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  1. Titre de l'album : Les chefs d'oeuvre de Lovecraft - L'abomination de Dunwich tome 2 Scenariste de l'album : Gou Tanabe - Lovecraft Dessinateur de l'album : Gou Tanabe Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le vieux Whateley est inquiet. Il sent sa fin proche et paraît de plus en plus terrifié par les cris des engoulevents qui se massent autour de sa ferme... L'ancien ne tarde pas à rendre son dernier soupir, laissant sa fille Lavinia seule avec l'étrange enfant qu'elle a mis au monde. Le jeune Wilbur grandit à une vitesse phénoménale et semble chaque jour un peu moins humain... La mère qui se montrait si fière de lui commence à le craindre, puis disparaît. Il est temps pour le garçon de quitter la demeure familiale en direction d'Arkham, où sommeille le terrible ouvrage qui lui permettra d'accomplir son destin... Critique : Suite de ce triptyque adapté de la nouvelle de Lovecratf , parue en 1929 et considérée comme l'une des histoires au coeur du mythe de Cthulhu . Oui , vous m'avez bien lu , il s'agit du tome 2 nous laissant sur une fin pleine de suspens et un peu frustrante pour le lecteur . Le premier volume nous avait fait découvrir la petite ville de Dunwich et sa famille maudite , les Whateley . Wilbur l'enfant mystérieux , quitte le nid suite aux événements lus en amont , en direction de l'université de Miskatonic afin de parfaire ses connaissances sur le Nécronomicon , cet ouvrage mystérieux n'ayant pas livré tous ses secrets . Sa croissance folle par rapport à son âge ,son faciès étrange ainsi que l'odeur nauséabonde qui l'accompagne ne cessent de surprendre les personnes l'ayant connu . Quelles sont ses intentions ? D'autant que de sombres incidents se produisent à Dunwich : des vaches effrayées ou réduites en bouillie , des traces de pas aux proportions gigantesques et au profil totalement inconnu ,ou encore des grondements effrayants venant de la colline avoisinante ! L'épouvante ne nous quitte pas en feuilletant ces pages , le trait "photographique" de Tanabe revêt des aspects organiques sur certaines planches . Les visages horrifiés des protagonistes semblent nous transpercer , autant que ces jeux de regards appuyés et inquiétants au possible . Les moments plongés dans l'obscurité sont de toute beauté , l'auteur réalise des jeux de lumières incroyables . L'éclairage de la lampe torche vous semblera bien léger pour découvrir ce que cachent les recoins . Presque 100 ans après , les récits de Lovecraft ne cessent de nous surprendre , dans un monde culturel où l'exercice est de plus en plus difficile ! Cette collection magnifiquement éditée rentre de façon définitive dans les must-have des BDthèques ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-abomination-de-dunwich-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Suite de ce triptyque adapté de la nouvelle de Lovecratf , parue en 1929 et considérée comme l'une des histoires au coeur du mythe de Cthulhu . Oui , vous m'avez bien lu , il s'agit du tome 2 nous laissant sur une fin pleine de suspens et un peu frustrante pour le lecteur . Le premier volume nous avait fait découvrir la petite ville de Dunwich et sa famille maudite , les Whateley . Wilbur l'enfant mystérieux , quitte le nid suite aux événements lus en amont , en direction de l'université de Miskatonic afin de parfaire ses connaissances sur le Nécronomicon , cet ouvrage mystérieux n'ayant pas livré tous ses secrets . Sa croissance folle par rapport à son âge ,son faciès étrange ainsi que l'odeur nauséabonde qui l'accompagne ne cessent de surprendre les personnes l'ayant connu . Quelles sont ses intentions ? D'autant que de sombres incidents se produisent à Dunwich : des vaches effrayées ou réduites en bouillie , des traces de pas aux proportions gigantesques et au profil totalement inconnu ,ou encore des grondements effrayants venant de la colline avoisinante ! L'épouvante ne nous quitte pas en feuilletant ces pages , le trait "photographique" de Tanabe revêt des aspects organiques sur certaines planches . Les visages horrifiés des protagonistes semblent nous transpercer , autant que ces jeux de regards appuyés et inquiétants au possible . Les moments plongés dans l'obscurité sont de toute beauté , l'auteur réalise des jeux de lumières incroyables . L'éclairage de la lampe torche vous semblera bien léger pour découvrir ce que cachent les recoins . Presque 100 ans après , les récits de Lovecraft ne cessent de nous surprendre , dans un monde culturel où l'exercice est de plus en plus difficile ! Cette collection magnifiquement éditée rentre de façon définitive dans les must-have des BDthèques !
