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  1. poseidon2

    Les vies de Charlie

    Pour décrire les vies de Charlie, on pourrait simplement dire que c'est une réussite. On pourrait aussi dire que c'est à la BD ce que les Miyazaki sont à l'animation japonaise : de belles fables sublimement bien illustrées et pleine de vie. C'est exactement cela les Vies de Charlie. Sublimé par un dessin tout en rondeur et en couleur vivent, mais pas agressives, l'histoire de Kid Toussaint nous emporte et dépasse le côté mystique de l'existence de l'âme pour nous raconter une histoire d'amour qui dépasse les époques. C'est beau, c'est mignon, ça donne du baume au cœur comme rarement. A Lire
  2. Titre de l'album : Filles uniques tome 4 - Apolline Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Camille Méhu Coloriste : Camille Méhu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Apolline, c'est la bonne copine. Ou plutôt, la bonne poire. L'adolescente se met constamment au service des autres, pour se faire oublier, pour ne pas déranger. Apolline, la béquille qui soutient sans rien demander en retour, et qui ne connait que rejet et solitude depuis toute petite. Si elle fait partie du « club des mal-barrées », ce n'est pas pour autant que ses amies font réellement attention à elle. Et ne parlons pas de ses parents, qui auraient préféré un garçon appréciant la lecture et la musique classique, comme eux, au lieu de cette fille masculine qui joue au rugby... Le désarroi d'Apolline est tel que l'issue de son mal-être semble de plus en plus précise... Ne serait-il pas temps pour Sierra, Paloma, Chélonia et Céleste d'ouvrir les yeux ? Car sur l'échiquier de leur amitié, tous les pions sont indispensables : si Sierra a le tempérament positif du Fou, Céleste incarne le Cavalier, agissant avec discrétion mais franchissant tous les obstacles, tandis que Paloma et Chélonia motivent leurs troupes en Reines du plateau. Aux échecs cependant, on ne peut jouer sans sa Tour, qu'incarne Apolline : toujours dans son coin, certes, mais elle est l'amie solide sur qui on peut compter en cas de besoin. Critique : C'est au tour de d'Appoline de nous livrer ces secrets. Secrets que l'on pensait simple, avec son amour pour les filles, mais qui se trouve être bien plus complexe. Beka nous décrit une jeune fille qui, sous un dehors de filles fortes, se trouve être toute sauf bien dans ses bottes. Toujours en remise en questions et jamais assez bien pour ses parents. Vraiment différentes des autres filles, cette histoire n'en est pas moins super intéressantes, surtout que Beka nous montre que le bonheur trouvé des autres filles dans les tomes précédents a un impact inattendu sur celles qui ne se sentent pas bien dans leurs peaux. Encore un excellent, tome qui se termine avec une ouverture bluffante sur le 5 ieme tome et sur l'histoire de Chélonia. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-4-apolline?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. C'est au tour de d'Appoline de nous livrer ces secrets. Secrets que l'on pensait simple, avec son amour pour les filles, mais qui se trouve être bien plus complexe. Beka nous décrit une jeune fille qui, sous un dehors de filles fortes, se trouve être toute sauf bien dans ses bottes. Toujours en remise en questions et jamais assez bien pour ses parents. Vraiment différentes des autres filles, cette histoire n'en est pas moins super intéressantes, surtout que Beka nous montre que le bonheur trouvé des autres filles dans les tomes précédents a un impact inattendu sur celles qui ne se sentent pas bien dans leurs peaux. Encore un excellent, tome qui se termine avec une ouverture bluffante sur le 5 ieme tome et sur l'histoire de Chélonia.
  4. Deuxième tome de notre histoire futuriste. Tout d'abord, et comme on le voit sur la couverture, les dessins de Thomas Labourot sont toujours aussi magnifiques, tout comme la coloration, ce qui crée un univers toujours aussi envoutant. Ensuite l'histoire suit son cours et Beka nous livre un tome en ligne direct du premier. On suit un parallèle dynamique entre A-Lan et son aventure spatiale et Nao et Emoji et leurs aventures dans le Dark Web. On pourra peut-être juste regretter des méchants un poil trop facile à battre pour le moment et aux motivations... un peu décevantes. Mais l'aventure elle-même est agréable et ravira les plus jeunes lecteurs. La fin du tome deux nous fait miroiter un tome 3 un peu plus complexe avec plus d'histoire de l'IA de Nao et donc sur le passé de cette étrange maison.
