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  1. Titre de l'album : L'apprenti épouvanteur tome 1 Scenariste de l'album : Pierre Oertel , Joseph Delaney Dessinateur de l'album : Benjamin Bachelier Coloriste : Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Thomas Ward, le septième fils d'un septième fils, devient l'apprenti de l'Épouvanteur du comté. Il doit apprendre à tenir les spectres à distance, à entraver les gobelins, à empêcher les sorcières de nuire... Mais lorsqu'il libère involontairement Mère Malkin, la sorcière la plus maléfique qui soit, l'horreur commence... Critique : Je ne connaissais pas cette oeuvre littéraire de Joseph Delaney parue en 2004 au Royaume-Uni , puis dans toute l'Europe étant donné le succès rencontré . Un moyen-âge inquiétant dans une Angleterre rurale au parfum de "Hurlevents" . Thomas Ward est le septième fils du septième fils , ce qui lui confère un don particulier : la capacité de discerner des créatures magiques au sein même de notre monde . Il est d'emblée soumis à l'apprentissage de son nouveau maître lui même "épouvanteur " depuis longtemps . Parti à l'âge de 13 ans, sa nouvelle vie se dévoile sous nos yeux avec des quêtes initiatiques imposées par son tuteur , ainsi que des missions formatrices à ce monde surprenant qui s'offre à lui . Il va devoir user de ses pouvoirs et son intelligence pour se sortir des situations délicates auxquelles il sera confronté . C'est assez réussi , l'histoire est cohérente et bien amenée , le dessin est envoutant avec son aquarelle en couleurs directes . De grands aplats et ombrages puissants donnent une atmosphère inquiétante . C'est à déconseiller aux moins de 12 ans assurément . Benjamin Bachelier qui vient de finir Le clan des Otori , passe du Japon à l'Angleterre campagnarde , de son trait épais si particulier . Il nous offre de très belles planches de décors ou paysages , mais peine un peu sur les plans rapprochés ou gros plans de personnages , qui semblent "brouillons" . Cela reste une aventure à découvrir , et à lire l'hiver au coin du feu , à l'abri des recoins sombres 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-epouvanteur-tome-1-l-apprenti-epouvanteur/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : On aurait aimé savoir Scenariste de l'album : Baharet Akrami Dessinateur de l'album : Baharet Akrami Coloriste : Baharet Akrami Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Septembre 2021, le procès des attentats du 13 novembre 2015 débute à Paris. Bahareh, qui était au Carillon ce soir-là, décide de se constituer partie civile et de suivre le procès au jour le jour. De cette expérience judiciaire très médiatisée, elle en ressort des petites chroniques quotidiennes dessinées, où elle fait se croiser humour et esprit critique. Chaque jour, elle retrace les faits, nous raconte les témoignages, ne se gêne pas pour contrer les propos des accusés et met en valeur le travail des avocats, tous partis confondus. À chaque billet, elle ajoute sa touche personnelle en mêlant ironie et compassion, anecdotes lourdes de sens et références de pop culture. De fait, elle ouvre au public les portes d'un procès hors norme et rend ainsi accessible un sujet lourd et complexe. Critique : Baharet Akrami , dit Babou , était au Carillon lors des attentats meurtriers du 13 novembre 2015 . Probablement poussée par sa vocation d'exercer le métier et d'avocat , ainsi que son statut de témoin , elle s'est constituée partie civil afin d'assister au procès . Elle délivre un journal quotidien en lien avec les témoignages et autres plaidoiries des nombreux avocats présents . Les différents intervenants se suivent dans un défilé de déclarations avec les ajouts de Babou de scénettes humoristiques décrivant le récit ou empreints de son avis personnel . Elle mélange les émotions sur un ton "djeun" en usant du verlan et de nombreuses références à la culture pop . On apprend même des détails sur sa vie personnelle , à savoir composer vie de famille et temps passé au tribunal , toujours avec beaucoup d'humour . Vous découvrirez donc le déroulé de ce procès hors norme avec les nombreuses ramifications liant les accusés . Certains passages sont moins intéressants que d'autres et il n'est pas toujours simple de suivre le fil car il y a un grande quantité de noms à retenir . C'est donc une découverte pour les néophytes du fil narratif d'un procès avec un ton décomplexé voulu par l'auteure . La préface est signée par le juge ayant présidé à la cour , ce qui ajoute de la sincérité aux faits , car si Babou cherche à rendre accessible et décomplexé le récit , le fond n'en reste pas moins un drame ayant profondément marqué la France . A découvrir . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-aurait-aime-savoir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    On aurait aimé savoir

    Baharet Akrami , dit Babou , était au Carillon lors des attentats meurtriers du 13 novembre 2015 . Probablement poussée par sa vocation d'exercer le métier et d'avocat , ainsi que son statut de témoin , elle s'est constituée partie civil afin d'assister au procès . Elle délivre un journal quotidien en lien avec les témoignages et autres plaidoiries des nombreux avocats présents . Les différents intervenants se suivent dans un défilé de déclarations avec les ajouts de Babou de scénettes humoristiques décrivant le récit ou empreints de son avis personnel . Elle mélange les émotions sur un ton "djeun" en usant du verlan et de nombreuses références à la culture pop . On apprend même des détails sur sa vie personnelle , à savoir composer vie de famille et temps passé au tribunal , toujours avec beaucoup d'humour . Vous découvrirez donc le déroulé de ce procès hors norme avec les nombreuses ramifications liant les accusés . Certains passages sont moins intéressants que d'autres et il n'est pas toujours simple de suivre le fil car il y a un grande quantité de noms à retenir . C'est donc une découverte pour les néophytes du fil narratif d'un procès avec un ton décomplexé voulu par l'auteure . La préface est signée par le juge ayant présidé à la cour , ce qui ajoute de la sincérité aux faits , car si Babou cherche à rendre accessible et décomplexé le récit , le fond n'en reste pas moins un drame ayant profondément marqué la France . A découvrir .
