Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.
3 939 résultats trouvés
-
Titre de l'album : Detox T2/2 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Antonin Gallo Coloriste : Antonin Gallo Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Il y a-t-il une vie sans la 4G ? Matthias d'Ogremont est un Parisien ultra-connecté, ultra stressé... Sur un coup de tête, il décide de tracer la route et de partir en stage DÉTOX. Ce bourreau de travail se retrouve alors en terrain hostile... en pleine nature... Perte de repères, résistance, colère, abandon... Si on s'arrête, est-ce que le monde s'arrête ? DÉTOX est le récit passionnant d'un homme au bord du burn-out, qui va tenter un décrassage forcé. C'est la nécessité de ralentir la course, de s'accorder une pause, une respiration... Mais si d'un claquement de doigts on se prive de toutes nos urgences artificielles, que reste-t-il à vivre ? Quelles peurs se réveillent ? Et quel sera le chemin vers l'acceptation ? Pendant dix jours : pas d'ordinateur. Pas de téléphone. La nature jusqu'à perte de vue. Courage. Critique : Excellente surprise que ce tome 2 de Detox ! Sincerement. En effet j'avais peur d'une suite trop convenue. Jim avait la possibilité de nous faire une suite en mode : notre héros devient zen, change sa vie et part élever des chèvres dans le Larsac. Et pour notre plus grand bonheur, non. Jim s'ancre (comme souvent je dois le reconnaitre) dans la realité pour nous livrer une suite et fin d'histoire très sympa. Très sympa car le caractère de Matthias reste le même malgré le stage. Mais tout en restant le même il se trouve forcé de faire un point, un bilan sur ce qu'il veut et comment il le veut. Et ce qui est bien c'est que ce bilan ne montre pas forcement un retour à la terre. Il nous montre juste, pour la pluspart des participants, qu'ils peuvent continuer leur vie....avec un autre regard sur celle ci. une vraie belle morale qui ne stimgatise par les gens qui aiment leurs travails ou ceux qui aiment vivre à 100 à l'heure. Une réussite monsieur Jim ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/detox-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination.
-
Titre de l'album : Doggybags tome 16 Scenariste de l'album : El Puerto, Mud & Run Dessinateur de l'album : Tomeus, Tristan Evin & Ké Clero Coloriste : Tomeus, Tristan Evin & Ké Clero Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Rotten Heart : El Puerto (scénario) / Tomeus (dessin) Seinfeld, Cavalera et McManus, mercenaires chez Black Tower, une société militaire privée, savent mieux que quiconque que chaque conflit recèle autant d'emmerdements que d'opportunités. Alors quand se présente l'occasion de braquer le trésor d'un seigneur de guerre, les trois hommes ne se posent pas de questions. Mais comme ils le savent aussi, en Afrique comme ailleurs, les apparences sont souvent trompeuses. Tool : Tristan Evin (dessin) / Mud (scénario) / RUN (dialogues) /Florent Maudoux (dialogues) Une semaine après le 11 septembre 2001, les jumeaux Joel et Michael Stovall, vingt-quatre ans, se lancent dans une course poursuite avec les autorités à travers le Colorado, qui va durer près de vingt-quatre heures. Leurs meilleures complices dans cette fuite en avant meurtrière : les armes à feu qu'ils chérissent depuis leurs années lycée. Inspiré d'une histoire vraie. Real Sociopath! : RUN (scénario) / Ké Clero (dessin) La vie de Mark Winger bascule le jour où il surprend un intrus dans sa maison en train de tuer sa femme à coups de marteau. Cette histoire, inspirée d'un fait réel, démontre avec horreur la sauvagerie froide dont peut faire preuve un authentique sociopathe, véritable prédateur dans nos sociétés. Critique : La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doggybags-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination.
