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  1. Titre de l'album : L'alchimiste tome 2 Scenariste de l'album : Nicolas Beuglet Dessinateur de l'album : Alexandre Saint-Genez Coloriste : Piky Hamilton , Annalisa Ferrari Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : À peine remis de leurs émotions dans les catacombes de la cathédrale de Notre-Dame, Basile, Esperanza, Flamel et Fibus embarquent pour une nouvelle aventure, direction la Crète ! Pour déchiffrer les énigmes du Fondateur, nos héros devront s'engouffrer dans le labyrinthe de Dédale, et vaincre le célèbre minotaure de la mythologie grecque. Le combat ne sera pas que physique : des énigmes et des pièges en tout genre menacent également la vie de nos téméraires aventuriers ! S'ils se rapprochent de plus en plus de la pierre philosophale, nos héros sont loin de se douter que le Masque d'Acier, tapi dans l'ombre, attend son heure pour frapper... Critique : Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alchimiste-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    L'alchimiste tome 2

    Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉
  3. alx23

    L'alibi

    Titre de l'album : L'alibi Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Un alibi est un mode de défense d'une personne soupçonnée d'un crime ou délit, pouvant aller du vol de bonbons au meurtre avec préméditation. Autour de ce thème, 15 auteurs d'exception usent de leurs meilleurs arguments pour détourner tout soupçon d'un coupable, faire plonger un innocent ou au contraire défaire un criminel tentant d'échapper à une accusation méritée. Après le succès du premier recueil de fictions policières Le Crime parfait, les éditions Philéas proposent cette année un nouvel album collectif réunissant à son sommaire un nouveau palmarès de talents ! Un alibi est une réponse ou un mode de défense d'une personne soupçonnée d'un crime ou délit, pouvant aller du vol de bonbons au meurtre avec préméditation. Au XIVe siècle, il signifie " s'être trouvé ailleurs au moment où un crime a été commis " mais ne prendra le sens juridique que nous lui connaissons que des siècles plus tard. Au sens figuré, alibi prend le sens de justification : des agences d'alibi ont fait leur apparition au Japon en 1990 puis en Europe. Ces agences fournissent des justificatifs qui permettent à leur client d'expliquer une absence, qui, le plus souvent, concerne l'adultère... Critique : Après le succès du premier album collectif Le crime parfait aux éditions Philéas, un nouvel album voit le jour aujourd’hui avec l'alibi. On reste dans le genre polar avec soit un meurtre, un adultère ou d'autres intrigues comme vous pourrez le découvrir au travers les dix récits qui vous attendent dans ce tome. On peut dire que ce recueil commence très fort avec une histoire très sombre et violente avec des animaux anthropomorphe. L'alibi est l'élément principal qui permet aux innocents de prouver leur bonne fois mais aussi aux criminels pour agir en toute impunité. Les dessins sont tous dans des genres différents et apportent beaucoup d’intérêt au tome collectif. Ainsi, on peut découvrir des styles nouveaux et retrouver les dessinateurs essayant d’autres techniques de dessins pour l’occasion. Cet album devrait plaire et contenter tous les lecteurs avec des dessins de grande qualité. Les auteurs s’amusent à trouver des alibis à leurs personnages mais souvent cela tourne mal pour eux surtout s’ils sont coupables. Certaines histoires sont amusantes dans leur résolution. A noter qu’une édition Canal BD est disponible avec une couverture différentes et huit pages de recherches graphiques. Liste des auteurs : Hugues Labiano, Jimmy Beaulieu, Olivier Berlion, Laurent Galandon et Benoît Blary, Richard Guérineau, Laurent Astier et Xavier Bétaucourt, Séverine Lambour et Benoît Springer, Étienne Le Roux et Vincent Froissard, Jack Manini, Jeanne Puchol, Thierry Robin Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alibi-9782385020187/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    L'alibi

    Après le succès du premier album collectif Le crime parfait aux éditions Philéas, un nouvel album voit le jour aujourd’hui avec l'alibi. On reste dans le genre polar avec soit un meurtre, un adultère ou d'autres intrigues comme vous pourrez le découvrir au travers les dix récits qui vous attendent dans ce tome. On peut dire que ce recueil commence très fort avec une histoire très sombre et violente avec des animaux anthropomorphe. L'alibi est l'élément principal qui permet aux innocents de prouver leur bonne fois mais aussi aux criminels pour agir en toute impunité. Les dessins sont tous dans des genres différents et apportent beaucoup d’intérêt au tome collectif. Ainsi, on peut découvrir des styles nouveaux et retrouver les dessinateurs essayant d’autres techniques de dessins pour l’occasion. Cet album devrait plaire et contenter tous les lecteurs avec des dessins de grande qualité. Les auteurs s’amusent à trouver des alibis à leurs personnages mais souvent cela tourne mal pour eux surtout s’ils sont coupables. Certaines histoires sont amusantes dans leur résolution. A noter qu’une édition Canal BD est disponible avec une couverture différentes et huit pages de recherches graphiques. Liste des auteurs : Hugues Labiano, Jimmy Beaulieu, Olivier Berlion, Laurent Galandon et Benoît Blary, Richard Guérineau, Laurent Astier et Xavier Bétaucourt, Séverine Lambour et Benoît Springer, Étienne Le Roux et Vincent Froissard, Jack Manini, Jeanne Puchol, Thierry Robin
  5. Titre de l'album : Quand je suis arrivée au château Scenariste de l'album : Emily Dessinateur de l'album : Caroll Coloriste : Emily Caroll Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Après les succès retentissants de Dans les bois (Casterman) et de Speak (Rue de Sèvres), le nouveau conte horrifique d’Emily Carroll revient au source du genre gothique : les vampires. Si le livre semble suivre la trame classique d’un chasseur de vampire en train de s’infiltrer dans le château d’un vampire, c’est pour mieux perdre son lecteur dans un dédale narratif et graphique où le vrai héros n’est pas celui qu’on croît. Comme tant de jeunes filles avant elle, une jeune femme se rend au château avec la ferme intention de mettre un terme aux terribles agissements de la Comtesse. Mais rien ne pouvait la préparer à l’horreur qui se cachait dans ses tourelles maléfiques. Riches de ses influences gothiques, Emily Carroll distille une horreur sourde teintée d’érotisme. Critique : Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-je-suis-arrivee-au-chateau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉
  7. alx23