  4. Alors celui-là il est excellent ! Non pas que les autres ne soit pas bon. Mais ce loup en Slip est à offrir à tout enseignant de CP à CM1 ! Le personnage de Grumo est magique ! Sa façon de voir la langue française est celle de tout enfant qui se respecte. Les réponses proposées sont toutes aussi sympathiques les unes que les autres. Une lecture instructive (vous saviez d'ou ca venait "Slip" vous ????) sur des questions que se posent les enfants et permettra aux parents de trouver une réponse à cette épineuse question.
  5. Titre de l'album : Le loup en slip tome 8 - Et le mystère du P silencieux Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Mayana Itoïz Coloriste : Mayana Itoïz Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans la forêt, on le sait, y a des p'tits zozios, des pas bien costauds, qui zinzinulent quand tout est nul... Et en parlant de petit oiseau, il y en a un tout particulièrement qui, ce matin, rouspète bien haut. Grumo en a ras la casquette des exceptions orthographiques de la langue française. « Et gnagnagna, cette lettre on doit l'écrire mais on ne la prononce pas... et gnagnagna celle-ci elle s'écrit comme ci mais se prononce comme ça. » La petite mésange, qui adore ronchonner, soulève néanmoins des questions pertinentes à propos des mots qui nous entourent... Un album sur l'orthographe, vous n'êtes pas sérieux ? Oh si ! Et, d'ailleurs, quels meilleurs compères que le Loup en slip et l'ourse Paulette pour comprendre, à l'image de la rivière qui serpente, les méandres de la grammaire et de l'évolution des mots ? La forêt est un lieu bien propice pour expliquer un thème qui en frigorifierait plus d'un, mais qui se transforme en une balade palpitante une fois entre les pattes de notre loup préféré. Des rimes en cascade, des jeux de mots entortillés comme des branches, des bonds de lapin de champ lexical en origines étymologiques : voici un album musical, où dansent les mots sur une mélodie parfaitement orchestrée. Un délice de poésie et d'humour ! Critique : Alors celui-là il est excellent ! Non pas que les autres ne soit pas bon. Mais ce loup en Slip est à offrir à tout enseignant de CP à CM1 ! Le personnage de Grumo est magique ! Sa façon de voir la langue française est celle de tout enfant qui se respecte. Les réponses proposées sont toutes aussi sympathiques les unes que les autres. Une lecture instructive (vous saviez d'ou ca venait "Slip" vous ????) sur des questions que se posent les enfants et permettra aux parents de trouver une réponse à cette épineuse question. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-loup-en-slip-tome-8-le-loup-en-slip-et-le-mystere-du-p-silencieux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : On Mars Tome 3 : Ceux qui restent Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Grun Coloriste : Grun Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Fin de la trilogie ! La planète-prison se révolte : une grande fresque de science-fiction et d'anticipation politique. Sur la planète-prison qu'est devenue Mars, la situation devient hors de contrôle : Rojas, le chef de l'Eglise syncrétique, lance une dernière croisade pour s'emparer de la colonie martienne. Avec l'arrivée des nouveaux prisonniers envoyés par la Terre, ce sont de nouvelles troupes qui vont rejoindre le leader fanatique. D'autant que le vaisseau abrite une arme redoutable mise au point par les adeptes de la secte. Pour contrer les plans de Rojas, Jasmine s'est alliée aux Solitaires. Leur seule chance : unir leurs forces aux Services de sécurité martiens, dirigés par Sophie Berken. Les deux femmes se respectent, vont se battre côte à côte et saisir cette dernière chance. Mais n'est-il pas trop tard ? Critique : Avec On Mars, Sylvain Runberg imagine la planète rouge comme une immense prison où les conditions de survie sont extrême. La plupart des prisonniers sont répartis en différent groupuscule autour d'une croyance ou d'une secte, d'un clan ou alors sont les gardiens et colons qui vivent dans une grande cité. Les deux premiers tomes avaient mis en place toutes les catégories de personnes avec une jeune femme flic emprisonnée suite à une bavure lors d'une intervention. On a pu voir comment elle évoluait sur mars mais aussi comment elle réussit à survivre en plus du travail épuisant et tous les ennemis qu'elle a en tant qu'ancienne policière. Ce dernier tome nous permet de suivre tous les plans d'action de chaque groupe pour prendre le pouvoir de Mars. Les dessins de Grun sont absolument magnifiques sur cette série. Les scènes d'actions sont fréquentes et parfaites. Les cases sont travaillées pour apporter beaucoup d'élément de décors qui permettent aux lecteurs de rentrer dans cette histoire de science-fiction carcérale. La trilogie martienne se termine en beauté avec la résolution de toutes les intrigues politiques, les complots et autres problématiques. Il est préférable de bien relire les deux premiers tomes pour se remettre dans l'histoire qui est assez complexe avec les nombreuses personnes impliquées. Un cahier graphique termine l’album avec des commentaires d’un personnage qui revient trois ans plus tard sur les évènements de Mars. