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Le syndrome [E] est un roman de Franck Thilliez considéré comme l’auteur à succès des thrillers et polars français, avec une petite vingtaine de livres à son actif. Sylvain Runberg s’occupe de l’adaptation en bande dessinée de cette trilogie. Ce roman réunit pour la première les deux héros des autres polars de Thilliez. Ce couple est composé de Sharko le lieutenant de police qui a subi un traumatisme dans des romans précédents et Lucie Henebelle une jeune femme passionner par son métier à la criminelle. Pour l’histoire, Sharko enquête sur cinq cadavres qui viennent d’être découvert et Lucie enquête sur un mystérieux film qui rend aveugle. Les deux enquêtes vont évidement se rejoindre. Cette adaptation est prenante et suit le déroulement du roman avec quelques modifications pour mieux convenir au format BD. Pour une fois, je peux juger l'adaptation comme j'adore les romans de Thilliez. D'ailleurs, il est amusant de voir la représentation des personnages que je suis depuis plusieurs années dans les romans. Les dessins de Luc Brahy sont réalistes pour dépeindre l’univers sombre des polars de Thilliez. Son style se veut nerveux et dynamique comme les enquêtes des deux inspecteurs. Philéas est une nouvelle maison d’édition du groupe Steinkis et des éditions Jungle qui vient de sortir deux adaptations de romans, gravé dans le sable de Michel Bussi et Le syndrome [E]. A noter que l’édition est de grande qualité avec une centaine de page à un prix très raisonnable. La suite de la trilogie est déjà programmée avec Gataca pour 2021 et Atomka en 2022, j'ai hâte de redécouvrir l'histoire en bande dessinée.
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Titre de l'album : Le syndrome [E] Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Luc Brahy Coloriste : Luc Brahy Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle. Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Henebelle, lieutenant de police à Lille, et de ses jumelles. Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés, le crâne scié... Il n'en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko, en congé forcé pour soigner ses crises de schizophrénie. Très vite, ces deux affaires pourtant éloignées semblent étroitement liées. De la casbah d'Alger aux orphelinats du Canada, les deux nouveaux coéquipiers vont mettre le doigt sur un mal inconnu, d'une réalité effrayante. Critique : Le syndrome [E] est un roman de Franck Thilliez considéré comme l’auteur à succès des thrillers et polars français, avec une petite vingtaine de livres à son actif. Sylvain Runberg s’occupe de l’adaptation en bande dessinée de cette trilogie. Ce roman réunit pour la première les deux héros des autres polars de Thilliez. Ce couple est composé de Sharko le lieutenant de police qui a subi un traumatisme dans des romans précédents et Lucie Henebelle une jeune femme passionner par son métier à la criminelle. Pour l’histoire, Sharko enquête sur cinq cadavres qui viennent d’être découvert et Lucie enquête sur un mystérieux film qui rend aveugle. Les deux enquêtes vont évidement se rejoindre. Cette adaptation est prenante et suit le déroulement du roman avec quelques modifications pour mieux convenir au format BD. Pour une fois, je peux juger l'adaptation comme j'adore les romans de Thilliez. D'ailleurs, il est amusant de voir la représentation des personnages que je suis depuis plusieurs années dans les romans. Les dessins de Luc Brahy sont réalistes pour dépeindre l’univers sombre des polars de Thilliez. Son style se veut nerveux et dynamique comme les enquêtes des deux inspecteurs. Philéas est une nouvelle maison d’édition du groupe Steinkis et des éditions Jungle qui vient de sortir deux adaptations de romans, gravé dans le sable de Michel Bussi et Le syndrome [E]. A noter que l’édition est de grande qualité avec une centaine de page à un prix très raisonnable. La suite de la trilogie est déjà programmée avec Gataca pour 2021 et Atomka en 2022, j'ai hâte de redécouvrir l'histoire en bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-syndrome-e?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ca y est ils sont partis !!! Déjà plus de 4 jours de mer et encore beaucoup d'autres à venir pour nos héros modernes. Peut-être les vrais derniers aventuriers qui osent braver tout seul des conditions toujours différentes. Si vous souhaitez soit les supporter soit vous immerger un peu plus dans cette grande aventure qu'est le Vendée Globe, cet album des éditions Dargaud est pour vous. Car plus qu'une BD il faut bien parler ici d'album à part entière. En effet la partie bande dessinée est à peine la moitié de l'album. Le reste est un récit de voyage et de ressentit de ce que c'est d'être seul à bord durant 3 mois. Et au final ce format est très agréable à lire. En effet le texte immerge encore plus profondément dans l'esprit des compétiteurs mais la partie dessinée permet de donner de la vivacité à la lecture et rend le tout plus agréable qu'un long reportage écrit. Un bel album très bien documenté qui ravira les fans du Vendée Globe et permettra au plus grand nombre d'en savoir plus sur cette course mythique, de la préparation du bateau au retour aux Sables d'Olonne. Cette réédition comporte en plus un nouveau cahier dédié à l'édition 2020 qui, malheureusement, ne justifie pas forcement l'achat de cette version si vous l'avez déjà. Si vous ne l'avez pas par contre, et que vous aimez ce sport et l'aventure en général, je ne peux que vous conseillez d'investir. Et ça ferait un super beau cadeau de Noel !
