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  1. Titre de l'album : L'herbe du diable Scenariste de l'album : Benjamin Laurent Dessinateur de l'album : Claire Martin Coloriste : Claire Martin Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Le nouvel album de Claire Martin ! 1630, Saint-Empire Garmanique. En Europe, la guerre de trente ans fait rage, laissant derrière elle son cortège de famines, d'épidémies et de morts. Cologne est en proie à la pauvreté, et son prince-évêque, Ferdinand de Bavière, règne en maître. il s'est donné pour mission d'éradiquer les sorcières de la ville. tandis que les bûchers illuminent le ciel, Garance, une sage-femme réputée, mène une vie paisible. Sa rencontre avec Elsa, une jeune femme issue de la noblesse, va bouleverser son existence. Confrontée à un dilemme moral, elle devra choisir entre ses valeurs religieuses et sa compassion pour les femmes qui traversent des situations difficiles. un choix lourd de conséquences dans une société où l'inquisition, en guerre contre la sorcellerie, exerce sa justice impitoyable et irrationnelle. La solidarité leur permettra-t-elle d'échapper à un destin funeste ? Critique : La ligne claire de Claire Martin (vous m'excuserez la répétition:) ) nous avait déjà enthousiasmé avec Le baron perché (critique en annexe) salué par la presse , elle réitère ici ses talents dans cet album qui se veut historique , mais qui emprunte aussi de faux accents de polars . Dans une ville de Cologne du XVIIème siècle , victime des effets de la Guerre de 30 ans et d'un clergé aux ramifications puissantes ; Garance dispense ses bons soins de sage-femme . On y découvre le rôle très important que tenaient ses professionnelles et les difficultés auxquelles elles pouvaient être confrontées . C'est le cas ici avec la grossesse d'une membre de la noblesse locale , qui va bouleverser l'ordre établi et plonger Garance dans une remise en question de sa foi . Ajoutez à cela le passé obscur de notre héroïne des temps modernes et vous aurez un scénario aux ramifications légèrement complexes , mais qui vont trouver tous les éclaircissements dans un final haletant avec procès et trahisons au menu ! Il faut vraiment souligner le travail des deux auteurs sur cet opus car le dessin et le scénario se mettent au diapason pour nous offrir un album de qualité , adapté à plusieurs niveaux de lecture ( 7 à 77 ans comme la chanson) . Les planches sont lumineuses avec une multitude de détails , des visages expressifs , ainsi que des jeux d'ombres saisissants . Quand au scénario qui est une première pour Benjamin Laurent , il est sans faute , et se permet le luxe de nous apprendre une multitudes de faits historiques . Des pages annexes en fin d'album ajoutent des précisions sur le contexte historique ainsi que sur le métier de sage-femmes à l'époque . Un joli travail éditorial sur un sujet peu commun ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-herbe-du-diable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    L'herbe du diable

    La ligne claire de Claire Martin (vous m'excuserez la répétition:) ) nous avait déjà enthousiasmé avec Le baron perché (critique en annexe) salué par la presse , elle réitère ici ses talents dans cet album qui se veut historique , mais qui emprunte aussi de faux accents de polars . Dans une ville de Cologne du XVIIème siècle , victime des effets de la Guerre de 30 ans et d'un clergé aux ramifications puissantes ; Garance dispense ses bons soins de sage-femme . On y découvre le rôle très important que tenaient ses professionnelles et les difficultés auxquelles elles pouvaient être confrontées . C'est le cas ici avec la grossesse d'une membre de la noblesse locale , qui va bouleverser l'ordre établi et plonger Garance dans une remise en question de sa foi . Ajoutez à cela le passé obscur de notre héroïne des temps modernes et vous aurez un scénario aux ramifications légèrement complexes , mais qui vont trouver tous les éclaircissements dans un final haletant avec procès et trahisons au menu ! Il faut vraiment souligner le travail des deux auteurs sur cet opus car le dessin et le scénario se mettent au diapason pour nous offrir un album de qualité , adapté à plusieurs niveaux de lecture ( 7 à 77 ans comme la chanson) . Les planches sont lumineuses avec une multitude de détails , des visages expressifs , ainsi que des jeux d'ombres saisissants . Quand au scénario qui est une première pour Benjamin Laurent , il est sans faute , et se permet le luxe de nous apprendre une multitudes de faits historiques . Des pages annexes en fin d'album ajoutent des précisions sur le contexte historique ainsi que sur le métier de sage-femmes à l'époque . Un joli travail éditorial sur un sujet peu commun !
  3. Kevin Nivek

