Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'aventure'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. poseidon2

    In memoriam tome 2 - Adam

    À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite !
  2. Titre de l'album : In memoriam tome 2 - Adam Scenariste de l'album : Mathieu Salvia Dessinateur de l'album : Stéphane Robert Coloriste : Stéphane Robert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Adam, l'ancien sorcier engagé par Joseph pour retrouver sa filleule, est en mauvaise posture depuis son affrontement avec la Mafia des Chats. Tandis que de leurs côtés, Manon et Shi sont pris au piège dans la laverie en flammes, privés de l'artefact de téléportation qui a décidé de rendre l'âme au plus mauvais moment... L'enquête se resserre autour de la mystérieuse Line. Pourquoi Calvin et Carl, les deux seuls sorciers qui semblent encore posséder leurs pouvoirs, cherchent-ils à lui mettre la main dessus ? Quel est le lien entre ces deux tueurs, Mila et Line ? Se pourrait-il que cette dernière ait une connexion avec la Grande Déchirure, cette explosion ayant ravagé Paris, comme ses dessins d'enfant semblent le suggérer ? Si chacun semble animé par ses propres intérêts, tous les chemins convergent définitivement vers Line et son Chat titanesque. Retrouvez nos héros dans le tome 2 d'In Memoriam, consacré à Adam et à son passé trouble, et levez encore un peu plus le voile sur le mystère qui semble lier Line, Calvin, Carl, Mia et la Grande Déchirure. Critique : À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-memoriam-tome-2-adam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Le grand bug tome 1

    Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide .
  4. Titre de l'album : Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Mordu par une vipère rouge au fond d'un véritable labyrinthe souterrain alors qu'il venait enfin de découvrir la légendaire roche aux mille yeux de la déesse Skaedi, Thorgal doit pourtant parvenir à extraire et à ramener un fragment de cette mystérieuse pierre tombée d'Asgard, s'il veut sauver Jolan et Boréale. L'aide d'une jeune chasseuse de serpents ne sera pas de trop pour notre « enfant des étoiles », s'il veut avoir une chance de triompher sur l'échiquier d'Odin ! Critique : Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-41-mille-yeux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux

    Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal.
  6. Kevin Nivek

    Le voyage de Shuna

    Avec la sortie chez Sarbacane de cette oeuvre du grand Miyazaki , datée de 1983, ne vous prenez pas à rêver (hélas) à d'autres pépites gardées en réserve du génie japonais ! Nausicaä de la vallée du vent est son autre unique feuilleton terminé en 7 tomes et publié en France , le reste est anecdotique au regard de ses parutions "animés" . Mais quel plaisir de découvrir une de ses premières histoires , tellement significative de son univers ! Publié en 15x21cm , avec des aquarelles magnifiques aux couleurs légèrement passées , donnant des airs de conte ancien au récit , le livre se lit bien de droite à gauche , que les aficionados se rassurent 😉 Cette quête de Shuna est empruntée par l'auteur à une histoire tibétaine : Le prince changé en chien , qui mentionnait l'introduction de l'orge au Tibet , une céréale composant l'alimentation de base du pays . Miyazaki devait faire de ce conte un film mais le manque de soutiens financiers ont anéanti cette volonté . Qu'importe , il lui donnera une seconde vie à travers ces 160 pages de toute beauté . Vous retrouverez les thématiques chères à l'auteur , comme l'amour , la quête initiatique , le bestiaire onirique , la magie et un profond rappel des questions écologiques . Des étendues désertiques composent cet univers , la terre semble stérile , les hommes ont toutes les difficultés à faire pousser leurs plantations , certains se cloitrent derrière des remparts et exploitent l'homme par l'homme ; aussi lorsque Shuna le prince de son village découvre l'existence de graines fertiles , il entreprend son long voyage afin de sauver son peuple . C'est un réel plaisir de contempler ces planches colorées et suivre l'avancée de Shuna , on tourne les pages de façon frénétique afin de savoir où l'auteur va nous mener car le chemin est jalonnée d'obstacles et de surprises .Voilà une parfaite idée de cadeau de Noël pour les amateurs de Miyazaki et les autres , car l'histoire est intemporelle et magnifiquement contée .
  7. Titre de l'album : Le voyage de Shuna Scenariste de l'album : Hayao Miyazaki Dessinateur de l'album : Hayao Miyazaki Coloriste : Hayao Miyazaki Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Shuna, le prince d'une contrée pauvre, regarde impuissant ses sujets souffrir en permanence de la faim et se tuer à la tâche pour tenter de faire pousser des céréales que leur terre, stérile, leur refuse. Un beau jour, un voyageur lui parle d'une graine dorée miraculeuse qui fait onduler les plaines en vagues fertiles. Elle provient d'un pays, loin à l'Ouest, peuplé d'esprits et hostile à l'homme, dont nul n'est jamais revenu. En dépit des soupirs des anciens et des larmes de ses parents, Shuna empacte ses affaires et se lance, sur son fidèle yakuru, vers cet Eldorado dans l'espoir d'y trouver de quoi sauver son peuple. Sur le chemin, il libère une jeune esclave, Théa, et sa petite soeur, retenues prisonnières par des trafiquants d'hommes. Poursuivis par leurs ennemis, Shuna confie les deux filles à son yakuru qui les emmène vite vers le Nord, tandis qu'il continue, à pied, vers l'Ouest. Quand il atteint enfin la terre des êtres divins, ce qu'il y voit le changera à tout jamais. Théa reverra-t-elle un jour Shuna ? Ramènera-t-il chez lui la précieuse céréale ? Critique : Avec la sortie chez Sarbacane de cette oeuvre du grand Miyazaki , datée de 1983, ne vous prenez pas à rêver (hélas) à d'autres pépites gardées en réserve du génie japonais ! Nausicaä de la vallée du vent est son autre unique feuilleton terminé en 7 tomes et publié en France , le reste est anecdotique au regard de ses parutions "animés" . Mais quel plaisir de découvrir une de ses premières histoires , tellement significative de son univers ! Publié en 15x21cm , avec des aquarelles magnifiques aux couleurs légèrement passées , donnant des airs de conte ancien au récit , le livre se lit bien de droite à gauche , que les aficionados se rassurent 😉 Cette quête de Shuna est empruntée par l'auteur à une histoire tibétaine : Le prince changé en chien , qui mentionnait l'introduction de l'orge au Tibet , une céréale composant l'alimentation de base du pays . Miyazaki devait faire de ce conte un film mais le manque de soutiens financiers ont anéanti cette volonté . Qu'importe , il lui donnera une seconde vie à travers ces 160 pages de toute beauté . Vous retrouverez les thématiques chères à l'auteur , comme l'amour , la quête initiatique , le bestiaire onirique , la magie et un profond rappel des questions écologiques . Des étendues désertiques composent cet univers , la terre semble stérile , les hommes ont toutes les difficultés à faire pousser leurs plantations , certains se cloitrent derrière des remparts et exploitent l'homme par l'homme ; aussi lorsque Shuna le prince de son village découvre l'existence de graines fertiles , il entreprend son long voyage afin de sauver son peuple . C'est un réel plaisir de contempler ces planches colorées et suivre l'avancée de Shuna , on tourne les pages de façon frénétique afin de savoir où l'auteur va nous mener car le chemin est jalonnée d'obstacles et de surprises .Voilà une parfaite idée de cadeau de Noël pour les amateurs de Miyazaki et les autres , car l'histoire est intemporelle et magnifiquement contée . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-voyage-de-shuna/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Kevin Nivek

    Mongolia

    Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉
  9. Kevin Nivek

    Mongolia

    Titre de l'album : Mongolia Scenariste de l'album : Lele Vianello Dessinateur de l'album : Lele Vianello Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : En 1920, le baron von Ungern-Sternberg s'avance dans les montagnes avec quelques cosaques de sa garde rapprochée, il revient seul... Quelques années plus tard, une mission archéologique menée par un aventurier français se rend au Tibet à la recherche du trésor disparu de von Ungern... Critique : Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mongolia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    L'alchimiste tome 2

    Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉
  11. Titre de l'album : L'alchimiste tome 2 Scenariste de l'album : Nicolas Beuglet Dessinateur de l'album : Alexandre Saint-Genez Coloriste : Piky Hamilton , Annalisa Ferrari Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : À peine remis de leurs émotions dans les catacombes de la cathédrale de Notre-Dame, Basile, Esperanza, Flamel et Fibus embarquent pour une nouvelle aventure, direction la Crète ! Pour déchiffrer les énigmes du Fondateur, nos héros devront s'engouffrer dans le labyrinthe de Dédale, et vaincre le célèbre minotaure de la mythologie grecque. Le combat ne sera pas que physique : des énigmes et des pièges en tout genre menacent également la vie de nos téméraires aventuriers ! S'ils se rapprochent de plus en plus de la pierre philosophale, nos héros sont loin de se douter que le Masque d'Acier, tapi dans l'ombre, attend son heure pour frapper... Critique : Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alchimiste-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc.
  13. Titre de l'album : Clifton - Tome 24 - Le dernier des Clifton Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Turk Coloriste : Kaël Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Si le colonel Harold Wilberforce Clifton s'enorgueillit de son inestimable collection de bagues de cigares, il est plus fier encore de son nom et de sa lignée. Mais qui dit dynastie séculaire dit secrets de famille. Et, par la faute d'un de ses ancêtres, notre colonel favori doit faire face à une mystérieuse bande d'assassins français - donc antipathiques - bien décidés à éteindre la lignée des Clifton ! Holy cow ! Critique : J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clifton-tome-24-le-dernier-des-clifton?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau.
  15. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 4 - La saison des spores Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Lucille Noël et Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Minerva a récupéré son aimé mais l'esprit de ce dernier appartient toujours à la Reine des Convoyeurs. Et les stocks du sérum capable de le rendre à son humanité diminuent drastiquement. A présent, pour sauver Kivan, à défaut d'avoir pu sauver leur fils Iram, Minerva n'a plus le choix : elle doit retrouver le cargo et tuer la Reine ! Enfin, si la horde des Convoyeurs, la Nature ou le mystérieux homme lancé à ses trousses ne la tuent pas avant... Critique : Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-4-la-saison-des-spores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Qu'il est difficile d'expliquer pourquoi l'on s'attache parfois à une série et pas a une autre... Tango est clairement une des séries que j'aime beaucoup et dont je lis toujours les aventures avec grand plaisir... Pour autant la baisse d'intensité des derniers tomes, le côté assez prévisible des situations, et l'ensemble finalement très classique et masculin des aventures rendent l'ensemble ni vraiment original ni particulièrement audacieux. Alors pourquoi j'aime autant cette série ? Tango c'est de la bd de polar / aventures à l'ancienne, avec les bonnes recettes traditionnelles : héros baroudeur charismatique, taiseux et mystérieux, aventure en pays exotique pour nous franco-belges, belles femmes fatales et violence maitrisée... Il y a du Bob Morane, du XIII et du Bernard Prince dans Tango. Pour les amateurs de jeux vidéo, ce nouvel opus vous fera forcément penser à Nathan Drake aussi... Car oui ce tome 7 lance un nouveau cycle qui nous emmène sur la trace d'un trésor presque de pirate aux philippines ! Et ce n'est pas plus mal tant l'intrigue des premiers tomes était arrivée au bout, et tant Tango gagne en intérêt dans les scénarios clairs et limpides. Bref, voici un nouveau tome de Tango, et je ne peux que m'en réjouir, je continue cette série qui relance bien son intérêt après quelques tomes moins trépidants et plus faciles. Certes les ficelles sont toujours connues et un peu grosses, certes l'histoire a pour le moment un parfum de déjà vu, mais il continue de faire rêver le petit garçon qui sommeille encore en moi, et ça ce n'est pas rien finalement. Tango c'est avant tout un parfum des bd d'aventures action des années 70-90, héros viril, jolies filles, soleil et aventures exotiques...
