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  1. poseidon2

    Ceux qui me touchent

    Après le sublime Étreinte, Laurent Bonneau revient chez Grand angle et reforme, avec Damien Marie, le duo qui nous a livré Ceux qui me restent. Pas question de maladie ici, mais il reste cependant dans le domaine de la famille avec une réflexion sur l'impact du regard de nos enfants sur notre vie de tout les jours. La vérité sort de la bouche des enfants dit on. Et si c'était vrai ? Et si les écouter pouvait nous aider à prendre des décisions que l'on n'imagine pas du haut de notre rationalisme d'adulte ? Mais plus qu'une réflexion "simple" sur les possibilités de la vie, Damien Marie nous livre une vraie tranche de "vraie vie" avec l'impact de la réalisation de ces rêves sur la vie de tous les jours et la difficulté d'assumer son rêve (et les possibilités d'échecs) qui vont avec. Une belle histoire avec un personnage principal touchant de vérité porté par des dessins toujours aussi beaux.
  2. Titre de l'album : Ceux qui me touchent Scenariste de l'album : Damien Marie Dessinateur de l'album : Laurent Bonneau Coloriste : Laurent Bonneau Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Et si votre imagination décidait de prendre corps pour changer votre vie ? Élisa est née il y a 5 ans déjà...Un soir, parce qu'il n'y a pas de livres de contes à disposition pour l'endormir, Fabien invente, avec elle, une histoire fantastique.Les jours suivants, des événements fortuits le renvoient à l'aventure qu'ils ont créée.Bien que conscient que ce ne sont que des coïncidences, il y voit le signe qu'il doit changer de vie...Un récit contemporain et intimiste où les échanges d'un quadragénaire avec sa fille modifient le regard sur ce qui nous entoure. Critique : Après le sublime Étreinte, Laurent Bonneau revient chez Grand angle et reforme, avec Damien Marie, le duo qui nous a livré Ceux qui me restent. Pas question de maladie ici, mais il reste cependant dans le domaine de la famille avec une réflexion sur l'impact du regard de nos enfants sur notre vie de tout les jours. La vérité sort de la bouche des enfants dit on. Et si c'était vrai ? Et si les écouter pouvait nous aider à prendre des décisions que l'on n'imagine pas du haut de notre rationalisme d'adulte ? Mais plus qu'une réflexion "simple" sur les possibilités de la vie, Damien Marie nous livre une vraie tranche de "vraie vie" avec l'impact de la réalisation de ces rêves sur la vie de tous les jours et la difficulté d'assumer son rêve (et les possibilités d'échecs) qui vont avec. Une belle histoire avec un personnage principal touchant de vérité porté par des dessins toujours aussi beaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ceux-qui-me-touchent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Passionné d'ambiances nocturnes , Samir Dahmani découvre l'existence de 3 aubes : astronomique , nautique et civile . Il donne à son roman graphique le titre d'aube nautique en référence à cette transition nuit/jour , qui vient en parallèle avec un autre bouleversement , celui de l'adolescence ! Il choisit Séoul pour dépeindre la relation entre deux amies de lycée ,Seong-ji et Ji-won ,dont l'inévitable passage au secondaire et à l'âge adulte , transforme en profondeur .Sont-elles juste copines ? L'inévitable opération esthétique intervenant (très populaire en Corée ) , nous retrouvons ensuite Seong-ji , étudiante et bossant les nuits dans une épicerie en guise de job étudiant . L'ambiance crépusculaire et souvent pluvieuse , prend des allures de polar avec la rencontre d'une curieuse cliente "s'invitant" dans les appartements avoisinants en pleine nuit ! Ajoutez à cela les questions que se pose la jeune femme sur sa relation éloignée et trop rare avec son amie , et vous pouvez entrer de plein fouet dans la nuit de Séoul pour y découvrir le fin mot de l'histoire (ou des histoires) 😉 . Avec son aquarelle , Samir Dahmani se permet le luxe d'allier un dessin "manganisant" avec un trait (et découpage) franco-belge . Les couleurs sont froides comme la nuit . Il n'épargne pas de détails dans les cases , mais les rend secondaires au profit des personnages qui occupent toute la place . Jeux de regards , moues interloquées , rien n'est épargné pour rendre l'atmosphère pesante et mystérieuse . Les dialogues sont concis et d'une grande maitrise narrative . Après son noir et blanc choisi sur sa première oeuvre écrite avec sa femme (coréenne) :Je suis encore là-bas , il change de style pour une aquarelle crépusculaire et onirique réalisée avec brio . A lire pour les ados , et pour les adultes avides de culture coréenne car c'est une société en plein essor , emprise avec le culte de la beauté et encore un peu rigide avec la question homosexuelle . Encore une transition visiblement 🙂 .
  4. Titre de l'album : Quand arrive l'aube nautique - Korean night stories Scenariste de l'album : Samir Dahmani Dessinateur de l'album : Samir Dahmani Coloriste : Samir Dahmani Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Depuis leur arrivée à Séoul, quelque chose s'est brisé entre Seong-ji et son amie Ji-won. Elles qui s'étaient jurées de rester unies voient leur relation se désagréger, une fois arrivées en faculté. Aujourd'hui, Seong-ji est étudiante en comptabilité la journée et employée d'épicerie la nuit. Enfin, pas seulement... Pendant ses heures de travail, elle retrouve Mary, une jeune femme énigmatique qui s'introduit chez les gens la nuit durant leur absence... pour peindre et photographier les lieux. De nature rationnelle et rigoureuse, Seong-ji se retrouve projetée dans un univers nouveau. Elle découvre un monde presque onirique, fait de liberté et de création... L'exploration des lieux de vie et de l'intimité d'inconnus permettra finalement à la jeune fille de se découvrir elle-même... Mais ces balades nocturnes favorisent aussi le réveil