-
Les frères Maffre poursuivent leur série sur le croque-mort Elijah Stern qui va se dérouler dans un nouveau décor, à la Nouvelle-Orléans. Il est amusant de noter le comportement très attentionné du héros par rapport à son métier au contraire d'un autre croque-mort héros dans la série Undertaker. Le héros possède également une grande connaissance littéraire comme on peut encore le découvrir dans cet épisode, d'ailleurs le personnage féminin est surpris et lui fera une réflexion. L'histoire va mener notre héros en dehors du cimetière où il se retrouve enquêteur dans le milieu vaudou ou les charlatans sont nombreux. Je me suis intéressé à cette série grâce aux dessins de Julien Maffre comme j'avais beaucoup apprécié son travail sur la cour des miracles. On constate que Julien Maffre gère à merveilles le genre western avec un personnage charismatique. Après quatre tomes sur Stern on peut conclure que la série à trouver son public. La série Stern redonne une nouvelle vision du western en s'éloignant des codes du genre.
-
Titre de l'album : Stern tome 4 - Tout n'est qu'illusion Scenariste de l'album : Frédéric Maffre Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Changement de décor pour Elijah Stern : après le climat âpre de la petite ville de Morrison, le voici qui débarque en plein bayou, à La Nouvelle-Orléans, où il se fait embaucher comme croque-mort : on n'échappe pas à son destin ! Même dans le haut-lieu du vaudou, les morts ont besoin d'être enterrés. Au cours d'un enterrement, il fait la connaissance de Valentine Robitaille, héritière d'une riche famille locale, fascinée par les arts occultes. Le père de cette dernière, inquiet des relations qu'entretient sa fille avec Victor Salem, un étrange prestidigitateur, demande à Stern d'enquêter. Critique : Les frères Maffre poursuivent leur série sur le croque-mort Elijah Stern qui va se dérouler dans un nouveau décor, à la Nouvelle-Orléans. Il est amusant de noter le comportement très attentionné du héros par rapport à son métier au contraire d'un autre croque-mort héros dans la série Undertaker. Le héros possède également une grande connaissance littéraire comme on peut encore le découvrir dans cet épisode, d'ailleurs le personnage féminin est surpris et lui fera une réflexion. L'histoire va mener notre héros en dehors du cimetière où il se retrouve enquêteur dans le milieu vaudou ou les charlatans sont nombreux. Je me suis intéressé à cette série grâce aux dessins de Julien Maffre comme j'avais beaucoup apprécié son travail sur la cour des miracles. On constate que Julien Maffre gère à merveilles le genre western avec un personnage charismatique. Après quatre tomes sur Stern on peut conclure que la série à trouver son public. La série Stern redonne une nouvelle vision du western en s'éloignant des codes du genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stern-tome-4-tout-n-est-qu-illusion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Plus ça va, plus ma fille grandit (12 maintenant) et plus j’apprécie les petits moments de détentes que sont les lectures de les cop's Oui oui vous avez bien lu. Moi qui ai tendance à décrier ce genre d'humour de grande surface, j'avoue que là je suis bien obligé de reconnaître... qu'il y a un fond de vérité dans les relations présentées entre jeunes filles. Et c'est ça qui est rigolo. Se rendre compte que ma fille est décrite sur la moitié des pages. Apres ce qui est bien foutu sur ce tome 12 c'est qu’ils jouent sur l'actualité avec l'arrivée d'une réfugiée Syrienne dans leur groupe de Cop's. Sans trop abusé du bon sentiment et sans perdre le coté décalé des jeunes copines, nos auteurs introduisent un questionnement d'adulte entre les lignes. Bref un album que je ne suis surpris à lire attentivement et à rigoler assez souvent..... Ce n'était pas le cas avant... comme quoi tout le monde évolue
