).
    Dans le livre, cette partie sert à conforter Aragorn dans sa position de futur roi, en tant que détenteur du pouvoir de guérison. Dans le film, on voit juste qu'Aragorn soigne Eowin, mais sans avoir lu le livre, ça n'apporte rien à la compréhension.

    - Enfin, on voit la confrontation entre Gandalf et le Nazgul (et on comprend pourquoi dans le film il avait perdu son baton). Mais là, j'ai trouvé la scène particulièrement vite expédiée. Est-ce que quelqu'un qui se rappelle du livre mieux que moi saurait me dire si ça se passe comme ça à l'origine ?

    - Le chapitre "la compagnie des orques", où Frodon et Sam se retrouvent enrolés est, elle aussi, très vite expédiée à mon gout. De plus, ils déclenchent une bagarre mais, très franchement, je n'y ai pas cru du tout en voyant la scène. En ce qui me concerne, j'ai trouvée cette scène ratée (bon, une sur 10 heures de film, c'est pas la mort non plus) et je pense qu'ils auraient largement pu la couper au montage (trop courte, n'apporte rien à l'histoire, ils ont bien viré Tom Bombadil, ils pouvaient très bien faire l'impasse la dessus).

    - Enfin, je cherche la petite bête mais j'ai trouvé les effets spéciaux de Gollum moins réussis lorsqu'ils approchent de la montagne du destin. Il me semble qu'ils ont moins bien réussi l'éclairage sur Gollum et qu'on voit plus l'effet images de synthèse (alors que dans les 2 tours, l'incrustation était tout bonnement splendide).

    Bref, j'ai eu quelques remarques sur cette version longue, un peu l'impression que le film était déjà trop long et qu'ils n'avaient pas vraiment toute la liberté de faire ce qu'ils voulaient d'où : des scènes ajoutées plutot courtes et adressées uniquement aux lecteurs du livre.

    En attendant, je n'ai pas vu passer les 4 heures et j'attend avec impatience d'avoir le temps de regarder la version commentée et les bonus (heureusement, j'au un trajet en train la semaine porchaine, le PC portable va bosser...).
    Et puis, à la fin du film, on ressent cette nostalgie de la fin d'une grande aventure, cet effet là, lui, est resté intact, comme à la fin du livre. Alors, je tiens quand même à dire chapeau à monsieur Jackson pour ce qu'il a fait.
  16. La vache !! Il y a eu des avancées ce soir !
    Je me suis bien sûr rué sur la page 65 et, effectivement, on voit cett efille présenter une sorte d'implant à sa copine, probablement sa dernière acquisition.
    C'est donc ça que vendrait Namco ? Un implant qui fait de vous un robot ? Cela vient en parallèle de la 1ère case de la page 64 où on voit tous les gens le soir du concert discuter drogue. Il s'agirait donc de la nouvelle drogue. J'ai trouvé un écho à ceci sur la 4ème de couv', où on voit en dessous du texte, l'image de quelqu'un qui se branche un fil dans le crane.

    Je viens aussi de tomber sur cette phrase : "les jeux sont plus inquiétants que la réalité", il faut que je réfléchisse où elle se case...
  17. CITATION(lionel tran)
    Oui, oui. Et si le produit c'est le joueur, pourquoi ne pas déchirer l'emballage, tant qu'à faire ?

    C'est surchauffe de neurones aujourd'hui !!!
    En plus de ça, étant au travail (oui, je sais, on dirait pas), je n'ai pas la BD sous les yeux.
    Mon impression, par rapport à tout ça, je ne sais pas si je l'ai déjà dit, c'est que le produit dérivé ultime du jeu, c'est d'y vivre tout simplement. En gros, Namco pourrait offrir la possibilité de "numériser" notre esprit. L'idée est d'ailleurs montrée à la fin dans la case où on voit clairement écrit sur une image de corps humain Body / Mind (de mémoire), suivie d'une autre image où on voit des peaux interchangeables sur un porte manteaux.
    La question que je me pose est de savoir si, dans votre esprit, ce que l'on voit dans la BD est le monde "réel" ou pas.
    Il y a un autre point qui me tracasse mais que je ne peux pas vérifier : après la performance, je me souviens qu'on voit la fille (désolé j'ai zappé son nom Miu non ?) mais je ne suis pas sur qu'on revoit le garçon (Ryu ?), y'aurait-il un sens à tout cela ? (sous réserve que ce que je dis soit vrai).
  18. CITATION(Monfreid...)
    Pareil que M_Spock (et pas parce qu'il cite desproges  :wink: )