  5. Titre de l'album : A-lan tome 2 - Inside the darknet Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le robot A-Lan est en route pour la gigantesque station orbitale qui gravite autour de notre planète. Son but ? Se rendre dans la mer de Débris pour trouver une batterie compatible avec le vieil ordinateur de Nao. Mais Edmound, un trafiquant bourru et barbu, le prévient : le Grand Troll se livre à une drôle d'activité dans la mer de Débris. Alertés, Nao et Emoji veulent découvrir ce qui se trame et s'enfoncent dans les arcanes du Dark Web, la zone la plus sombre, effrayante et dangereuse des mondes virtuels... Critique : Deuxième tome de notre histoire futuriste. Tout d'abord, et comme on le voit sur la couverture, les dessins de Thomas Labourot sont toujours aussi magnifiques, tout comme la coloration, ce qui crée un univers toujours aussi envoutant. Ensuite l'histoire suit son cours et Beka nous livre un tome en ligne direct du premier. On suit un parallèle dynamique entre A-Lan et son aventure spatiale et Nao et Emoji et leurs aventures dans le Dark Web. On pourra peut-être juste regretter des méchants un poil trop facile à battre pour le moment et aux motivations... un peu décevantes. Mais l'aventure elle-même est agréable et ravira les plus jeunes lecteurs. La fin du tome deux nous fait miroiter un tome 3 un peu plus complexe avec plus d'histoire de l'IA de Nao et donc sur le passé de cette étrange maison. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-lan-tome-2-inside-the-darknet?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Le réseau comète

    Nouvelle BD dans la série sur la seconde guerre mondiale chez Grand Angle avec une histoire... que je ne connaissais pas ! Oui oui il reste es partie de la seconde guerre mondiale inconnue du grand public : le réseau Comète dit réseau "Ligne". Ce réseau était en charge d'exfiltrer les pilote alliés qui était touché en Belgique et en France. Et une exfiltration qui nécessitait tout le savoir-faire de la résistance. De faux papier à une traversée la France jusqu'en Espagne, Bien documentée et joliment dessinée, cette BD met en avant la dernière survivante de ce réseau et de nous montrer qu'il n'y avait pas de petit mouvement de résistance.
  7. Titre de l'album : Le réseau comète Scenariste de l'album : Jean-Yves Le Naour Dessinateur de l'album : Marko Coloriste : Marko Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Des centaines de résistants de « l'armée des ombres », discrets, silencieux, un « ordre de la nuit » fait de petites mains, qui hébergent, qui convoient, qui ravitaillent et sans lesquels rien n'aurait été possible. Des centaines de résistants de « l'armée des ombres », discrets, silencieux, organisent le plus grand réseau d'évasion de la Seconde Guerre mondiale. Son but : conduire des aviateurs de Belgique jusqu'au Pays-Basque, en évitant les patrouilles allemandes, les gendarmes de Vichy et les garde-frontières franquistes.Voici l'histoire d'une montagne indomptable, d'une comète qui traversait la France en déchirant la nuit de l'occupation, l'histoire d'hommes et de femmes rebelles dont la liberté guidait les pas, un «ordre de la nuit» sans lequel rien n'aurait été possible. Critique : Nouvelle BD dans la série sur la seconde guerre mondiale chez Grand Angle avec une histoire... que je ne connaissais pas ! Oui oui il reste es partie de la seconde guerre mondiale inconnue du grand public : le réseau Comète dit réseau "Ligne". Ce réseau était en charge d'exfiltrer les pilote alliés qui était touché en Belgique et en France. Et une exfiltration qui nécessitait tout le savoir-faire de la résistance. De faux papier à une traversée la France jusqu'en Espagne, Bien documentée et joliment dessinée, cette BD met en avant la dernière survivante de ce réseau et de nous montrer qu'il n'y avait pas de petit mouvement de résistance. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comete-la-ligne-d-evasion/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    L'arc-en-Cieliste

    Dargaud nous propose un album étonnant, a mi-chemin entre le récit fantastique et l'histoire d'amour. Dure à décrire. En effet, on suit la progression et l'ouverture d'esprit de notre jeune scientifique. Ouverture d'esprit qui transforme autant son entourage que sa vision de la vie. Enter hymne à la science en tant qu'arme contre l'obscurantisme et la découverte du monde par un jeune Anglais resté cloîtré chez lui. Une belle histoire superbement mise en image avec un découpage en chapitre donnant le ton aux couleurs employés, et ce, en fonction des couleurs... de l'arc-en-ciel bien sur.