-
Titre de l'album : Mes cop's t12 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Philippe Fenech Coloriste : Camille BRICOD, Annelise SAUVÊTRE Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Copine marrante, râleuse ou fofolle... Quelle Cop's êtes-vous ?! Les parents de Mélanie ont rejoint une association qui leur permet d'accueillir une famille de migrants en attendant qu'un logement leur soit proposé. Voici comme Mawra, jeune adolescente syrienne, surdouée, nostalgique de son pays natal et curieuse de découvrir son pays d'accueil, intègre la bande des Cop's. Si Mawra a beaucoup à apprendre de ses jeunes copines, l'inverse sera encore plus vrai ! Prêt à assister au coup d'envoi de cette Cop' du monde ? Une BD qui dépote, où l'ennui n'a pas sa place, comme un hommage aussi fin qu'hilarant aux jeunes femmes d'aujourd'hui. Une série indispensable pour les filles et celles qui veulent les connaître. Critique : Plus ça va, plus ma fille grandit (12 maintenant) et plus j’apprécie les petits moments de détentes que sont les lectures de les cop's Oui oui vous avez bien lu. Moi qui ai tendance à décrier ce genre d'humour de grande surface, j'avoue que là je suis bien obligé de reconnaître... qu'il y a un fond de vérité dans les relations présentées entre jeunes filles. Et c'est ça qui est rigolo. Se rendre compte que ma fille est décrite sur la moitié des pages. Apres ce qui est bien foutu sur ce tome 12 c'est qu’ils jouent sur l'actualité avec l'arrivée d'une réfugiée Syrienne dans leur groupe de Cop's. Sans trop abusé du bon sentiment et sans perdre le coté décalé des jeunes copines, nos auteurs introduisent un questionnement d'adulte entre les lignes. Bref un album que je ne suis surpris à lire attentivement et à rigoler assez souvent..... Ce n'était pas le cas avant... comme quoi tout le monde évolue Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cop-s-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Avant-propos : j'ai volontairement rayé le résumé de l'éditeur car il parle de chose... que l'on devrait voir dans le tome 2 ! Donc dont on ne sait rien du tout sur ce tome d'introduction. Méfiez-vous ! Bon on ne va pas se mentir, j'ai acheté cet album en grande partie pour les dessins et la coloration de l'auteure qui a écrit Contro Natura. Comic italien qui m'avait extrêmement plu ! Et sur ce côté je n'ai pas été déçu les dessins sont sublimes et la mise en couleur vive va très bien avec le style. Mais cet album m'a surpris en nous proposant un scénario plein de promesses. Quelles promesses !!!!!! Fiouuuu. Les premiers tomes aussi ambitieux sont de plus en plus rares. Mais s'ils sont rares c'est en partie parce qu'il faut répondre aux attentes derrière. C'est ce qui nuancera ma note. Ce tome nous propose énormément de choses. Entre les bebete bizarre à la Chutulu rose, les indiens étranges, les beautés mystérieuses et les humains aux passifs troubles.... il y a de quoi raconter ! Mais il faudra que cela soit bien raconté. Et le bon pont de la série c'est que l'on aura la réponse... dès le 10 Octobre 🙂
-