    Pareil que Monfreid (je me doutais qu'il apprécierait la référence)

    Finalement, on est assez d'accord avec Monfreid sur cette série. Comme je l'ai évoqué plus haut, si j'ai mis "bof" comme avis, c'est plus en regard de ce que j'attends d'un "Trondheim+Sfar+Larcenet" qu'en fonction de la qualité intrinsèque de l'album (un peu par pur esprit de contradiction aussi, il faut bien le dire...).
    Mon avis sur Donjon Parade est vraiment en phase avec ce que dit Monfreid : OK, c'est de la déconne mais c'est complètement à l'opposé de ce que propose le monde Donjon dans les autres séries et, au bilan, ça n'apporte pas grand chose. Pour faire de l'ironie facile, on peut dire que le titre du premier était bien choisi "un donjon de trop".

    Il y a des moments, je me demande si Trondheim et Sfar ne sont pas dépassés par leur créature. En effet, ils ont une production sufisement prolifique (surtout Trondheim) et, s'il s'agit de déconner ou de faire des expériences, on a vu qu'il ne reculait devant rien (là, je parle pour Trondheim car je connais peu l'oeuvre de Sfar, mais c'est surtout un problème de budget).
    Alors, pourquoi avoir ressenti le besoin de créer une série déconnade, avec cette création particulière ? Car enfin, la déconnade peut tout à fait trouver sa place dans Zénith.
    Moi, j'ai l'impression que Trondheim et Sfar sentent que Donjon part naturellement et malgré eux dans une direction qui n'est celle de la grosse farce. Ils sont à eux 2 une espèce de Dr Frankenstein dont la créature prend de l'autonomie (et elle en prendra surement de plus en plus au fur et à mesure des tomes). Finalement, Parade ne serait qu'une sorte de pied de nez adressé en quelque sorte à l'univers lui même, comme pour dire "nous gardons le controle".

    Et ce qui me fait peur, c'est que Parade finisse par être l'aveu d'impuissance de créateurs à venir à bout de leur propre oeuvre.
    Voilà le genre de questionnement qui pourrait plaire à Monfreid :wink: Mais bon, on n'est pas là que pour faire des dialogues avec Monfreid, j'aimerais assez avoir l'avis des autres membres sur ce point (l'idéal, bien sur, serait l'avis des auteurs).
  19. CITATION(zeas)
    Je vous fait une explication de texte d'ici peu (à moins que M_Spock me précède...)

    Pour ma part, j'ai pas mal de choses à faire que je ne peux malheureusement pas faire pendant mes heures de travail, j'ai donc assez peu de temps pour lire des BD en ce moment, sauf quand je me couche mais dans ce cas, je m'endors dessus. J'ai bien peur de me faire doubler sur le coup...
  20. CITATION(Esteban)
    Pour les parades, c'est vrai que c'est une série mineure qui a juste l'ambition de faire marrer (et c'est déja pas si mal), mais puisque moi, elle me fait souvent marrer, je ne vois pas pourquoi je bouderais mon plaisir.

    Comme l'a dit un autre, elle est immense la prétention de faire rire...
    Pour ce qui est de Parade, je crois qu'en ce qui me concerne, je ne suis pas suffisement réceptif à l'humour de Trondheim pour qu'il me sufise à justifier une série à mes yeux. Je ne dis pas que Trondheim a un humour de mauvaise qualité mais il est vrai que je n'explose pas de rire en le lisant, je passe simplement un bon moment de lecture. Malhaeureusement, avec le temps, je deviens de plus en plus exiogeant avec le sieur Trondheim et ses accolytes.

    CITATION(Esteban)
    Sinon, est-ce que vous savez si Sfar et Throndeim ont vraiment dit qu'ils feront 300 albums rien que pour les séries principales ?

    Autant que je sache, ils n'ont jamais pris d'engagement de ce type, cette série est plus une expérience pour eux, mais on ne sait pas vraiement à quel moment ils en auront marre.
    C'est peut-être l'origine de mon demi rejet (demi seulement, faut pas éxagérer non plus, ça se laisse bien lire quand même) de Parade : j'ai la trouille qu'ils s'arrêtent trop tot.
    Alors message aux auteurs de Donjon : ne nous laissez pas tomber et continuer à sortir Donjon jusqu'à votre dernier soufle ! S'il le faut, je suis prêt à tenir le fouet :evil:
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