  9. Titre de l'album : L'arc-en-Cieliste Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Laura Iorio Coloriste : Laura Iorio Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Printemps 1666, la peste sévit à Londres. À quelques centaines de lieues dans un village de la campagne anglaise, un jeune lord désargenté, Hayden Springworth, est fasciné par un phénomène météorologique jusqu'alors inexpliqué : les arcs-en-ciel. Hayden part à l'aventure dès qu'il en aperçoit un car Poppy, sa vieille nourrice irlandaise, lui a assuré que de monstrueux lutins, les Leprechaun, cachent des chaudrons remplis d'or au pied de ces arcs colorés. Cette vision empreinte de légende et de magie va se confronter à la réalité quand Hayden fait la connaissance d'Isaac Newton, qui lui expose ses travaux en cours sur la lumière. Bientôt, la rigueur scientifique balaye toutes les peurs de l'adolescent et alimente sa soif de connaissance. Envoyé dans le Béarn pour devenir maître-frappeur de monnaie, comme son père avant lui, Hayden est bien décidé à continuer ses recherches pour découvrir le secret des arcs-en-ciel avant Newton. Mais sa rencontre avec une étrange jeune fille qui semble avoir le pouvoir de faire tomber la pluie partout où elle se rend va bousculer ses certitudes. Une rencontre fantastique et colorée entre la science et la magie ! Critique : Dargaud nous propose un album étonnant, a mi-chemin entre le récit fantastique et l'histoire d'amour. Dure à décrire. En effet, on suit la progression et l'ouverture d'esprit de notre jeune scientifique. Ouverture d'esprit qui transforme autant son entourage que sa vision de la vie. Enter hymne à la science en tant qu'arme contre l'obscurantisme et la découverte du monde par un jeune Anglais resté cloîtré chez lui. Une belle histoire superbement mise en image avec un découpage en chapitre donnant le ton aux couleurs employés, et ce, en fonction des couleurs... de l'arc-en-ciel bien sur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-arc-en-cieliste/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Le premier tome des "cœurs de ferrailles" avait été un vrai coup de cœur. Graphiquement, Munuera nous avait livré une partition parfaite et Beka un scenario d'une fraicheur inouïe. C'est donc peu dire que ce tome deux était attendu. Et... j'ai été surpris. Surpris de voir qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une suite. C'est une histoire toute neuve dans le même univers. Enfin toute neuve, pas vraiment. On retrouve une jeune fille toute seule qui mène une aventure dans cet univers rétrofuturiste. On retrouve aussi une grande partie des thèmes du premier avec l'exclusion et le racisme anti robot. Si cette histoire est toujours bonne, avec cette fois une interrogation sur les facultés qui ne "seraient" propriétés que des humains, comme l'inspiration, et le dessin toujours superbe, ce deuxième conte n'a pas tout à fait la saveur du premier. La surprise de l'univers n'est plus là mais surtout la fin est moins marquante. Un peu plus facile et convenue. La lecture reste très plaisante, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. On redescend juste de l'arc en ciel pour se reposer tranquillement sur le plancher des vaches.