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-mars-tome-3-ceux-qui-restent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Les tuniques bleues tome 67 - Du feu sur la glace Scenariste de l'album : Christophe Goret Dessinateur de l'album : Willy Lambillotte Coloriste : Willy Lambillotte Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Hiver 1861. Le sergent Chesterfield, chargé de remplacer le Capitaine Stark, a fini par retrouver son supérieur à l'hôpital pour un même diagnostic : stress post-traumatique ! Le remède : l'éloigner de la guerre... Le général Alexander lui demande alors d'accompagner un certain Jeremiah Clure, géographe chargé de cartographier les territoires indiens. Petit souci pour Blutch et Chesterfield : Clure est anarchiste. Mais pire : ils doivent l'escorter dans des territoires où les sudistes, alliés aux cherokees, persécutent les tribus creeks, fidèles aux nordistes... Dans la lignée de Cauvin, Kris mêle histoire et humour, en lui ajoutant un piquant sous-texte politique. Lambil, malgré l'importance des charges, se montre très vaillant, épaulé au storyboard par Michalak ! Critique : Hop la, le "tuniques bleues" annuel est là ! Et il est... comme d'habitude. Ou presque comme d'habitude, car cette fois, on met (re-met) un peu l'accent sur les "crush" du sergent Chesterfield. Pour le reste on a une aventure sympathique mais un peu forcée. Nos auteurs ajoutent un "communiste" à une époque où cela n'existait pas et en fond la protagoniste principale de ce tome 67 et cela ne marche que peu. Si le fait de mettre en avant les lacunes des tuniques bleues est rigolo, le côté syndicaliste est trop décalé pour que cela soit autre chose qu'étonnant. Mais j'ose imaginer qu'il est super dure de trouver une idée neuve au bout de 67 albums..... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tuniques-bleues-tome-67-du-feu-sur-la-glace?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Space relic hunters

    Titre de l'album : Space relic hunters Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Grun Coloriste : Grun Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Dans une galaxie régie par un quatuor souverain d'une grande puissance, Xia et Little Mercur sont les chasseurs de reliques les plus célèbres du coin. Ils vivent au gré de leurs trafics jusqu'au jour où leur dernière mission pourrait bien leur coûter la vie. Ce space opera retourne autant les cerveaux que les estomacs ! Après une guerre de religion interplanétaire et une galaxie dévastée 200 ans plus tôt, quatre dieux, surnommés Le Grand Quatuor , décident d'ériger un nouvel empire. Ils instaurent une dictature violente et répressive, anéantissant toutes formes de religions autres que celle vouée à leur propre culte. Les Légions divines ont été créées pour faire respecter cet ordre, mais malgré leur surveillance, les différents peuples et espèces continuent de vénérer en secret leurs anciens dieux. Cette situation engendre un trafic galactique de reliques aliènes, liées à de nombreux cultes dorénavant interdits. Qui dit interdit, dit contrebande et la naissance de Relic Hunters. C'est de cette activité que vivent Xia, une humaine, et Little Mercur, un alien masqué dont on ne connaît pas la race. Ils font partie des meilleurs chasseurs de reliques de la galaxie et sont rejoints pour une nouvelle mission par Vitellius, un ex-centurion déserteur des Légions divines. Critique : On retrouve la même équipe artistique de la trilogie de science-fiction On mars, pour un one shot de plus d'une centaine de pages pour mettre en image ce space opera plein d'action. Sylvain Runberg s'est déjà forgé une bonne réputation de scénariste avec toutes ses productions. Il est très à l'aise sur ce genre science-fiction, avec cette histoire où trois chasseurs de reliques doivent faire équipe pour avoir la récompense s'ils retrouvent cet objet d'une religion oubliée. Les personnages sont haut en couleur entre l'humaine alcoolique de par sa religion, un alien discret et un ancien soldat de la légion divine. Les trois héros sont engagés pour affronter toutes sortes de danger sur plusieurs planètes pour leur réussir leur mission. Grun est un dessinateur habitué également aux récits de SF, il s'amuse à mettre en scène les personnages dans des mondes exotiques avec des races extraterrestres. Les scènes d'action sont bien rythmées et les planches très détaillées. L'album se termine sur des recherches graphiques de l'auteur. Si vous avez appréciez On mars, vous devriez êtes conquis par cette nouvelle production de Runberg et Grun. Sinon ce one shot est une bonne occasion de découvrir leur travail. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/space-relic-hunters?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Mais comment ils font !! Comment font-ils avec 25 ans derrière eux pour nous livrer un tome encore une fois globalement réussi ? On comprend vraiment le succès de la série quand on regarde les derniers albums et celui-ci particulièrement. On voit bien que nos personnages ont grandi. Doucement, car nos filles n'ont pas pris 25 ans en 25 ans. Mais elles ont grandi et avec eux les gags. Ce que l'on voit sur ce tome-ci avec un album "anniversaire" qui nous montre les filles se replonger sur leurs premières années avec des lectures de leurs albums photos d'enfance. Des lectures d'albums qui donnent lieu à des quiproquos rigolos comme d'habitude, mais qui montrent surtout que nos auteurs réussissent à faire grandir leurs personnages… même si Wendy a l'air de grandir plus que Marine quand même
  10. Titre de l'album : Les Sisters tome 18 - Tu veux ma photo ? Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : William Maury Coloriste : William Maury Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les deux tornades font souffler un vent de folie sur la BD ! Opération rangement chez les Sisters. Les parents chargent Wendy et Marine de faire du tri dans leurs affaires avant que leurs chambres n'explosent. Les filles trouvent la corvée beaucoup plus amusante lorsque, dans le garage, elles tombent sur des photos de jeunesse de papa et maman, et se prennent carrément pour des archéologues en retrouvant des cassettes vidéo du siècle dernier ! Cette opération rangement sera un vrai carton, d'ailleurs il y en a partout dans la maison !!! Critique : Mais comment ils font !! Comment font-ils avec 25 ans derrière eux pour nous livrer un tome encore une fois globalement réussi ? On comprend vraiment le succès de la série quand on regarde les derniers albums et celui-ci particulièrement. On voit bien que nos personnages ont grandi. Doucement, car nos filles n'ont pas pris 25 ans en 25 ans. Mais elles ont grandi et avec eux les gags. Ce que l'on voit sur ce tome-ci avec un album "anniversaire" qui nous montre les filles se replonger sur leurs premières années avec des lectures de leurs albums photos d'enfance. Des lectures d'albums qui donnent lieu à des quiproquos rigolos comme d'habitude, mais qui montrent surtout que nos auteurs réussissent à faire grandir leurs personnages… même si Wendy a l'air de grandir plus que Marine quand même Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sisters-tome-18-tu-veux-ma-photo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : XIII trilogy - Jones tome 1 - Azur noir Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Taduc Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Jones est élève officier à l'école de la Navy de Patuxent River où elle doit réussir les dures épreuves de l'entraînement au pilotage de plusieurs types d'appareils volants, ainsi que le rigoureux apprentissage des techniques de close-combat dont on sait qu'elle deviendra experte, mais dont on découvrira la difficulté. En parallèle, son frère Marcus s'est évadé d'un pénitencier en compagnie de deux dangereux activistes amérindiens ; il accompagne ces derniers qui viennent de s'emparer de l'îlot d'Alcatraz et défient les autorités américaines en exigeant l'obtention de Droits Civiques. Ils ont pris en otage une centaine de sympathisants naïfs venus apporter leur soutien à la cause indienne et introduit un véritable arsenal sur Alcatraz et sont prêts à déclencher un bain de sang pour parvenir à leurs fins... De quoi provoquer une intervention des « Spads » du général Ben Carrington, qui se trouve être le tuteur d'une certaine sous-lieutenant bien connue des lecteurs de XIII... Entre la jeunesse de Jones, retracée dans Little Jones, et ses faits d'armes racontés dans la série de Van Hamme et Vance, il restait des zones d'ombre à