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  1. poseidon2

    Enfin je vole !

    Grosse claque du weekend férié que ce "Enfin je vole" et découverte de personnage comme seul le XX ieme siècle pouvait nous procurer. Pour tout vous dire, malgré ces 376 pages... j'en voulais encore ! Je voulais la suite que j'espère être en cours de rédaction. Car quelle histoire que celle d'Eugène Bullard ! Quelle vie ! D'enfant noir dans le sud des États-Unis à pilote de l'aviation française dans la première guerre mondiale en passant par boxeur côtoyant les plus grands en Angleterre et finissant en tant que "opérateur" d'ascenseur aux États-Unis, la vie du "Moineau" est un scenario que même Hollywood n'aurait pas imaginé. Un scénario bien amené par un petit twist très malin de notre scénariste : Reprendre son rôle d'opérateur d'ascenseur comme départ pour en rencontre qui l'amènera lui-même à raconter son histoire. Porté par un dessin vraiment sublime, tout en crayonné marron, ce superbe album nous livre le destin hors du commun d'un homme malheureusement plus reconnu en France (ou il a quand même participé à rallumer la flamme du soldat inconnu et pays dont il a eu la légion d'honneur) que dans son propre pays
  2. poseidon2

    Enfin je vole !

    Titre de l'album : Enfin je vole ! Scenariste de l'album : Brahm Revel Dessinateur de l'album : Ronald Wimberly Coloriste : Ronald Wimberly Editeur de l'album : Marabulles Note : Résumé de l'album : Eugene Bullard est un héros de guerre. Symbole de pugnacité face à la discrimination, engagé dans l'armée française, il devient l'un des premiers pilotes de chasse Afro-Américain de l'histoire. Critique : Grosse claque du weekend férié que ce "Enfin je vole" et découverte de personnage comme seul le XX ieme siècle pouvait nous procurer. Pour tout vous dire, malgré ces 376 pages... j'en voulais encore ! Je voulais la suite que j'espère être en cours de rédaction. Car quelle histoire que celle d'Eugène Bullard ! Quelle vie ! D'enfant noir dans le sud des États-Unis à pilote de l'aviation française dans la première guerre mondiale en passant par boxeur côtoyant les plus grands en Angleterre et finissant en tant que "opérateur" d'ascenseur aux États-Unis, la vie du "Moineau" est un scenario que même Hollywood n'aurait pas imaginé. Un scénario bien amené par un petit twist très malin de notre scénariste : Reprendre son rôle d'opérateur d'ascenseur comme départ pour en rencontre qui l'amènera lui-même à raconter son histoire. Porté par un dessin vraiment sublime, tout en crayonné marron, ce superbe album nous livre le destin hors du commun d'un homme malheureusement plus reconnu en France (ou il a quand même participé à rallumer la flamme du soldat inconnu et pays dont il a eu la légion d'honneur) que dans son propre pays Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eugene-bullard-pilote-dans-l-armee-francaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Les adaptations en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin se poursuivent à un rythme soutenu depuis le début. Cette nouvelle adaptation est réalisée entièrement par Dan Panosian à qui l'on doit les excellentes séries John Tiffany et Slots. J'attendais donc de pouvoir lire le calcul du papillon sans connaitre le récit d'origine. Après avoir lu plusieurs d'adaptations de Liu Cixin, je commence à avoir une vision globale des problématiques que Cixin met souvent en avant. Le calcul du papillon est un récit d'anticipation et Sf avec un personnage central qui essaie par tous les moyens et techniques scientifiques d'apaiser les tensions ainsi que la guerre dans son pays en modifiant le climat. On suit donc cette personne aux quatre coins du monde dans des actions assez énigmatiques car les explications sont complexes ou alors je suis passé à côté. La partie graphique est l'atout majeur de ce titre, Dan Panosian est dessinateur talentueux si l'on apprécie son style comics. Les fans de Liu Cixin trouveront leur compte avec cette adaptation, après il n'est pas nécessaire de bien comprendre les explications scientifiques pour comprendre, même si la fin est étrange.
  4. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Le calcul du papillon Scenariste de l'album : Dan Panosian Dessinateur de l'album : Dan Panosian Coloriste : Dan Panosian Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Belgrade sous les bombes. L'organisme de la petite Katya rejette sa récente greffe de rein. Son père, Alexsander, cherche un supercalculateur pour déterminer les coordonnées terrestres exactes d'où provoquer la formation d'un épais brouillard. Pour donner le répit nécessaire au rétablissement de sa fille, pour sauver leurs vies... Les premières coordonnées indiquent le désert malien... Critique : Les adaptations en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin se poursuivent à un rythme soutenu depuis le début. Cette nouvelle adaptation est réalisée entièrement par Dan Panosian à qui l'on doit les excellentes séries John Tiffany et Slots. J'attendais donc de pouvoir lire le calcul du papillon sans connaitre le récit d'origine. Après avoir lu plusieurs d'adaptations de Liu Cixin, je commence à avoir une vision globale des problématiques que Cixin met souvent en avant. Le calcul du papillon est un récit d'anticipation et Sf avec un personnage central qui essaie par tous les moyens et techniques scientifiques d'apaiser les tensions ainsi que la guerre dans son pays en modifiant le climat. On suit donc cette personne aux quatre coins du monde dans des actions assez énigmatiques car les explications sont complexes ou alors je suis passé à côté. La partie graphique est l'atout majeur de ce titre, Dan Panosian est dessinateur talentueux si l'on apprécie son style comics. Les fans de Liu Cixin trouveront leur compte avec cette adaptation, après il n'est pas nécessaire de bien comprendre les explications scientifiques pour comprendre, même si la fin est étrange. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-le-calcul-du-papillon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Les fusibles