  11. Titre de l'album : Les coeurs de ferraille tome 2 - L'inspiration Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : José-Luis Munuera Coloriste : José-Luis Munuera Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Eva, une jeune vagabonde accompagnée de son chien Jesper, mène une vie de liberté, de solitude et de chapardage. Elle a un jour la bonne surprise de trouver un livre qui va lui bouleverser l'âme. Mais aussi bouleverser sa vie. Car Halfa, un riche suprémaciste, a chargé deux robots Limiers de retrouver les exemplaires de ce livre et d'assassiner son auteur, Weldon, un robot : laisser en circulation pareil ouvrage pourrait bien accréditer la thèse qu'une mécanique peut avoir une âme. Et ça, Halfa, qui craint que les robots ne remplacent les humains, ne le veut pour rien au monde. Après un tome 1 qui posait les jalons de leur univers ? un État du Sud des États-Unis uchronique où vivent humains et robots ? les BeKa et Munuera proposent un deuxième tome plein d'humour, d'action et d'humanisme. Critique : Le premier tome des "cœurs de ferrailles" avait été un vrai coup de cœur. Graphiquement, Munuera nous avait livré une partition parfaite et Beka un scenario d'une fraicheur inouïe. C'est donc peu dire que ce tome deux était attendu. Et... j'ai été surpris. Surpris de voir qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une suite. C'est une histoire toute neuve dans le même univers. Enfin toute neuve, pas vraiment. On retrouve une jeune fille toute seule qui mène une aventure dans cet univers rétrofuturiste. On retrouve aussi une grande partie des thèmes du premier avec l'exclusion et le racisme anti robot. Si cette histoire est toujours bonne, avec cette fois une interrogation sur les facultés qui ne "seraient" propriétés que des humains, comme l'inspiration, et le dessin toujours superbe, ce deuxième conte n'a pas tout à fait la saveur du premier. La surprise de l'univers n'est plus là mais surtout la fin est moins marquante. Un peu plus facile et convenue. La lecture reste très plaisante, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. On redescend juste de l'arc en ciel pour se reposer tranquillement sur le plancher des vaches. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-coeurs-de-ferraille-tome-2-l-inspiration?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Pour quelques degrés de plus

    Le titre fait référence en hommage à un bon vieux western, d'ailleurs c'est justement dans un décor désertique et aride que va se dérouler les trois scénarios différents présents dans cet album. Pour quelques degrés de plus est proposé dans un format à l'italienne, séparé en trois bandes horizontales, avec une intrigue principale imaginée différemment suivant le nombre de degré supplémentaire qu'il y a sur terre en 2100. A travers ce western, Ulysse Gry dénonce le réchauffement planétaire actuel et à venir. On embarque avec le héros dans un road trip bien prenant avec beaucoup d'humour et d’action. L’auteur s'amuse avec l'histoire et le format de la bande dessinée quand le héros d'un scénario peut impacter les autres. Pour la partie graphique, les couleurs dominantes sont chaudes, voire très foncées pour le scénario avec le degré le plus élevé. Pour quelques degrés de plus est la véritable surprise de cet été, à lire absolument pour la performance et l’univers très bien pensé avec en prime trois histoires pour le prix d’une.
  13. Titre de l'album : Pour quelques degrés de plus Scenariste de l'album : Ulysse Gry Dessinateur de l'album : Ulysse Gry Coloriste : Ulysse Gry Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : 2100. Trois desperados sillonnent l’Amérique à la recherche d’un butin. Mais désormais, c’est le climat qui fait la loi... jusqu’à quel point ? Faites grimper le thermomètre de 2, 3 ou 4 degrés et regardez l’histoire changer : le monde est plus ou moins apocalyptique, les catastrophes naturelles plus ou moins fortes et les hommes plus ou moins dans la merde...Quelle que soit la cuisson de la Terre, pour Josh, ce ne sera pas une partie de plaisir. Critique : Le titre fait référence en hommage à un bon vieux western, d'ailleurs c'est justement dans un décor désertique et aride que va se dérouler les trois scénarios différents présents dans cet album. Pour quelques degrés de plus est proposé dans un format à l'italienne, séparé en trois bandes horizontales, avec une intrigue principale