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Titre de l'album : Histoires du Vendée Globe Scenariste de l'album : Alexandre Chenet Dessinateur de l'album : Renaud Garreta Coloriste : Renaud Garreta Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le Vendée Globe, qualifié d'Everest des mers, raconté par celles et ceux qui le vivent, aventuriers des océans. Pendant plus de trois ans, Alexandre Chenet et Renaud Garreta sont allés à la rencontre de skippers partis à l'assaut de ce tour du monde sans égal. En mer, au coeur de la course, entre navigation et incidents techniques, choix stratégiques et engagement humain, ils nous emmènent au coeur de cette course légendaire qui passionne énormément de lecteurs. Critique : Ca y est ils sont partis !!! Déjà plus de 4 jours de mer et encore beaucoup d'autres à venir pour nos héros modernes. Peut-être les vrais derniers aventuriers qui osent braver tout seul des conditions toujours différentes. Si vous souhaitez soit les supporter soit vous immerger un peu plus dans cette grande aventure qu'est le Vendée Globe, cet album des éditions Dargaud est pour vous. Car plus qu'une BD il faut bien parler ici d'album à part entière. En effet la partie bande dessinée est à peine la moitié de l'album. Le reste est un récit de voyage et de ressentit de ce que c'est d'être seul à bord durant 3 mois. Et au final ce format est très agréable à lire. En effet le texte immerge encore plus profondément dans l'esprit des compétiteurs mais la partie dessinée permet de donner de la vivacité à la lecture et rend le tout plus agréable qu'un long reportage écrit. Un bel album très bien documenté qui ravira les fans du Vendée Globe et permettra au plus grand nombre d'en savoir plus sur cette course mythique, de la préparation du bateau au retour aux Sables d'Olonne. Cette réédition comporte en plus un nouveau cahier dédié à l'édition 2020 qui, malheureusement, ne justifie pas forcement l'achat de cette version si vous l'avez déjà. Si vous ne l'avez pas par contre, et que vous aimez ce sport et l'aventure en général, je ne peux que vous conseillez d'investir. Et ça ferait un super beau cadeau de Noel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/histoires-du-vendee-globe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Servais fait partit de ces auteurs qui ont un truc. Un truc qu'il garde d'album en albums au fil du temps. Pour Servais son talent conteur. Un talent de conteur d'histoire qu'il garde peu importe le sujet de l'album. Celui qui vous racontera une histoire banale mais qui finira par vous happer dans son histoire sans que vous ne sachiez pourquoi et cela alors même que vous refermerez le livre. Car que nous propose se livre ? En y regardant de très haut juste le rapport des hommes au loup, comme on pourrait l'apprendre dans un court d'histoire. Mais quand c'est servais qui le raconte c'est tout de suite différent. Il y a un soupçon de romantisme, un soupçon de découverte et de mystère et on se retrouve d'un documentaire a une histoire dont on lit les pages sans penser à rien d'autre. C'est là le vrai talent de Servais. Comme les conteurs d'autre fois il permet à ses lecteurs de s'évader durant leur lecture, peu importe le sujet. Ne changez rien monsieur Servais, surtout ne changez rien.