Titre de l'album : Mercy t1 Scenariste de l'album : Mirka Andolfo Dessinateur de l'album : Mirka Andolfo Coloriste : Mirka Andolfo Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Jusqu'à quel point peut-on changer par amour ?Alaska, fin du XIXe siècle. Hellaine, une femme d'apparence noble et aux origines mystérieuses, débarque dans la petite ville de Woodsburg non loin de l'épicentre de la ruée vers l'or du Klondike, Dawson City. Elle cherche à acheter la concession d'une mine à l'abandon. Car ce que tout le monde ignore, c'est que sous les décombres se cache un lac souterrain donnant accès à une autre dimension peuplée d'êtres cauchemardesques. Hellaine est en réalité l'un de ces êtres. Et manifestement, elle a un plan. Un plan qui va être bouleversé par l'apparition de Rory, une jeune orpheline amérindienne pour qui Hellaine va se prendre d'affection après l'avoir délivré des griffes de son agresseur...Créée par Mirka Andolfo (Contro Natura), Mercy est l'histoire d'une sorte de Dracula au féminin qui trouvera la rédemption grâce à l'amour inconditionnel d'une fille adoptive qu'elle va rencontrer par accident. Une fable romantique résolument classique mais moderne, où le Grand Nord devient le théâtre d'un fantastique horrifique proche de Entretien avec un vampire. Critique : Avant-propos : j'ai volontairement rayé le résumé de l'éditeur car il parle de chose... que l'on devrait voir dans le tome 2 ! Donc dont on ne sait rien du tout sur ce tome d'introduction. Méfiez-vous ! Bon on ne va pas se mentir, j'ai acheté cet album en grande partie pour les dessins et la coloration de l'auteure qui a écrit Contro Natura. Comic italien qui m'avait extrêmement plu ! Et sur ce côté je n'ai pas été déçu les dessins sont sublimes et la mise en couleur vive va très bien avec le style. Mais cet album m'a surpris en nous proposant un scénario plein de promesses. Quelles promesses !!!!!! Fiouuuu. Les premiers tomes aussi ambitieux sont de plus en plus rares. Mais s'ils sont rares c'est en partie parce qu'il faut répondre aux attentes derrière. C'est ce qui nuancera ma note. Ce tome nous propose énormément de choses. Entre les bebete bizarre à la Chutulu rose, les indiens étranges, les beautés mystérieuses et les humains aux passifs troubles.... il y a de quoi raconter ! Mais il faudra que cela soit bien raconté. Et le bon pont de la série c'est que l'on aura la réponse... dès le 10 Octobre 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mercy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
J'ai ouvert cet album car je n'avais jamais entendu parler de ce PCT. Pour un coureur à tendance trailer ça la foutait mal. J'ai donc voulu en savoir plus. Et la première douche froide : cela concerne un gars pas entraîné pour deux sous. Le genre de gars qui, quand tu cours, se plaint tout le temps parce qu'il a choisi un truc sans réfléchir et qu'il a pris un truc trop dur pour lui. Sincèrement les premières pages j'ai eu pitié... En plus cette adoration d'un pays comme les états unis m'a toujours étonné. Entre racisme ambiant, élection de Trump et foutage de gueule écologique, plus ça va plus le pays me repousse. Alors j'ai eu du mal au début et puis... et puis au final l'obstination de notre "héros" eu raison de la mienne. Son abnégation à continuer mixé avec la sympathie des différents marcheurs qu'ils rencontrent ainsi que la variété des espaces traversés m'ont fait plonger ! Et j'ai ensuite gober ce parcours initiatique. J'ai retrouvé ce qui m'avait plus précédemment dans ce pays : il y a de sublimes paysage et une nature magnifique derrière ses habitants. On se retrouve de plus en plus dans la quête de sens de notre héros et on se met à rêver ce voyage impossible. Et une fois qu'on prit dedans impossible de s’arrêter malgré la routine du quotidien de marcheur. Et tout moqueur que j'ai pu être au début, j'ai fini ce gros volume avec un énorme respect pour Monsieur Luke Healy.