  3. Et voilà , 9 ans après , El Torres et son équipe hispanique reviennent enfin nous offrir la suite des (mes)aventures de Nancy la blonde pulpeuse à la tronçonneuse ravageuse ! Les auteurs nous laissaient sur une terre envahie de monstres avec une porte des enfers restée entrouverte , et bien vous allez découvrir le destin de Lucifer et Nancy dans une nouvelle orgie d'hémoglobine 🙂 Enrique Lopez Lorenzana reprend le flambeau au dessin et on y perd pas au change , c'est toujours aussi détaillé et dévêtu . Voire un peu plus "érotique" car on découvre une invasion d'anges aux plastiques avantageuses et aux motivations diverses , avec pour unique accoutrement leurs ailes ou un simple ruban . Nancy a de la concurrence dans cet opus moins riche en suspens mais qui comble ce léger vide par un déluge d'action . Un bestiaire varié va s'opposer à notre duo qui devra faire preuve de perspicacité pour s'en sortir . Gros monstres , anges déchus , Mr Macabre , prisonniers psychopathes , sauveteurs , une belle galerie de personnages tente sous nos yeux de trouver une solution à ce déchainement de violence . La tronçonneuse ronronne , Nancy tranche dans le vif , Lucifer est toujours en proie avec ses démons intérieurs , Mr Macabre va vous surprendre . Vous l'aurez compris , la suite est d'aussi bonne facture que l'introduction et elle se paie le luxe de finir elle aussi sur un cliffhanger prometteur 😉 N'attendons pas 9 ans pour un tome 3 Mr El Torres s'il vous plaît !
  4. Titre de l'album : Nancy in hell- tome 2 - L'enfer sur terre Scenariste de l'album : El Torres Dessinateur de l'album : Enrique Lopez Lorenzana Coloriste : Fran Gamboa Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Lorsque Nancy et Lucifer se libèrent de l'Enfer, (voir le tome 1, Nancy in Hell, Graph Zeppelin, 2015) les portes restées ouvertes, laissent les démons se répandre sur Terre. Dans ce chaos, les anges décident que détruire la planète est le mal nécessaire pour sauver le monde des humains de l'invasion infernale. Nancy et Lucifer décident de s'allier à leur pire ennemi, Mr Macabre, pour arrêter ce carnage. Mais cela suffirat- il pour vaincre les forces divines ? Critique : Et voilà , 9 ans après , El Torres et son équipe hispanique reviennent enfin nous offrir la suite des (mes)aventures de Nancy la blonde pulpeuse à la tronçonneuse ravageuse ! Les auteurs nous laissaient sur une terre envahie de monstres avec une porte des enfers restée entrouverte , et bien vous allez découvrir le destin de Lucifer et Nancy dans une nouvelle orgie d'hémoglobine 🙂 Enrique Lopez Lorenzana reprend le flambeau au dessin et on y perd pas au change , c'est toujours aussi détaillé et dévêtu . Voire un peu plus "érotique" car on découvre une invasion d'anges aux plastiques avantageuses et aux motivations diverses , avec pour unique accoutrement leurs ailes ou un simple ruban . Nancy a de la concurrence dans cet opus moins riche en suspens mais qui comble ce léger vide par un déluge d'action . Un bestiaire varié va s'opposer à notre duo qui devra faire preuve de perspicacité pour s'en sortir . Gros monstres , anges déchus , Mr Macabre , prisonniers psychopathes , sauveteurs , une belle galerie de personnages tente sous nos yeux de trouver une solution à ce déchainement de violence . La tronçonneuse ronronne , Nancy tranche dans le vif , Lucifer est toujours en proie avec ses démons intérieurs , Mr Macabre va vous surprendre . Vous l'aurez compris , la suite est d'aussi bonne facture que l'introduction et elle se paie le luxe de finir elle aussi sur un cliffhanger prometteur 😉 N'attendons pas 9 ans pour un tome 3 Mr El Torres s'il vous plaît ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nancy-in-hell-tome-2-l-enfer-sur-terre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Murdervale - tome 3