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Titre de l'album : Le loup m'a dit t1 Scenariste de l'album : Servais Dessinateur de l'album : Servais Coloriste : Servais Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans les yeux d'Ambre, une enfant qui grandit de la Préhistoire au monde moderne, la vieille Louba creuse le temps pour raconter l'histoire du loup dans un album presque chamanique, qui relie le conte à la réalité documentaire, le réel à l'imaginaire. Critique : Servais fait partit de ces auteurs qui ont un truc. Un truc qu'il garde d'album en albums au fil du temps. Pour Servais son talent conteur. Un talent de conteur d'histoire qu'il garde peu importe le sujet de l'album. Celui qui vous racontera une histoire banale mais qui finira par vous happer dans son histoire sans que vous ne sachiez pourquoi et cela alors même que vous refermerez le livre. Car que nous propose se livre ? En y regardant de très haut juste le rapport des hommes au loup, comme on pourrait l'apprendre dans un court d'histoire. Mais quand c'est servais qui le raconte c'est tout de suite différent. Il y a un soupçon de romantisme, un soupçon de découverte et de mystère et on se retrouve d'un documentaire a une histoire dont on lit les pages sans penser à rien d'autre. C'est là le vrai talent de Servais. Comme les conteurs d'autre fois il permet à ses lecteurs de s'évader durant leur lecture, peu importe le sujet. Ne changez rien monsieur Servais, surtout ne changez rien. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-loup-m-a-dit-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est le monde à l'envers ! Vraiment. On a souvent reproché à Arleston de toujours faire la même chose, de ne pas sortir de nouveau scénario et de faire traîner en longueur les autres et ou seul le talent des dessinateurs le sauvent.... et là, quand il nous sort un scénario sympa en trois tomes, son dessinateur le lâche. Mais vraiment. J’en viens à me demander ce qu'il s'est passé entre le tome 2 et le tome 3. Olivier Boiscommun a eu un souci de santé ou un truc comme ça. On un conflit intérieur ou éditoriale. Car la prestation livrée dans ce tome 3 est en dessous de tout ce qu'il avait pu faire jusqu'à présent. On ne va pas y aller par quatre chemins: cela a gâché ma lecture. Alors que j'étais dans mes petits souliers, bien content d'une série finie en 3 tomes, j'ai déchanté devant des visages sans reliefs ni détails, des case sans décors et une coloration à l'emporte-pièce. J'ai rarement autant râlé sur un album. Monsieur Boiscommun si vous passez par ici s'il vous plait, expliquez-moi car là je suis déçu déçu.... A noter que pour ceux qui voudrait faire un cadeau pour noel, un coffret regroupant les 3 tomes existe.
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Titre de l'album : Le Danthrakon t3 Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Olivier Boiscommun Coloriste : Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Danthrakôn Dans la mythique cité de Kompiam cohabitent de nombreuses races intelligentes. Nuwan, un humain apprenti marmiton pour un grand mage, se retrouve possédé par un grimoire démoniaque dont l'encre coule désormais dans ses veines. Avec l'étudiante Lerëh, fille de la magicienne Lyreleï, il est parvenu au palais de cette dernière dont il espérait l'aide. Mais Lyreleï qui poursuit ses propres objectifs s'est emparée du corps de sa fille. Traqué par le terrible inquisiteur Amutu et par l'ancien propriétaire du grimoire, mage sans scrupules et père de Lerëh, Nuwan est sur le point de découvrir le formidable secret de celui qu'il prenait pour son simple animal de compagnie... Critique : C'est le monde à l'envers ! Vraiment. On a souvent reproché à Arleston de toujours faire la même chose, de ne pas sortir de nouveau scénario et de faire traîner en longueur les autres et ou seul le talent des dessinateurs le sauvent.... et là, quand il nous sort un scénario sympa en trois tomes, son dessinateur le lâche. Mais vraiment. J’en viens à me demander ce qu'il s'est passé entre le tome 2 et le tome 3. Olivier Boiscommun a eu un souci de santé ou un truc comme ça. On un conflit intérieur ou éditoriale. Car la prestation livrée dans ce tome 3 est en dessous de tout ce qu'il avait pu faire jusqu'à présent. On ne va pas y aller par quatre chemins: cela a gâché ma lecture. Alors que j'étais dans mes petits souliers, bien content d'une série finie en 3 tomes, j'ai déchanté devant des visages sans reliefs ni détails, des case sans décors et une coloration à l'emporte-pièce. J'ai rarement autant râlé sur un album. Monsieur Boiscommun si vous passez par ici s'il vous plait, expliquez-moi car là je suis déçu déçu.... A noter que pour ceux qui voudrait faire un cadeau pour noel, un coffret regroupant les 3 tomes existe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danthrakon-tome-3-le-marmiton-bienheureux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Chronique réalisée à partir d'un pdf. Vent mauvais illustre toute la difficulté de parler d'une bd, de son graphisme. Parce que j'ai beaucoup aimée, même si je ne partage pas une bonne part des positions de l'autrice, et même si en théorie la partie graphique aurait fort bien pu ne pas me plaire. Mais cela n'a pas été le cas, j'ai aimé ce qui se dégage du dessin, la tendresse pour les personnages qui en transpire, la pertinence de cette fin bien amenée par l'auteure avec tous ces indices disséminés au fil de cette tranche de vie. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, car c'est plutôt intelligent, ça ouvre bien aux discussions, et surtout ça parle merveilleusement bien des hommes et des femmes.