    Berlin 61

    Titre de l'album : Berlin 61 Scenariste de l'album : Patrick Weber Dessinateur de l'album : Baudouin Deville Coloriste : Bérangère Marquebreucq Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après quelques jours de villégiature, Kathleen et Gérard, son compagnon, embarquent dans un train auto-couchettes en direction de Bruxelles. Elle y fait la connaissance de Annelore, une violoniste allemande. Les deux femmes sympathisent et conviennent de se retrouver lors du repas. Le soir, alors que Kathleen et Gérard ont rejoint le wagon-restaurant, le train s'arrête brusquement. Quelqu'un a déclenché le signal d'alarme. Kathleen a un pressentiment et part à la recherche de la musicienne. Elle est introuvable, et a laissé son précieux violon dans sa cabine. Kathleen récupère le violon et s'interroge. Que cache la disparition de la jeune Allemande ? Désireuse de lui restituer le violon, Kathleen va mener l'enquête à Berlin-Est, alors que l'on y érige le mythique mur séparant l'Est et l'Ouest. Mais pourquoi des agents de la Stasi épient-ils ses moindres faits et gestes ? Critique : Berlin 61 est le cinquième tome de la série avec pour personnage central l'hôtesse de l'air, Kathleen Van Overstaeten à des dates importantes. En effet, les auteurs ciblent des dates précises pour se servir de faits historiques réels pour construire leur intrigue. Tous les albums sont des histoires complètes, donc il n'est pas nécessaire de connaitre ou d'avoir lu les tomes précédents pour comprendre. Cet épisode se déroule les premiers mois après la construction du mur de Berlin durant cette période de la guerre froide. Patrick Weber fait de son hôtesse une vraie détective en herbe avec des relations pratiques pour enquêter sur la disparition d'une violoniste. On se laisse porter par l’histoire et un dossier historique conséquent termine l’album avec beaucoup d’informations intéressantes et développer dans cet album. Baudouin Deville réalise des dessins dans la tradition de la ligne claire, dans un côté très old school et réaliste comme vous pouvez le voir sur la couverture. Le découpage des planches est très classique mais efficace. Le prochain tome se focalisera sur la date de 1965 pour de nouvelles aventures de Kathleen en parallèle de faits historiques. Autres infos : Editions Anspach Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/berlin-61?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Berlin 61

    Berlin 61 est le cinquième tome de la série avec pour personnage central l'hôtesse de l'air, Kathleen Van Overstaeten à des dates importantes. En effet, les auteurs ciblent des dates précises pour se servir de faits historiques réels pour construire leur intrigue. Tous les albums sont des histoires complètes, donc il n'est pas nécessaire de connaitre ou d'avoir lu les tomes précédents pour comprendre. Cet épisode se déroule les premiers mois après la construction du mur de Berlin durant cette période de la guerre froide. Patrick Weber fait de son hôtesse une vraie détective en herbe avec des relations pratiques pour enquêter sur la disparition d'une violoniste. On se laisse porter par l’histoire et un dossier historique conséquent termine l’album avec beaucoup d’informations intéressantes et développer dans cet album. Baudouin Deville réalise des dessins dans la tradition de la ligne claire, dans un côté très old school et réaliste comme vous pouvez le voir sur la couverture. Le découpage des planches est très classique mais efficace. Le prochain tome se focalisera sur la date de 1965 pour de nouvelles aventures de Kathleen en parallèle de faits historiques.
  9. Titre de l'album : Les moments doux Scenariste de l'album : Vincent Henry , Virginie Grimaldi Dessinateur de l'album : Valeria Guffanti Coloriste : Valeria Guffanti Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Ça y est, le frigo de Thomas est rempli, le dernier carton déballé... C'est officiel : Elise est devenue une « mère à la retraite », son fils étant désormais installé à la capitale, et sa fille en Angleterre depuis quelques années. Elle rentre chez elle, à Bordeaux, les bras légers mais le cœur enserré du poids des souvenirs. Que faire de sa vie quand celle-ci a été exclusivement consacrée à ses enfants ? Lili n'est enceinte que depuis sept mois lorsque son accouchement est déclenché. À peine son conjoint a-t-il le temps de la rejoindre qu'une petite humaine toute fragile pointe le bout de son nez. Lili doit donc apprendre le magnifique métier de mère sans certitudes sur l'avenir de son enfant. Dans la maternité, elle croise d'autres parents, d'autres souffrances, d'autres espoirs et découvre qu'avoir un enfant est parfois une aventure bien plus périlleuse qu'on ne le pense... Critique : Qu'il est agréable de lire une histoire comme celle-ci à l'heure où l'actualité demeure aussi grise que le temps ! Après le "feel good movie" , voici venir le "feel good bd" 🙂 Cette adaptation du best-seller de Virginie Grimaldi est en tous points remarquables ! Une aventure chaleureuse et émouvante avec ses notes d'humour disséminées au fil des pages , le tout illustré par une aquarelle soyeuse , emplie de tendresse . Je dois avouer que cette idée de conter deux vies en parallèle , est passionnante à lire car on va déceler dans chacune des moments vécus , peu importe l'âge et le sexe . Car oui , c'est une histoire plutôt féminine , mais elle passionne tout autant les hommes , il est préférable ceci dit d'avoir déjà vécu la naissance d'un enfant , cela renforce le sentiment d'empathie envers les protagonistes . Les pérégrinations de Lili et d'Elise se dévoilent au fur et à mesure avec pour chacune un point de départ : pour Lili , la naissance de sa fille ; et pour Elise , le départ de ses enfants du foyer à l'aube de ses 50 ans .Deux événements propices à des surprises et sources de problèmes car l'univers se retrouve chamboulé dans sa globalité ! Le lecteur découvre les pensées des deux héroïnes à travers leurs monologues respectifs , ainsi que leurs interactions avec ce nouveau monde s'offrant à elles . Un shoot d'émotions en perspective 🙂 . Le dessin aide à l'immersion par sa douceur de trait à l'aquarelle et ses couleurs chaudes "amniotiques" . Les visages sont très expressifs , on est dans un style semi-réaliste en adéquation parfaite avec la narration . J'oserais décrire le moment passé à la lecture comme "doux" 😉 . Une excellente idée de cadeau pour Noël ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.la-boite-a-bulles.com/album/987/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Les moments doux

