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  1. Titre de l'album : Les 5 Terres - tome 5 - L'objet de votre haine Scenariste de l'album : Lewelyn Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Coloriste : Dimitris Martinos Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Tandis qu’Astrelia est ramenée contre son gré à Angleon, le roi Mederion a fait enfermer les étudiants qui étaient venus discuter avec lui librement. Non seulement cette décision révolte Terys et le Conseil, mais elle décide également les étudiants les plus révolutionnaires à passer à l’action. Tandis que les uns pansent leurs blessures, les autres se déchirent dans une cité devenue le théâtre d’affrontements intimes de plus en plus violents. Critique : Les 5 terre me laissent encore une fois dans une espèce d'ambiguité difficile à expliquer. Le travail réalisé est remarquable. Graphiquement c'est superbe, très propre. La mise en scène est réussie, l'histoire est chouette. Mais au bout de 5 tomes je ne sais toujours pas si j'aime vraiment cette série. J'ai clairement envie de lire la suite à la fin de ce tome. Mais je n'en ressort rien de vraiment marquant et le manque d'empathie que je ressent pour les personnages et leurs enjeux me gêne un peu finalement. Objectivement j'apprécie plus des séries qui ont pourtant moins de qualités d'écriture. C'est complexe à expliquer, essayez la en tous cas si vous n'avez jamais ouvert un tome. Peut être que je deviens simplement difficile avec les années... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-5-l-objet-de-votre-haine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Les 5 terre me laissent encore une fois dans une espèce d'ambiguité difficile à expliquer. Le travail réalisé est remarquable. Graphiquement c'est superbe, très propre. La mise en scène est réussie, l'histoire est chouette. Mais au bout de 5 tomes je ne sais toujours pas si j'aime vraiment cette série. J'ai clairement envie de lire la suite à la fin de ce tome. Mais je n'en ressort rien de vraiment marquant et le manque d'empathie que je ressent pour les personnages et leurs enjeux me gêne un peu finalement. Objectivement j'apprécie plus des séries qui ont pourtant moins de qualités d'écriture. C'est complexe à expliquer, essayez la en tous cas si vous n'avez jamais ouvert un tome. Peut être que je deviens simplement difficile avec les années...
  3. Titre de l'album : Elfes - Tome 30 - Le scintillement des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Dana Dimat Coloriste : Stefania Aquaro Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Gaw'yn est en quête de la dague de saphir dont il espère qu'elle l'aidera à se débarrasser de sa part d'ombre. Accompagné de deux jeunes elfes noires, il recherche à travers les glaces du grand nord la mythique cité de Skögsta. Mais au détour d'un étrange campement saisonnier, son chemin croise celui d'un prédateur millénaire détenteur d'un secret qui touche à la nature même des elfes... Critique : Chronique réalisée à partir d'un pdf de lecture. Avec la nouvelle année, une nouvelle fournée d'aventures des Terres d'Arran est désormais disponible. Après un tome 29 très prometteur et ouvrant sur un nouvel univers, nous revoici avec un tome 30 plus classique dans son déroulement et dans son scénario. J'ai trouvé la trame de ce tome 30 un peu légère puisque seul l'univers présenté (le grand nord) et le combat final a présenté pour moi un semblant d'intérêt. Le déroulement de l'histoire est un peu stéréotypé, et on a l'impression de l'avoir déjà lu quelques fois. Reste que pour les amateurs, ce numéro présente de belles révélation sur l'origine des peuples elfes et présente de belle opportunités d'évolution ensuite ce qui risque d'en faire comme le 29 un tome charnière pour le futur. Graphiquement il n'y a pas de gros changements et on se retrouve avec la qualité habituelle sur ces tomes là. Pour rappel : la chronique du tome 29 était ici : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elfes-tome-30?