  17. Titre de l'album : Tango - Tome 7 - La flèche de Magellan Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérome Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Manille, Philippines. Tango et Mario ont du temps à tuer, alors pourquoi ne pas se mettre en chasse de reliques oubliées : le casque du plus grand navigateur de l'histoire, Magellan, et la flèche qui l'a tué sur ces rivages lointains ? Seulement, cette idée romantique et aventureuse s'avère bien plus compliquée et dangereuse que prévu. Tango n'est pas au bout de ses surprises... Critique : Qu'il est difficile d'expliquer pourquoi l'on s'attache parfois à une série et pas a une autre... Tango est clairement une des séries que j'aime beaucoup et dont je lis toujours les aventures avec grand plaisir... Pour autant la baisse d'intensité des derniers tomes, le côté assez prévisible des situations, et l'ensemble finalement très classique et masculin des aventures rendent l'ensemble ni vraiment original ni particulièrement audacieux. Alors pourquoi j'aime autant cette série ? Tango c'est de la bd de polar / aventures à l'ancienne, avec les bonnes recettes traditionnelles : héros baroudeur charismatique, taiseux et mystérieux, aventure en pays exotique pour nous franco-belges, belles femmes fatales et violence maitrisée... Il y a du Bob Morane, du XIII et du Bernard Prince dans Tango. Pour les amateurs de jeux vidéo, ce nouvel opus vous fera forcément penser à Nathan Drake aussi... Car oui ce tome 7 lance un nouveau cycle qui nous emmène sur la trace d'un trésor presque de pirate aux philippines ! Et ce n'est pas plus mal tant l'intrigue des premiers tomes était arrivée au bout, et tant Tango gagne en intérêt dans les scénarios clairs et limpides. Bref, voici un nouveau tome de Tango, et je ne peux que m'en réjouir, je continue cette série qui relance bien son intérêt après quelques tomes moins trépidants et plus faciles. Certes les ficelles sont toujours connues et un peu grosses, certes l'histoire a pour le moment un parfum de déjà vu, mais il continue de faire rêver le petit garçon qui sommeille encore en moi, et ça ce n'est pas rien finalement. Tango c'est avant tout un parfum des bd d'aventures action des années 70-90, héros viril, jolies filles, soleil et aventures exotiques... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tango-tome-7-la-fleche-de-magellan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Chroniques diplomatiques - Tome 2 - Birmanie, 1954 Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Christophe Simon Coloriste : Alexandre Carpentier Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les prises de position de Jean d'Arven en Iran lui ont valu un retour express au Quai d'Orsay, suivi d'une nomination comme légat intérimaire à Rangoon en guise de punition. Mais ce poste pourrait bien se révéler plus trépident que prévu. Véritable carrefour d'influences extrême-orientales où s'entremêlent junte militaire, guerre religieuse et trafic de jade, la Birmanie attise les convoitises. Au coeur de cette poudrière, son ange gardien, Jacques, devra tout risquer pour préserver la sécurité de la mission diplomatique... Critique : Le premier tome des chroniques diplomatiques m'avait laissé une bonne impression. J'aimais cette plongée dans les enjeux géopolitiques de la diplomatie concernant des périodes décisives mais rarement étudiées ou documentées de nos jours. C'était une réussite car l'aventure se mêlait à la découverte. Ce tome 2 repart sur les mêmes bases avec un contexte encore une fois peu maîtrisé mais dont les répercussion sont encore bien actuelles. Certes ce tome fait la part belle à l'aventure plus que le premier, mais c'est bien fait et assez agréable à lire. Les dessins de Christophe Simon et les couleurs d'Alexandre Carpentier sont très sobre, en accord avec le ton sérieux de la la série. J'espère que nous aurons droit à un prochain tome sur cette série discrète mais réellement attachante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-diplomatiques-tome-2-birmanie-1954?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Le premier tome des chroniques diplomatiques m'avait laissé une bonne impression. J'aimais cette plongée dans les enjeux géopolitiques de la diplomatie concernant des périodes décisives mais rarement étudiées ou documentées de nos jours. C'était une réussite car l'aventure se mêlait à la découverte. Ce tome 2 repart sur les mêmes bases avec un contexte encore une fois peu maîtrisé mais dont les répercussion sont encore bien actuelles. Certes ce tome fait la part belle à l'aventure plus que le premier, mais c'est bien fait et assez agréable à lire. Les dessins de Christophe Simon et les couleurs d'Alexandre Carpentier sont très sobre, en accord avec le ton sérieux de la la série. J'espère que nous aurons droit à un prochain tome sur cette série discrète mais réellement attachante.
  20. Kevin Nivek