    Qu'il est agréable de lire une histoire comme celle-ci à l'heure où l'actualité demeure aussi grise que le temps ! Après le "feel good movie" , voici venir le "feel good bd" 🙂 Cette adaptation du best-seller de Virginie Grimaldi est en tous points remarquables ! Une aventure chaleureuse et émouvante avec ses notes d'humour disséminées au fil des pages , le tout illustré par une aquarelle soyeuse , emplie de tendresse . Je dois avouer que cette idée de conter deux vies en parallèle , est passionnante à lire car on va déceler dans chacune des moments vécus , peu importe l'âge et le sexe . Car oui , c'est une histoire plutôt féminine , mais elle passionne tout autant les hommes , il est préférable ceci dit d'avoir déjà vécu la naissance d'un enfant , cela renforce le sentiment d'empathie envers les protagonistes . Les pérégrinations de Lili et d'Elise se dévoilent au fur et à mesure avec pour chacune un point de départ : pour Lili , la naissance de sa fille ; et pour Elise , le départ de ses enfants du foyer à l'aube de ses 50 ans .Deux événements propices à des surprises et sources de problèmes car l'univers se retrouve chamboulé dans sa globalité ! Le lecteur découvre les pensées des deux héroïnes à travers leurs monologues respectifs , ainsi que leurs interactions avec ce nouveau monde s'offrant à elles . Un shoot d'émotions en perspective 🙂 . Le dessin aide à l'immersion par sa douceur de trait à l'aquarelle et ses couleurs chaudes "amniotiques" . Les visages sont très expressifs , on est dans un style semi-réaliste en adéquation parfaite avec la narration . J'oserais décrire le moment passé à la lecture comme "doux" 😉 . Une excellente idée de cadeau pour Noël !
  11. Titre de l'album : Moi, Edin Björnsson Scenariste de l'album : Edith Grattery Dessinateur de l'album : Edith Grattery Coloriste : Edith Grattery Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : CE ROMAN GRAPHIQUE, SIGNE EDITH, EST NE D'UNE IDÉE FASCINANTE : LA RÉVÉLATION DE SA VIE ANTÉRIEURE. Edith ignore si elle croit en la réincarnation... À vrai dire, elle ne s'est jamais vraiment posé la question. Comme pour d'autres perspectives mystiques, religieuses, philosophiques, par curiosité, elle laisse la porte entrouverte. Alors, quand une magnétiseuse lui a proposé de connaître sa vie antérieure, la conteuse en images qu'elle est a exprimé un intérêt certain pour une révélation aussi intrigante... C'est ainsi qu'elle a appris, dans cet ordre, que cette vie se passait en Suède, au XVIIIe siècle, qu'elle était un homme, pêcheur, qui aimait les femmes et qui était décédé de mort violente, assassiné... sans doute par un mari jaloux !... Edith, a-t-elle été Edin Björnsson ? Critique : Auréolée de nombreux prix dont un Alph-art en 1993 pour Jack , Edith Grattery a voulu raconter sa possible vie antérieure . Une révélation survenue suite à sa rencontre avec une magnétiseuse l'a poussée en ce sens , elle la conteuse et dessinatrice . La Suède au XVIIIe siècle , un enfant se nommant Edin (presque Edith) et son destin funeste se déroulant sous nos yeux . La narratrice n'omet rien , de son enfance dans la difficulté , la rudesse du climat , la pauvreté , les rencontres ... Puis l'adolescence avec un caractère qui commence à s'affirmer , et une voie tracée qui semble sinueuse . Des aventures , le jeune homme va en vivre et en éprouver , son amour pour les femmes et la bagatelle lui vaudra quelques soucis , et dans ces villages où tout le monde se connait , vous pouvez imaginer les répercussions . Reste un exil forcé où il va donc prendre le large vers d'autres horizons , en reviendra t'il ? La narration est indéniablement le point fort de ce récit , Edith Grattery sait parfaitement raconter les histoires . Son dessin au style si particulier peut en revanche gêner des lecteurs , il semble naïf et ces visages taillés à la serpe peuvent surprendre ; en revanche les couleurs aux tons crépusculaires sont réussies et donnent de la sincérité au récit . Un postulat de départ original pour une histoire que ne l'est pas moins , découvrez les déboires de Edin Bjornon et plongez dans le passé de Edith Grattery 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-edin-bj-rnsson-p-cheur-su-dois-au-xviiie-si-cle-coureur-de-jupons-et-assassin-par-un-mari-jaloux/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Moi, Edin Björnsson