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Chronique réalisée à partir d'un pdf de lecture. Avec la nouvelle année, une nouvelle fournée d'aventures des Terres d'Arran est désormais disponible. Après un tome 29 très prometteur et ouvrant sur un nouvel univers, nous revoici avec un tome 30 plus classique dans son déroulement et dans son scénario. J'ai trouvé la trame de ce tome 30 un peu légère puisque seul l'univers présenté (le grand nord) et le combat final a présenté pour moi un semblant d'intérêt. Le déroulement de l'histoire est un peu stéréotypé, et on a l'impression de l'avoir déjà lu quelques fois. Reste que pour les amateurs, ce numéro présente de belles révélation sur l'origine des peuples elfes et présente de belle opportunités d'évolution ensuite ce qui risque d'en faire comme le 29 un tome charnière pour le futur. Graphiquement il n'y a pas de gros changements et on se retrouve avec la qualité habituelle sur ces tomes là. Pour rappel : la chronique du tome 29 était ici :
  5. Titre de l'album : Le culte de Mars Scenariste de l'album : Mobidic Dessinateur de l'album : Mobidic Editeur de l'album : Delcourt Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/5.0.png Résumé de l'album : Les ressources de la Terre sont épuisées. Les plus riches sont partis pour Mars, les plus démunis attendent désespérément qu'on vienne les chercher. Ses survivants ont sombré dans l'obscurantisme. Au beau milieu de ce gâchis, Hermès, tente de consigner tous les anciens savoirs pour les rassembler dans une encyclopédie afin de les partager et aider l'humanité à aller de l'avant, à renaître de ses cendres. Critique : Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-culte-de-mars/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. VladNirky

    Le culte de Mars

    Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek
  7. alx23

    Effet Miroir

    Makyo nous propose un thriller très prenant avec Effet miroir, sur une histoire simple l'auteur arrive à nous tenir en haleine en conservant l'effet de surprise de la révélation finale. Même les dialogues sont peu nombreux dès le début mais l'histoire ne perd rien en fluidité ni en compréhension. La pagination plus importante qu'une bande dessinée traditionnelle permet d'avoir moins de dialogues pour conserver une ambiance particulière, voir angoissante. Les enjeux vont se dérouler entre deux protagonistes dans un affrontement très intense en forêt. Un joggeur subit les attaques d'un motard qui restera masqué jusqu'aux dernières planches pour garder le mystère.Pour réaliser une histoire de ce genre, il faut que les dessins apportent énormément au récit pour décrire avec précision ce que les dialogues ne nous apporteront pas. Le dessinateur Laval NG réalise des planches de grande qualité pour dépeindre l'action qui se déroule dans une forêt.On en peut pas imaginer la conclusion de cette histoire originale avec un suspense installé dès le début de l'histoire. Retrouvez l'interview dessinée de Laval NG :
  8. Titre de l'album : Irons - Tome 3 - Les disparus d'Ujung Batu Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Luc Brahy Editeur de l'album : Le Lombard Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png Résumé de l'album : Après le tsunami de 2004, la construction de nouveaux ponts pour relier les villages est lancée. À Sinkis pourtant, les travaux tardent et n'aboutissent pas. Irons est envoyé sur place pour enquêter sur ce retard. Mais remettre en question le travail de la société internationale Starbridge n'est pas sans danger, et Irons se retrouvera vite confronté à un ingénieur malhonnête et des hommes de main redoutables. Critique : Après un premier tome accrocheur lançant cette série de polar sur fond de monde de la construction d'ouvrages d'arts, le tome 2 avait ouvert un dyptique que vient clôturer ce tome 3. On retrouve bien évidemment notre héros plus ou moins charismatique Jack Irons. Comme le décrivent si bien les auteurs : Jack est brillant, misanthrope, sarcastique et joui d'un succès relatif auprès des femmes. Oui vous l'avez deviné, on a déjà un peu vu et revu beaucoup de Jack Irons dans divers univers (hopitaux, police, juristes) à travers les séries U.S. Et c'est un peu dommage je trouve tant l'univers et le côté Mac Gyver du personnage pour ses compétences était intéressant à exploiter. Las le héros a du mal à gagner notre empathie. Dommage car le polar lui est rondement mené et ce dyptique se lit très bien. Le dessinateur Luc Brahy ( connu sur la série Cognac) signe ici des planches sérieuses dans un style désormais très classique pour ce genre de séries. C'est sobre et efficace