    Anne Bonny

    Titre de l'album : Anne Bonny Scenariste de l'album : Matteo Mastragostino Dessinateur de l'album : Alessandro Ranghiasci Coloriste : Alessandro Ranghiasci Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Née en Irlande au début du 18e siècle, fille d'un riche avocat, rien ne prédestinait Anne Bonny à la piraterie. Pourtant, mue par une insatiable soif de liberté, elle prendra très tôt le large et se délivrera des chaines qui emprisonnaient les femmes de son époque. Aux côtés du mythique Calico Jack Rakham, elle connaîtra le frisson de la grande aventure et gravera son nom dans l'histoire de la piraterie... Avec talent, Matteo Mastragostino et Alessandro Ranghiasci mêlent récits d'aventures et réflexions sur la condition féminine pour nous offrir le portrait d'une femme résolument libre. Critique : On ne peut pas dire qu'il ait eu pléthore de femmes pirates , encore moins aussi bien "placées" dans la hiérarchie navale . Anne Bonny en fait partie et semble bien seule . Elle , et Mary Read sont les seules connues de l'âge d'or de la piraterie au sein des Caraïbes . On peut remonter à plus loin dans le temps et trouver Ching Shih terrorisant les mers chinoises , ainsi que Grace O'Malley une irlandaise très connue dans son pays . C'est donc un réel plaisir de découvrir les aventures de cette "flibustiere" par deux auteurs italiens déjà à l'oeuvre sur une histoire centrée sur Primo Levi . Le duo fonctionne bien et la pagination importante est assez fluide . Le dessin semi-réaliste aux couleurs vives , colle bien aux personnages et aux lieux . La chevelure rousse de Anne semble sortir des cases parfois , idem pour les phases maritimes très bien décrites .Je préfère mentionner un trait semi-réaliste , car les visages se déforment aisément selon les expressions et il n'est pas rare de croiser de grands yeux et autres bouches béantes , une influence "manga" possible de la part de l'artiste . Le scénario quand à lui, nous fait voyager de sa cellule pénitentiaire en guise d'introduction , puis son enfance , et sa rencontre avec de vrais pirates tels que Jack Rackham . Cette chronologie "éclatée" ménage le suspens et nous tient en haleine tout du long . Comment s'est-elle retrouvée emprisonnée et va t'elle s'en sortir ? Et yo , ho ,ho , embarquez avec Anne Bonny sur des flots incertains , et laissez vous chatouiller les narines par les embruns et ce goût rare de l'interdit 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anne-bonny/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Anne Bonny

    On ne peut pas dire qu'il ait eu pléthore de femmes pirates , encore moins aussi bien "placées" dans la hiérarchie navale . Anne Bonny en fait partie et semble bien seule . Elle , et Mary Read sont les seules connues de l'âge d'or de la piraterie au sein des Caraïbes . On peut remonter à plus loin dans le temps et trouver Ching Shih terrorisant les mers chinoises , ainsi que Grace O'Malley une irlandaise très connue dans son pays . C'est donc un réel plaisir de découvrir les aventures de cette "flibustiere" par deux auteurs italiens déjà à l'oeuvre sur une histoire centrée sur Primo Levi . Le duo fonctionne bien et la pagination importante est assez fluide . Le dessin semi-réaliste aux couleurs vives , colle bien aux personnages et aux lieux . La chevelure rousse de Anne semble sortir des cases parfois , idem pour les phases maritimes très bien décrites .Je préfère mentionner un trait semi-réaliste , car les visages se déforment aisément selon les expressions et il n'est pas rare de croiser de grands yeux et autres bouches béantes , une influence "manga" possible de la part de l'artiste . Le scénario quand à lui, nous fait voyager de sa cellule pénitentiaire en guise d'introduction , puis son enfance , et sa rencontre avec de vrais pirates tels que Jack Rackham . Cette chronologie "éclatée" ménage le suspens et nous tient en haleine tout du long . Comment s'est-elle retrouvée emprisonnée et va t'elle s'en sortir ? Et yo , ho ,ho , embarquez avec Anne Bonny sur des flots incertains , et laissez vous chatouiller les narines par les embruns et ce goût rare de l'interdit 😉
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