Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'après guerre'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


4 résultats trouvés

  1. The_PoP

    Au nom de catherine

    Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!!
  2. Titre de l'album : Au nom de catherine Scenariste de l'album : Mayalen Goust Dessinateur de l'album : Mayalen Goust Coloriste : Mayalen Goust Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après plusieurs mois passés aux côtés d'Étienne, Rachel Cohen décide de conserver Catherine Colin comme nouvelle identité et revient à Sèvres pleine d'incertitudes. Étienne lui suggère de s'accorder une année loin de lui pour réfléchir à ses sentiments, à ses aspirations comme photographe et à ses envies de femme adulte. Après en avoir discuté avec Goéland, Pingouin et son ami de toujours Jeannot, Catherine décide de se consacrer pleinement à son art et se lance comme photographe professionnelle pour gagner ainsi son indépendance. Entre la fête de l'Humanité, une utopique colonie de vacances franco-allemande et un sujet social qui va la conduire jusqu'aux Etats-Unis, elle connaît un début de carrière fulgurant. Toujours en proie avec les traumatismes de son passé, Catherine va néanmoins, à travers son art et les relations qu'elle noue, s'ouvrir au monde et s'affirmer comme femme dans une société encore marquée par la guerre et la domination masculine. Critique : Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!! Autres infos : D'après le roman de Julia Billet Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-catherine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Il n'y a pas à dire, le trait d'Olivier Martin nous rappelle dès les premières pages les belles heures de la ligne claire. Ce trait dénote clairement dans la production actuelle, mais nul doute que beaucoup y trouveront leur compte. Les planches sont très travaillées et la mise en couleur est soignée pour coller à l'ambiance de l'Egypte dans laquelle se déroule l'histoire. L'histoire elle est également originale puisqu'elle se déroule à l'aube de l'histoire des services secrets modernes, juste après la seconde guerre mondiale. L'enjeu de cette guerre secrète est claire, s'approprier les savoirs des savants allemands en fuite après l'armistice. Coups bas et manipulations vont alors se succéder jusqu'au twist final qui nous donnera plutôt envie de découvrir le tome 2. Au final la guerre invisible est une bonne BD d'espionnage, peut être un peu trop sage et classique dans sa forme et qui risque de gagner en audace dans le prochain tome au vu de la fin de ce tome.
  4. Titre de l'album : La guerre invisible - Tome 1 - L'agence Scenariste de l'album : Franck Giroud Dessinateur de l'album : Olivier Martin Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1951, EGYPTE. Manfred Fürbringer, un ancien ingénieur nazi spécialisé dans les systèmes de guidage des fusées V2, a été repéré vivant au Caire sous une fausse identité. En pleine guerre froide, son savoir-faire et son expertise sont des atouts inestimables pour les Etats-Unis. La CIA envoie donc deux de ses meilleurs agents pour "recruter" Fürbringer, de gré ou de force... ... car bien d'autres nations semblent intéressées par les services de l'ingénieur. Critique : Il n'y a pas à dire, le trait d'Olivier Martin nous rappelle dès les premières pages les belles heures de la ligne claire. Ce trait dénote clairement dans la production actuelle, mais nul doute que beaucoup y trouveront leur compte. Les planches sont très travaillées et la mise en couleur est soignée pour coller à l'ambiance de l'Egypte dans laquelle se déroule l'histoire. L'histoire elle est également originale puisqu'elle se déroule à l'aube de l'histoire des services secrets modernes, juste après la seconde guerre mondiale. L'enjeu de cette guerre secrète est claire, s'approprier les savoirs des savants allemands en fuite après l'armistice. Coups bas et manipulations vont alors se succéder jusqu'au twist final qui nous donnera plutôt envie de découvrir le tome 2. Au final la guerre invisible est une bonne BD d'espionnage, peut être un peu trop sage et classique dans sa forme et qui risque de gagner en audace dans le prochain tome au vu de la fin de ce tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-guerre-invisible-tome-1-l-agence?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...