    Après deux tomes sortis simultanément en novembre dernier , Vicente Cifuentes conclut sa trilogie horrifique avec cet ultime opus . Il nous laissait avec un Victor retrouvé et semblant envisager un avenir radieux en famille , mais l'ombre rôde et le mal ne dort jamais à Murdervale . La ville maudite se rappelle à lui dans des cauchemars criants de vérité , les traumas psychologiques de Victor sont ancrés en lui et l'éprouvent . Remonter à l'origine du mal semble être la clé , il ira avec son épouse et l'ami romancier en proie lui aussi à des visions inquiétantes . Les lecteurs vont enfin savoir qui ère dans la ville maudite et corrompt les âmes . Ayant endossé toutes les casquettes lors de la réalisation de cette aventure , Vicente Cifuentes nous offre une couverture de toute beauté et une palette graphique au réalisme saisissant . L'atmosphère gothique dans les phases oniriques est intéressante à travers les détails et les couleurs chamarrées . Son talent en tant que dessinateur n'est plus à prouver , en atteste aussi son travail sur l'excellent Whodunnit paru chez le même éditeur . Mais il doit encore progresser dans le métier de scénariste ET soigner ses dialogues . Le récit souffre du manque de liant entre les scènes et certaines répliques semblent trop légères ou sorties du contexte . L'histoire est prenante malgré quelques poncifs "déjà vus" , mais elle aurait gagné en épaisseur avec une écriture plus aboutie et un peu moins de raccourcis faciles . Cela reste une trilogie d'épouvante de qualité qui saura plaire aux amateurs de frissons .
  6. Titre de l'album : Murdervale - tome 3 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Troisième et dernier volume de la série Murdervale. Victor, hanté par son séjour à Murdervale, où on a essayé de lui prendre ce qui lui est le plus cher va tenter, aidé de sa famille, d'aller au-delà de la douleur et des horreurs... S'il veut que les cauchemars cessent, il devra retourner affronter les démons... il devra retourner à Murdervale, là où tout a commencé. Mais le Mal accordera-t-il à Victor ne serait qu'un peu de repos ? Le cauchemar finira-t-il un jour ? Critique : Après deux tomes sortis simultanément en novembre dernier , Vicente Cifuentes conclut sa trilogie horrifique avec cet ultime opus . Il nous laissait avec un Victor retrouvé et semblant envisager un avenir radieux en famille , mais l'ombre rôde et le mal ne dort jamais à Murdervale . La ville maudite se rappelle à lui dans des cauchemars criants de vérité , les traumas psychologiques de Victor sont ancrés en lui et l'éprouvent . Remonter à l'origine du mal semble être la clé , il ira avec son épouse et l'ami romancier en proie lui aussi à des visions inquiétantes . Les lecteurs vont enfin savoir qui ère dans la ville maudite et corrompt les âmes . Ayant endossé toutes les casquettes lors de la réalisation de cette aventure , Vicente Cifuentes nous offre une couverture de toute beauté et une palette graphique au réalisme saisissant . L'atmosphère gothique dans les phases oniriques est intéressante à travers les détails et les couleurs chamarrées . Son talent en tant que dessinateur n'est plus à prouver , en atteste aussi son travail sur l'excellent Whodunnit paru chez le même éditeur . Mais il doit encore progresser dans le métier de scénariste ET soigner ses dialogues . Le récit souffre du manque de liant entre les scènes et certaines répliques semblent trop légères ou sorties du contexte . L'histoire est prenante malgré quelques poncifs "déjà vus" , mais elle aurait gagné en épaisseur avec une écriture plus aboutie et un peu moins de raccourcis faciles . Cela reste une trilogie d'épouvante de qualité qui saura plaire aux amateurs de frissons . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-3-l-ultime-sacrifice/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Kevin Nivek

    Arcadium

    Titre de l'album : Arcadium Scenariste de l'album : Nikopek Dessinateur de l'album : Nikopek Coloriste : Nikopek Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : 1989, Rosebud, Montana. Gavin, 20 ans, se rend à la police et passe aux aveux : il aurait tué son beau-père, sa mère et ses demi-frère et soeur. Il dévoile alors les événements des jours qui ont précédé son acte et les raisons qui l'ont poussé à commettre l'irréparable... Et ce qui ne devait être qu'un simple interrogatoire pour l'inspecteur Dumond, va progressivement sombrer dans la noirceur d'un récit fantasmagorique dont personne ne sortira indemne. Et vous, êtes-vous prêt à connaître la vérité?? Critique : C'est un petit ovni que nous sort Nikopek avec ce thriller ambiance années 80 au doux parfum fantasmagorique ! Attendez-vous à être surpris au cours de ces 144 pages que vous ne verrez pas défiler , car au fil des aveux de Gavin , l'histoire prend des allures fantastiques et oniriques , tout en se complexifiant . C'est ici le (léger) point faible de ce one-shot selon moi , une complexité qui laisse perplexe , mais en même temps qui va vous amener à relire des passages , voire le livre dans son intégralité une nouvelle fois ! Vous chercherez les détails ou encore à quel moment l'histoire change et avec quels personnages , car ils sont nombreux dans ce récit ! Le suspens est omniprésent , il est impossible de poser le livre avant de l'avoir terminé . L'époque choisie par l'auteur est fidèlement retranscrite , vous retrouvez les standards aperçus dans nombre de films américains , comme le beau-père violent ou encore le "dinner's bar" avec sa serveuse clope au bec vous proposant un café ! Bien entendu , les bornes d'arcades sont présentes , comme les vidéoclubs 😉 . On sent Nikopek nourri à cette culture pop et voulant la retrouver et l'exposer telle une madeleine de Proust . L'atout mémorable de cette bd étant la palette graphique de l'artiste . On passe d'un style proche de Andrea Sorrentino pour l'ambiance noire et poisseuse ainsi que la façon de décrire les personnages ; à un style réaliste presque photographique sur certains paysages ou éléments de décors . Les couleurs chaudes , du jaune-orangé au rouge-sang , apportent du réalisme et une ambiance particulière , tout autant que des effets lumineux très réussis . Le découpage est cinématographique à souhait , on visualise sans peine les visions des protagonistes , on pourrait même percevoir les sons émis par les planches . Immersion garantie . Il est proposé d'écouter 3 morceaux musicaux réalisés par l'artiste Christine , afin de plonger encore plus dans la lecture . En résumé, c'est un polar noir et violent des années 80 avec une teinte de fantastique , un dessin réaliste sublime , mais une complexité sensiblement risquée , à vous de voir 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arcadium/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Après les événements douloureux en fin de tome 1 , Sara décide de revenir à Murdervale avec l'aide d'un écrivain/journaliste en plein syndrome de la page blanche . Une lueur d'espoir est-elle envisageable dans cette ville gangrénée par une malédiction tenace ? Elle perce à jour plusieurs mystères entrevus dans le premier tome , dans un déluge de tension . Si l'on pouvait reprocher un manque de liant dans le livre précédent , Vicente Cifuentes gomme en partie ce défaut ici , dans un déchainement d'actions et révélations . Même des âmes tourmentées nous réservent des surprises ! Tout est prêt pour une ultime aventure à paraître , la saga se clôturant en 3 opus . On retrouve le même graphisme réaliste de l'espagnol , avec de jolis effets spéciaux notamment sur les transparences et luminescences . Le climat d'anxiété est de nouveau présent , c'est une suite plus aboutie laissant entrevoir de belles promesses pour la fin , bientôt 😉 Vous avez en pièce jointe des extraits , pour mieux apprécier les couleurs de l'artiste originaire d'Albacete . Extraits.pdf
  9. Titre de l'album : Murdervale - La pacte maudit - tome 2 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Sara retourne à Murdervale prête à récupérer tout ce qu'elle a perdu lors de sa dernière visite. Sa détermination sera à nouveau mise à l'épreuve, car la malédiction semble maintenant plus puissante que jamais et reste prête à se nourrir de l'innocence et de la santé mentale de tous ceux qui ont mis les pieds dans le village maudit. Quelles forces obscures poussent les visiteurs de Murdervale à des actes meurtriers ? Et si pour vivre, il fallait faire un pacte avec l'Enfer ? Critique : Après les événements douloureux en fin de tome 1 , Sara décide de revenir à Murdervale avec l'aide d'un écrivain/journaliste en plein syndrome de la page blanche . Une lueur d'espoir est-elle envisageable dans cette ville gangrénée par une malédiction tenace ? Elle