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  1. Kevin Nivek

    Le grand bug tome 1

    Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide .
  2. Titre de l'album : Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Mordu par une vipère rouge au fond d'un véritable labyrinthe souterrain alors qu'il venait enfin de découvrir la légendaire roche aux mille yeux de la déesse Skaedi, Thorgal doit pourtant parvenir à extraire et à ramener un fragment de cette mystérieuse pierre tombée d'Asgard, s'il veut sauver Jolan et Boréale. L'aide d'une jeune chasseuse de serpents ne sera pas de trop pour notre « enfant des étoiles », s'il veut avoir une chance de triompher sur l'échiquier d'Odin ! Critique : Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-41-mille-yeux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux

    Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal.
  4. Titre de l'album : Whodunnit ? Question de flair ! Scenariste de l'album : El Torres Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Ulises Arreola Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dorry Quirrel aime l'aventure, mais a promis à sa tante d'être plus raisonnable. Un jour, elle est engagée comme domestique par la maison Strutter, l'une des familles les plus riches du pays. Mais dès son arrivée, un meurtre se produit et la victime n'est autre que Lord Strutter lui-même. L'inspecteur en chef de Scotland Yard, Forrester, flanqué de l'inspecteur Wallcroft sont chargés de l'enquête. Mais qui a bien pu occire le maître des lieux ? Et quel sombre secret cache la maison Strutter. Critique : Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whodunnit-question-de-flair/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉
  6. poseidon2

    Droit au but tome 20

    Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis !
  7. Titre de l'album : Droit au but tome 20 Scenariste de l'album : Thierry Agnello | Jean-Luc Garrera Dessinateur de l'album : Pedro J. Colombo Coloriste : Pedro J. Colombo Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : L'AMOUR DU MAILLOT Le 20ème épisode des aventures de Nino. Chaque mercredi après-midi, Nino rend visite à son grand-père pour l'écouter parler de sa jeunesse napolitaine et évoquer ses attachements de supporter pour le Napoli et l'OM. Un jour, il retrouve dans les affaires du vieil homme un maillot porté par... Alain Giresse. Pour satisfaire la curiosité de son petit-fils, celui-ci lui dévoile son « trésor de guerre » : une valise remplie de maillots ayant appartenu aux légendes du club marseillais. Mais, au grand dam de l'ex-contôleur du Vélo-drome, la collection est incomplète : il manque le maillot de Maradona, remis au Pibe del Oro lors des tractations engagées par Bernard Tapie et Michel Hidalgo pour l'accueillir à Marseille au tournant des années 1990. Nino va alors tenter de mettre la main sur ce « collector », remontant l'histoire du club et celle de son grand-père, allant de France en Italie pour découvrir le passé de joueur d'Alfio. Critique : Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-20?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Les 9 vies extraordinaires de la princesse Gaya Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Régis Lejonc Coloriste : Régis Lejonc Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Victime d'un terrible sortilège, l'innocente enfant meurt, et ce bien trop tôt. De siècle en siècle, de la Bavière médiévale qui l'a vue naître aux confins du Mexique, de la Chine impériale aux forêts oubliées de la Grèce ottomane, Gaya va connaître, sous d'autres noms et à différents âges, neuf vies extraordinaires... car tel est le destin de la princesse qui sut attendrir la mort. Critique : Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-9-vies-extraordinaires-de-la-princesse-gaya?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent.
  10. poseidon2

    Padre Sicario

    Titre de l'album : Padre Sicario Scenariste de l'album : Stéphane Marchetti | Thomas Dandois Dessinateur de l'album : Vladimiro Merino Coloriste : Vladimiro Merino Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Salva était le plus grand tueur à gages de Cali. Son nom faisait trembler les plus grand. Mais en prison, il a embrassé la religion et est devenu pasteur évangéliste. À sa sortie, il se donne pour mission de construire un temple en plein coeur de Siloé, le quartier où il a grandi.Le projet n'est pas du goût de Victor, son ami d'enfance qui contrôle désormais le trafic de drogue dans le barrio.Padre Sicario, est un récit d'action sur la violence et la rédemption. L'histoire racontée à hauteur d'hommes, est très librement inspirée de faits réels et d'expériences vécues Critique : Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/padre-sicario?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Padre Sicario

    Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte.
  12. Titre de l'album : L'incal - Capitaine Kaiman Scenariste de l'album : Dan Watter Dessinateur de l'album : Jon Davis Hunt Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : À bord de son vaisseau pirate, entouré des fantômes de son équipage disparu, le capitaine Kaïmann cherche à se délivrer de la malédiction qui le transforme lentement en reptile. Alors qu'il parcourt l'univers à la recherche d'un remède contre sa mutation, il trouve l'amour auprès de la mystérieuse Aurora, une femme toute droit venue d'un futur condamné à une destruction quasi-certaine. Critique : A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-incal-capitaine-kaiman/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    L'incal - Capitaine Kaiman

    A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉
  14. Kevin Nivek

    Mongolia

    Titre de l'album : Mongolia Scenariste de l'album : Lele Vianello Dessinateur de l'album : Lele Vianello Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : En 1920, le baron von Ungern-Sternberg s'avance dans les montagnes avec quelques cosaques de sa garde rapprochée, il revient seul... Quelques années plus tard, une mission archéologique menée par un aventurier français se rend au Tibet à la recherche du trésor disparu de von Ungern... Critique : Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mongolia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Mongolia

    Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉
  16. Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins).
  17. Kevin Nivek

    Arcadium

    C'est un petit ovni que nous sort Nikopek avec ce thriller ambiance années 80 au doux parfum fantasmagorique ! Attendez-vous à être surpris au cours de ces 144 pages que vous ne verrez pas défiler , car au fil des aveux de Gavin , l'histoire prend des allures fantastiques et oniriques , tout en se complexifiant . C'est ici le (léger) point faible de ce one-shot selon moi , une complexité qui laisse perplexe , mais en même temps qui va vous amener à relire des passages , voire le livre dans son intégralité une nouvelle fois ! Vous chercherez les détails ou encore à quel moment l'histoire change et avec quels personnages , car ils sont nombreux dans ce récit ! Le suspens est omniprésent , il est impossible de poser le livre avant de l'avoir terminé . L'époque choisie par l'auteur est fidèlement retranscrite , vous retrouvez les standards aperçus dans nombre de films américains , comme le beau-père violent ou encore le "dinner's bar" avec sa serveuse clope au bec vous proposant un café ! Bien entendu , les bornes d'arcades sont présentes , comme les vidéoclubs 😉 . On sent Nikopek nourri à cette culture pop et voulant la retrouver et l'exposer telle une madeleine de Proust . L'atout mémorable de cette bd étant la palette graphique de l'artiste . On passe d'un style proche de Andrea Sorrentino pour l'ambiance noire et poisseuse ainsi que la façon de décrire les personnages ; à un style réaliste presque photographique sur certains paysages ou éléments de décors . Les couleurs chaudes , du jaune-orangé au rouge-sang , apportent du réalisme et une ambiance particulière , tout autant que des effets lumineux très réussis . Le découpage est cinématographique à souhait , on visualise sans peine les visions des protagonistes , on pourrait même percevoir les sons émis par les planches . Immersion garantie . Il est proposé d'écouter 3 morceaux musicaux réalisés par l'artiste Christine , afin de plonger encore plus dans la lecture . En résumé, c'est un polar noir et violent des années 80 avec une teinte de fantastique , un dessin réaliste sublime , mais une complexité sensiblement risquée , à vous de voir 😉