    "Les fusibles" est le genre de BD qui me fait continuer à aimer découvrir des nouveautés. En effet, que ce soit le titre ou la couverture, il est impossible de se faire une vraie idée du contenu de cette bd avant même de la lire. Je dirais même plus : il est impossible de se faire une idée du talent de nos auteurs avant d'avoir terminé la lecture et compris ces pages en couleurs mais shhhuuuttttt la surprise est suffisamment émouvante pour être gardée. Les fusibles, c'est une histoire émouvante. Une histoire de vie, mais surtout une histoire de choix. Une vie et une adolescence passée dans un pays en perpétuel désordre et mouvement. Un pays que beaucoup aiment, mais dont certains font une overdose. L'histoire de ces adolescents est vraiment bien pensée. Le parallèle avec la vie des adultes est un très bon choix, car il amplifie notre envie de savoir ce qui comble le trou entre des ado "innocents" et inséparable et ces adultes que la vie a....séparé. Une histoire de vie, une histoire d'un pays mais surtout une belle histoire
  6. poseidon2

    Les fusibles

    Titre de l'album : Les fusibles Scenariste de l'album : Joseph Safieddine Dessinateur de l'album : Cyril Doisneau Coloriste : Cyril Doisneau Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans une métropole anonyme d'un pays fragilisé, trois enfants jouent à " sauver la ville ". Trente ans plus tard, Abel a fui le pays, s'est reconstruit ailleurs et élève seul sa fille, Billie, la tenant loin de ses origines. Lorsque Georges, son ami de toujours, lui rend visite, il convainc Abel de rentrer pour accompagner les derniers jours de son père, malade. Sur place, ils retrouvent ce quotidien chaotique qui a éloigné Abel de ses racines autant qu'il a enchaîné Georges à sa terre. Un récit en quatre temps qui offre une réflexion sur l'identité, le déracinement et la transmission. Les Fusibles est le titre le plus personnel de Joseph Safieddine. Il y livre ses interrogations de fils d'immigré à la double nationalité. Cyril Doisneau ose un style plus moderne, plus contrasté. Critique : "Les fusibles" est le genre de BD qui me fait continuer à aimer découvrir des nouveautés. En effet, que ce soit le titre ou la couverture, il est impossible de se faire une vraie idée du contenu de cette bd avant même de la lire. Je dirais même plus : il est impossible de se faire une idée du talent de nos auteurs avant d'avoir terminé la lecture et compris ces pages en couleurs mais shhhuuuttttt la surprise est suffisamment émouvante pour être gardée. Les fusibles, c'est une histoire émouvante. Une histoire de vie, mais surtout une histoire de choix. Une vie et une adolescence passée dans un pays en perpétuel désordre et mouvement. Un pays que beaucoup aiment, mais dont certains font une overdose. L'histoire de ces adolescents est vraiment bien pensée. Le parallèle avec la vie des adultes est un très bon choix, car il amplifie notre envie de savoir ce qui comble le trou entre des ado "innocents" et inséparable et ces adultes que la vie a....séparé. Une histoire de vie, une histoire d'un pays mais surtout une belle histoire Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-fusibles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Noir Burlesque t2

    Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins.
  8. Titre de l'album : Noir Burlesque t2 Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Pour Slick, les choses ne s'arrangent pas. Jusqu'à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne. Rex, pour qui il n'avait travaillé qu'une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d'art. Et pas n'importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia. Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais. Et les ennuis de Slick ne s'arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l'un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c'est que du sang et de larmes vont couler... Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950. Critique : Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/noir-burlesque-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Soixante printemps en hiver

    Une BD de Aimée De Jongh c'est pour moi une BD qui m'attire sans même réfléchir. Jour de sable, le retour de la Bondrée ou l'obsolescence programmée des sentiments ont été pour moi des vrais coups de coeurs La ou je n'ai pas fait bien attention, c'est qu'elle n'est qu'au dessin. J'en ai donc surement trop attendu… car cette BD m'a déçu. L'histoire de la remise en question est pourtant intéressante et nécessaire. Il faut savoir remettre en question son couple et se poser les bonnes questions sur ce que l'on veut faire du reste de sa vie. Mais le problème de cet album, c'est qu'il ne soulève que des questions sans jamais apporter de réponses. On suit rapidement la vie d'une dame perdue qui décide de quitter le confort pour s'offrir plus de liberté. Mais on ne rentre jamais vraiment dans le personnage. On survole cette partie de la vie de Jody sans jamais approfondir. On aimerait en savoir plus. Ne pas rester spectateur et faire de Jody notre amie pour la soutenir. On oublie aussi l'aspect bassement matériel. On ne traite pas réellement (ou de façon très caricaturale) les enfants et petits enfants. Bref c'est un peu pris de trop haut.....
  10. Titre de l'album : Soixante printemps en hiver Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Aimée De Jongh Coloriste : Aimée De Jongh Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le jour de son 60e anniversaire, Josy refuse de souffler les bougies de son gâteau. Sa valise est prête. Elle a pris une décision : celle de quitter mari et maison pour reconquérir sa liberté en partant avec son vieux van VW ! Sa famille, d'abord sous le choc, n'aura dès lors de cesse de la culpabiliser face à ce choix que tous considèrent égoïste. Josy va heureusement tenir bon, trouvant dans le CVL (« Club des Vilaines Libérées ») des amies au destin analogue et confrontées à la même incompréhension sociétale... Mais cela suffira-t-il pour qu'elle assume sa soif d'un nouveau départ ? Et qu'elle envisage peut-être même un changement d'orientation sexuelle ? Oui, si l'amour s'en mêle. Ou pas... Aimée De Jongh et Ingrid Chabbert composent la peinture subtile, touchante et moderne d'une crise de la soixantaine au gré d'un road movie impossible à lâcher avant sa conclusion. Un « Aire Libre » surprenant, osant traiter le tabou du changement de vie et d'orientation sexuelle... Critique : Une BD de Aimée De Jongh c'est pour moi une BD qui m'attire sans même réfléchir. Jour de sable, le retour de la Bondrée ou l'obsolescence programmée des sentiments ont été pour moi des vrais coups de coeurs La ou je n'ai pas fait bien attention, c'est qu'elle n'est qu'au dessin. J'en ai donc surement trop attendu… car cette BD m'a déçu. L'histoire de la remise en question est pourtant intéressante et nécessaire. Il faut savoir remettre en question son couple et se poser les bonnes questions sur ce que l'on veut faire du reste de sa vie. Mais le problème de cet album, c'est qu'il ne soulève que des questions sans jamais apporter de réponses. On suit rapidement la vie d'une dame perdue qui décide de quitter le confort pour s'offrir plus de liberté. Mais on ne rentre jamais vraiment dans le personnage. On survole cette partie de la vie de Jody sans jamais approfondir. On aimerait en savoir plus. Ne pas rester spectateur et faire de Jody notre amie pour la soutenir. On oublie aussi l'aspect bassement matériel. On ne traite pas réellement (ou de façon très caricaturale) les enfants et petits enfants. Bref c'est un peu pris de trop haut..... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soixante-printemps-en-hiver?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Judee Sill

    Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble
  12. poseidon2

    Judee Sill

    Titre de l'album : Judee Sill Scenariste de l'album : Juan Díaz Canalès Dessinateur de l'album : Jesús Alonso Coloriste : Jesús Alonso Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 1979. North Hollywood. Deux policiers découvrent une junkie décédée dans son appartement. Une affaire sordide de plus ? Non. Car la victime est une certaine Judee Sill, étoile filante de la Folk qui connut une brève heure de gloire seventies avant de mystérieusement disparaître dans la nuit de l'anonymat... Enfant révoltée, délinquante récidiviste, droguée et prostituée notoire : Judee fut tout cela et pire parfois. Mais elle fut surtout une musicienne touchée par la grâce, dont le timbre et la personnalité marquèrent de leur doux fer ceux qui l'entendirent et la côtoyèrent. C'est ce destin dramatique, romanesque et musical que vous invitent à remonter Juan Díaz Canales (Blacksad, Corto Maltese) et Jesus Alonso Iglesias, au gré d'un scénario rythmé comme une partition, servi par un dessin restituant comme jamais les années 70 et s'autorisant parfois de sidérantes envolées psychédéliques. Critique : Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/judee-sill?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    La petite lumière

    J'ai souvent pu profiter du travail de dessinateur de Gregory Panaccione en collaboration avec des scénaristes comme sur Chronosquad ou un océan d'amour. Mais l'auteur réalise souvent en auteur complet des adaptations de romans comme sur La petite lumière d'Antonio Moresco. Ce roman graphique prend le temps de mettre en avant le besoin de solitude du personnage principal et son envie d'être éloigné de la société. Beaucoup de planches sont muettes mais les dessins se suffisent à eux-mêmes pour comprendre et être absorbé par l'histoire. On suit donc cette personne âgée recluse dans un hameau abandonné de la France rural. Il apprécie vivre éloigné de tous quand une petite lumière s'allume sur la montagne en face de chez lui. Dès lors, l'homme souhaite connaitre sa provenance et pourquoi quelqu’un habiterait dans montagne au milieu de la forêt. Je ne connaissais pas le roman ni l'auteur mais l'histoire m'a vraiment emmené avec beaucoup de tendresse dans ce récit. Je me suis beaucoup questionné avant de deviner la finalité certainement à cause de film dans le même registre ou utilisant les mêmes mécaniques. La petite lumière n’en reste pas moins une excellente lecture.
  14. alx23