de souvenirs douloureux et ravivent la douleur liée à la fin de son amitié avec Ji-won. Critique : Passionné d'ambiances nocturnes , Samir Dahmani découvre l'existence de 3 aubes : astronomique , nautique et civile . Il donne à son roman graphique le titre d'aube nautique en référence à cette transition nuit/jour , qui vient en parallèle avec un autre bouleversement , celui de l'adolescence ! Il choisit Séoul pour dépeindre la relation entre deux amies de lycée ,Seong-ji et Ji-won ,dont l'inévitable passage au secondaire et à l'âge adulte , transforme en profondeur .Sont-elles juste copines ? L'inévitable opération esthétique intervenant (très populaire en Corée ) , nous retrouvons ensuite Seong-ji , étudiante et bossant les nuits dans une épicerie en guise de job étudiant . L'ambiance crépusculaire et souvent pluvieuse , prend des allures de polar avec la rencontre d'une curieuse cliente "s'invitant" dans les appartements avoisinants en pleine nuit ! Ajoutez à cela les questions que se pose la jeune femme sur sa relation éloignée et trop rare avec son amie , et vous pouvez entrer de plein fouet dans la nuit de Séoul pour y découvrir le fin mot de l'histoire (ou des histoires) 😉 . Avec son aquarelle , Samir Dahmani se permet le luxe d'allier un dessin "manganisant" avec un trait (et découpage) franco-belge . Les couleurs sont froides comme la nuit . Il n'épargne pas de détails dans les cases , mais les rend secondaires au profit des personnages qui occupent toute la place . Jeux de regards , moues interloquées , rien n'est épargné pour rendre l'atmosphère pesante et mystérieuse . Les dialogues sont concis et d'une grande maitrise narrative . Après son noir et blanc choisi sur sa première oeuvre écrite avec sa femme (coréenne) :Je suis encore là-bas , il change de style pour une aquarelle crépusculaire et onirique réalisée avec brio . A lire pour les ados , et pour les adultes avides de culture coréenne car c'est une société en plein essor , emprise avec le culte de la beauté et encore un peu rigide avec la question homosexuelle . Encore une transition visiblement 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-arrive-l-aube-nautique-korean-night-stories/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. C'est rigolo car plus que Slava, ce deuxième tome devrait s'appeler Larvine. Non pas que l'on ne voie pas Slava. Il reste le narrateur et le personnage central. mais il est plus discret sur ce tome ci, passant son temps dans les bras de Nina. Lavrine est lui l'exemple de la Russie des années 90. Un vrai Prigojine en puissance. La façon dont il anguille dans un univers en ruine et dont il réussit à faire fortune sur le dos des autres est aussi bluffante et réaliste. C'est saisissant tout autant que le personnage de Pierre-Henry Gomont est bien pensé. Car malgré tout ce qu'il fait, on continue à l'aimer. Il fait ce que son époque lui permet, et est bien moins impitoyable que les autres requins dans les eaux de qui il navigue. Notre immortel Lavrine est vraiment un personnage fascinant qui porte ce deuxième tome... jusqu'à intelligemment recentrer le récit sur Slava qui sera, à n'en pas douter, sera le personnage principal d'un troisième et dernier tome qui sera, à n'en pa douter, aussi bon que les deux précédents.
  6. Titre de l'album : Slava tome 2 - Les nouveaux russes Scenariste de l'album : Pierre-Henry Gomont Dessinateur de l'album : Pierre-Henry Gomont Coloriste : Pierre-Henry Gomont Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Les années 1990, au coeur des terres russes. Depuis sa vive altercation avec Slava, Lavrine n'a pas donné signe de vie. Si ce dernier s'avère introuvable, c'est qu'il a été abandonné par Troubetskoï dans un patelin loin de tout, amputé de deux doigts et sans le sou. Embourbé dans sa solitude, Lavrine est l'ombre de lui-même. S'il parvient, pour survivre, à embobiner les bonnes âmes qui lui offrent de l'aide, le coeur n'y est plus. Il a perdu l'appétit du gain et de l'escroquerie qui toujours lui ont tenu lieu de raison de vivre... Trouvera-t-il, dans ces errements et les eaux troubles du doute le souffle qui lui manque pour qu'enfin, il se révèle à lui-même ? Quant à Slava, il entretient avec plus de zèle et d'assiduité sa passion clandestine avec Nina que la conclusion des transactions qu'il a initiées avec Troubetskoï afin de sauver la mine. C'est qu'il doit redoubler d'ingéniosité pour éviter qu'Arkady, le fiancé de son impétueuse amante, ne découvre leur romance... Deuxième tome de la trilogie tragi-comique de Pierre-Henry Gomont, dans laquelle l'auteur dépeint, avec la verve et le talent qui lui sont propres, le destin cabossé de ce duo slave, bigarré et attachant. Critique : C'est rigolo car plus que Slava, ce deuxième tome devrait s'appeler Larvine. Non pas que l'on ne voie pas Slava. Il reste le narrateur et le personnage central. mais il est plus discret sur ce tome ci, passant son temps dans les bras de Nina. Lavrine est lui l'exemple de la Russie des années 90. Un vrai Prigojine en puissance. La façon dont il anguille dans un univers en ruine et dont il réussit à faire fortune sur le dos des autres est aussi bluffante et réaliste. C'est saisissant tout autant que le personnage de Pierre-Henry Gomont est bien pensé. Car malgré tout ce qu'il fait, on continue à l'aimer. Il fait ce que son époque lui permet, et est bien moins impitoyable que les autres requins dans les eaux de qui il navigue. Notre immortel Lavrine est vraiment un personnage fascinant qui porte ce deuxième tome... jusqu'à intelligemment recentrer le récit sur Slava qui sera, à n'en pas douter, sera le personnage principal d'un troisième et dernier tome qui sera, à n'en pa douter, aussi bon que les deux précédents. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slava-tome-2-les-nouveaux-russes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Echecs