    Auréolée de nombreux prix dont un Alph-art en 1993 pour Jack , Edith Grattery a voulu raconter sa possible vie antérieure . Une révélation survenue suite à sa rencontre avec une magnétiseuse l'a poussée en ce sens , elle la conteuse et dessinatrice . La Suède au XVIIIe siècle , un enfant se nommant Edin (presque Edith) et son destin funeste se déroulant sous nos yeux . La narratrice n'omet rien , de son enfance dans la difficulté , la rudesse du climat , la pauvreté , les rencontres ... Puis l'adolescence avec un caractère qui commence à s'affirmer , et une voie tracée qui semble sinueuse . Des aventures , le jeune homme va en vivre et en éprouver , son amour pour les femmes et la bagatelle lui vaudra quelques soucis , et dans ces villages où tout le monde se connait , vous pouvez imaginer les répercussions . Reste un exil forcé où il va donc prendre le large vers d'autres horizons , en reviendra t'il ? La narration est indéniablement le point fort de ce récit , Edith Grattery sait parfaitement raconter les histoires . Son dessin au style si particulier peut en revanche gêner des lecteurs , il semble naïf et ces visages taillés à la serpe peuvent surprendre ; en revanche les couleurs aux tons crépusculaires sont réussies et donnent de la sincérité au récit . Un postulat de départ original pour une histoire que ne l'est pas moins , découvrez les déboires de Edin Bjornon et plongez dans le passé de Edith Grattery 🙂
  13. Titre de l'album : Les matins doux Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Anne-Perrine Couët Coloriste : Alessandra Alexakis Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : L'amour transatlantique de Simone de Beauvoir et Nelson Algren en bande dessinée En 1947, Simone de Beauvoir est invitée par l'Institut français pour une série de conférences aux États-Unis. Elle arrive à Chicago avec le numéro de téléphone d'un écrivain américain recommandé par une amie. Nelson Algren va jouer les guides et s'amuser à l'entraîner dans les bas-fonds de la ville. De club en club, leur première nuit est endiablée, la passion immédiate, l'aventure torride. Amoureux comme jamais, ils écriront tous deux leurs oeuvres majeures durant les années de cette liaison transatlantique. Critique : La collection Dyade de Steinkis s'enrichit d'un nouveau couple célèbre , défrayant la chronique : Simone de Beauvoir et Nelson Algren . En plein débats animés sur la lange française et sa richesse , quel joli mot que ce dyade pour définir la relation de ces deux êtres ! Coupe de deux sujets , de deux éléments en interaction . Une définition à point nommé pour l'écrivaine française et le son homologue américain . Elle plutôt aventureuse , douce mais sensuelle , quand Algren est coléreux , boxeur et niché en plein coeur de Chicago sans envie d'ailleurs . Mais , une autre définition de dyade étant "la réunion de deux principes philosophiques qui se complètent réciproquement" , sied à merveille à ce couple . Car sous leurs apparentes différences , un amour sincère et fougueux va naître et les emporter dans une spirale de sentiments . Une courbe sinusoïdale d'émotions , allant de la tendresse au rejet , la passion au manque etc .... Le duo d'auteures ont choisi cette période allant de leur rencontre au décès de l'américain . Le scénario est riche de leurs voyages , discussions et autres correspondances établies durant ce périple amoureux ; on sent une documentation solide . La ligne claire de Anne-Perrine Couët est tout simplement magnifique , les villes américaines sont d'un réalisme étonnant . On est transportés durant ces années post guerre à travers cette architecture des bâtiments , les moyens de locomotion , les tenues vestimentaires etc ... On frissonne lorsque Simone de Beauvoir dénoue ses cheveux juste avant les nombreuses scènes d'amour auxquelles se livrent les deux amoureux . Le parti pris de la sensualité et des séquences dénudées est d'une élégance rare , cet amour nous est offert sans concessions . Vous découvrirez une Simone de Beauvoir plus libre que libertine , et un Nelson Algren fougueux et sincère dans cette aventure hors du commun . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-matins-doux-simone-de-beauvoir-nelson-algren/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Kevin Nivek