    La petite lumière

    Titre de l'album : La petite lumière Scenariste de l'album : Gregory Panaccione Dessinateur de l'album : Gregory Panaccione Coloriste : Gregory Panaccione Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : "Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant" . Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle. Critique : J'ai souvent pu profiter du travail de dessinateur de Gregory Panaccione en collaboration avec des scénaristes comme sur Chronosquad ou un océan d'amour. Mais l'auteur réalise souvent en auteur complet des adaptations de romans comme sur La petite lumière d'Antonio Moresco. Ce roman graphique prend le temps de mettre en avant le besoin de solitude du personnage principal et son envie d'être éloigné de la société. Beaucoup de planches sont muettes mais les dessins se suffisent à eux-mêmes pour comprendre et être absorbé par l'histoire. On suit donc cette personne âgée recluse dans un hameau abandonné de la France rural. Il apprécie vivre éloigné de tous quand une petite lumière s'allume sur la montagne en face de chez lui. Dès lors, l'homme souhaite connaitre sa provenance et pourquoi quelqu’un habiterait dans montagne au milieu de la forêt. Je ne connaissais pas le roman ni l'auteur mais l'histoire m'a vraiment emmené avec beaucoup de tendresse dans ce récit. Je me suis beaucoup questionné avant de deviner la finalité certainement à cause de film dans le même registre ou utilisant les mêmes mécaniques. La petite lumière n’en reste pas moins une excellente lecture. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-lumiere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Tony, l'enfant des rivières retrace le parcours incroyable de Tony Estanguet le triple champion du monde de canoë monoplace et trois fois médaillé à des Jeux Olympiques. La scénariste Elsa Krim nous fait revivre les moments forts et importants durant les compétitions en championnat du monde ou aux jeux olympiques de Tony Estanguet. On peut suivre cette rivalité avec le slovaque Michal Martikán, un adversaire de taille pour Estanguet . En parallèle, on suit la vie d'Estanguet, son entrainement, comment trouver il doit gérer avec les sponsors et aussi sa vie avec sa famille très portée sur le sport. Les dessins de Fred Campoy sont de qualité dans un style réaliste pour mieux convenir au genre autobiographique. L'album se finit avec un cahier souvenir de la famille avec des textes et photos. Tony, l'enfant des rivières est un très diptyque sportif sur le dépassement et la compétition pour les sportifs de haut niveau.
  16. Titre de l'album : Tony - L'enfant des rivières tome 2 Scenariste de l'album : Elsa Krim Dessinateur de l'album : Fred Campoy Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir gagné sa première médaille d'or aux JO de Sidney en 2000, Tony est devenu un personnage important et médiatique. Mais sur la route du jeune athlète, les obstacles sont nombreux et la désillusion guette. C'est une véritable odyssée humaine et sportive qui se développe durant 12 ans, jusqu'à la gloire d'un troisième titre olympique, dessinant également une extraordinaire leçon de vie. Critique : Tony, l'enfant des rivières retrace le parcours incroyable de Tony Estanguet le triple champion du monde de canoë monoplace et trois fois médaillé à des Jeux Olympiques. La scénariste Elsa Krim nous fait revivre les moments forts et importants durant les compétitions en championnat du monde ou aux jeux olympiques de Tony Estanguet. On peut suivre cette rivalité avec le slovaque Michal Martikán, un adversaire de taille pour Estanguet . En parallèle, on suit la vie d'Estanguet, son entrainement, comment trouver il doit gérer avec les sponsors et aussi sa vie avec sa famille très portée sur le sport. Les dessins de Fred Campoy sont de qualité dans un style réaliste pour mieux convenir au genre autobiographique. L'album se finit avec un cahier souvenir de la famille avec des textes et photos. Tony, l'enfant des rivières est un très diptyque sportif sur le dépassement et la compétition pour les sportifs de haut niveau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tony-l-enfant-des-rivieres-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Stern fait partie de ces BDs étonnantes de constance. Les one shot de Stern s'enchainent et sont tous aussi bon les un que les autres. C'est en partie dû au personnage lui-même, toujours aussi flegmatique et