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Titre de l'album : Vent Mauvais Scenariste de l'album : Cati Baur Dessinateur de l'album : Cati Baur Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Béranger est en crise, depuis son dernier succès au cinéma, il y a quinze ans, il est aussi peu inspiré dans son travail de scénariste que dans sa vie de divorcé, père de deux adolescentes Lison et Violette. Il peine à écrire la suite que lui réclame son agent et décide de quitter Paris ... pour s'installer à la campagne à côté d'un champ d'éoliennes face auxquelles il semble trouver l'inspiration. Sur place, il vit une idylle avec Marjolaine, une fille un peu décalée, la trentaine, qui conduit le bibliobus du village. Quand elle ne joue pas au scrabble, elle s'occupe de ses vieux parents, enterre les oiseaux morts et rêve d'ouvrir sa librairie. Alors que Béranger reprend goût à l'écriture, les saisons passent et apportent leurs lots de mauvaises nouvelles. Il glisse alors doucement vers la dépression. Marjolaine spectatrice malgré elle de la situation sera contre tout attente, celle sur laquelle ils pourront s'appuyer... Critique : Chronique réalisée à partir d'un pdf. Vent mauvais illustre toute la difficulté de parler d'une bd, de son graphisme. Parce que j'ai beaucoup aimée, même si je ne partage pas une bonne part des positions de l'autrice, et même si en théorie la partie graphique aurait fort bien pu ne pas me plaire. Mais cela n'a pas été le cas, j'ai aimé ce qui se dégage du dessin, la tendresse pour les personnages qui en transpire, la pertinence de cette fin bien amenée par l'auteure avec tous ces indices disséminés au fil de cette tranche de vie. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, car c'est plutôt intelligent, ça ouvre bien aux discussions, et surtout ça parle merveilleusement bien des hommes et des femmes. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vent-mauvais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Oh chouette une BD my little Pony pour ma fille qui commence à lire !!! Ah non il semblerait que cela ne soit pas my little pony... la différence ? Ah oui là il y a une petite fille ! Ouf. Non sans rigoler ici on n’est pas dans un royaume avec uniquement des licornes. Le monde que nous proposent nos auteurs est un monde rempli de toutes les créatures enchanteresses que vous pouvez imaginer. Un monde ou tout va bien tout le temps.... sauf la ! Cette BD ne cache pas sa cible: c'est du 5-8 ans max ! Mais grand max ! Ah et orientés petites filles. Mais peu importe que la tranche d’âge ciblée soit les petits si c'est bien fait. Et c'est bien fait : Peu de dialogue, un vocabulaire simple, des dessins très expressifs et une aventure tout gentille. Tout ce qu'il faut pour donner envie à nos enfants de lire un peu plus ! Une belle BD pour les tout-petits. Pour profiter de ce confinement pour développer leurs envies de lire.