imaginée différemment suivant le nombre de degré supplémentaire qu'il y a sur terre en 2100. A travers ce western, Ulysse Gry dénonce le réchauffement planétaire actuel et à venir. On embarque avec le héros dans un road trip bien prenant avec beaucoup d'humour et d’action. L’auteur s'amuse avec l'histoire et le format de la bande dessinée quand le héros d'un scénario peut impacter les autres. Pour la partie graphique, les couleurs dominantes sont chaudes, voire très foncées pour le scénario avec le degré le plus élevé. Pour quelques degrés de plus est la véritable surprise de cet été, à lire absolument pour la performance et l’univers très bien pensé avec en prime trois histoires pour le prix d’une. Autres infos : Edition : Presque lune Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pour-quelques-degres-de-plus/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Derniers tomes du triptyque de Thomas Gilbert la violence faite des plus "forts" aux plus" faible". Après L'excellent "Les filles de Salem" et le très complexe "Nos corps alchimiques", il ferme cette critique de la violence en société par une histoire se passant en l'an Mil. Peut-être la période de l'histoire ou l'obscurantisme religieux était à son paroxysme. Une critique sans concession à une époque où la vie des pauvres gens ne valaient rien. Notre auteur n'épargne personne à l'exemple de ce qui devait être le cas à l'époque. Entre mysticisme, thriller et discours pacifiste, cette lecture est tellement prenante que l'on se croirait dans un film. C'est ce qui en fiat ma lecture préférée des trois ouvrages de Thomas Gilbert. Plus fluide, mais pas moins complexe, il permet d'associer lecture de divertissement et lecture intéressante. Une vraie réussite.
  15. Titre de l'album : La voix des bête, la faim des hommes Scenariste de l'album : Thomas Gilbert Dessinateur de l'album : Thomas Gilbert Coloriste : Thomas Gilbert Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Brunehilde est meneuse de loups. Elle vit à la fin du Moyen Âge, cette période incertaine où le christianisme combat intensément pour gagner les populations, essentiellement rurales. Nomade, considérée comme une sorcière, elle doit se méfier des brigands, des bêtes, des esclavagistes, de l'accueil des villageois, parfois. Quand elle arrive dans cette vallée forestière du Sud-Ouest de la France, elle découvre une situation terrible : des gens sont atrocement tués dans les bois, mutilés, et le village est persuadé qu'un démon ou un loup-garou sévit. Première suspecte, Brunehilde, aidée de Paulin, un vague commerçant itinérant croisé en route, est vite obligée de mener l'enquête sur ces meurtres. Critique : Derniers tomes du triptyque de Thomas Gilbert la violence faite des plus "forts" aux plus" faible". Après L'excellent "Les filles de Salem" et le très complexe "Nos corps alchimiques", il ferme cette critique de la violence en société par une histoire se passant en l'an Mil. Peut-être la période de l'histoire ou l'obscurantisme religieux était à son paroxysme. Une critique sans concession à une époque où la vie des pauvres gens ne valaient rien. Notre auteur n'épargne personne à l'exemple de ce qui devait être le cas à l'époque. Entre mysticisme, thriller et discours pacifiste, cette lecture est tellement prenante que l'on se croirait dans un film. C'est ce qui en fiat ma lecture préférée des trois ouvrages de Thomas Gilbert. Plus fluide, mais pas moins complexe, il permet d'associer lecture de divertissement et lecture intéressante. Une vraie réussite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voix-des-betes-la-faim-des-hommes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. La recherche d'explication sur ses origines est un sujet qui touche beaucoup de Français. C'est aussi un sujet trop souvent associé à l'immigration et au détachement du sentiment d'être français. En tout cas dans les médias. Ici, ce n'est pas du tout le cas. Si la recherche de ces racines n'est pas un thème nouveau, notre auteur choisit de nous montrer qu'il ne touche pas tout le monde de la même façon. Et c'est ce miroir entre les deux frères, pour qui ce besoin est différent, qui rend cette BD intéressante. On dépasse la simple recherche pour se pencher sur le "pourquoi" du besoin viscéral de cette recherche. Un pourquoi que son frère ne comprend pas et que l'auteur parvient à peine à expliquer lui-même. Plus qu'une BD sur l'immigration, c'est avant tout une BD sur la nécessité, par moment, d'introspection et d'aller aux bouts de certaines questions pour pouvoir avancer. Une belle BD, bien dessinée, nous offrant aussi bien le regard décalé de l'européen sur la Turquie que nous invitant à réfléchir sur nos propres questions non résolues