explorer dans sa vie mouvementée. Il fallait bien une trilogie, signée par Yann et Taduc, pour lever le voile sur le destin de cette femme pas comme les autres... Critique : Si jamais vous n'avez plus d'idée pour vendre des BDs, demandez aux gérants de la franchise de XIII. Après le "second cycle" (après un premier de 18 tomes), les one shot sur des personnages secondaires, voici... la trilogie sur ces mêmes personnages. Sincèrement, on peut se poser la question de l'intérêt de ce genre d'ouvrage...et je dois vous avouer qu'après lecture je ne saurais vraiment quoi vous répondre. Car si le dessin est toujours très bien et dans la lignée des autres, le scenario de ce premier tome.... n'apporte rien. A la limite, on aurait préfère que cela soit un premier tome sur un personnage autre. Alors oui, on a du général Carrington par ci, la formation et l'enfance de Jones par la.... mais franchement rien d'important ni de vraiment nouveau. Une Bd au final assez quelconque. Peut-être que la suite me donnera tort ou que les fans de XIII adoreront mais la seule chose que m'ait provoqué cette BD c'est l'envie de relire la première série... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/xiii-trilogy-jones-tome-1-azur-noir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Si jamais vous n'avez plus d'idée pour vendre des BDs, demandez aux gérants de la franchise de XIII. Après le "second cycle" (après un premier de 18 tomes), les one shot sur des personnages secondaires, voici... la trilogie sur ces mêmes personnages. Sincèrement, on peut se poser la question de l'intérêt de ce genre d'ouvrage...et je dois vous avouer qu'après lecture je ne saurais vraiment quoi vous répondre. Car si le dessin est toujours très bien et dans la lignée des autres, le scenario de ce premier tome.... n'apporte rien. A la limite, on aurait préfère que cela soit un premier tome sur un personnage autre. Alors oui, on a du général Carrington par ci, la formation et l'enfance de Jones par la.... mais franchement rien d'important ni de vraiment nouveau. Une Bd au final assez quelconque. Peut-être que la suite me donnera tort ou que les fans de XIII adoreront mais la seule chose que m'ait provoqué cette BD c'est l'envie de relire la première série...
  13. Hop la, le "tuniques bleues" annuel est là ! Et il est... comme d'habitude. Ou presque comme d'habitude, car cette fois, on met (re-met) un peu l'accent sur les "crush" du sergent Chesterfield. Pour le reste on a une aventure sympathique mais un peu forcée. Nos auteurs ajoutent un "communiste" à une époque où cela n'existait pas et en fond la protagoniste principale de ce tome 67 et cela ne marche que peu. Si le fait de mettre en avant les lacunes des tuniques bleues est rigolo, le côté syndicaliste est trop décalé pour que cela soit autre chose qu'étonnant. Mais j'ose imaginer qu'il est super dure de trouver une idée neuve au bout de 67 albums.....
  14. Après les événements douloureux en fin de tome 1 , Sara décide de revenir à Murdervale avec l'aide d'un écrivain/journaliste en plein syndrome de la page blanche . Une lueur d'espoir est-elle envisageable dans cette ville gangrénée par une malédiction tenace ? Elle perce à jour plusieurs mystères entrevus dans le premier tome , dans un déluge de tension . Si l'on pouvait reprocher un manque de liant dans le livre précédent , Vicente Cifuentes gomme en partie ce défaut ici , dans un déchainement d'actions et révélations . Même des âmes tourmentées nous réservent des surprises ! Tout est prêt pour une ultime aventure à paraître , la saga se clôturant en 3 opus . On retrouve le même graphisme réaliste de l'espagnol , avec de jolis effets spéciaux notamment sur les transparences et luminescences . Le climat d'anxiété est de nouveau présent , c'est une suite plus aboutie laissant entrevoir de belles promesses pour la fin , bientôt 😉 Vous avez en pièce jointe des extraits , pour mieux apprécier les couleurs de l'artiste originaire d'Albacete . Extraits.pdf