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Titre de l'album : Le royaume des licornes t1 : Grognonite sur le royaumes Scenariste de l'album : Mika / Aurelle / Dessinateur de l'album : Margo Renard Coloriste : Margo Renard Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : CATASTROPHE ! Depuis des jours, la pluie s'abat sur le royaume des licornes. Toutes les créatures sont tristes ou de mauvaise humeur ! Sauf Gummie, la pétillante licorne, et son amie, la princesse Eugénie. Ensemble, elles partent en mission pour redonner le sourire à Fildor, l'elfe responsable de la météo. Réussiront-elles à faire réapparaître le soleil ? Critique : Oh chouette une BD my little Pony pour ma fille qui commence à lire !!! Ah non il semblerait que cela ne soit pas my little pony... la différence ? Ah oui là il y a une petite fille ! Ouf. Non sans rigoler ici on n’est pas dans un royaume avec uniquement des licornes. Le monde que nous proposent nos auteurs est un monde rempli de toutes les créatures enchanteresses que vous pouvez imaginer. Un monde ou tout va bien tout le temps.... sauf la ! Cette BD ne cache pas sa cible: c'est du 5-8 ans max ! Mais grand max ! Ah et orientés petites filles. Mais peu importe que la tranche d’âge ciblée soit les petits si c'est bien fait. Et c'est bien fait : Peu de dialogue, un vocabulaire simple, des dessins très expressifs et une aventure tout gentille. Tout ce qu'il faut pour donner envie à nos enfants de lire un peu plus ! Une belle BD pour les tout-petits. Pour profiter de ce confinement pour développer leurs envies de lire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-royaume-des-licornes-tome-1-grognonite-sur-le-royaume?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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"Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus !
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Titre de l'album : Don Vega Scenariste de l'album : Pierre Alary Dessinateur de l'album : Pierre Alary Coloriste : Pierre Alary Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Madrid, 1848. Don Vega, héritier d'une riche famille californienne, reçoit une lettre lui annonçant le décès de ses parents. L'auteur du courrier, le père Delgado, l'incite à rentrer " dans les plus brefs délais ". A son retour, Don Vega découvre que le domaine familial est désormais géré par un ancien général, Gomez. Celui-ci s'appuie sur Borrow, une brute sadique et sans scrupules, pour mettre la Californie en coupe réglée en rachetant des terrains à bas prix afin de les revendre plus cher. Des peons ont le courage de se révolter. Le visage couvert d'une cagoule, ils se réclament d'" el Zorro ", un mythe populaire local. Le peuple les voit comme des héros. Don Vega décide de suivre leur exemple : il revêt un costume noir et est bien décidé à faire payer les spoliations commises envers sa famille. La légende de Zorro est en marche... Le personnage de Zorro renaît de ses cendres dans cette relecture enthousiasmante d'un classique de la culture populaire, né en 1919 dans un roman de Johnston McCulley avant d'être immortalisé par le cinéma et la série télévisée de Walt Disney. Critique : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus ! Autres infos : un cavalier......... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-vega?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est bientôt le grand jour. Un jour qui pourrait paraître petit pour un français mais qui est forcément important pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu à la politique internationale. Un jour qui verra le Trumpisme gagner ou perdre. Et pour bien comprendre comment les américains ont pu en arriver à ce choix, rien de mieux de se renseigner sur l'histoire des précédents présidents. 45 présidents avec autant de personnalités différentes dans un pays qui ne manque de spécificité. On apprend (enfin moi) comme quoi leur système de vote bizarre à coup de grand électeurs.... vient rien de moins que Georges Washington. Depuis le début quoi. On y apprend tout plein de petits détails sur tous les présidents, même les moins connus ! Une vraie bonne introduction avant de sortir les chips et le beurre de cacahuète pour se faire une soirée élection américaine ce soir !!