    Titre de l'album : Echecs Scenariste de l'album : Victor Lorenzo Pinel Dessinateur de l'album : Victor Lorenzo Pinel Coloriste : Victor Lorenzo Pinel Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La vie, comme le jeux d'échecs.Facile à apprendre, amusant à jouer, difficile à gagner... impossible à contrôler ! Les portes d'un tram s'ouvrent et un jeune homme flashe sur une femme qu'il ne reverra plus. C'est le point de départ de ce récit choral où les protagonistes, tous en train d'échouer dans leurs relations personnelles, sont comme les pièces d'un jeu d'échecs. Les pions se demandent si ce n'est pas le moment de sacrifier une pièce pour continuer à avancer. Les fous se croisent sans vraiment se trouver. Le cavalier, libre, capable de sauter au-dessus des autres pièces, mais vulnérable car, aussi insaisissable qu'il soit, un cavalier peut être pris par un simple pion. Ils avancent tous, se confrontent, se déplacent dans leur vie comme sur un échiquier. Ils sont tous connectés sans même le savoir et vont jouer une partie qui va changer leur vie. Critique : La vie c'est comme une boite de chocolat.... Ah non mince ce n'est pas le bon sujet. La vie c'est comme une partie d'échec. Chaque personne correspondant à une pièce. Les fous, les tours, les cavaliers, les pions, les reines et bien sur les rois... Cette métaphore qui ne semble pas évidente est vraiment bien pensée par Victor Lorenzo Pinel et fait de cet album l'un des romans graphiques de la rentrée. En utilisant un chassé-croisé de personnages aux vies très différentes, il réussit à imposer cette vision du monde comme un jeu d'échec. Guidé, en fil rouge, par le personnage de la mamie et son apprentissage des subtilités des échecs, les vies de tous les personnages évoluent sous nos yeux, et ce, sans jamais que la lecture ne devienne brouillonne. Car c'est le risque de ce genre destins croisés : Avoir trop de personnages et donc trop d'informations peut faire que l'on n'arrive pas à suivre. Ici, on suit bien. On a même un "récap" final bien foutu, au cas où l'on aurait de toutes sur les entrecroisements du scenario. On est donc à même d'apprécier les changements de nos personnages tout comme l'on apprécie grandement que les vies présentées ne soient pas que des changements radicaux (du genre opérations). Un ensemble très cohérent, parfois émouvant, parfois rigolo, mais tout le temps plaisant. La rentrée littéraire commence bien ! PS: mention spéciale à la dernière page 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/echecs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Echecs