  15. Titre de l'album : Murdervale - La pacte maudit - tome 2 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Sara retourne à Murdervale prête à récupérer tout ce qu'elle a perdu lors de sa dernière visite. Sa détermination sera à nouveau mise à l'épreuve, car la malédiction semble maintenant plus puissante que jamais et reste prête à se nourrir de l'innocence et de la santé mentale de tous ceux qui ont mis les pieds dans le village maudit. Quelles forces obscures poussent les visiteurs de Murdervale à des actes meurtriers ? Et si pour vivre, il fallait faire un pacte avec l'Enfer ? Critique : Après les événements douloureux en fin de tome 1 , Sara décide de revenir à Murdervale avec l'aide d'un écrivain/journaliste en plein syndrome de la page blanche . Une lueur d'espoir est-elle envisageable dans cette ville gangrénée par une malédiction tenace ? Elle perce à jour plusieurs mystères entrevus dans le premier tome , dans un déluge de tension . Si l'on pouvait reprocher un manque de liant dans le livre précédent , Vicente Cifuentes gomme en partie ce défaut ici , dans un déchainement d'actions et révélations . Même des âmes tourmentées nous réservent des surprises ! Tout est prêt pour une ultime aventure à paraître , la saga se clôturant en 3 opus . On retrouve le même graphisme réaliste de l'espagnol , avec de jolis effets spéciaux notamment sur les transparences et luminescences . Le climat d'anxiété est de nouveau présent , c'est une suite plus aboutie laissant entrevoir de belles promesses pour la fin , bientôt 😉 Vous avez en pièce jointe des extraits , pour mieux apprécier les couleurs de l'artiste originaire d'Albacete . Extraits.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://graphzeppelin.com/murdervale/296-murdervale-1-le-vol-du-corbeau.html?search_query=murdervale&results=2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    La maison Usher

    Titre de l'album : La maison Usher Scenariste de l'album : Jean Dufaux Dessinateur de l'album : Jaime Calderón Coloriste : Jaime Calderón Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : « Comment deviner ce qu'elle recèle, cache, vit. Tout voyageur préfère passer son chemin devant la maison Usher... » Ainsi débute ce récit d'horreur gothique revisité où Edgar Allan Poe lui-même s'invite chez la famille Usher au destin aussi funeste qu'inéluctable... Critique : Comme pour Lovecratf, les nouvelles d'Edgar Allan Poe reste une grande source d'inspiration pour les auteurs de bande dessinée mais également de série TV. Le scénariste Jean Dufaux reprend pour son intrigue la trame principale de la nouvelle la Chute de la maison Usher pour l'insérer dans une histoire sordide autour d'un joueur de poker endetté. L'auteur met en scène également Edgar Allan Poe, comme écrivain à la santé fragile qui côtoie ses personnages et connait leur destinée. Par cette méthode, les lecteurs ne lisent pas seulement une adaptation de la chute de la maison Usher mais un récit inédit et bien ficelé comme on est en droit de l'attendre de la part de Dufaux. La partie graphiques test absolument magnifique avec des planches en couleur directe de Jaime Calderon. Les planches sont bien détaillées et rendent vivant cette histoire fantastique. Le final avec les morts-vivants dans le cimetière est un bon exemple d'une scène d'action bien rythmée. L’édition de la maison Usher est soignée avec un dos toilé dans un format plus grand permettant de mieux profiter des planches de Calderon. L’album se termine en proposant la nouvelle de la Chute de la maison Usher dans sa traduction de Baudelaire pour lecteurs ne connaissant pas l’œuvre d’origine et voulant comparer ou simplement relire ce classique de Poe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-maison-usher?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    La maison Usher

    Comme pour Lovecratf, les nouvelles d'Edgar Allan Poe reste une grande source d'inspiration pour les auteurs de bande dessinée mais également de série TV. Le scénariste Jean Dufaux reprend pour son intrigue la trame principale de la nouvelle la Chute de la maison Usher pour l'insérer dans une histoire sordide autour d'un joueur de poker endetté. L'auteur met en scène également Edgar Allan Poe, comme écrivain à la santé fragile qui côtoie ses personnages et connait leur destinée. Par cette méthode, les lecteurs ne lisent pas seulement une adaptation de la chute de la maison Usher mais un récit inédit et bien ficelé comme on est en droit de l'attendre de la part de Dufaux. La partie graphiques test absolument magnifique avec des planches en couleur directe de Jaime Calderon. Les planches sont bien détaillées et rendent vivant cette histoire fantastique. Le final avec les morts-vivants dans le cimetière est un bon exemple d'une scène d'action bien rythmée. L’édition de la maison Usher est soignée avec un dos toilé dans un format plus grand permettant de mieux profiter des planches de Calderon. L’album se termine en proposant la nouvelle de la Chute de la maison Usher dans sa traduction de Baudelaire pour lecteurs ne connaissant pas l’œuvre d’origine et voulant comparer ou simplement relire ce classique de Poe.