  18. Titre de l'album : Une histoire de la guerre 14-18 Scenariste de l'album : Frédéric Chabaud Dessinateur de l'album : Julien Monier Coloriste : Julien Monier Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : En suivant le destin de Jean, Lucien et Joseph, trois frères précipités dans l'enfer de la Grande Guerre, vous serez plongés au coeur du conflit grâce à la bande dessinée.De la mobilisation dans l'allégresse au désenchantement des premières défaites, des combats au corps à corps aux premiers gaz des tranchées, vous allez découvrir une histoire inoubliable !Inoubliable, mais aussi débordante d'informations et d'anecdotes grâce aux documentaires richement illustrés qui complètent la bande dessinée. Ils vous emmènent dans les lieux de mémoire incontournables et sur les dernières traces encore visibles du conflit. Critique : Les éditions petitàpetit continuent de sortir des docu-BD de qualité avec ce nouvel opus centré sur la première guerre mondiale . La recette reste identique avec des planches BD classiques , ponctuées de double-pages composées d'images d'archives et autres conseils de visite de musée , afin de ne pas oublier ! On sent vraiment à la lecture de cet ouvrage une volonté des auteurs de faire perdurer le souvenir , à la mémoire des combattants . Nous suivons à cet effet le destin de 3 frères avec pour toile de fond la France rurale pré-guerre . Nous les retrouvons à plusieurs âges différents , en suivant leur évolution et celle du monde environnant avec des événements sombres à venir , comme l'assassinat de Jaures , puis celui de l'archiduc François Ferdinand , qui sera le point de départ de la guerre . Le dessinateur de RIP nous offre des planches remarquables , on est littéralement immergé avec les poilus dans les tranchées , on sentirait presque la chaleur des explosions d'obus . La peur se lit dans le visage des combattants , tout comme leurs doutes disséminés ça et là au hasard de discussions entre eux . C'est une mise en abyme réelle et étouffante , on est lié avec ces 3 frères et leur destin . Le plus indéniable , étant aussi ces pages de documents qui sont des mines d'informations ! Vous apprendrez d'où vient le terme "poilu" , l'expression "limoger" , vous découvrirez la majeure partie des musées et autres lieux de commémoration à visiter en France et alentours , c'est complet et bigrement bien fait . Encore un sans faute pour la section docu-BD ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-histoire-de-la-guerre-14-18-en-bd/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Les éditions petitàpetit continuent de sortir des docu-BD de qualité avec ce nouvel opus centré sur la première guerre mondiale . La recette reste identique avec des planches BD classiques , ponctuées de double-pages composées d'images d'archives et autres conseils de visite de musée , afin de ne pas oublier ! On sent vraiment à la lecture de cet ouvrage une volonté des auteurs de faire perdurer le souvenir , à la mémoire des combattants . Nous suivons à cet effet le destin de 3 frères avec pour toile de fond la France rurale pré-guerre . Nous les retrouvons à plusieurs âges différents , en suivant leur évolution et celle du monde environnant avec des événements sombres à venir , comme l'assassinat de Jaures , puis celui de l'archiduc François Ferdinand , qui sera le point de départ de la guerre . Le dessinateur de RIP nous offre des planches remarquables , on est littéralement immergé avec les poilus dans les tranchées , on sentirait presque la chaleur des explosions d'obus . La peur se lit dans le visage des combattants , tout comme leurs doutes disséminés ça et là au hasard de discussions entre eux . C'est une mise en abyme réelle et étouffante , on est lié avec ces 3 frères et leur destin . Le plus indéniable , étant aussi ces pages de documents qui sont des mines d'informations ! Vous apprendrez d'où vient le terme "poilu" , l'expression "limoger" , vous découvrirez la majeure partie des musées et autres lieux de commémoration à visiter en France et alentours , c'est complet et bigrement bien fait . Encore un sans faute pour la section docu-BD !
  20. Titre de l'album : Renaud né sous le signe de l'Hexagone Scenariste de l'album : Bertrand Dicale Dessinateur de l'album : Alain Rémy Coloriste : Marie Favantines Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : De son premier cri à ses derniers coups de gueule c'est un panorama de la vie de celui qui est au catalogue Delcourt depuis 1986. Lorsque les auteurs sont allés voir Renaud pour lui demander l'autorisation de raconter son histoire, le chanteur a dit qu'il ne voulait rien relire mais qu'il la donnait bien volontiers. Après tout il est l'héritier d'un temps où il était interdit d'interdire. Critique : Tous les fans de Renaud vont être comblés avec cette biographie de plus de trois cent pages de bande dessinée. Bertrand Dicale se charge de l'écriture du