  17. Titre de l'album : Carole, ce que nous laissons derriere nous Scenariste de l'album : Clement C. Fabre Dessinateur de l'album : Clement C. Fabre Coloriste : Clement C. Fabre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Clément et son frère partent à Istanbul avec comme but de trouver la tombe de Carole, la première-née de leurs grands-parents paternels. Carole est morte quelques semaines après sa naissance, quelques années avant le départ de ses parents pour la France, eux les Arméniens d'Istanbul. Clément a interrogé ses grands-parents et ses parents, il a senti des non-dits. Il s'apercevra en Turquie, après des démarches nombreuses et infructueuses, que ce qu'il vient d'accomplir avec son frère est bien plus un travail d'introspection qu'une enquête sur un fait bien établi. Une exploration littéraire magnifique, et parfaitement réussie, de notre réalité consciente et inconsciente, des liens et des histoires familiaux et de leur influence sur nos psychés. Critique : La recherche d'explication sur ses origines est un sujet qui touche beaucoup de Français. C'est aussi un sujet trop souvent associé à l'immigration et au détachement du sentiment d'être français. En tout cas dans les médias. Ici, ce n'est pas du tout le cas. Si la recherche de ces racines n'est pas un thème nouveau, notre auteur choisit de nous montrer qu'il ne touche pas tout le monde de la même façon. Et c'est ce miroir entre les deux frères, pour qui ce besoin est différent, qui rend cette BD intéressante. On dépasse la simple recherche pour se pencher sur le "pourquoi" du besoin viscéral de cette recherche. Un pourquoi que son frère ne comprend pas et que l'auteur parvient à peine à expliquer lui-même. Plus qu'une BD sur l'immigration, c'est avant tout une BD sur la nécessité, par moment, d'introspection et d'aller aux bouts de certaines questions pour pouvoir avancer. Une belle BD, bien dessinée, nous offrant aussi bien le regard décalé de l'européen sur la Turquie que nous invitant à réfléchir sur nos propres questions non résolues Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carole?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Partitions irlandaises tome 2

    Deuxième tome des partitions irlandaises et tome plus dans l'action que dans l'émotion. Le premier avait été marquant grâce à l'aspect immoral de ce qui arrive à nos deux amoureux. Ce tome ci est résolument dans l'action ! Notre héros a décidé de ne pas se laisser faire. Et, pour ce faire, il se rappelle ce que son père lui a appris, mais il se rappelle surtout ce qui est arrivé à sa mère. Il décide de lui-même de trouver un moyen radical à un problème que les policiers laisse pourrir. C''est toujours aussi bien dessiné, mais bien plus dur. C'est prenant, c'est dense et ça donne une envie furieuse de lire la fin. C'est un super tome deux pour une histoire du XXIieme siècle comme on aimerait qu'elle n'existe pas.
  19. Titre de l'album : Partitions irlandaises tome 2 Scenariste de l'album : Kris Dessinateur de l'album : Vincent Bailly Coloriste : Vincent Bailly Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : 30 ans après, le passé se rappelle aux mauvais souvenirs de la famille Pearse... et de Tim ! Déclenchée par Johnny et ses soldats de l'Ulster unioniste, une fusillade crible de balles la façade de la maison des Pearse. Un homme est tué qui s'écroule dans les bras de Mary. C'est Tim qui est visé, c'est Dylan, l'ex-petit ami de Mary, qui est tué.Le forfait est signé «Crazy Dog». Frank «Crazy Dog» Brown, le père de Tim... mort et enterré il y a vingt ans ! Tim est alors exfiltré de Belfast, sous protection policière, vers l'Irlande républicaine. C'est un témoin précieux pour la police. Mais un témoin indocile. La vie recluse ne l'enchante guère. D'autant que Mary, que la police a fait venir pour le convaincre de parler, annonce qu'elle est enceinte, et que Tim est le père. Alors ce dernier décide de fausser compagnie à ses protecteurs et de régler lui-même ses comptes avec le passé...Une histoire d'amour magnifique et tourmentée dans le Belfast