    La vie c'est comme une boite de chocolat.... Ah non mince ce n'est pas le bon sujet. La vie c'est comme une partie d'échec. Chaque personne correspondant à une pièce. Les fous, les tours, les cavaliers, les pions, les reines et bien sur les rois... Cette métaphore qui ne semble pas évidente est vraiment bien pensée par Victor Lorenzo Pinel et fait de cet album l'un des romans graphiques de la rentrée. En utilisant un chassé-croisé de personnages aux vies très différentes, il réussit à imposer cette vision du monde comme un jeu d'échec. Guidé, en fil rouge, par le personnage de la mamie et son apprentissage des subtilités des échecs, les vies de tous les personnages évoluent sous nos yeux, et ce, sans jamais que la lecture ne devienne brouillonne. Car c'est le risque de ce genre destins croisés : Avoir trop de personnages et donc trop d'informations peut faire que l'on n'arrive pas à suivre. Ici, on suit bien. On a même un "récap" final bien foutu, au cas où l'on aurait de toutes sur les entrecroisements du scenario. On est donc à même d'apprécier les changements de nos personnages tout comme l'on apprécie grandement que les vies présentées ne soient pas que des changements radicaux (du genre opérations). Un ensemble très cohérent, parfois émouvant, parfois rigolo, mais tout le temps plaisant. La rentrée littéraire commence bien ! PS: mention spéciale à la dernière page 🙂
  9. poseidon2

    Equinox tome 2 - Cheval de mer

    Après un premier tome que j'avais trouvé assez décevant car manquant de deuxième niveau de lecture pour adulte, ce tome 2... ne corrige pas forcément le tir, mais montre quand même que l'univers est assez énorme et que l'histoire n'est pas aussi "facile" que cela pour notre héroïne. En effet ce tome deux nous montre l'étendu des dommages subit par Equinox et du changement des populations restées là-bas. Il nous montre aussi le décalge entre Kamara, qui a passé 3 ans sur terre ne se souvenant de rien, et ce qui change sa vision de ce qui s'est passé sur Equinox. Si l'histoire s'enrichit, on reste sur une histoire très gentille avec des personnages super caricaturaux et aux réactions trop peu naturelles… J'avoue ne pas trop savoir où positionner le curseur sur cette série...
  10. Titre de l'album : Equinox tome 2 - Cheval de mer Scenariste de l'album : Aurelie Wellenstein Dessinateur de l'album : Aurora Gate Coloriste : Aurora Gate Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Dans les mers turquoise et les lagons translucides d'Equinox, un monstre marin sème la terreur ! Trois années se sont écoulées depuis l'explosion de la lune d'Equinox. Kamara, amnésique, a passé ce temps dans le cocon de sa famille adoptive, sur Terre. Mais quand Tenebrae refait irruption dans sa vie, la mémoire lui revient. La jeune fille retourne dans son monde, bien déterminée à le sauver et à retrouver ses soeurs disparues. Sur place, ses espoirs s'écroulent. Seule humaine dans un monde devenu animal, elle est une étrangère, rejetée par tous. Et le dangereux monstre marin Céto convoite son humanité... Heureusement, Kamara peut compter sur le loup Tenebrae, sur Arion le cheval de mer, et sur la mystérieuse magie de la lune qui sommeille en elle... Critique : Après un premier tome que j'avais trouvé assez décevant car manquant de deuxième niveau de lecture pour adulte, ce tome 2... ne corrige pas forcément le tir, mais montre quand même que l'univers est assez énorme et que l'histoire n'est pas aussi "facile" que cela pour notre héroïne. En effet ce tome deux nous montre l'étendu des dommages subit par Equinox et du changement des populations restées là-bas. Il nous montre aussi le décalge entre Kamara, qui a passé 3 ans sur terre ne se souvenant de rien, et ce qui change sa vision de ce qui s'est passé sur Equinox. Si l'histoire s'enrichit, on reste sur une histoire très gentille avec des personnages super caricaturaux et aux réactions trop peu naturelles… J'avoue ne pas trop savoir où positionner le curseur sur cette série... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/equinox-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Ne lache pas ma main Scenariste de l'album : Fred Duval adaptant Michel Bussi Dessinateur de l'album : Didier Cassegrain Coloriste : Didier Cassegrain Editeur de l'album : Dupuis - Air Libre Note : Résumé de l'album : Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de 6 ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au coeur de la nature luxuriante de l'île, est lancée. Une officier de police opiniâtre pourra-t-elle appréhender le suspect ? Après le succès de l'adaptation en bande dessinée de son roman Les Nymphéas noirs, Michel Bussi revient en compagnie de Fred Duval et Didier Cassegrain pour Ne lâche pas ma main, un thriller haletant au coeur de l'île de La Réunion. Critique : Très honnêtement, je ne me souviens plus combien de temps que cela fait qu'une BD ne m'avait pas happé comme cela, au point de me coucher tresss tard pour la finir, sans jamais avoir d'impression de fatigue. Je ne saurais dire qui du roman ou de la bas est le meilleur support, mais reste que cette lecture fut magique. Une enquête menée de main de maitre. Des rebondissements bien cachés. Des moments de drame et une conclusion qui nous satisfait, le tout porté par un dessin superbe. Un dessin qui réussi le difficile challenge d'allier la beauté, et le côté vacances de l'ile de la réunion tout en représentant le côté stressant et tendu de l'histoire. On est littéralement passionné par cette chasse à l'homme, sans jamais réussir à avoir une longueur d'avance sur l'histoire. Après le succès des Nymphéas Noirs, on aurait pu avoir peur que la comparaison plombe le ressenti. Il n'en est rien. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ne-lache-pas-ma-main?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Ne lache pas ma main