-
Titre de l'album : Americana Scenariste de l'album : Luke Healy Dessinateur de l'album : Luke Healy Coloriste : Luke Healy Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un Irlandais bercé pendant toute sa jeunesse du rêve américain, se voit pour la énième fois expulsé des USA pour non renouvellement de sa carte de séjour. Il va s'imposer, en guise d'exorcisme, le Pacific Crest Trail, un trail de 4 240 km qui coure de la frontière mexicaine à la frontière canadienne, du désert à la glace en traversant 25 parc nationaux. La manière la plus radicale de se confronter à soi et à l'Amérique loin de tous les fantasmes et les rêves d'enfance. Une sorte d'Into the Wild "secure" , mais qui n'en égratigne pas moins tous les paradoxes et les zones d'ombre de la société américaine contemporaine avant l'élection de Trump. Critique : J'ai ouvert cet album car je n'avais jamais entendu parler de ce PCT. Pour un coureur à tendance trailer ça la foutait mal. J'ai donc voulu en savoir plus. Et la première douche froide : cela concerne un gars pas entraîné pour deux sous. Le genre de gars qui, quand tu cours, se plaint tout le temps parce qu'il a choisi un truc sans réfléchir et qu'il a pris un truc trop dur pour lui. Sincèrement les premières pages j'ai eu pitié... En plus cette adoration d'un pays comme les états unis m'a toujours étonné. Entre racisme ambiant, élection de Trump et foutage de gueule écologique, plus ça va plus le pays me repousse. Alors j'ai eu du mal au début et puis... et puis au final l'obstination de notre "héros" eu raison de la mienne. Son abnégation à continuer mixé avec la sympathie des différents marcheurs qu'ils rencontrent ainsi que la variété des espaces traversés m'ont fait plonger ! Et j'ai ensuite gober ce parcours initiatique. J'ai retrouvé ce qui m'avait plus précédemment dans ce pays : il y a de sublimes paysage et une nature magnifique derrière ses habitants. On se retrouve de plus en plus dans la quête de sens de notre héros et on se met à rêver ce voyage impossible. Et une fois qu'on prit dedans impossible de s’arrêter malgré la routine du quotidien de marcheur. Et tout moqueur que j'ai pu être au début, j'ai fini ce gros volume avec un énorme respect pour Monsieur Luke Healy. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/americana?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose.
-
Titre de l'album : Manon des sources t1 Scenariste de l'album : Serge Scotto Dessinateur de l'album : Eric Stoffel Coloriste : Christelle Galland Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Grand Angle adapte l'oeuvre de Marcel Pagnol en BD. Dix ans après la mort de Jean de Florette, Ugolin a récupéré à moindre frais le domaine des Romarins. Il y a installé une florissante exploitation d'oeillets. D'autant qu'il a débouché la source volontairement camouflée et refait couler l'eau qui avait tant manqué au pauvre bossu. Pressé par Le Papet de se marier, Ugolin pense à la belle jeune fille qu'il a aperçue dans les collines. Mais l'objet de son amour n'est autre que Manon, la fille de Jean de Florette, avide de vengeance. Critique : Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose. Autres infos : Pagnol un jour, Pagnol toujours Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcel-pagnol-en-bd-manon-des-sources-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Conan le Cimmérien - Les mangeurs d'hommes de Zamboula Scénario : Gess Dessin : Gess Couleur : Gess Genre : Fantastique Edition : Glénat Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Conan au pays des mille et une nuits ! Carrefour de croyances, de langues et de cultures, la mythique cité marchande de Zamboula est également le théâtre de nombreuses et sombres légendes. Sur place depuis peu, Conan est averti des dangers de la demeure d’Aram Baksh. On raconte que la plupart des étrangers qui y séjournent disparaissent dans des circonstances obscures... cela tombe bien, c’est justement ici que le cimmérien a décidé de passer la nuit ! Mais en levant le voile sur ces mystérieuses affaires d’enlèvements, Conan va découvrir un autre secret, plus terrible encore, lié à l’ensemble de la cité de Zamboula... Cet épisode de Conan le Cimmérien, Les mangeurs d'hommes de Zamboula n’est certainement pas le meilleur récit de Robert E. Howard. Cette histoire répond aux attentes de son éditeur et recycle des thèmes déjà abordés par l’auteur. L’adaptation en bande