    Joseph Kessel, l'indomptable

    Russe , juif , écrivain , aviateur ,résistant , ayant vécu à Nice ... Non vous n'êtes dans Les promesses de l'aube , roman autobiographique de Romain Gary ! Si tant est que l'on puisse réduire sa vie à ses mots et titres , je peux ajouter aventurier , reporter de guerre , académicien etc .... Des similitudes avec Gary , mais pas que , Joseph Kessel est immense dans le paysage des écrivains français . Pour tout vous dire , en dehors de son fameux livre Le lion , dont vous avez sûrement fait des dictées à l'école vous aussi , je ne connaissais pourtant le romancier que de nom . J'étais très loin de penser à quel point sa vie a été riche et dangereuse . A travers la discussion entre lui et son filleul , nous découvrons sous la plume des deux auteurs Judith Cohen-Solal (psychanalyste) et Jonathan Hayoun (réalisateur) la vie de ce monstre sacré de la littérature française . Des pogroms que sa famille subit en Russie , leur fuite vers l'Argentine puis l'arrivée en France , son adolescence et surtout , sa relation presque gémellaire avec son cadet de frère qui va être prépondérante dans ses choix de carrière ; tout est relaté par un Joseph Kessel , usé par la vie , par sa vie ! Le duo d'auteurs se permet même d'incorporer du suspens dans la lecture en mettant comme fil rouge le destin funeste du frère . Vous verrez Joseph Kessel partir sur le front des guerres "franquistes" , puis irlandaises , il rencontrera même Hitler en Allemagne en 1932 . Puis sous l'occupation avec son engagement auprès des forces françaises libres (De Gaulle le comparant lui aussi à Romain Gary) . Ses mariages , avec justement son voyage de noces au Kenya (en plein soulèvement contre l'occupant britannique) , lieu fertile d'où naîtra son livre le plus connu . Enfin ,son entrée à l'académie française , le rendant immortel . Je vous invite à lire son discours d'intronisation en annexe du roman graphique , où comment la littérature française porte ses lettres de noblesses avec des écrivains tels que lui . En toute fin vous comprendrez pourquoi il a vécu sa vie comme un roman , bravo aux auteurs ! Bravo aussi à Nicolas Otero , que l'on connaissait pour ses 9 tomes Amerikkka entre autres , qui nous démontre toute l'étendue de son talent . Il n'use pas moins de 3 techniques de dessin : une ligne claire pour le présent , du crayonné du plus bel effet pour des visions chimériques ,et du pastel pour le passé . Un très beau résultat pour un hommage réussi à Monsieur Joseph Kessel !
  21. Titre de l'album : Joseph Kessel, l'indomptable Scenariste de l'album : Jonathan Hayoun , Judith Cohen-Solal Dessinateur de l'album : Nicoas Otero Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Les dernières confessions de Joseph Kessel Durant soixante ans, Joseph Kessel a parcouru les continents sur la trace de ces instants de vie où l'homme affronte la mort. Homme d'action autant qu'homme de lettres, cet écrivain voyageur, journaliste, aventurier, résistant, aviateur est le témoin direct et le conteur exceptionnel des événements qui ont marqué l'histoire du xxe siècle. Lors d'un dernier entretien, encore inédit, il se livre à son filleul. Il nous laisse entrevoir ce qu'il cherchait en consacrant sa vie à braver la mort. Critique : Russe , juif , écrivain , aviateur ,résistant , ayant vécu à Nice ... Non vous n'êtes dans Les promesses de l'aube , roman autobiographique de Romain Gary ! Si tant est que l'on puisse réduire sa vie à ses mots et titres , je peux ajouter aventurier , reporter de guerre , académicien etc .... Des similitudes avec Gary , mais pas que , Joseph Kessel est immense dans le paysage des écrivains français . Pour tout vous dire , en dehors de son fameux livre Le lion , dont vous avez sûrement fait des dictées à l'école vous aussi , je ne connaissais pourtant le romancier que de nom . J'étais très loin de penser à quel point sa vie a été riche et dangereuse . A travers la discussion entre lui et son filleul , nous découvrons sous la plume des deux auteurs Judith Cohen-Solal (psychanalyste) et Jonathan Hayoun (réalisateur) la vie de ce monstre sacré de la littérature française . Des pogroms que sa famille subit en Russie , leur fuite vers l'Argentine puis l'arrivée en France , son adolescence et surtout , sa relation presque gémellaire avec son cadet de frère qui va être prépondérante dans ses choix de carrière ; tout est relaté par un Joseph Kessel , usé par la vie , par sa vie ! Le duo d'auteurs se permet même d'incorporer du suspens dans la lecture en mettant comme fil rouge le destin funeste du frère . Vous verrez Joseph Kessel partir sur le front des guerres "franquistes" , puis irlandaises , il rencontrera même Hitler en Allemagne en 1932 . Puis sous l'occupation avec son engagement auprès des forces françaises libres (De Gaulle le comparant lui aussi à Romain Gary) . Ses mariages , avec justement son voyage de noces au Kenya (en plein soulèvement contre l'occupant britannique) , lieu fertile d'où naîtra son livre le plus connu . Enfin ,son entrée à l'académie française , le rendant immortel . Je vous invite à lire son discours d'intronisation en annexe du roman graphique , où comment la littérature française porte ses lettres de noblesses avec des écrivains tels que lui . En toute fin vous comprendrez pourquoi il a vécu sa vie comme un roman , bravo aux auteurs ! Bravo aussi à Nicolas Otero , que l'on connaissait pour ses 9 tomes Amerikkka entre autres , qui nous démontre toute l'étendue de son talent . Il n'use pas moins de 3 techniques de dessin : une ligne claire pour le présent , du crayonné du plus bel effet pour des visions chimériques ,et du pastel pour le passé . Un très beau résultat pour un hommage réussi à Monsieur Joseph Kessel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joseph-kessel-l-indomptable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : La voie du glaive - Tome 1 - Les frères furieux Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet & Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Benoît Dellac Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Lento le tacticien, Sutura le flamboyant. Dans les arènes de Ravenne, les « Frères Furieux » sont de vraies célébrités. Et leur avenir s'annonce radieux, tandis que s'ouvrent à eux les sélections pour les jeux du Colisée. Rome : l'occasion de se faire un nom. Malgré tout, Lento n'entend pas arrêter ses petites combines parallèles et espère toujours faire fortune en marge des circuits légaux. Hélas, dans les bas-fonds, la violence n'a rien d'un spectacle. Ici-bas, on tranche pour tuer, pas pour briller. Critique : Bon, je suis habituellement très fan du travail de Messieurs Dellac Brugeas et Herzet, alors vous pensez bien qu'une nouvelle série de bd façon péplum avec ces 3 auteurs qui nous ont déjà livrés les 3 très bons tomes de Nottingham, cela ne pouvait que me tenter fortement. Je vais rester prudent car ces 3 auteurs nous ont habitué à de très belles choses mais ce tome 1 m'a laissé un peu sur ma faim. Il manque un petit quelque chose je trouve à notre duo de héros pour nous embarquer avec eux, cela viendra peut être mais ce premier tome, s'il pose bien les bases d'une aventure à tiroirs prometteuse, manque peut être un poil de panache ou d'héroïsme pour nous faire vibrer. Par contre l'histoire est réellement originale là où j'aurais pu craindre une trame trop classique. J'ai par contre parfois eu un peu de mal avec les visages dessinés par Benoit Dellac. Attendons donc de voir ce que la tome 2 aura sous le pied. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-glaive-tome-1-les-freres-furieux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Bon, je suis habituellement très fan du travail de Messieurs Dellac Brugeas et Herzet, alors vous pensez bien qu'une nouvelle série de bd façon péplum avec ces 3 auteurs qui nous ont déjà livrés les 3 très bons tomes de Nottingham, cela ne pouvait que me tenter fortement. Je vais rester prudent car ces 3 auteurs nous ont habitué à de très belles choses mais ce tome 1 m'a laissé un peu sur ma faim. Il manque un petit quelque chose je trouve à notre duo de héros pour nous embarquer avec eux, cela viendra peut être mais ce premier tome, s'il pose bien les bases d'une aventure à tiroirs prometteuse, manque peut être un poil de panache ou d'héroïsme pour nous faire vibrer. Par contre l'histoire est réellement originale là où j'aurais pu craindre une trame trop classique. J'ai par contre parfois eu un peu de mal avec les visages dessinés par Benoit Dellac. Attendons donc de voir ce que la tome 2 aura sous le pied.
  24. Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé.
  25. Titre de l'album : The most notorious talker tome 5 Scenariste de l'album : Jaki Dessinateur de l'album : Yamorichan Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le duel entre Noel et les Gambino, arbitré par Finocchio, commence enfin ! N'étant doté d'aucune compétence martiale, Albert envoie Kôga se battre à sa place... Leur combat à mort reprend enfin. Après trois affrontements, chacun connaît la valeur de l'autre... Et Kôga a eu tout le loisir d'observer Noel qui vise la suprématie malgré son job ! Quel chemin choisira notre fine-lame ? Noel commence les démarches pour fonder son propre clan tout en reprenant son activité de Seeker. Son ascension semble s'accélérer, mais les choses se passeront-elles vraiment aussi simplement ? L'aventure continue pour notre jeune Talker qui manipule sans scrupules les aventuriers les plus forts, dans un cinquième tome décisif ! Critique : Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...