    Très honnêtement, je ne me souviens plus combien de temps que cela fait qu'une BD ne m'avait pas happé comme cela, au point de me coucher tresss tard pour la finir, sans jamais avoir d'impression de fatigue. Je ne saurais dire qui du roman ou de la bas est le meilleur support, mais reste que cette lecture fut magique. Une enquête menée de main de maitre. Des rebondissements bien cachés. Des moments de drame et une conclusion qui nous satisfait, le tout porté par un dessin superbe. Un dessin qui réussi le difficile challenge d'allier la beauté, et le côté vacances de l'ile de la réunion tout en représentant le côté stressant et tendu de l'histoire. On est littéralement passionné par cette chasse à l'homme, sans jamais réussir à avoir une longueur d'avance sur l'histoire. Après le succès des Nymphéas Noirs, on aurait pu avoir peur que la comparaison plombe le ressenti. Il n'en est rien.
  13. Grym est le dernier tome et conclusion de la série spin off sur la jeunesse de Thorgal. Cette série a été un vrai plaisir pour moi, tant j'ai retrouvé les ambiances des premiers Thorgal. Des vikings, des mythes, de l'aventure. Certes ce Thorgal version jeune est un combattant plus tendre que sa version adulte, mais il brille déjà par son courage et sa morale. Ses qualités lui attirent déjà ennemis et amis, mais surtout des aventures à n'en plus finir. La jeune Aaricia ne démérite pas pour autant et offre un personnage faisant écho à celui de Thorgal, parfois même un peu dépassé. Les drames et les rebondissements vont se succéder dans cet épisode qui va voir une nouvelle fois des peuples du nord s'affronter sur fond d'exclusion et de conflits larvés. Le personnage de Grym se révèlera particulièrement intéressant par sa dramaturgie. Pour le dessin, il n'y a évidemment pas grand chose à redire sur le travail remarquable de Surzhenko qui dessine désormais cette série depuis le début et à su comme le créateur de Thorgal s'approprier finalement ce héros hors du commun et son univers graphique. C'est beau, c'est bien, c'est réussi. Merci donc pour cette petite rallonge de plaisir de 11 tomes qui nous aura fait profiter de Thorgal un peu plus. Place désormais à Thorgal Saga !
  14. Titre de l'album : La jeunesse de Thorgal - Tome 11 - Grym Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Elvire De Cock Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Thorgal est mort... mais ce n'est pas encore aujourd'hui que Hel l'accueillera en son royaume ! Ayyur, la déesse berbère de la Lune, l'a pris sous sa protection. Mais pour revenir des limbes, il y aura un prix à payer ! Critique : Grym est le dernier tome et conclusion de la série spin off sur la jeunesse de Thorgal. Cette série a été un vrai plaisir pour moi, tant j'ai retrouvé les ambiances des premiers Thorgal. Des vikings, des mythes, de l'aventure. Certes ce Thorgal version jeune est un combattant plus tendre que sa version adulte, mais il brille déjà par son courage et sa morale. Ses qualités lui attirent déjà ennemis et amis, mais surtout des aventures à n'en plus finir. La jeune Aaricia ne démérite pas pour autant et offre un personnage faisant écho à celui de Thorgal, parfois même un peu dépassé. Les drames et les rebondissements vont se succéder dans cet épisode qui va voir une nouvelle fois des peuples du nord s'affronter sur fond d'exclusion et de conflits larvés. Le personnage de Grym se révèlera particulièrement intéressant par sa dramaturgie. Pour le dessin, il n'y a évidemment pas grand chose à redire sur le travail remarquable de Surzhenko qui dessine désormais cette série depuis le début et à su comme le créateur de Thorgal s'approprier finalement ce héros hors du commun et son univers graphique. C'est beau, c'est bien, c'est réussi. Merci donc pour cette petite rallonge de plaisir de 11 tomes qui nous aura fait profiter de Thorgal un peu plus. Place désormais à Thorgal Saga ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Harlem 2/2

    Suite et fin de la biographie de Stéphanie St Clair, figure marquante de la vie de Harlem et biographie orientée car n'allant pas au bout de vie de cette figure des mouvements noirs comme on a pu le voir dans le Queenie de Aurelie Levy et Elisabeth Colomba. Les personnes qui ne connaissent pas ce personnage haut en couleur seront bluffées par la suite de la vie de Queenie. Une deuxième partie qui se concentre sur la chute de Queenie et son affrontement direct et sanglant avec Dutch. Une véritable ambiance de guerre des gangs des années 20 magnifiée par les dessins toujours aussi beaux de Mikaël. On est aspiré par ces dessins et envouté par un destin hors du commun. À découvrir pour tous ceux qui aiment cette époque ou ne connaissent pas le personnage. Ce troisième diptyque sur le New York des années 20 est peut-être le plus marquant des trois.
  16. poseidon2