dessinée reprend donc ce récit auquel on accorde que peu d’importance aux mangeurs d’homme qui sont représentés par des clichés de l’époque. Mais l’adaptation de Gess est fantastique, même si l’histoire n’est pas parfaite on plonge avec beaucoup de plaisir dans cette aventure du Cimmérien, dans des contrées très orientales. On retrouve de la magie comme souvent dans les récits de Conan. La partie graphique apporte l’intérêt majeure de cette adaptation. J’ai découvert Gess avec les récits des contes de la pieuvre. Depuis, je suis de près son travail et avec Conan, Gess nous montre l’étendue de son talent. Les planches sont magnifiques ainsi que la mise en couleur, surtout durant la première partie avec des teintes de violet pour l’obscurité. Je vais prendre la version noir et blanc qui sortira la semaine prochaine en librairie pour profiter d’une deuxième lecture et du format plus agrandie. Cette série d’adaptation des récits de Conan en bande dessinée est une réussite à tous les niveaux. On peut voir plusieurs équipes artistiques donner vie au Cimmérien avec des styles différents. La performance de Gess est impeccable sur les mangeurs d'hommes de Zamboula. Note : Alx23
-
Rhaaa ce tome 2 est rageant. Suffisamment pour que j'interrompe mes vacances de critiques pour vous faire part de ma frustration : on avait besoin de 3 tomes ! Car qu'est ce que la première partie de ce tome 2 va trop vite. La ou le tome 1 m'avais charmé en prenant bien son temps, ce tome 2 démarre en trombe et survole tous les sujets commencés plus tôt pour se mettre en place pour la conclusion. Et ce qui est vraiment rageant c'est que la fin de l'album est lui très bon et les choix scénaristiques intéressant. Mais la qualité de la fin de l'album ne peut enlever un goût de 'trop peu' qui ressort du début. On aurait adoré en savoir plus sur ce qu'il s'est passé sur l'Alter et encore plus avoir des précisions sur..... vous verrez 😊 En bref une très bonne histoire dans un bel écrin chez Drakoo. Une histoire qui méritait, après la disparition de Sandawe, une seconde vie.... mais aussi un troisième tome. Ps: je rappelle que Laval nous a gratifié d'une très sympathique interview dessinée disponible dans la rubrique idoine 😉 PS2 : première critique écrite depuis la nouvelle interface pour smartphone du site. Soyez indulgent ☺
-
Titre de l'album : Alter t2 Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Laval NJ Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Nous sommes en 2082, près de Jupiter. Les vaisseaux Achlys et Hybris, commandés respectivement par Pavel Vonichev et Sylan Kassidy, continuent leur mission : Pour l'Hybris, il s'agit d'assembler les éléments qui formeront la future base sur Callisto ; les membres de l'Achlys, eux, récoltent des minerais sur (617) Patrocle dans des conditions extrêmes, les perturbations magnétiques se faisant plus intenses. Mais soudain, alors qu'un étrange nuage bleu se forme au voisinage de l'astéroïde, une navette incontrôlable vient se crasher sur le vaisseau, endommageant gravement les déflecteurs censés protéger l'équipage de l'Achlys de la magnétosphère de Jupiter. Critique : Rhaaa ce tome 2 est rageant. Suffisamment pour que j'interrompe mes vacances de critiques pour vous faire part de ma frustration : on avait besoin de 3 tomes ! Car qu'est ce que la première partie de ce tome 2 va trop vite. La ou le tome 1 m'avais charmé en prenant bien son temps, ce tome 2 démarre en trombe et survole tous les sujets commencés plus tôt pour se mettre en place pour la conclusion. Et ce qui est vraiment rageant c'est que la fin de l'album est lui très bon et les choix scénaristiques intéressant. Mais la qualité de la fin de l'album ne peut enlever un goût de 'trop peu' qui ressort du début. On aurait adoré en savoir plus sur ce qu'il s'est passé sur l'Alter et encore plus avoir des précisions sur..... vous verrez 😊 En bref une très bonne histoire dans un bel écrin chez Drakoo. Une histoire qui méritait, après la disparition de Sandawe, une seconde vie.... mais aussi un troisième tome. Ps: je rappelle que Laval nous a gratifié d'une très sympathique interview dessinée disponible dans la rubrique idoine 😉 PS2 : première critique écrite depuis la nouvelle interface pour smartphone du site. Soyez indulgent ☺ Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alter-tome-2-ceux-qui-restent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre.