    Les matins doux

    La collection Dyade de Steinkis s'enrichit d'un nouveau couple célèbre , défrayant la chronique : Simone de Beauvoir et Nelson Algren . En plein débats animés sur la lange française et sa richesse , quel joli mot que ce dyade pour définir la relation de ces deux êtres ! Coupe de deux sujets , de deux éléments en interaction . Une définition à point nommé pour l'écrivaine française et le son homologue américain . Elle plutôt aventureuse , douce mais sensuelle , quand Algren est coléreux , boxeur et niché en plein coeur de Chicago sans envie d'ailleurs . Mais , une autre définition de dyade étant "la réunion de deux principes philosophiques qui se complètent réciproquement" , sied à merveille à ce couple . Car sous leurs apparentes différences , un amour sincère et fougueux va naître et les emporter dans une spirale de sentiments . Une courbe sinusoïdale d'émotions , allant de la tendresse au rejet , la passion au manque etc .... Le duo d'auteures ont choisi cette période allant de leur rencontre au décès de l'américain . Le scénario est riche de leurs voyages , discussions et autres correspondances établies durant ce périple amoureux ; on sent une documentation solide . La ligne claire de Anne-Perrine Couët est tout simplement magnifique , les villes américaines sont d'un réalisme étonnant . On est transportés durant ces années post guerre à travers cette architecture des bâtiments , les moyens de locomotion , les tenues vestimentaires etc ... On frissonne lorsque Simone de Beauvoir dénoue ses cheveux juste avant les nombreuses scènes d'amour auxquelles se livrent les deux amoureux . Le parti pris de la sensualité et des séquences dénudées est d'une élégance rare , cet amour nous est offert sans concessions . Vous découvrirez une Simone de Beauvoir plus libre que libertine , et un Nelson Algren fougueux et sincère dans cette aventure hors du commun .
  15. Succès mondial pour les romans Les enfants de la terre de Jean M.Auel , il était presque logique de voir arriver un jour une adaptation BD de cette fresque aux origines de l'homme . Il faut bien avouer que le ton donné au récit et sa formidable vision sociétale possède de forts accents contemporains . Racisme , société patriarcale , croyances , ces dogmes encore présents de nos jours résonnent fortement dans cette (pré)histoire . A travers son dessin simple et expressif , Camille Moog dépeint cette époque avec justesse . A cette époque , homo sapiens et homme de Néandertal cohabitent , sans trop se fréquenter non plus . L'humain a commencé son évolution physique , aussi lorsque notre héroïne Ayla se retrouve séparée de sa tribu des suites d'un cataclysme , elle se retrouve adoptée par une tribu Néandertal avec de fortes réticences . Ses caractéristiques physiques et mentales sont différentes , sa langue , ses croyances etc .... Tout en elle diffère car sans le savoir elle incarne l'homme moderne de demain , appelé à remplacer le Néandertal . Mais situé dans son contexte historique , la vie est loin d'être simple pour notre réfugiée ! Rien ne lui sera épargnée par les contraintes du clan à l'égard des femmes , d'autant plus quand elles sont étrangères ! On découvre ainsi les croyances de ce peuple et leur mode de fonctionnement avec une hiérarchie masculine , forcément . Au fil des années , on suit le clan nomade suivant les saisons pour se loger , chasser et cueillir ,avec en parallèle l'évolution de Ayla , qui est assez fulgurante . Je ne vous divulgue pas la suite mais , cette jeune femme incarnant la modernité va éprouver nombre de difficultés et va jouer avec les émotions du lecteur . Une femme bousculant les codes d'une société patriarcale il y a 35000 ans , si ce n'est pas de la modernité ça 🙂 ! Un premier tome réussi , qui prime par son histoire prenante et touchante .On attend la suite de cette saga !
  16. Titre de l'album : Ayla - Le clan de l'ours des cavernes tome 1 Scenariste de l'album : Camille Moog , adapté de Jean M. Auel Dessinateur de l'album : Camille Moog Coloriste : Marta Todeschini Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Quelque part en Europe, 35 000 ans avant notre ère. Petite fille Cro-Magnon de cinq ans, Ayla est séparée de ses parents à la suite d'un violent tremblement de terre. Elle est recueillie par le clan de l'ours des cavernes, une tribu Neandertal qui l'adopte, non sans réticence, ayant reconnu en elle la représentante d'une autre espèce, plus évoluée. Iza, la guérisseuse, Brun, le chef et Creb, le magicien lui enseignent les règles de la vie communautaire, leurs rites, leurs peurs, leurs audaces. Mais Ayla, la fillette blonde aux yeux bleus les surprend par sa puissance de raisonnement qui lui permet de s'adapter, de réagir rapidement et de ne pas être totalement dépendante de son environnement. Une différence qui ne tarde pas à faire d'elle une menace pour tout le clan, et à attiser la convoitise de Brud, le fils du chef… Critique : Succès mondial pour