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Titre de l'album : La maison blanche Scenariste de l'album : Herve Bourhis Dessinateur de l'album : Herve Bourhis Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Tout sur l'homme le plus puissant du monde ! De Georges Washington à Donald Trump, en seulement deux doubles pages par mandat (alliant textes et illustrations), un condensé d'infos sur les 45 présidents à avoir dirigé la première puissance mondiale depuis sa création en 1776. Les anecdotes, les petites et grandes phrases, les innovations institutionnelles, les crises traversées pendant deux siècles et demi, mais aussi les représentations des Présidents dans les arts, la pub, la chanson, le cinéma, etc... Garantie sans fake news, une découverte ludique, mais véridique, de l'histoire des USA, à l'heure où Trump tente de gagner son second mandat ! Critique : C'est bientôt le grand jour. Un jour qui pourrait paraître petit pour un français mais qui est forcément important pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu à la politique internationale. Un jour qui verra le Trumpisme gagner ou perdre. Et pour bien comprendre comment les américains ont pu en arriver à ce choix, rien de mieux de se renseigner sur l'histoire des précédents présidents. 45 présidents avec autant de personnalités différentes dans un pays qui ne manque de spécificité. On apprend (enfin moi) comme quoi leur système de vote bizarre à coup de grand électeurs.... vient rien de moins que Georges Washington. Depuis le début quoi. On y apprend tout plein de petits détails sur tous les présidents, même les moins connus ! Une vraie bonne introduction avant de sortir les chips et le beurre de cacahuète pour se faire une soirée élection américaine ce soir !! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maison-blanche-histoire-usa?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je pense que Casenove a une boule de cristal. Car ce qu'il décrit dans ce sisters est ce que l'on pense voir arriver dans les 2 ans à venir ! Et c'est souvent très rigolo 🙂 Vraiment 🙂 C'est rigolo pour les parents et les grandes sœurs. Car on a la une casse pieds de base comme petite sœur. Le genre à sortir : - papa les déménageurs ont oublié un paquet ! - lequel ma chérie ? - ils ont oublié de prendre ma sœur ! Que des gentillesses avec, sur ce tome ci, une grande sœur ado qui en prend plein la tête !! Le thème de l'album étant la recherche, par la petite sœur ... d'une sœur de remplacement. Pour un échange standard 😄 😄 😄 Bref c'est léger, c'est drôle et pas trop long. Ce qu'il faut pour un premier week end de reconfinement.
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Titre de l'album : Les Sisters t15 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : William Coloriste : William Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les deux tornades font souffler un vent de folie sur la BD ! Lorsque les parents décident de changer de cuisine, Marine se dit que serait une bonne idée pour elle d'en profiter pour changer de Sister, une moins râleuse, plus prêteuse et qui ferait tout ce qu'elle veut. Marine va s'activer pour que son plan aboutisse... Mais en fin de compte, a-t-elle vraiment envie d'avoir une sister si différente que celle qu'elle a déjà ? Car après tout, entre les chamailleries et les gros câlins, les fous rires et les envies de mordre, il n'y a rien de mieux qu'une frangine pour mettre un peu de piment dans la vie. Critique : Je pense que Casenove a une boule de cristal. Car ce qu'il décrit dans ce sisters est ce que l'on pense voir arriver dans les 2 ans à venir ! Et c'est souvent très rigolo 🙂 Vraiment 🙂 C'est rigolo pour les parents et les grandes sœurs. Car on a la une casse pieds de base comme petite sœur. Le genre à sortir : - papa les déménageurs ont oublié un paquet ! - lequel ma chérie ? - ils ont oublié de prendre ma sœur ! Que des gentillesses avec, sur ce tome ci, une grande sœur ado qui en prend plein la tête !! Le thème de l'album étant la recherche, par la petite sœur ... d'une sœur de remplacement. Pour un échange standard 😄 😄 😄 Bref c'est léger, c'est drôle et pas trop long. Ce qu'il faut pour un premier week end de reconfinement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sisters-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ma révérence Scénario : Wilfrid Lupano Dessin : Rodguen Couleur : Ohazar Genre : Policier Edition : Delcourt Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Vincent vient d’utiliser les dernières unités de sa carte téléphonique pour appeler Rana sa copine qui vit au Sénégal. Il s’énerve dans la cabine téléphonique de la situation avec Rana enceinte et lui bloqué en France par manque de finance. Il décide de rejoindre son ami Gaby Rocket un looser avec au look ringard. Ensemble, ils tentent d’organiser un braquage de fourgon blindé sans faire de victimes pour pouvoir se payer leur rêve et tirer leurs révérences. Vincent suit chaque jour depuis un mois Bernard le convoyeur de fond et Gaby note le parcours de son fils qui se rend aux leçons de piano le mercredi. Wilfrid Lupano continue sa carrière de scénariste à succès avec ma révérence, un thriller sur fond de chronique sociale sur la vie de deux loosers qui organisent un braquage de fourgon blindé. Leur méthode joue sur la psychologie et non sur la violence, d'ailleurs ils comptent donner une partie de leur butin au convoyeur de fond concerné. L'auteur nous présente Vincent avec sa vie de paumé mais aussi son passé et celui de sa famille ordinaire. Puis son ami Gabi, un éternel glandeur alcoolique en adoration devant Johnny Halliday et Dick Rivers. Les deux héros deviennent rapidement attachants pour le lecteur qui constate les faits défavorables qui s'accumulent pour eux. Les anecdotes de la vie de Vincent se multiplient pour connaitre son rêve et mieux comprendre ses agissements. Aux dessins, Rodguen nous offre des planches de grande qualité pour une première bande dessinée. Cet auteur a déjà une énorme expérience dans le domaine de l’animation, ce qui lui permet d’être à l’aise avec ce média. Wilfrid Lupano s’est servi d’anecdotes insolites alors qu’il travaillait dans des bars et boites de nuit pour s’en inspirer avec Ma révérence. Le talent des auteurs respectif de cette histoire font de ce titre une référence à lire absolument. Note : Alx23
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Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.