-
Titre de l'album : Deux passantes dans la nuit t1 Scenariste de l'album : Patrice Leconte Dessinateur de l'album : Jerome Tonnerre Coloriste : Jerome Tonnerre Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La longue nuit de deux femmes en fuite dans le Paris désert de l'Occupation. Après des années de détention, Arlette recouvre la liberté dans un Paris occupé par les nazis. Et elle entend bien rattraper le temps perdu. Anna, elle, cherche à sauver sa peau. Magicienne et israélite, elle a fui un danger qui l'a rattrapée. La ville occupée est une cage dont elle doit s'échapper au plus vite. Elles sillonneront en une nuit ce Paris obscurci. L'inquiétante étrangeté de l'Occupation, avec ses contrôles d'identité, ses fonctionnaires tatillons, ses sombres ombres et ses connaissances qu'on ne connaît pas si bien que ça et à qui il ne faut pas faire confiance... Critique : On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deux-passantes-dans-la-nuit-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes.
-
Titre de l'album : Labyrinthus t1/2 Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Neaud Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est sous la menace d'un phénomène sans précédent. Depuis quelque temps, de mystérieuses cendres tombées du ciel recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, de nombreux cas de maladies respiratoires sont recensés. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la « cendre » est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter d'y mettre fin, une équipe est alors envoyée vers Phobos, satellite de Mars duquel proviendrait l'épidémie... Christophe Bec, scénariste de Carthago et de Siberia 56, revient à son genre de prédilection dans un captivant thriller de SF aux accents lovecraftien, mené par une équipe de héros aussi bigarrée que charismatique. Mystères, aventure et angoisse sont au menu de ce diptyque duquel émergent de véritables questions sur notre rapport à l'écologie. Critique : Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. .
-
Reperes tome 2 - 2000 nouveaux dessins pour comprendre le monde
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Reperes tome 2 - 2000 nouveaux dessins pour comprendre le monde Scenariste de l'album : Jochen Gerner Dessinateur de l'album : Jochen Gerner Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un 2e volume des planches de la rubrique phare de l'hebdo le 1 ! Depuis le tout premier numéro de l'hebdo le 1, à travers ses planches de Repères, Jochen Gerner multiplie les trouvailles et parvient avec humour et concision à nous raconter l'économie, l'histoire, la France, l'Europe, le monde, les sciences... la vie. Sa plume est sûre, sa ligne claire et son encre indélébile. Ce deuxième recueil rassemble de nouvelles planches qui éclairent avec pédagogie et malice l'actualité récente. Critique : Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. . Autres infos : La nouvelle référence du petit coin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reperes-2000-nouveaux-dessins-pour-comprendre-le-monde-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞
-
Les nouvelles aventures de Barbe rouge t1 : pendu haut au court
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Barbe rouge t1 : pendu haut au court Scenariste de l'album : Jean-Charles Kraehn Dessinateur de l'album : Stefano Carloni Coloriste : Stefano Carloni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À présent corsaires du Roy, Barbe-Rouge, Éric, Baba et Triple-Patte partent en chasse du « Spectre », un mystérieux pirate qui rançonne les planteurs de Pamticoe Sound. Une course mortelle s'engage contre un adversaire machiavélique... Entre hommage respectueux aux créateurs, Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, et nécessaire actualisation du mythe, Jean-Charles Kraehn et Stefano Carloni signent un retour fracassant du plus célèbre pirate de la BD franco-belge dans ce premier tome d'un diptyque ! Critique : Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞 Autres infos : Le retour de barbe rouge ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-barbe-rouge-pendu-haut-et-court?ref=44 Voir la totalité de enregistrement