  18. Titre de l'album : Astérix - Tome 40 - L'iris blanc Scenariste de l'album : Fabrice Caro Dessinateur de l'album : Didier Conrad Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : « Pour éclairer la forêt, la floraison d'un seul iris suffit » L'Iris blanc est le nom d'une nouvelle école de pensée positive, venue de Rome qui commence à se propager dans les grandes villes, de Rome à Lutèce. César décide que cette méthode peut avoir un effet bénéfique sur les camps qui se trouvent autour du célèbre village gaulois. Mais les préceptes de cette école exercent aussi une influence sur les villageois qui croisent son chemin... Critique : Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins). Autres infos : Une bonne cuvée globalement, surtout la 1ère partie. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asterix-l-iris-blanc-tome-40?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Rédiger ces lignes au son de "Sittin'on the dock of the bay" , avouez qu'il y a pire ! Quelle voix , quel artiste , quelle créativité , mais on ne peut pas vraiment dire "quelle vie" ! En effet , après la lecture de cette biographie , on découvre une existence assez rangée et sans les déboires habituels des chanteurs et autres artistes . Pas de drogue , un peu de Gin de qualité , quelques amourettes , mais un amour "presque" fidèle envers sa femme , des enfants aimant leur père , bref , vous l'aurez compris , on est pas sur du James Brown ou Jimmy Hendrix , brulant la vie par les deux bouts . Et quelque part , c'est rassurant pour le "monsieur tout le monde" que je suis 🙂 On peut être un immense artiste ayant marqué toute une génération et les futures , tout en ayant une vie plutôt rangée . Son défaut serait le travail , un véritable bourreau de ce côté ! Il enchaine les concerts au point de s'épuiser , toujours épris d'un profond respect pour ses fans . 7 ans de carrière , c'est court mais intense pour le "soulman" voulant et réussissant à conquérir l'Europe ! Vous suivrez sa progression constante malgré quelques déceptions jalonnant son parcours , ses rencontres avec d'autres stars d'époque , pour échouer aux abords du lac du Montana , théâtre funeste de sa disparition au cours d'un vol avec son avion privé . Le collectifs de dessinateurs réalise des planches réalistes et nous immerge pleinement , ne manque que le son 😉 Des doubles-pages garnies de photos et images d'archives ponctuent le récit dans une chronologie respectée . Le tube planétaire "Respect" d'Aretha Franklin est bien de Monsieur Otis Redding , mais tant d'autres , que je vous laisse découvrir , régalez-vous c'est intemporel !
  20. Titre de l'album : Otis Redding - La soul dans la peau Scenariste de l'album : Frédéric Adrian , Tony Lourenco Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Le chanteur Otis Redding a marqué l'histoire de la soul, en seulement sept ans de carrière. Icône de la musique noire américaine, il a occupé le sommet des charts avec des chansons telles que I've been loving you too long, These arms of mine ou Try a little tenderness. Bien que fauché en pleine gloire, ses titres posthumes comme (Sittin' On) The Dock of the Bay l'ont installé durablement dans les mémoires. Toujours repris par de nombreux artistes à travers le monde, sa musique est restée intemporelle... Immortelle. Grâce au Docu-BD qui mêle BD et pages documentaires, découvrez les moments les plus marquants de la vie de « Mr. Pitiful ». Critique : Rédiger ces lignes au son de "Sittin'on the dock of the bay" , avouez qu'il y a pire ! Quelle voix , quel artiste , quelle créativité , mais on ne peut pas vraiment dire "quelle vie" ! En effet , après la lecture de cette biographie , on découvre une existence assez rangée et sans les déboires habituels des chanteurs et autres artistes . Pas de drogue , un peu de Gin de qualité , quelques amourettes , mais un amour "presque" fidèle envers sa femme , des enfants aimant leur père , bref , vous l'aurez compris , on est pas sur du James Brown ou Jimmy Hendrix , brulant la vie par les deux bouts . Et quelque part , c'est rassurant pour le "monsieur tout le monde" que je suis 🙂 On peut être un immense artiste ayant marqué toute une génération et les futures , tout en ayant une vie plutôt rangée . Son défaut serait le travail , un véritable bourreau de ce côté ! Il enchaine les concerts au point de s'épuiser , toujours épris d'un profond respect pour ses fans . 7 ans de carrière , c'est court mais intense pour le "soulman" voulant et réussissant à conquérir l'Europe ! Vous suivrez sa progression constante malgré quelques déceptions jalonnant son parcours , ses rencontres avec d'autres stars d'époque , pour échouer aux abords du lac du Montana , théâtre funeste de sa disparition au cours d'un vol avec son avion privé . Le collectifs de dessinateurs réalise des planches réalistes et nous immerge pleinement , ne manque que le son 😉 Des doubles-pages garnies de photos et images d'archives ponctuent le récit dans une chronologie respectée . Le tube planétaire "Respect" d'Aretha Franklin est bien de Monsieur Otis Redding , mais tant d'autres , que je vous laisse découvrir , régalez-vous c'est intemporel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/otis-redding/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Demain tome 3

    La série Demain suit son cours avec ce troisième épisode scénarisé par Léo et Rodolphe, deux spécialistes de SF et fantastique. D'ailleurs avec Demain, les deux auteurs mettent tous leur talent pour servir un scénario sur plusieurs époques. Les deux amis des années 50 explorent ce monde étrange d'une autre époque depuis leur découverte du passage dans les sous-sols, sans savoir qu'ils sont surveillés. En parallèle, le père et ancien docteur comprend qu’il est retenu prisonnier dans une villa de luxe par une femme et son armée personnelle. Sa fille poursuit sa route et rencontre une femme étrange qui l'accompagne et l’aide face aux divers dangers rencontrés dans ce monde dévasté. On essaie de comprendre mais de nombreuses questions viennent s'ajouter tout au long de la lecture de cet épisode. Les dessins de Louis Alloing sont de qualité dans un style très classique. L'auteur donne une bonne ambiance pour le monde futuriste. La série Demain est toujours aussi plaisante à lire et l’on en redemande encore, donc vivement le prochain tome.