    Harlem 2/2

    Titre de l'album : Harlem 2/2 Scenariste de l'album : Mikael Dessinateur de l'album : Mikael Coloriste : Mikael Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : L'audacieuse et secrète Stéphanie St. Clair, dite Queenie, règne sur Harlem grâce à la loterie clandestine dont elle est la tête pensante. Une loterie qui offre l'espoir d'une vie meilleure à la communauté de ce quartier pauvre, mis au ban de la société. Femme et noire, Queenie fait grincer des dents la police mais aussi Dutch Schultz « le hollandais ». Ce mafieux blanc met tout en oeuvre pour s'emparer du business florissant de la reine de Harlem. Il n'hésite pas à abattre les sbires de sa rivale et sème la terreur. Mais il en faut plus pour la déstabiliser. La « Frenchy » élabore sa contre-attaque en suivant son instinct, comme elle l'a toujours fait depuis qu'elle a brisé les chaînes de son asservissement, là-bas, dans les champs de canne à sucre antillais. Sa tribune hebdomadaire dans le Amsterdam News, dans laquelle elle dénonce les exactions des autorités, commence à agacer. Ou à faire peur ? Car comme la femme d'affaires le dit elle-même : « ... voyez-vous, le plus grand atout d'une femme, est d'être qui elle est, parce que personne ne pense qu'elle en aura assez dans la culotte pour arriver à ses fins. Cela la rend imprévisible, incontrôlable... et dans le fond, vous effraie. » Il semblerait que le passé de Stéphanie St. Clair soit encore plus sombre qu'on ne l'imaginait... Critique : Suite et fin de la biographie de Stéphanie St Clair, figure marquante de la vie de Harlem et biographie orientée car n'allant pas au bout de vie de cette figure des mouvements noirs comme on a pu le voir dans le Queenie de Aurelie Levy et Elisabeth Colomba. Les personnes qui ne connaissent pas ce personnage haut en couleur seront bluffées par la suite de la vie de Queenie. Une deuxième partie qui se concentre sur la chute de Queenie et son affrontement direct et sanglant avec Dutch. Une véritable ambiance de guerre des gangs des années 20 magnifiée par les dessins toujours aussi beaux de Mikaël. On est aspiré par ces dessins et envouté par un destin hors du commun. À découvrir pour tous ceux qui aiment cette époque ou ne connaissent pas le personnage. Ce troisième diptyque sur le New York des années 20 est peut-être le plus marquant des trois. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harlem-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Alice au pays du chaos

    Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf
  18. Titre de l'album : Alice au pays du chaos Scenariste de l'album : Manolo Carot Dessinateur de l'album : Manolo Carot Coloriste : Manolo Carot Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Alice se réveille au sein d'une étrange maisonnée. Que c'est-il passé? qui est cette femme qui s'occupe d'elle avec tant d'attention? et pourquoi cette gamine la regarde avec admiration? mais oú est-elle? c'est alors qu'elle cherche une réponse à ses questions que le destin lui répond avec toute la force dont il sait faire parfois usage. l'entraînant dans un monde délirant oú le sexe est la monnaie d'échange la plus efficace pour survivre dans ce cauchemar. Bienvenue, alice, au pays du chaos!. Critique : Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nouveau tome sur les compagnons de la libération et tome pour lequel je ne suis absolument pas neutre, car on parle du plateau du Vercors, juste à coté de chez moi 🙂 Un plateau que je ne connais malheureusement que trop peu. Et pour lequel cet album m'a appris énormément de chose. Une histoire au final assez obscure de la résistance avec un plateau du Vercors qui n'a jamais vraiment été traité comme les hommes résistants là-haut le méritaient. Une histoire qui, encore une fois, méritait d'être racontée. Une histoire de plus qui met en avant les hommes de l'ombre de la résistance, une vraie belle histoire qui augmente encore l'intérêt de cette belle collection sur les compagnons de la libération
  20. Titre de l'album : Les compagnons de la liberation - Vassieux-en-Vercors Scenariste de l'album : Jean-Yves Le Naour Dessinateur de l'album : Claude Plumail Coloriste : Claude Plumail Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le maquis qui a laissé la plus grande empreinte dans notre mémoire. Ce n'est pas seulement un des maquis les plus anciens, gonflé par la loi sur le STO qui fait fuir des centaines de jeunes dans la montagne. Ce n'est pas seulement un des principaux maquis, tant par la zone contrôlée, le plateau du Vercors, que par les 4 000 hommes rassemblés et prêts à combattre. C'est aussi un lieu de sacrifice. Un haut lieu de la Résistance et le terrain d'une répression impitoyable de la part de l'occupant. Le Vercors, c'est l'héroïsme et le sacrifice, la fierté du soulèvement contre l'occupant nazi, mais aussi la tragédie d'une répression sanglante.Le maquis qui a laissé la plus grande empreinte dans notre mémoire. Critique : Nouveau tome sur les compagnons de la libération et tome pour lequel je ne suis absolument pas neutre, car on parle du plateau du Vercors, juste à coté de chez moi 🙂 Un plateau que je ne connais malheureusement que trop peu. Et pour lequel cet album m'a appris énormément de chose. Une histoire au final assez obscure de la résistance avec un plateau du Vercors qui n'a jamais vraiment été traité comme les hommes résistants là-haut le méritaient. Une histoire qui, encore une fois, méritait d'être racontée. Une histoire de plus qui met en avant les hommes de l'ombre de la résistance, une vraie belle histoire qui augmente encore l'intérêt de cette belle collection sur les compagnons de la libération Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-compagnons-de-la-liberation-vassieux-en-vercors?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Dans le béton