tout aussi tourmenté d'aujourd'hui, entre Brexit et retour des tensions identitaires. Kris et Vincent Bailly reviennent en Irlande du Nord douze ans après le succès du récit complet Coupures irlandaises. Critique : Deuxième tome des partitions irlandaises et tome plus dans l'action que dans l'émotion. Le premier avait été marquant grâce à l'aspect immoral de ce qui arrive à nos deux amoureux. Ce tome ci est résolument dans l'action ! Notre héros a décidé de ne pas se laisser faire. Et, pour ce faire, il se rappelle ce que son père lui a appris, mais il se rappelle surtout ce qui est arrivé à sa mère. Il décide de lui-même de trouver un moyen radical à un problème que les policiers laisse pourrir. C''est toujours aussi bien dessiné, mais bien plus dur. C'est prenant, c'est dense et ça donne une envie furieuse de lire la fin. C'est un super tome deux pour une histoire du XXIieme siècle comme on aimerait qu'elle n'existe pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/partitions-irlandaises-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Étonnamment, je pensais que nous n'aurions que 3 tomes sur les sœurs Gremillets, un par soeur. Et bien, il se trouve donc que non. Ce quatrième tome n'est pas pour autant mauvais. Je dirais même qu'il se trouve être l'un des meilleurs. En effet, au lieu de se focaliser sur une seule des trois filles, on retrouve notre famille au grand complet. Famille qui doit gérer avec ces trois caractères bien trempés. Famille aussi avec la première apparition du père. Papa très occupé qui est le centre de cet album. Album donnant lieu à une enquête de nos jeunes filles bien sur. Enquête qui, si elle est le centre de l'histoire, n'est pas l'important, au regard des relations entre les trois filles et le regard que chacune porte à leur père. Une excellente histoire de famille pour l'un des meilleurs tome de la série
  21. Titre de l'album : Les soeurs Grémillet tome 4 - Le chamois et la comète Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Sarah, Cassiopée et Lucille se rendent dans les Alpes françaises, merveille géographique d'harmonie avec la nature. Leur destination ? L'observatoire où travaille un astronome extrêmement pris par son travail. Un certain Philippe Grémillet, leur papa ! Redécouvrant ce personnage haut en passions, les soeurs vont chacune réagir de manière différente. Philippe saura-t-il leur accorder toute l'attention qu'elles méritent ? Car ses filles arrivent au moment où s'approche une comète que le scientifique attend depuis si longtemps... Di Gregorio et Barbucci introduisent dans leur petite famille le papa des filles, un personnage essentiel, donnant une nouvelle dimension à l'émotion et la poésie omniprésentes dans leur remarquable série. Critique : Étonnamment, je pensais que nous n'aurions que 3 tomes sur les sœurs Gremillets, un par soeur. Et bien, il se trouve donc que non. Ce quatrième tome n'est pas pour autant mauvais. Je dirais même qu'il se trouve être l'un des meilleurs. En effet, au lieu de se focaliser sur une seule des trois filles, on retrouve notre famille au grand complet. Famille qui doit gérer avec ces trois caractères bien trempés. Famille aussi avec la première apparition du père. Papa très occupé qui est le centre de cet album. Album donnant lieu à une enquête de nos jeunes filles bien sur. Enquête qui, si elle est le centre de l'histoire, n'est pas l'important, au regard des relations entre les trois filles et le regard que chacune porte à leur père. Une excellente histoire de famille pour l'un des meilleurs tome de la série Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    L'heritage Wagner

    En voila un one shot marquant. Marquant car ne cherchant pas à satisfaire à la bonne morale. Un album qui, sous couvert des résidus de nazisme dans les années 60, est en fait une très belle, et bien pensée, histoire d'amour. Stephen Desberg tompe bie son monde sur cet album. Nous présentant notre héroïne comme une arriviste du spectacle, il nous cache, au début, son histoire d'amour, entre récit historique et envie de gloire. Mais plus on avance, plus on se rend compte qu'il est en fait question d'amour entre deux personnes provenant d'horizons différents. Deux personnes que l'histoire a marqué et qui essaye de lutter contre ces boulets historiques et contre les étiquettes qu'on leur colle. Une bien belle surprise pour une lecture dense et émouvante.