même si le style un peu froid ou lisse joue peut être sur notre manque d'empathie envers les personnages. Ce tome 3 clôture donc le dyptique sur la construction de ce pont en Indonésie. Nous verrons comment les scénaristes relanceront la série pour un nouveau cycle, après avoir mis en place quelques indices sur le passé de Jack. Autres infos : Le béton c'est ma passion Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/irons-tome-3-les-disparus-d-ujung-batu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Après un premier tome accrocheur lançant cette série de polar sur fond de monde de la construction d'ouvrages d'arts, le tome 2 avait ouvert un dyptique que vient clôturer ce tome 3. On retrouve bien évidemment notre héros plus ou moins charismatique Jack Irons. Comme le décrivent si bien les auteurs : Jack est brillant, misanthrope, sarcastique et joui d'un succès relatif auprès des femmes. Oui vous l'avez deviné, on a déjà un peu vu et revu beaucoup de Jack Irons dans divers univers (hopitaux, police, juristes) à travers les séries U.S. Et c'est un peu dommage je trouve tant l'univers et le côté Mac Gyver du personnage pour ses compétences était intéressant à exploiter. Las le héros a du mal à gagner notre empathie. Dommage car le polar lui est rondement mené et ce dyptique se lit très bien. Le dessinateur Luc Brahy ( connu sur la série Cognac) signe ici des planches sérieuses dans un style désormais très classique pour ce genre de séries. C'est sobre et efficace même si le style un peu froid ou lisse joue peut être sur notre manque d'empathie envers les personnages. Ce tome 3 clôture donc le dyptique sur la construction de ce pont en Indonésie. Nous verrons comment les scénaristes relanceront la série pour un nouveau cycle, après avoir mis en place quelques indices sur le passé de Jack.
  10. Titre de l'album : I.R.$. - Tome 21 - La chute des anges Scenariste de l'album : Desberg Dessinateur de l'album : Vrancken Editeur de l'album : Le Lombard Note de l'album : 3 Résumé de l'album : Larry a quarante ans et est devenu sénateur. Il mène désormais une vie de famille depuis qu'il a épousé Diane, avec qui il a eu deux enfants. Depuis quelques semaines, il est la cible d'accusations ignobles. On lui reproche d'avoir poussé son prédécesseur au suicide pour prendre sa place. Niera-t-il également l'existence de Lorna et Jetta, deux anciennes maîtresses qui l'accusent d'abus de pouvoir et meurtres sous couvert de ses fonctions à l'IRS ? Les choses vont encore se gâter quand Lorna est assassinée aux pieds de Larry et que l'instant est immortalisé par une jeune photographe. Désormais, quelqu'un fait chanter le sénateur et le pousse à présenter sa démission. Larry doit rapidement trouver son maître-chanteur et impérativement laver son honneur, au risque de tout perdre…. Critique : Nouveau cycle et nouvelles intrigues pour ce tome 21 des avanture de Larry Max. Il a pris un coup de vieux au passage, à la manière d'un Alix Senator. Bon après tout pourquoi pas, l'intérêt de la série IR$ étant plutôt la plongée dans les magouilles financières de notre époque. Sauf que voilà Larry propulsé sur la scène politique. Et évidemment pris dans un complot sous forme d'un retour de bâton virulent par rapport à ses anciennes activités. Si l'idée de repartir sur de nouvelles bases pourra amener un peu de fraicheur à cette série il faut cependant bien dire que je n'ai pas été transcendé par l'histoire racontée par M DESBERG cette fois-ci. C'est peu dire que j'aime habituellement souvent ce scénariste mais là on est vraiment sur tome 1 de transition archi convenu. Et son héros m'inspire toujours aussi peu d'empathie qu'avant. Par ailleurs, j'ai trouvé le traitement graphique une nouvelle fois propre, mais trop lisse, trop beau, et finalement comme le héros, assez impersonnel. Je crains que ce tome 21 ne s'adresse qu'aux fans de la série qui devraient assez facilement y trouver leur compte. En attendant peut être un regain d'intérêt au niveau de l'histoire avec le tome 22 ? Autres infos : Oseille, magouilles, coups bas et politique. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/irs-tome-21-la-chute-des-anges?