perce à jour plusieurs mystères entrevus dans le premier tome , dans un déluge de tension . Si l'on pouvait reprocher un manque de liant dans le livre précédent , Vicente Cifuentes gomme en partie ce défaut ici , dans un déchainement d'actions et révélations . Même des âmes tourmentées nous réservent des surprises ! Tout est prêt pour une ultime aventure à paraître , la saga se clôturant en 3 opus . On retrouve le même graphisme réaliste de l'espagnol , avec de jolis effets spéciaux notamment sur les transparences et luminescences . Le climat d'anxiété est de nouveau présent , c'est une suite plus aboutie laissant entrevoir de belles promesses pour la fin , bientôt 😉 Vous avez en pièce jointe des extraits , pour mieux apprécier les couleurs de l'artiste originaire d'Albacete . Extraits.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://graphzeppelin.com/murdervale/296-murdervale-1-le-vol-du-corbeau.html?search_query=murdervale&results=2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Murdervale , tome 1

    Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉
  11. Titre de l'album : Murdervale , tome 1 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Et si un voyage dans l'horreur pouvait ressouder un couple ? Victor et Sara traversent une période difficile et sur les conseils de leur psy, décident de partir quelques jours ensemble. Sans véritable destination en tête, ils prennent la route. En chemin, ils entendent parler d'un village si perdu qu'il ne figure même pas sur la carte : Murdervale. Ils décident de s'y rendre et d'y prendre une chambre d'hôtel. Mais durant la nuit, Victor a des hallucinations. Est-ce son traitement ou la malédiction dont cette vieille femme leur a parlé ? En voulant fuir l'enfer du quotidien, Victor et Sara semblent être tombés dans un enfer bien pire. Bien plus que sauver leur couple, ils vont devoir sauver leur vie ! Critique : Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-1-le-vol-du-corbeau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Arcadium

    C'est un petit ovni que nous sort Nikopek avec ce thriller ambiance années 80 au doux parfum fantasmagorique ! Attendez-vous à être surpris au cours de ces 144 pages que vous ne verrez pas défiler , car au fil des aveux de Gavin , l'histoire prend des allures fantastiques et oniriques , tout en se complexifiant . C'est ici le (léger) point faible de ce one-shot selon moi , une complexité qui laisse perplexe , mais en même temps qui va vous amener à relire des passages , voire le livre dans son intégralité une nouvelle fois ! Vous chercherez les détails ou encore à quel moment l'histoire change et avec quels personnages , car ils sont nombreux dans ce récit ! Le suspens est omniprésent , il est impossible de poser le livre avant de l'avoir terminé . L'époque choisie par l'auteur est fidèlement retranscrite , vous retrouvez les standards aperçus dans nombre de films américains , comme le beau-père violent ou encore le "dinner's bar" avec sa serveuse clope au bec vous proposant un café ! Bien entendu , les bornes d'arcades sont présentes , comme les vidéoclubs 😉 . On sent Nikopek nourri à cette culture pop et voulant la retrouver et l'exposer telle une madeleine de Proust . L'atout mémorable de cette bd étant la palette graphique de l'artiste . On passe d'un style proche de Andrea Sorrentino pour l'ambiance noire et poisseuse ainsi que la façon de décrire les personnages ; à un style réaliste presque photographique sur certains paysages ou éléments de décors . Les couleurs chaudes , du jaune-orangé au rouge-sang , apportent du réalisme et une ambiance particulière , tout autant que des effets lumineux très réussis . Le découpage est cinématographique à souhait , on visualise sans peine les visions des protagonistes , on pourrait même percevoir les sons émis par les planches . Immersion garantie . Il est proposé d'écouter 3 morceaux musicaux réalisés par l'artiste Christine , afin de plonger encore plus dans la lecture . En résumé, c'est un polar noir et violent des années 80 avec une teinte de fantastique , un dessin réaliste sublime , mais une complexité sensiblement risquée , à vous de voir 😉