  23. Titre de l'album : L'heritage Wagner Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Emilio Van Der Zuiden Coloriste : Emilio Van Der Zuiden Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : L'histoire d'amour passionnée et interdite qui redonna vie à l'oeuvre de Richard Wagner... Chanteuse d'opéra, Anja renverse les convenances puritaines du monde musical allemand de l'après-guerre. Wieland, héritier du passé sulfureux de la famille Wagner, ancien protégé du Fuhrer lui-même, rêve de rompre avec les traditions d'une époque qui a laissé son pays en ruines.Bientôt unis par un amour violent, Anja et Wieland se retrouvent opposés aux gardiens du temple de Bayreuth, une élite conservatrice qui cache à peine sa nostalgie du Troisième Reich.Grâce à la force d'Anja, Wieland veut redonner vie et espoir à la musique de son grand-père, Richard Wagner, mais pour cela il lui faudra d'abord se confronter aux démons de son propre passé, à des secrets qu'il a toujours refoulés. Critique : En voila un one shot marquant. Marquant car ne cherchant pas à satisfaire à la bonne morale. Un album qui, sous couvert des résidus de nazisme dans les années 60, est en fait une très belle, et bien pensée, histoire d'amour. Stephen Desberg tompe bie son monde sur cet album. Nous présentant notre héroïne comme une arriviste du spectacle, il nous cache, au début, son histoire d'amour, entre récit historique et envie de gloire. Mais plus on avance, plus on se rend compte qu'il est en fait question d'amour entre deux personnes provenant d'horizons différents. Deux personnes que l'histoire a marqué et qui essaye de lutter contre ces boulets historiques et contre les étiquettes qu'on leur colle. Une bien belle surprise pour une lecture dense et émouvante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-heritage-wagner?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Carma de Portepoisse

    Nouveau one shot chez Darkoo avec une recette qui devient habituelle : Un personnage charismatique, mais gaffeur au possible secondé par plein de second rôle amenant une caution humoristique. Mais c'est encore une fois bien fait. Le personnage principal, parait un peu bizarre de prime abord, cherchant à n'avoir ni trop de chance ni trop peu. Mais, sa rencontre avec le personnage de Lomélie hyper poissarde, fait prendre une saveur intéressante à cette histoire. En effet, nos héroïnes jouent avec cette poisse pour se tirer de situations cocasses, mais bien pensées. On s'amuse à suivre les déboires de nos héroïnes et à bien comprendre les mysticismes qui font loi dans cet univers. Rien de vraiment innovant chez Drakoo mais un bon moment de détente.
  25. Titre de l'album : Carma de Portepoisse Scenariste de l'album : Rutile Dessinateur de l'album : Remuzat Coloriste : Remuzat Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Être superstitieux, ça porte malheur, surtout quand on est Portepoisse ! Carma de Portepoisse est une mercenaire qui ne doit avoir ni trop de chance, ni trop de malchance, sous peine de subir les conséquences d'une malédiction familiale. Hélas son destin se retrouve lié à Loméllie, princesse dont la malchance légendaire a causé la chute d'un empire. Et pour ne rien arranger, un paladin béni des dieux veut les capturer pour les amener à la justice : Carma pourra-t-elle échapper à l'homme le plus chanceux du monde tout en se traînant la fille la plus maudite qui soit ? Critique : Nouveau one shot chez Darkoo avec une recette qui devient habituelle : Un personnage charismatique, mais gaffeur au possible secondé par plein de second rôle amenant une caution humoristique. Mais c'est encore une fois bien fait. Le personnage principal, parait un peu bizarre de prime abord, cherchant à n'avoir ni trop de chance ni trop peu. Mais, sa rencontre avec le personnage de Lomélie hyper poissarde, fait prendre une saveur intéressante à cette histoire. En effet, nos héroïnes jouent avec cette poisse pour se tirer de situations cocasses, mais bien pensées. On s'amuse à suivre les déboires de nos héroïnes et à bien comprendre les mysticismes qui font loi dans cet univers. Rien de vraiment innovant chez Drakoo mais un bon moment de détente. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carma-de-portepoisse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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