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Titre de l'album : Labyrinthus t2/2 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Fabrice Neaud Coloriste : Fabrice Neaud Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels... Critique : Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-2-la-machine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne sais pas pourquoi.... mais j'étais partis du principe qu'il n'y aurait que deux tomes à Lord Jeffrey. Peut-être parce que ça aurait été très bien comme ça ? Car oui si ce tome 2 est bon, la fin de celui-ci m'a... surprises et un poil déçu. Mais n'allons pas trop vite. Le premier tome étant un de mes coups de cœurs jeunesse, j'avais beaucoup d'espoir sur cette suite. Espoir qui se sont révélés être globalement au rendez-vous. Pour ne pas être trop déçu, il faut que vous sachiez que l'aventure est moins présente avec notre Lord qui reste enquêter dans son "collège" pour futurs espions. Si le rythme des recherche reste soutenu, on a plus le coté grande aventure du premier. Mais on avance bien sur ce qu'est vraiment cette école et ce qu'il est arrivé au père de Jeffrey. En fait le seul truc qui m'a un peu gêné et légèrement "gâché" la fin de ma lecture... et bien c'est la fin justement. Je n'aime pas trop parler des fins des albums, c'est une des règles ici, pour que vous ailliez quelque chose à découvrir quand même. Reste que cette fin.... ouvre l'histoire vers une tout autre aventure. Mais cette ouverture semble un peu parachutée. Limite en mode: ça marche bien donc on va étendre la série. C'est plus cela qui embête. On va bien sur laisser à nos auteurs le bénéfice du doute et lire le tome 3 avec attentions. J'espère vraiment me tromper et que ce tome 3 se recentre sur l'histoire principale de la disparition du père de Jeffrey
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Titre de l'album : Lord Jeffrey t2 Scenariste de l'album : Joel Hemberg Dessinateur de l'album : Hamo Coloriste : Hamo Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Fraîchement arrivé dans un collège destiné à former les futurs espions de Sa Majesté, Jeffrey Archer s'est vu proposer un marché par l'excentrique directeur des lieux : l'endroit où il a planqué la clé retrouvée dans le pardessus de son père contre sa liberté. Jeffrey hésite car il n'a aucune confiance en cet homme vaniteux qui prétend vouloir l'aider. Heureusement, il va trouver une alliée inattendue en la personne d'Eléonore. Avec sa camarade, il va explorer le dédale de couloirs du collège et découvrir le secret qui se cache derrière la porte du Terrier, l'unique endroit interdit aux pensionnaires. Critique : Je ne sais pas pourquoi.... mais j'étais partis du principe qu'il n'y aurait que deux tomes à Lord Jeffrey. Peut-être parce que ça aurait été très bien comme ça ? Car oui si ce tome 2 est bon, la fin de celui-ci m'a... surprises et un poil déçu. Mais n'allons pas trop vite. Le premier tome étant un de mes coups de cœurs jeunesse, j'avais beaucoup d'espoir sur cette suite. Espoir qui se sont révélés être globalement au rendez-vous. Pour ne pas être trop déçu, il faut que vous sachiez que l'aventure est moins présente avec notre Lord qui reste enquêter dans son "collège" pour futurs espions. Si le rythme des recherche reste soutenu, on a plus le coté grande aventure du premier. Mais on avance bien sur ce qu'est vraiment cette école et ce qu'il est arrivé au père de Jeffrey. En fait le seul truc qui m'a un peu gêné et légèrement "gâché" la fin de ma lecture... et bien c'est la fin justement. Je n'aime pas trop parler des fins des albums, c'est une des règles ici, pour que vous ailliez quelque chose à découvrir quand même. Reste que cette fin.... ouvre l'histoire vers une tout autre aventure. Mais cette ouverture semble un peu parachutée. Limite