  13. Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉
  14. Titre de l'album : Quand je suis arrivée au château Scenariste de l'album : Emily Dessinateur de l'album : Caroll Coloriste : Emily Caroll Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Après les succès retentissants de Dans les bois (Casterman) et de Speak (Rue de Sèvres), le nouveau conte horrifique d’Emily Carroll revient au source du genre gothique : les vampires. Si le livre semble suivre la trame classique d’un chasseur de vampire en train de s’infiltrer dans le château d’un vampire, c’est pour mieux perdre son lecteur dans un dédale narratif et graphique où le vrai héros n’est pas celui qu’on croît. Comme tant de jeunes filles avant elle, une jeune femme se rend au château avec la ferme intention de mettre un terme aux terribles agissements de la Comtesse. Mais rien ne pouvait la préparer à l’horreur qui se cachait dans ses tourelles maléfiques. Riches de ses influences gothiques, Emily Carroll distille une horreur sourde teintée d’érotisme. Critique : Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-je-suis-arrivee-au-chateau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Suburban hell

    Titre de l'album : Suburban hell Scenariste de l'album : Taro Kanafuro Dessinateur de l'album : Taro Kanafuro Coloriste : Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : De l'horreur nouvelle génération ? Ne cherchez plus ! Les sept histoires de Suburban Hell, où tous les protagonistes sont consumés par l'obsession et la folie, prennent place dans une banlieue sordide. Dans ce recueil de hardcore horror, traumatisme, secte, précarité, trahisons et meurtres s'enchaînent. Le style, très sombre, ne laisse aucune place à l'espoir et nous dévoile l'horreur de la nature humaine, gouvernée par la haine et la démence. Âmes sensibles s'abstenir ! Critique : C'est avec une grande curiosité que je me suis plongé dans ce recueil de petites histoires horrifiques d'un auteur japonais au talent certain . Cette première oeuvre publiée en France de Taro Kanafuro en appellera probablement d'autres . Son trait personnel et son univers sombre vont à coups sûrs trouver un public avide de sensations fortes . Junji Ito a des apôtres , cet auteur en fait partie ! Des encrages profonds , une lumière photographique , un découpage immersif , il parvient à faire entrer le lecteur dans ses récits malgré la noirceur du propos . N'attendez aucun rayon de soleil dans ce livre ,ici vous côtoyez la perfidie , la méchanceté , la jalousie , la part sombre de chacun poussée à son paroxysme . Au cours de ces 7 histoires marquées par le sceau de l'infamie vous vous demanderez jusqu'où peut-il aller ! Un regret me concernant , le manque de liant entre ces aventures horrifiques et parfois quelques cases assez compliquées à déchiffrer tant les détails sont nombreux . Mais cela reste un travail de très bonne facture , qui ravira les amateurs d'épouvante . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.imho.fr/livres/suburban-hell//?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kevin Nivek

    Suburban hell

    C'est avec une grande curiosité que je me suis plongé dans ce recueil de petites histoires horrifiques d'un auteur japonais au talent certain . Cette première oeuvre publiée en France de Taro Kanafuro en appellera probablement d'autres . Son trait personnel et son univers sombre vont à coups sûrs trouver un public avide de sensations fortes . Junji Ito a des apôtres , cet auteur en fait partie ! Des encrages profonds , une lumière photographique , un découpage immersif , il parvient à faire entrer le lecteur dans ses récits malgré la noirceur du propos . N'attendez aucun rayon de soleil dans ce livre ,ici vous côtoyez la perfidie , la méchanceté , la jalousie , la part sombre de chacun poussée à son paroxysme . Au cours de ces 7 histoires marquées par le sceau de l'infamie vous vous demanderez jusqu'où peut-il aller ! Un regret me concernant , le manque de liant entre ces aventures horrifiques et parfois quelques cases assez compliquées à déchiffrer tant les détails sont nombreux . Mais cela reste un travail de très bonne facture , qui ravira les amateurs d'épouvante .