    En préambule de cette critique, veuillez bien prendre en compte que cette histoire est éditée par un "petit" éditeur qui n'a pas les moyens de Dargaud et compagnie. Cet album est donc en couverture souple et au format comics. L'édition n'en est pas moins soignée avec du papier de qualité et une reliure qui va bien. Ceci dit, cet album c'est révélé une bonne surprise. Notre auteure a choisi le difficile travail de faire se croiser plusieurs visions d'une même histoire : celle de la narration Radio, celle du collègue et celle de nos héroïnes. Choix risqué car exigeant de garantir la cohérence du récit mais aussi la cohérence de la temporalité des événements. Et c'est globalement bien réussi. On aurait aimé avoir un peu plus de passif sur nos deux jeunes filles, pour comprendre un peu plus leurs motivations, mais cela ne nous empêche pas d'apprécier ce polar. La narration est bien faite nous laissant comprendre, petit à petit, le rôle de nos deux filles dans l'arrestation du matin. Un rôle qui semble mineur mais qui, au regard de leur vie, va tout changer. Graphiquement, le choix de privilégier les grandes cases permet à Mamoste Din de nous montrer son talent à l'aquarelle Portée par deux héroïnes charismatiques par leurs effronteries et leurs sans-gènes, cette histoire se lit avec envie et intérêt, au point de regretter l'ouverture laissée au lecteur sur la fin de leurs histoires. PS: le plus simple pour se procurer l'album est de passer par le site des éditions plagiat : https://www.les-editions-plagiat.fr/ PS2: l'album est en lecture gratuite sur le site
  22. poseidon2

    Dans le béton

    Titre de l'album : Dans le béton Scenariste de l'album : Mamoste Din Dessinateur de l'album : Mamoste Din Coloriste : Mamoste Din Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Il est six heures. Alberto Conti se rend au travail, ses écouteurs plantés dans les oreilles comme tous les matins, quand il se retrouve happé par une émission de radio relatant un braquage mené par deux hommes en trottinette électrique. Un témoin raconte les événements incroyables qui se sont déroulés sous ses yeux et l'arrestation des différents protagonistes. Mais ce récit anecdotique, surprenant et burlesque prend une autre dimension quand Alberto arrive sur son lieu de travail où il découvre la disparition de deux de ses collègues. Critique : En préambule de cette critique, veuillez bien prendre en compte que cette histoire est éditée par un "petit" éditeur qui n'a pas les moyens de Dargaud et compagnie. Cet album est donc en couverture souple et au format comics. L'édition n'en est pas moins soignée avec du papier de qualité et une reliure qui va bien. Ceci dit, cet album c'est révélé une bonne surprise. Notre auteure a choisi le difficile travail de faire se croiser plusieurs visions d'une même histoire : celle de la narration Radio, celle du collègue et celle de nos héroïnes. Choix risqué car exigeant de garantir la cohérence du récit mais aussi la cohérence de la temporalité des événements. Et c'est globalement bien réussi. On aurait aimé avoir un peu plus de passif sur nos deux jeunes filles, pour comprendre un peu plus leurs motivations, mais cela ne nous empêche pas d'apprécier ce polar. La narration est bien faite nous laissant comprendre, petit à petit, le rôle de nos deux filles dans l'arrestation du matin. Un rôle qui semble mineur mais qui, au regard de leur vie, va tout changer. Graphiquement, le choix de privilégier les grandes cases permet à Mamoste Din de nous montrer son talent à l'aquarelle Portée par deux héroïnes charismatiques par leurs effronteries et leurs sans-gènes, cette histoire se lit avec envie et intérêt, au point de regretter l'ouverture laissée au lecteur sur la fin de leurs histoires. PS: le plus simple pour se procurer l'album est de passer par le site des éditions plagiat : https://www.les-editions-plagiat.fr/ PS2: l'album est en lecture gratuite sur le site Autres infos : Editions Plagiat Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-beton?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Apres Hannibal Lecter, Les pires flics de new york débarquent dans la perfide Albion pour s'en prendre à rien de moins qu'à James Bond lui-même. Enfin non. Comme d'habitude, ils poursuivent la belle Courtney qui se retrouve à enquêter sur une affaire qui embête le MI-5. Toujours aussi farfelue, Spoon est un peu moins drôle dans ce tome 4 que dans le précédent. On commence à avoir l'habitude de ses gags avec son Groofy et de ses gaffes. Ce qui sauve ce tome 4, c'est que le personnage de Courntey est elle au sommet de sa forme et bien armée pour résister aux avances de James. Au final un tome quatre un peu moins marrant que le précédent mais toujours divertissant.
  24. Titre de l'album : Spoon & White tome 4 - Spoonfinger Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Franck Isard / Jean Leturgie Coloriste : Franck Isard / Jean Leturgie Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les pire flics de New-York débarquent en Grande-Bretagne. Shocking ! Depuis quelque temps, les agents double zéros du MI-5 se mettent à briller comme les vers luisants. Ça pourrait passer inaperçu au milieu des centaines de milliers de lumières de New York. Sauf qu'un des agents perd la boule et effectue une prise d'otage au sommet d'un immeuble. Alors là, ça fait comme une tâche sur la Grosse Pomme. Et quand ce sont Spoon & White qui jouent aux négociateurs, la tâche risque d'être rouge et au pied du bâtiment. Il va falloir toute l'intelligence de Courtney Balconi pour mener l'enquête. Une enquête qui va les mener jusqu'à Londres. Critique : Apres Hannibal Lecter, Les pires flics de new york débarquent dans la perfide Albion pour s'en prendre à rien de moins qu'à James Bond lui-même. Enfin non. Comme d'habitude, ils poursuivent la belle Courtney qui se retrouve à enquêter sur une affaire qui embête le MI-5. Toujours aussi farfelue, Spoon est un peu moins drôle dans ce tome 4 que dans le précédent. On commence à avoir l'habitude de ses gags avec son Groofy et de ses gaffes. Ce qui sauve ce tome 4, c'est que le personnage de Courntey est elle au sommet de sa forme et bien armée pour résister aux avances de James. Au final un tome quatre un peu moins marrant que le précédent mais toujours divertissant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spoon-and-white-tome-4-spoonfinger?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    toutes pour un