les romans Les enfants de la terre de Jean M.Auel , il était presque logique de voir arriver un jour une adaptation BD de cette fresque aux origines de l'homme . Il faut bien avouer que le ton donné au récit et sa formidable vision sociétale possède de forts accents contemporains . Racisme , société patriarcale , croyances , ces dogmes encore présents de nos jours résonnent fortement dans cette (pré)histoire . A travers son dessin simple et expressif , Camille Moog dépeint cette époque avec justesse . A cette époque , homo sapiens et homme de Néandertal cohabitent , sans trop se fréquenter non plus . L'humain a commencé son évolution physique , aussi lorsque notre héroïne Ayla se retrouve séparée de sa tribu des suites d'un cataclysme , elle se retrouve adoptée par une tribu Néandertal avec de fortes réticences . Ses caractéristiques physiques et mentales sont différentes , sa langue , ses croyances etc .... Tout en elle diffère car sans le savoir elle incarne l'homme moderne de demain , appelé à remplacer le Néandertal . Mais situé dans son contexte historique , la vie est loin d'être simple pour notre réfugiée ! Rien ne lui sera épargnée par les contraintes du clan à l'égard des femmes , d'autant plus quand elles sont étrangères ! On découvre ainsi les croyances de ce peuple et leur mode de fonctionnement avec une hiérarchie masculine , forcément . Au fil des années , on suit le clan nomade suivant les saisons pour se loger , chasser et cueillir ,avec en parallèle l'évolution de Ayla , qui est assez fulgurante . Je ne vous divulgue pas la suite mais , cette jeune femme incarnant la modernité va éprouver nombre de difficultés et va jouer avec les émotions du lecteur . Une femme bousculant les codes d'une société patriarcale il y a 35000 ans , si ce n'est pas de la modernité ça 🙂 ! Un premier tome réussi , qui prime par son histoire prenante et touchante .On attend la suite de cette saga ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ayla-le-clan-de-l-ours-des-cavernes-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Les tournesols d'Ukraine Scenariste de l'album : Pietro B. Zemelo Dessinateur de l'album : Pietro B. Zemelo Coloriste : Pietro B. Zemelo Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Pietro B. Zemelo est un dessinateur italien qui travaille pour Disney et Panini en Italie et Egmont au Danemark. - - Ce livre me touche d'une manière très personnelle : ma femme Lisa et moi avons vécu à Kiev jusqu'à peu de temps avant le début de l'invasion russe de l'Ukraine. Une partie de la famille et des amis nous ont ensuite rejoints en Italie et nous avons commencé à vivre ensemble dans un petit appartement. -Je suis écrivain et artiste, je capte donc la réalité en racontant des histoires et en dessinant. C'est une histoire que je dois raconter. Ce n'est pas un livre politique ou historiographique : c'est, avant tout, l'histoire d'une fille et de son père, de leur séparation et de leurs espoirs. Critique : Baroudeur durant sa jeunesse , Pietro B. Zemelo pose son sac lors de sa première visite en Ukraine . L'amour du pays et surtout de Lisa sa future femme pose les jalons de sa vie "d'adulte" . Une vie idyllique jusqu'à l'invasion des russes et le début de cette guerre qui n'en finit plus ... L'auteur le précise à bon escient dans sa préface : "une histoire sans fin" . Ayant vécu ce conflit de l'intérieur , ainsi que les répercussions liées , il a eu l'idée de raconter cette histoire , leur histoire . Il expose une narration à tiroirs avec des voyages dans le temps type J+10 et j- 100 , ce qui rend le récit dynamique avec une dose de suspens , mais peu sembler déroutant pour le lecteur . A travers les moments passés il expose les relations familiales de sa femme et la façon de vivre ukrainienne , l'attachement à cette terre et ses tournesols , fleur emblème de ce pays ancien grenier de l'Europe . Puis il narre la vie "après" , lorsqu'ils sont installés en Italie , avec les espoirs et les craintes de nouvelles récentes venant des amis ou membres de la famille restés là-bas . L'empathie fonctionne , on tourne les pages avec une certaine émotion lors des bombardements racontés par ceux encore "intra-muros" , ou lors de la rencontre de Lisa et Pietro . Ayant travaillé pour Disney entre autres , on remarque d'emblée le style de l'auteur : coloré , un trait simple sans fioritures , une légère impression d'ensemble enfantin ou destiné à un lectorat très jeune .Vouloir créer un contraste avec la dramaturgie de l'histoire est un parti pris , mais cela peut surprendre . Ce style "cartoon" retire tout sens grave aux scènes d'explosions et/ou de peines , mais dans le même temps saisit le lecteur au cours de la rencontre de Lisa et Pietro ! L'amour au détriment de la guerre , il est peut-être là le message de l'auteur et son dessin typique . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tournesols-d-ukraine/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kevin Nivek