  17. Titre de l'album : L’Abomination de Dunwich Scenariste de l'album : Gou Tanabe , HP Lovecraft Dessinateur de l'album : Gou Tanabe Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Toute naissance n'est pas une bénédiction... Dunwich, village en déliquescence aux confins de la Nouvelle-Angleterre, fait l'objet de nombreuses rumeurs. On dit que les cercles de monolithes au sommet de ses collines étaient jadis le théâtre de rites terrifiants... En 1913, la naissance de Wilbur est un mystère de plus sur cette terre maudite. Sa mère est une albinos aux airs de sorcière, et l'identité du père est tenue secrète par le patriarche Whateley, qui assure qu'il s'agit d'un être supérieur, différent de tout ce qu'il connaît... Les voisins le croient fou, néanmoins le faciès animal du jeune garçon semble appuyer ses dires. Sans compter qu'il grandit à une vitesse fulgurante... À dix ans, il se met en quête d'un ouvrage ésotérique, le Necronomicon, dont il s'enquiert auprès de diverses bibliothèques. Le professeur Armitage de l'université Miskatonic, intrigué par cette demande, se rend sur place pour le rencontrer. L'intelligence de Wilbur l'impressionne, mais quand il voit les murs de l'étage se déformer sous l'effet d'une puissance inconnue, il repart la peur au ventre ! Quelles monstruosités se cachent chez les Whateley ? Réunissant plusieurs figures du mythe de Cthulhu, L'Abomination de Dunwich est une des plus célèbres nouvelles de H. P. Lovecraft. De sa plume acérée, Gou Tanabe nous embarque sur les traces d'une famille maudite capable de donner vie aux pires cauchemars ! Critique : Après un décevant "Le molosse" , dernier opus des adaptations de Lovecraft par Gou Tanabe , j'attendais avec impatience sa prochaine sortie . L'abomination de Dunwich me conforte dans tout le bien que je pense de ce mangaka au talent immense . Il nous offre des double-pages d'une beauté envoutante , chaque page tournée est un régal pour les yeux ! D'emblée , vous ouvrez sur des paysages enneigés de toute beauté ! Dans ce bled paumé du Massassuchets aux tonalités consanguines de la population , découvrir cette famille Watheley dans cette ferme , représente la quintessence des univers "Lovecraftiens" . La forêt environnante est menaçante , ses branchages "organiques" semblent vouloir attraper les protagonistes ; idem pour la charpente de la ferme qui prend vie sous nos yeux ! Un profond malaise vous accompagne durant toute la lecture de ce premier tome , qui finit sur un appel (de Cthulhu ?) puissant à déguster la suite ! Un dessin "photographique " au service d'une histoire ménageant le suspens avec brio ! Si vous avez aimé les précédentes adaptations , vous adorerez celle-ci ; car elle regorge de références à l'univers : Miskatonic , le Necronomicon , toute la mythologie de Lovecraft est présente . C'est encore un sans faute pour le noir et blanc vivant de Tanabe , vivement la suite !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chefs-d-oeuvre-de-lovecraft-l-abomination-de-dunwich-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kevin Nivek

    L’Abomination de Dunwich

    Après un décevant "Le molosse" , dernier opus des adaptations de Lovecraft par Gou Tanabe , j'attendais avec impatience sa prochaine sortie . L'abomination de Dunwich me conforte dans tout le bien que je pense de ce mangaka au talent immense . Il nous offre des double-pages d'une beauté envoutante , chaque page tournée est un régal pour les yeux ! D'emblée , vous ouvrez sur des paysages enneigés de toute beauté ! Dans ce bled paumé du Massassuchets aux tonalités consanguines de la population , découvrir cette famille Watheley dans cette ferme , représente la quintessence des univers "Lovecraftiens" . La forêt environnante est menaçante , ses branchages "organiques" semblent vouloir attraper les protagonistes ; idem pour la charpente de la ferme qui prend vie sous nos yeux ! Un profond malaise vous accompagne durant toute la lecture de ce premier tome , qui finit sur un appel (de Cthulhu ?) puissant à déguster la suite ! Un dessin "photographique " au service d'une histoire ménageant le suspens avec brio ! Si vous avez aimé les précédentes adaptations , vous adorerez celle-ci ; car elle regorge de références à l'univers : Miskatonic , le Necronomicon , toute la mythologie de Lovecraft est présente . C'est encore un sans faute pour le noir et blanc vivant de Tanabe , vivement la suite !!