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nouveau cycle et nouvelles intrigues pour ce tome 21 des avanture de Larry Max. Il a pris un coup de vieux au passage, à la manière d'un Alix Senator. Bon après tout pourquoi pas, l'intérêt de la série IR$ étant plutôt la plongée dans les magouilles financières de notre époque. Sauf que voilà Larry propulsé sur la scène politique. Et évidemment pris dans un complot sous forme d'un retour de bâton virulent par rapport à ses anciennes activités. Si l'idée de repartir sur de nouvelles bases pourra amener un peu de fraicheur à cette série il faut cependant bien dire que je n'ai pas été transcendé par l'histoire racontée par M DESBERG cette fois-ci. C'est peu dire que j'aime habituellement souvent ce scénariste mais là on est vraiment sur tome 1 de transition archi convenu. Et son héros m'inspire toujours aussi peu d'empathie qu'avant. Par ailleurs, j'ai trouvé le traitement graphique une nouvelle fois propre, mais trop lisse, trop beau, et finalement comme le héros, assez impersonnel. Je crains que ce tome 21 ne s'adresse qu'aux fans de la série qui devraient assez facilement y trouver leur compte. En attendant peut être un regain d'intérêt au niveau de l'histoire avec le tome 22 ?
  12. Titre de l'album : Sisco - Belgian Rhapsody - Tome 11 Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Benec Editeur de l'album : Le Lombard Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Les ors de la République et son cortège de coups tordus. Derniers de la liste : des documents "gênants" à reprendre chez un ministre en déchéance pour les planquer en Belgique. Mais les Russes, mouillés dans l'affaire, n'envisagent pas de laisser passer cette occasion pour les récupérer… À peine réintégré, et toujours obsédé par l'enlèvement de Manon, Sisco va devoir retrouver rapidement ses vieux réflexes pour éviter les balles. Critique : Et voilà une belle surprise également que ce tome 11 de Sisco. Bon la série ne se présente plus pour ceux qui la connaissent déjà, mais pour les autres, on est clairement plus proche d'un Largo Winch que d'un XIII même si notre héros est un barbouze heureusement plus débrouillard et flingueur que Largo. Le traitement graphique fera évidemment grincer des dents aux puristes de la bd, comme d'habitude sur ce genre de série. La faute à un traitement informatique des couleurs et des dessins très prononcé. Pour ceux que cela ne dérange pas, il est intéressant d'ouvrir ce tome 11 tant l'intrigue proposé est sympa, variée avec pas mal d'enjeux croisés et de quiproquos à venir. Si la couverture ne vous gène pas graphiquement, ouvrez donc ce tome 11 car même moi qui ne suit pas un grand spécialiste de la série j'ai pris beaucoup de plaisir à en découvrir l'intrigue tout en n'étant jamais vraiment largué. Il faut d'ailleurs reconnaître à Thomas Legrain le scénariste un vrai talent pour coller à nos actualités de ces dernières années. SIsco ne nous en semble que plus crédible, réaliste, et parfois flippant. Graphiquement, Benec connait désormais ses héros sur le bout des doigts, et les amateurs de la série ne seront pas dépaysés. C'est sobre et assez efficace. Bref ce Sisco se dévore d'une traite, propose une intrigue sympa et qui colle aux événements majeurs passés de notre pays et cela le rend plutot intéressant je trouve. Rajoutez un rythme soutenu et des scènes d'actions efficaces, et vous aurez à défaut d'un héros de la trempe d'un Bob Morane au moins une bonne série d'espionnage bien foutue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sisco-tome-11-belgian-rhapsody?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Et voilà une belle surprise également que ce tome 11 de Sisco. Bon la série ne se présente plus pour ceux qui la connaissent déjà, mais pour les autres, on est clairement plus proche d'un Largo Winch que d'un XIII même si notre héros est un barbouze heureusement plus débrouillard et flingueur que Largo. Le traitement graphique fera évidemment grincer des dents aux puristes de la bd, comme d'habitude sur ce genre de série. La faute à un traitement informatique des couleurs et des dessins très prononcé. Pour ceux que cela ne dérange pas, il est intéressant d'ouvrir ce tome 11 tant l'intrigue proposé est sympa, variée avec pas mal d'enjeux croisés et de quiproquos à venir. Si la couverture ne vous gène pas graphiquement, ouvrez donc ce tome 11 car même moi qui ne suit pas un grand spécialiste de la série j'ai pris beaucoup de plaisir à en