scénario de cette biographie, il est également journaliste de métier mais aussi historien de la chanson française. Les lecteurs peuvent s'attendre à apprendre beaucoup d'anecdotes sur la vie du chanteur depuis sa naissance à notre époque. On peut découvrir le parcours de ce jeune parisien qui va devenir chanteur avec la carrière qu'on lui connait. En effet, à moins d'habiter dans un autre pays, tout le monde connait Renaud, que l’on aime ou pas le personnage et ses chansons. Renaud Séchan fait partie de nos chanteurs français dont on suit de près ou loin la vie par les médias. Le récit est entrecoupé par des histoires de fan zone tenant sur une ou deux planches. Pour la partie graphique, on retrouve Alain Rémy, le dessinateur du diptyque Une histoire populaire de la France. Son trait est dans un style minimaliste mais l'on reconnait bien les personnes avec leur look. Cet album retrace la vie du chanteur avec ses démons, ses joies et tristesses avec quelques informations de sa dernière tournée mes cordes toujours en cours actuellement. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/renaud-ne-sous-le-signe-de-l-hexagone/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Tous les fans de Renaud vont être comblés avec cette biographie de plus de trois cent pages de bande dessinée. Bertrand Dicale se charge de l'écriture du scénario de cette biographie, il est également journaliste de métier mais aussi historien de la chanson française. Les lecteurs peuvent s'attendre à apprendre beaucoup d'anecdotes sur la vie du chanteur depuis sa naissance à notre époque. On peut découvrir le parcours de ce jeune parisien qui va devenir chanteur avec la carrière qu'on lui connait. En effet, à moins d'habiter dans un autre pays, tout le monde connait Renaud, que l’on aime ou pas le personnage et ses chansons. Renaud Séchan fait partie de nos chanteurs français dont on suit de près ou loin la vie par les médias. Le récit est entrecoupé par des histoires de fan zone tenant sur une ou deux planches. Pour la partie graphique, on retrouve Alain Rémy, le dessinateur du diptyque Une histoire populaire de la France. Son trait est dans un style minimaliste mais l'on reconnait bien les personnes avec leur look. Cet album retrace la vie du chanteur avec ses démons, ses joies et tristesses avec quelques informations de sa dernière tournée mes cordes toujours en cours actuellement.
  22. Titre de l'album : Les mots pour le dire Scenariste de l'album : Jerrert Dessinateur de l'album : Elena Ominetti Coloriste : Elena Ominetti Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Désir, adoration, exhibition… des mots chuchotés à l’oreille pour exprimer nos fantasmes les plus intimes, les plus coquins, les plus inavouables. Compilation de 4 histoires, Les mots pour le dire vous entraîne dans un voyage entre imagination et réalité. Après tout tant que la pensée engendre plaisir et satisfaction, pourquoi ne pas oser fantasmer ? Après le succès de Sans un mot… Elena Ominetti et Jerrert reviennent avec cet album à l’érotisme fin et intense sublimé par un dessin sensuel et délicat. Tendons l’oreille à l’appel du désir… Critique : Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/70937-les-mots-pour-le-dire-9782359542011.html/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Kevin Nivek

    Les mots pour le dire

    Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉
  24. Titre de l'album : Alpha - Tome 18 - Drones Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vingt-et-un drones livrés par la société américaine Blade Inc. disparaissent en Roumanie. Le coupable est tout trouvé : James Leitton, PDG d'Aerok, un concurrent malheureux que tout accuse. Dwight Tyler est donc dépêché sur place pour interroger Leitton. Une mission a priori simple... qui se complique rapidement quand il découvre l'homme d'affaire assassiné ! Alpha va devoir goûter l'hospitalité roumaine un peu plus longtemps que prévu... Critique : On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent. Autres infos : D'après l'oeuvre créée par Jigounov et rENARD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpha-tome-18-drones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Alpha - Tome 18 - Drones

    On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent.
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