  19. Titre de l'album : Wonderland - le monde d'après tome 2 Scenariste de l'album : Grégory Raven Dessinateur de l'album : Sheldon Goh Coloriste : Ulises Grostieta Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Après avoir vaincu l'esprit malveillant du Chapelier Fou et fuit la terreur d'une ville possédée par la folie, Calie et sa fille Violette se dirigent vers Los Angeles dans l'espoir d'échapper à l'emprise toujours croissante du Pays des Merveilles mais elles vont très vite découvrir que peu importe où elles se cachent, Wonderland ne les lâchera jamais. Arriveront-elles à se faire oublier de ce royaume où règne le chaos et où une bataille fait rage pour s'emparer du trône de l'ancien maître, le Jabberwock ? Sombreront-elles dans la folie suintante de ce monde cauchemardesque ? Mélange subtil d'horreur, de thriller et de fantastique, la série Wonderland nous invite à un voyage aux confins de la folie ! Critique : Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonderland-le-monde-d-apres-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents .
  21. Titre de l'album : Urbex - Tome 1 - Villa Pandora Scenariste de l'album : Vincent Dugommier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Si les murs des vieux bâtiments pouvaient parler, que raconteraient-ils...? Depuis qu'Alex et Julie ont franchi la porte de la Villa Pandora, ils ont la réponse ! À présent, à chacune de leurs explorations urbaines, les deux adolescents sont assaillis par des visions de vies d'inconnus. Autant de fragments qu'ils vont devoir recoller, au risque de voir leur identité vaciller à mesure qu'ils tentent de comprendre les étranges pouvoirs dont les a investis la mystérieuse bâtisse. Critique : Le Lombard gâte décidément son public jeunes ados / parents contents de bouquiner. Après sa nouvelle séries des Omniscients on retrouve toujours Vincent Dugommier au scénario, cette fois-ci secondé par la créativité du dessinateur Clarke à qui le fantastique (Réalités obliques, Akkad dans un autre style) réussit décidément très bien. Cet Urbex ne rencontre pour moi que deux problèmes : - le public visé : le propos me parait tout de même délicat pour les ados trop jeunes, et du coup peut être pâs assez poussé pour les adultes un peu plus exigeants en terme de complexité. Mais je vais tout de suite nuancer ce point car il ne s'agit que d'un premier tome, et l'on sent bien que l'histoire peut largement gagner en richesse. A voir donc au tome 2... - Son nom : on s'attend ici à une vraie BD sur l'Urbex, hors on rentre très très vite dans le fantastique. L'urbex devenant alors un "motif" à l'exploration fantastique. Ce n'est pas forcément grave, si l'on ne s'attend pas à une pure BD sur l'Urbex. Moi je n'y connaissais rien et cela ne m'a donc posé aucun soucis comme vous pouvez l'imaginer. Au final on a une BD qui se lit très bien, qui est agréable et compréhensible, et que les adultes pourront piquer à leurs ados avec plaisir. Espérons que les auteurs développerons ce mystère dans les prochains tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-1-villa-pandora?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Urbex - Tome 1 - Villa Pandora

    Le Lombard gâte décidément son public jeunes ados / parents contents de bouquiner. Après sa nouvelle séries des Omniscients on retrouve toujours Vincent Dugommier au scénario, cette fois-ci secondé par la créativité du dessinateur Clarke à qui le fantastique (Réalités obliques, Akkad dans un autre style) réussit décidément très bien. Cet Urbex ne rencontre pour moi que deux problèmes : - le public visé : le propos me parait tout de même délicat pour les ados trop jeunes, et du coup peut être pâs assez poussé pour les adultes un peu plus exigeants en terme de complexité. Mais je vais tout de suite nuancer ce point car il ne s'agit que d'un premier tome, et l'on sent bien que l'histoire peut largement gagner en richesse. A voir donc au tome 2... - Son nom : on s'attend ici à une vraie BD sur l'Urbex, hors on rentre très très vite dans le fantastique. L'urbex devenant alors un "motif" à l'exploration fantastique. Ce n'est pas forcément grave, si l'on ne s'attend pas à une pure BD sur l'Urbex. Moi je n'y connaissais rien et cela ne m'a donc posé aucun soucis comme vous pouvez l'imaginer. Au final on a une BD qui se lit très bien, qui est agréable et compréhensible, et que les adultes pourront piquer à leurs ados avec plaisir. Espérons que les auteurs développerons ce mystère dans les prochains tomes.
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