découvrir l'intrigue tout en n'étant jamais vraiment largué. Il faut d'ailleurs reconnaître à Thomas Legrain le scénariste un vrai talent pour coller à nos actualités de ces dernières années. SIsco ne nous en semble que plus crédible, réaliste, et parfois flippant. Graphiquement, Benec connait désormais ses héros sur le bout des doigts, et les amateurs de la série ne seront pas dépaysés. C'est sobre et assez efficace. Bref ce Sisco se dévore d'une traite, propose une intrigue sympa et qui colle aux événements majeurs passés de notre pays et cela le rend plutot intéressant je trouve. Rajoutez un rythme soutenu et des scènes d'actions efficaces, et vous aurez à défaut d'un héros de la trempe d'un Bob Morane au moins une bonne série d'espionnage bien foutue.
  14. Titre de l'album : Babylone - Tome 1 - La Traque Scenariste de l'album : Laurent Galandon - Franck Giroud Dessinateur de l'album : Philippe Nicloux Editeur de l'album : Le Lombard Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Max Ferlane a la réputation de pouvoir exfiltrer n'importe qui de n'importe quelle situation désespérée. Ce genre de réputation attise assez vite les convoitises. Esseulé dans une jungle hostile, poursuivi par une armée complète, le voici impliqué dans une mission à laquelle il ne voulait pas participer... Quand il est question de gros sous, on n'a pas toujours le choix. Critique : Bon je vous avoue que le speech de ce Babylone me donnait bien envie de me replonger dans cette Afrique tellement dure et fascinante car This Is Africa aurait dit Di Caprio dans Blood Diamond. Et pour une fois (dans mes lectures récentes), on allait suivre un héros plutôt cleen. Première surprise, j'ai eu sincèrement du mal avec le graphisme. Tous les goûts et le couleurs sont dans la nature mais j'ai eu du mal pendant toute la bd avec la représentation de certains personnages. Seconde surprise, j'ai beaucoup aimé la façon dont l'intrigue se noue autour de Ferlane, son background général, et les enjeux en place. C'est quand même bien tordu, le twist final nous met bien en haleine pour le second tome, et les personnages sont bien pensés. Du coup je l'ai lue en entier assez rapidement, et avec plaisir. Vous savez que je râle souvent sur des dessins trop uniformisés, ou informatisés, alors c'est compliqué pour moi de donner mon avis sur le travail d'un auteur qui a essayé de rester dans son style, simplement pour la raison que je n'y ai pas adhéré. Alors faites vous votre propre opinion en profitant du privilège de la BD : pouvoir la parcourir avant de l'acheter. Si le graphisme vous plait et que le thème de l'Afrique et son absence totale de manichéisme vous intéresse, allez-y car c'est un premier tome solide et prometteur sans être encore révolutionnaire. Autres infos : This Is Africa Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/babylone-tome-1-la-traque?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Babylone - Tome 1 - La Traque

    Bon je vous avoue que le speech de ce Babylone me donnait bien envie de me replonger dans cette Afrique tellement dure et fascinante car This Is Africa aurait dit Di Caprio dans Blood Diamond. Et pour une fois (dans mes lectures récentes), on allait suivre un héros plutôt cleen. Première surprise, j'ai eu sincèrement du mal avec le graphisme. Tous les goûts et le couleurs sont dans la nature mais j'ai eu du mal pendant toute la bd avec la représentation de certains personnages. Seconde surprise, j'ai beaucoup aimé la façon dont l'intrigue se noue autour de Ferlane, son background général, et les enjeux en place. C'est quand même bien tordu, le twist final nous met bien en haleine pour le second tome, et les personnages sont bien pensés. Du coup je l'ai lue en entier assez rapidement, et avec plaisir. Vous savez que je râle souvent sur des dessins trop uniformisés, ou informatisés, alors c'est compliqué pour moi de donner mon avis sur le travail d'un auteur qui a essayé de rester dans son style, simplement pour la raison que je n'y ai pas adhéré. Alors faites vous votre propre opinion en profitant du privilège de la BD : pouvoir la parcourir avant de l'acheter. Si le graphisme vous plait et que le thème de l'Afrique et son absence totale de manichéisme vous intéresse, allez-y car c'est un premier tome solide et prometteur sans être encore révolutionnaire.