en mode: ça marche bien donc on va étendre la série. C'est plus cela qui embête. On va bien sur laisser à nos auteurs le bénéfice du doute et lire le tome 3 avec attentions. J'espère vraiment me tromper et que ce tome 3 se recentre sur l'histoire principale de la disparition du père de Jeffrey Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-jeffrey-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Les BD anthropomorphes sont à la mode. Entre 5 terres ou sa majesté des ours, on est servi. Alors pour qu'une petite maison d'édition se lance dans le genre, il faut qu'il y ait quelque chose de différent. Et bien radicalement oui ! Car Rages c'est globalement une adaptation de Suiciders (Urban Comics) en mode anthropomorphe. Enfin un mix entre Suiciders et Gladiator. Je cite particulièrement ce film car un des scènes dans l'arène est clairement un hommage/source d'inspiration. Et donc cela change des récits anthropomorphes habituellement cantonné à des périodes passés. Là on est dans de l'anticipation pure. Les dessins de Dan font mouches même si les grandes cases donnent un peu une impression de vide sur certains décors. Ils font mouches par le rendu dynamique des combats mais aussi par l'attention toute particulière apportée aux visages. L’adaptation animaux/Anticipation est bien faite avec juste ce qu'il faut d'équipement high tech mais pas une transformation complète pour laisser place au caractère de chaque animal. Si l'histoire n'est pas, pour le moment, super innovante, le twist de fin est bien amené (même si un peu prévisible) et nous promet un second tome encore plus intense et surement plus surprenant.
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Titre de l'album : Rages t1 Scenariste de l'album : Tome Dessinateur de l'album : Dan Coloriste : Dan Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Dans ce pays imaginaire (mais l'est-il tant que cela ?) peuplé exclusivement d'animaux, tout oppose le Nord et le Sud jadis en guerre et désormais séparés par un mur infranchissable : Le Rideau de Titane. D'un côté, la dictature, les persécutions ; de l'autre, ce qui apparaît comme la Liberté, la Terre promise. Dans cette amère fable politique, Saakhi et Jin, un couple de pandas, cherchent à se réunir. Mais le monde futuriste d'An-Ahm n'est pas le paradis espéré. La révolution éclate et le destin les porte bientôt à la tête de camps mortellement opposés. Critique : Les BD anthropomorphes sont à la mode. Entre 5 terres ou sa majesté des ours, on est servi. Alors pour qu'une petite maison d'édition se lance dans le genre, il faut qu'il y ait quelque chose de différent. Et bien radicalement oui ! Car Rages c'est globalement une adaptation de Suiciders (Urban Comics) en mode anthropomorphe. Enfin un mix entre Suiciders et Gladiator. Je cite particulièrement ce film car un des scènes dans l'arène est clairement un hommage/source d'inspiration. Et donc cela change des récits anthropomorphes habituellement cantonné à des périodes passés. Là on est dans de l'anticipation pure. Les dessins de Dan font mouches même si les grandes cases donnent un peu une impression de vide sur certains décors. Ils font mouches par le rendu dynamique des combats mais aussi par l'attention toute particulière apportée aux visages. L’adaptation animaux/Anticipation est bien faite avec juste ce qu'il faut d'équipement high tech mais pas une transformation complète pour laisser place au caractère de chaque animal. Si l'histoire n'est pas, pour le moment, super innovante, le twist de fin est bien amené (même si un peu prévisible) et nous promet un second tome encore plus intense et surement plus surprenant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rages-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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