    Les tournesols d'Ukraine

    Baroudeur durant sa jeunesse , Pietro B. Zemelo pose son sac lors de sa première visite en Ukraine . L'amour du pays et surtout de Lisa sa future femme pose les jalons de sa vie "d'adulte" . Une vie idyllique jusqu'à l'invasion des russes et le début de cette guerre qui n'en finit plus ... L'auteur le précise à bon escient dans sa préface : "une histoire sans fin" . Ayant vécu ce conflit de l'intérieur , ainsi que les répercussions liées , il a eu l'idée de raconter cette histoire , leur histoire . Il expose une narration à tiroirs avec des voyages dans le temps type J+10 et j- 100 , ce qui rend le récit dynamique avec une dose de suspens , mais peu sembler déroutant pour le lecteur . A travers les moments passés il expose les relations familiales de sa femme et la façon de vivre ukrainienne , l'attachement à cette terre et ses tournesols , fleur emblème de ce pays ancien grenier de l'Europe . Puis il narre la vie "après" , lorsqu'ils sont installés en Italie , avec les espoirs et les craintes de nouvelles récentes venant des amis ou membres de la famille restés là-bas . L'empathie fonctionne , on tourne les pages avec une certaine émotion lors des bombardements racontés par ceux encore "intra-muros" , ou lors de la rencontre de Lisa et Pietro . Ayant travaillé pour Disney entre autres , on remarque d'emblée le style de l'auteur : coloré , un trait simple sans fioritures , une légère impression d'ensemble enfantin ou destiné à un lectorat très jeune .Vouloir créer un contraste avec la dramaturgie de l'histoire est un parti pris , mais cela peut surprendre . Ce style "cartoon" retire tout sens grave aux scènes d'explosions et/ou de peines , mais dans le même temps saisit le lecteur au cours de la rencontre de Lisa et Pietro ! L'amour au détriment de la guerre , il est peut-être là le message de l'auteur et son dessin typique .
  19. Titre de l'album : Guerres d'Arran - Tome 2 - Dal'Darum Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à l'exécution de la compagnie des bannis, Redwin a juré aux principaux meneurs des anciennes races de trouver un lieu où tous pourraient se réunir et résister à la guerre déclarée par les rois humains et les mages de l'ordre des Ombres. Des héros tels que Lanawynn, Ayraak, Jorun, Tala feront route vers la forteresse de Karsonn tenue par les irréductibles nains de la légion de Fer. Critique : Et bim comme d'habitude, à l'approche des fêtes de fin d'années, Soleil nous sort l'artillerie lourde avec ces séries se déroulant dans l'univers des terres d'Arran. Ici il s'agit de leur série cross' over Guerres d'Arran tant attendue devant redémarrer un cycle dantesque reprenant l'ensemble des trames depuis le cycle des goules. Après un premier tome nous lançant dans le grand bain, ce tome 2 reprend pas mal des figures ultra reconnues des Terres d'Arran pour les réunir et leur faire affronter l'une des pires menaces qui soit pour leurs survies : l'Hum 🙂 Autant vous dire que dans le contexte pessimiste actuel, il y a là une double lecture intéressante à l'œuvre complète. Evidemment on nt'est pas tellement là pour philosopher non plus et tout au long de ces 92 pages, on aura le droit à peut être un peu trop de voix off (aka pensées de Redwin) mais surtout beaucoup beaucoup de castagne. Après tout, on ne réunit pas une si belle équipe pour beurrer des mouillettes. Que puis-je vous dire d'autre ? Giovanni Lorusso que je ne connaissais pas vraiment n'est pas un inconnu sur la série car il en a déjà dessiné plusieurs tomes. Autant vous dire qu'avec J. Nanjan auxx couleurs comme souvent, le dessin ne présente pas de fausses notes et reste dans les canons habituels de la série pour le plaisir des fans. Les habitués de la série se jetteront à raison sur cet album tant l'attente fut longue 🙂 Les autres partent probablement de trop loin pour bien en saisir tout l'intérêt, mais se contenteront d'un bon one shot de Fantasy comme souvent. Autres infos : Storyboard de Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/guerres-d-arran-tome-2-dal-darum?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Et bim comme d'habitude, à l'approche des fêtes de fin d'années, Soleil nous sort l'artillerie lourde avec ces séries se déroulant dans l'univers des terres d'Arran. Ici il s'agit de leur série cross' over Guerres d'Arran tant attendue devant redémarrer un cycle dantesque reprenant l'ensemble des trames depuis le cycle des goules. Après un premier tome nous lançant dans le grand bain, ce tome 2 reprend pas mal des figures ultra reconnues des Terres d'Arran pour les réunir et leur faire affronter l'une des pires menaces qui soit pour leurs survies : l'Hum 🙂 Autant vous dire que dans le contexte pessimiste actuel, il y a là une double lecture intéressante à l'œuvre complète. Evidemment on nt'est pas tellement là pour philosopher non plus et tout au long de ces 92 pages, on aura le droit à peut être un peu trop de voix off (aka pensées de Redwin) mais surtout beaucoup beaucoup de castagne. Après tout, on ne réunit pas une si belle équipe pour beurrer des mouillettes. Que puis-je vous dire d'autre ? Giovanni Lorusso que je ne connaissais pas vraiment n'est pas un inconnu sur la série car il en a déjà dessiné plusieurs tomes. Autant vous dire qu'avec J. Nanjan auxx couleurs comme souvent, le dessin ne présente pas de fausses notes et reste dans les canons habituels de la série pour le plaisir des fans. Les habitués de la série se jetteront à raison sur cet album tant l'attente fut longue 🙂 Les autres partent probablement de trop loin pour bien en saisir tout l'intérêt, mais se contenteront d'un bon one shot de Fantasy comme souvent.
  21. Titre de l'album : Les Maitres Assassins - Tome 3 - Neida Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Lucio Leoni & Emanuela Negrin Coloriste : Alessia Nocera Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Maître Assassin d'exception comme Osahar, Neida jouit d'un don unique que lui octroie un élixir. Quand on lui demande de tuer Eliezer le Fou - l'ancien exarque de l'Ordre des Maîtres Inquisiteurs - elle voit en lui une proie facile. Mais le pouvoir de ce dernier a évolué. Il est capable de stimuler les émotions et fait naître chez Neida des sentiments qui lui étaient jusqu'alors étrangers. Critique : Avec la pelletée de sorties sur l'univers des terres d'arran de l'automne on en oublierait presque le petit univers cousin des maitres inquisiteurs et des maitres assassins. Il faut dire que cet univers est pour le moment moins riche et moins développé que les Terres d'Arran puisqu'on y retrouve simplement deux séries sur les ordres antagonistes. Pas d'inquiétude, bien que l'ensemble soit moins Fantasy que son homonyme, on y retrouve régulièrement elfes, magie et monstres ou démons. Pour ma part je vous avoue que j'ai tout de même un peu moins de tendresse pour cette série globalement car personnages comme histoires ne m'ont pas emballé jusqu'ici. Ce tome 3 centré sur l'assassin Neida ne fait pas exception à la règle malheureusement car il nous présente une intrigue finalement très classique mise en image toujours dans les codes du genre. Le dessin à quatre mains nous propose de très belle planche et de belles ambiances, même si certains visages m'ont paru parfois un brin trop statiques ou figés. Un léger détail de pinailleur car l'ensemble est globalement de qualité similaire aux séries Elfes, Nains ou Orcs et Gobelins des Terres d'Arran pour les habitués. Peu d'originalité donc, mais du sérieux, et on sent que l'Univers mis en place est en train de prendre forme et ampleur. Seul regret, je crains qu'à trop marcher proche des plates bandes de son univers rival, celui-ci peine à conquérir son public, déjà bien bien occupé par les 6 autres séries parallèles des Terres d'Arran. Un risque d'overdose budgétaire en somme ? Autres infos : Univers imaginé par Jean Luc Istin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-maitres-assassins-tome-3-neida?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Avec la pelletée de sorties sur l'univers des terres d'arran de l'automne on en oublierait presque le petit univers cousin des maitres inquisiteurs et des maitres assassins. Il faut dire que cet univers est pour le moment moins riche et moins développé que les Terres d'Arran puisqu'on y retrouve simplement deux séries sur les ordres antagonistes. Pas d'inquiétude, bien que l'ensemble soit moins Fantasy que son homonyme, on y retrouve régulièrement elfes, magie et monstres ou démons. Pour ma part je vous avoue que j'ai tout de même un peu moins de tendresse pour cette série globalement car personnages comme histoires ne m'ont pas emballé jusqu'ici. Ce tome 3 centré sur l'assassin Neida ne fait pas exception à la règle malheureusement car il nous présente une intrigue finalement très classique mise en image toujours dans les codes du genre. Le dessin à quatre mains nous propose de très belle planche et de belles ambiances, même si certains visages m'ont paru parfois un brin trop statiques ou figés. Un léger détail de pinailleur car l'ensemble est globalement de qualité similaire aux séries Elfes, Nains ou Orcs et Gobelins des Terres d'Arran pour les habitués. Peu d'originalité donc, mais du sérieux, et on sent que l'Univers mis en place est en train de prendre forme et ampleur. Seul regret, je crains qu'à trop marcher proche des plates bandes de son univers rival, celui-ci peine à conquérir son public, déjà bien bien occupé par les 6 autres séries parallèles des Terres d'Arran. Un risque d'overdose budgétaire en somme ?
  23. The_PoP