  16. Titre de l'album : Les omniscients - Tome 1 Scenariste de l'album : Vincent Dugommier Dessinateur de l'album : Renata Castellani Editeur de l'album : Le Lombard Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : À New York, cinq adolescents se réveillent un jour dotés du savoir absolu. L'information se répand sans tarder, et les jeunes prodiges sont immédiatement mis à l'abri par le FBI. Que faire quand on a 15 ans et plus besoin d'apprendre la moindre leçon ? Nos héros n'auront pas le temps d'y réfléchir longtemps. Une organisation gouvernementale secrète est décidée à les capturer. Et ils ont une énigme à résoudre : d'où vient leur faculté ? Qui sont ces créatures aux pouvoirs divins qui ont décidé de changer leur destin ? Critique : Voilà une chouette série jeunesse intelligente bien lancée par un premier tome très agréable. Sincèrement, remplacez les héros par des adultes, et les dessins par un graphisme plus adulte et vous voilà projetés dans un Prométhée ou un Olympus Mons. Et ça finalement c'est quand même assez cool et je pense une belle garantie de succès pour cette série qui devrait rapidement connaitre le destin d'un Klaw. Il faut dire que Vincent Dugommier le scénariste c'est fait connaitre sur la série Les enfants de la résistance, qui était déjà une belle réussite. Le voici cette fois-ci lancé dans une série de fantastique/SF pour jeunesse et tant mieux. Le pitch, sans être original tient ses promesses, car un savoir quasi "absolu" apporte heureusement autant de possibilités que de questions. Je ne me fais donc pas vraiment de soucis pour la suite, en espérant simplement un poil plus de complexité dans l'opposition qui leur sera amenée. Graphiquement c'est chouette, très propre et bien adapté à un public jeunesse. Clairement une lecture agréable, divertissante et pour le moment bien pensée qui sera idéale pour les ados et leurs parents. Espérons que les tomes suivants confirment les promesses du scénario en évitant les écueils qu'on pu rencontré Olympus Mons ou Prométhée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-omniscients-tome-1-phenomenes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Les omniscients - Tome 1

    Voilà une chouette série jeunesse intelligente bien lancée par un premier tome très agréable. Sincèrement, remplacez les héros par des adultes, et les dessins par un graphisme plus adulte et vous voilà projetés dans un Prométhée ou un Olympus Mons. Et ça finalement c'est quand même assez cool et je pense une belle garantie de succès pour cette série qui devrait rapidement connaitre le destin d'un Klaw. Il faut dire que Vincent Dugommier le scénariste c'est fait connaitre sur la série Les enfants de la résistance, qui était déjà une belle réussite. Le voici cette fois-ci lancé dans une série de fantastique/SF pour jeunesse et tant mieux. Le pitch, sans être original tient ses promesses, car un savoir quasi "absolu" apporte heureusement autant de possibilités que de questions. Je ne me fais donc pas vraiment de soucis pour la suite, en espérant simplement un poil plus de complexité dans l'opposition qui leur sera amenée. Graphiquement c'est chouette, très propre et bien adapté à un public jeunesse. Clairement une lecture agréable, divertissante et pour le moment bien pensée qui sera idéale pour les ados et leurs parents. Espérons que les tomes suivants confirment les promesses du scénario en évitant les écueils qu'on pu rencontré Olympus Mons ou Prométhée.
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