    Titre de l'album : toutes pour un Scenariste de l'album : : Olivier Gay Dessinateur de l'album : Jonathan Aucomte Coloriste : Jonathan Aucomte Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Amitié, Amour, Baston et Boules de feu. Un pour toutes, toutes pour un. Voici les nouvelles mousquetaires !Elles sont trois. Une princesse magicienne, une redoutable escrimeuse et une brillante bricoleuse.Elles ne se connaissent pas, ne s'apprécient pas, mais devront mettre de côté leurs différences pour sauver le monde. Combats, trahisons, explosions, voyages aux quatre coins des royaumes, complots, mariages arrangés, amours naissantes et rivalités fratricides, rien ne leur sera épargné.Et puis il y a lui. Lui qui ne sait rien faire, ne comprend rien, et s'est retrouvé au milieu de cette histoire.Mais il est gentil, hein. C'est déjà ça. Critique : Les Gardiennes d'Aether avait été un des excellents premiers tome de 2021. On attendait donc avec impatience la suite de l'histoire. Seulement "la crise" et l'inflation galopante est passée par la et les éditeurs ont, pour beaucoup, préféré mettre en avant des gros volumes pour justifier les nouveaux tarifs et ne pas vendre à cher "peu de pages". On se retrouve donc avec non pas un tome deux mais bien un seul et unique tome de 136 pages. Si cela pourra en contrarier ceux qui ont acheté le premier tome et se retrouveront avec un doublon, il ne faut que cela empêche de dire que ce gros one shot est l'une des plus belles réussites de Drakoo. Le texte le plus croustillant d'Olivier Gay et L'histoire (avec un grand L) parfaite pour votre été. Un énorme volume de détente. Pas de l'humour potache,, mais de la détente bien trouvée avec des petites phases bien posées, mais surtout un romantisme constant sans être omniprésent. Un romantisme super réaliste porté par un Aether tellement innocent qu'il fait tomber toutes les filles sans s'en rendre compte. Filles aux caractères bien trempées, mais complémentaires et qui permet à l'équipe de traverser un nombre impressionnant d'aventures. Olivier Gay réussit ce qu'il avait eu plus d mal à faire dans les demonistes : marier un humour tranchant avec un scenario d'aventure bien pensé. Car cette histoire se trouve être plus compliqué que l'on ne l'imaginait, mais surtout a, et cela est étonnant, une explication mais aussi une fin. Une lecture ou l'on tombe "amoureux" de ses personnages, ça faisait un moment que ça ne m'était pas arrivé. Cela faisait longtemps que je n'ai pas souhaité, en BD, revoir toute l'équipe dans de nouvelles aventures ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-gardiennes-d-aether-toutes-pour-un?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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