    Terres d'Ogon - Tome 4 - Mystic

    La petite dernière des séries dans l'univers des terres d'Arran a apporté un grand vent de fraîcheur dans l'univers, et même dans la Fantasy. Puisant dans les mythes, les légendes, et même l'Histoire du continent Africain, elle revisite la Fantasy tout en en respectant les codes. Et franchement on en redemande, moi le premier. Ce tome 4 vient donc nous présenter encore un autre peuple, et un autre héros, dans une intrigue cette fois-ci très mystique pour ne pas dire parfois un peu alambiquée. Les personnages sont toujours aussi réussis et le dessin de Vax est très dynamique notamment sur les mises en scènes. J'ai trouvé ce tome un peu en deçà des 2 premiers que j'avais vraiment adoré, mais l'univers y est toujours aussi riche et dépaysant et c'est encore une lecture plaisir.
  24. Titre de l'album : Tout savoir sur les dinosaures Scenariste de l'album : Bombom Story Dessinateur de l'album : Choi Woo-Bin Coloriste : Choi Woo-Bin Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Tout savoir en BD , une série pour informer de façon ludique la nouvelle génération à propos des sciences humaines et naturelles. Léna et Sam se rendent au musée des dinosaures. En observant des squelettes de dinosaures, ils rencontrent le Dr Wilson, un paléontologue. Puis Léna et Sam se rendent en Mongolie et retrouvent le Dr Wilson, nos trois aventuriers se lancent dans une expédition lorsque qu'une soudaine tempête de sable les envoient à l'ère mésozoïque. Il y font la connaissance de Coco, un petit ptérosaure qui vient de sortir de son oeuf. Il les accompagne dans leur découverte des différents types de dinosaures de l'ère mésozoïque, ainsi que des plantes, des insectes et des animaux marins, du Trias au Crétacé en passant par le Jurassique. Une nouvelle thématique à chaque album avec deux doubles-pages explicatives. Un récit ludique enrichi de vignettes pédagogiques intégrées tout au long du récit. Une aventure dans un style manga pour apprendre avec humour, accompagné d'un lexique pour approfondir l'apprentissage. Critique : Les éditions Jungle adaptent ces parutions coréennes "Tout savoir" dans de jolis petits formats reliés , qui trouveront aisément une place dans les cartables de nos enfants . Nous suivons les aventures de Léna et Sam pour un retour à l'ère des dinosaures , voire des ères , car cette période couvre presque 200 millions d'années . Une frise explicative en début d'album détaille ces périodes allant du Trias au Crétacé avec des exemples d'animaux présents durant chaque ère . C'est à l'image du récit , détaillé , emprunt d'humour pour ne pas devenir rébarbatif , et facile à lire . Les deux aventuriers en herbe vont donc parcourir l'histoire en compagnie d'un paléontologue leur faisant un petit cours en lien avec les situations rencontrées .Ainsi , les nombreuses questions que posent les enfants trouveront une réponse appropriée et accessible . Les pages BD sont jalonnées de vignettes et autres documents explicatifs enrichissants le récit . Oeuvre coréenne oblige, le trait a de forts accents "manga" et saura séduire son public . D'autres parutions du même type sont prévues , comme L'univers , Le corps humain et La terre . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-dinosaures/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Les éditions Jungle adaptent ces parutions coréennes "Tout savoir" dans de jolis petits formats reliés , qui trouveront aisément une place dans les cartables de nos enfants . Nous suivons les aventures de Léna et Sam pour un retour à l'ère des dinosaures , voire des ères , car cette période couvre presque 200 millions d'années . Une frise explicative en début d'album détaille ces périodes allant du Trias au Crétacé avec des exemples d'animaux présents durant chaque ère . C'est à l'image du récit , détaillé , emprunt d'humour pour ne pas devenir rébarbatif , et facile à lire . Les deux aventuriers en herbe vont donc parcourir l'histoire en compagnie d'un paléontologue leur faisant un petit cours en lien avec les situations rencontrées .Ainsi , les nombreuses questions que posent les enfants trouveront une réponse appropriée et accessible . Les pages BD sont jalonnées de vignettes et autres documents explicatifs enrichissants le récit . Oeuvre coréenne oblige, le trait a de forts accents "manga" et saura séduire son public . D'autres parutions du même type sont prévues , comme L'univers , Le corps humain et La terre .
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