  22. Titre de l'album : Le grand bug tome 1 Scenariste de l'album : Jean-Christophe Tixier Dessinateur de l'album : Roberta Pierpaoli Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde sans internet et toutes les conséquences que cela pourrait entrainer ! Un grand bug a affecté Internet. Depuis, le réseau est devenu très instable. Tout étant interconnecté, les problèmes peuvent surgir partout, et à tout moment. Face à l'ampleur du problème, de nombreuses équipes sont mobilisées. Octo++, un groupe d'intervention constitué de Léna, Tom, Lou et Gabriel, est responsable du réseau de transport, sur lequel un tramway et un train fous sont lancés à pleine vitesse. Vont-ils parvenir à résoudre et corriger le problème, trouver des parades, tout en portant assistance aux personnes touchées par ces défaillances ? Critique : Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-grand-bug-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Les royaumes muets

    C'est parti pour les BD Jeunesses pour Oxymore, le nouvel entrant dans le petit monde de la BD européenne. On commence avec "les royaumes muets". Les royaumes muets sont une très belle première BD sur un thème pourtant pas facile. Celui de la mort et de ce qu'il se passe après et ce avec une très belle histoire. Un très beau conte mais aussi une belle aventure d'amitié portée par des agents de la mort gaffeurs comme jamais. C'est drôle, bien dessiné et avec une belle aventure
  24. Titre de l'album : Les royaumes muets Scenariste de l'album : Séverine Gauthier Dessinateur de l'album : Jérémie Almanza Coloriste : Jérémie Almanza Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Perséphone a rencontré la mort l'année de ses douze ans, un jeudi, à 23h52. C'était le jour de la veillée funèbre de son voisin, Victor Columbaria. Elle ne fera vraiment sa connaissance qu'après sa mort lorsqu'elle se retrouvera nez-à-nez avec son fantôme, quelque peu désemparé. Charles et Théophile, collecteurs de soupirs, ont deux jours de retard... Il y a une vie après la mort et le dernier soupir est le prix pour y accéder. S'il n'est pas collecté, le défunt sera condamné à l'errance... Aussi, Perséphone n'hésite pas à franchir la porte du monde d'après la mort pour partir à la recherche du dernier soupir de Victor... Mais pourquoi peut-elle voir les morts ? Et pourra-t-elle revenir dans le monde des vivants ?... Critique : C'est parti pour les BD Jeunesses pour Oxymore, le nouvel entrant dans le petit monde de la BD européenne. On commence avec "les royaumes muets". Les royaumes muets sont une très belle première BD sur un thème pourtant pas facile. Celui de la mort et de ce qu'il se passe après et ce avec une très belle histoire. Un très beau conte mais aussi une belle aventure d'amitié portée par des agents de la mort gaffeurs comme jamais. C'est drôle, bien dessiné et avec une belle aventure Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/royaumes-muets?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Talk show

    Avec Talk show, Fabrice Caro s'attaque et détourne des émissions télé où il n'y a rien d'intéressant. Avec des planches en gaufrier de huit cases, une journaliste reçoit des invités tous plus improbables les uns que les autres et n'ont pas forcément beaucoup de choses intéressantes à raconter. Seulement deux autres intervenants prennent la vedette lors de la présentation de la météo ou d'un direct pour une information de la plus haute importance. Chaque page apporte la chute de l'histoire avec humour. La partie graphique est minimaliste avec la journaliste qui revient toujours dans la même position et des invités déformés et caricaturaux. La collection Pataquès continue de grandir avec des albums explorant plusieurs styles dans l'humour. Il facile de voir si l'on appréciera ou pas l'humour en lisant une ou deux planches avant l'achat.
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