semblant subir les événements plus qu'autre chose, mais sur aussi dû au travaille graphique de Julien Maffre qui ne fléchit pas au bout de 5 tomes et nous livre un dessin toujours de très haut niveau. Dans ce tome 5 notre personnage de Stern est encore plus poissard qu'à l'accoutumé. Au mauvais endroit, au mauvais moment... Ce qui rend ce tome 5 éminemment intéressant, c'est qu'il est, plus que dans les précédents, question de la moralité de Stern et de son refus de s'assoir dessus, peu importe ce que cela lui apporte. Ce tome 5 est aussi sympathique parce qu'il est le deuxième d'un cycle à la Nouvelle-Orléans. Qui dit cycle dit lien malin entre le tome précédent et celui ci, nous laissant imaginer un tome 6 de conclusion résultant des deux précédents. En bref, encore une belle aventure pour notre fossoyeur
  18. Titre de l'album : Stern t5 : une simple formalité Scenariste de l'album : Frédéric Maffre Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Alors que Stern continue d'oeuvrer comme croque-mort à La Nouvelle-Orléans, il se retrouve malgré lui soupçonné d'avoir braqué une banque. Écroué en compagnie d'immigrés italien et menotté à un jeune voyou, Guido, Stern, contre son gré, parvient à s'échapper. S'engage alors une immense chasse à l'homme dans toute la ville en compagnie de Guido. Racisme, corruption policière et mafia forment le cocktail détonnant de ce 5e tome des aventures de Stern mené tambour battant ! Critique : Stern fait partie de ces BDs étonnantes de constance. Les one shot de Stern s'enchainent et sont tous aussi bon les un que les autres. C'est en partie dû au personnage lui-même, toujours aussi flegmatique et semblant subir les événements plus qu'autre chose, mais sur aussi dû au travaille graphique de Julien Maffre qui ne fléchit pas au bout de 5 tomes et nous livre un dessin toujours de très haut niveau. Dans ce tome 5 notre personnage de Stern est encore plus poissard qu'à l'accoutumé. Au mauvais endroit, au mauvais moment... Ce qui rend ce tome 5 éminemment intéressant, c'est qu'il est, plus que dans les précédents, question de la moralité de Stern et de son refus de s'assoir dessus, peu importe ce que cela lui apporte. Ce tome 5 est aussi sympathique parce qu'il est le deuxième d'un cycle à la Nouvelle-Orléans. Qui dit cycle dit lien malin entre le tome précédent et celui ci, nous laissant imaginer un tome 6 de conclusion résultant des deux précédents. En bref, encore une belle aventure pour notre fossoyeur Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stern-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. De nombreuses villes de France son passées à la loupe des éditions Petitàpetit , dont Paris , Marseille , Saint-Malo , et même des villes étrangères mais néanmoins frontalières , telles que Genève et Bruxelles . Il s'agit donc d'un réel succès pour cette "petite" maison d'édition qui ne cesse de monter ! Ici , nous abordons Montpellier et sa riche histoire débutée à la Préhistoire avec la venue des premiers hommes dans cette région . Relatée en 9 chapitres illustrés par des artistes différents , la trame historique croissante est supervisée par Dobbs qui s'appuie sur de nombreuses recherches et a bénéficié de l'aide de Béatrice Merdrignac pour la documentation riche proposée dans ces 80 pages . Tout commence donc avec la venue de l'homme de Néandertal , puis nous remontons le temps progressivement , chapitre par chapitre , en passant entre autres par la légende de la vierge noire ,les pogroms perpétrés , la peste noire , Jacques Coeur le grand commerçant et pour clôturer , les facéties de Rabelais et Nostradamus au sein de la plus vieille faculté de médecine du monde et encore en activité (et oui elle est à Montpellier) . Chacune des histoires dessinées est suivie d' une double page riche en photos et autres archives qui complètent et expliquent le fait historique proposé . C'est une méthode bien connue de la maison d'édition car elle utilise le même procédé sur les Docu-bd . Je dois avouer que c'est assez efficace et surtout , cela atténue l'impression mitigée sur la qualité des dessins rencontrés . Mais on ne lit pas ce genre de BD pour l'aspect graphique , soyons bien clair 🙂 ! Il s'agit plus d'apprendre et mieux connaître sa ville de prédilection . Si vous souhaitez découvrir l'étymologie de Montpellier , plongez-vous dans cette lecture passionnante , je vous laisse , j'ai le tome 2 à lire 😉
  20. Titre de l'album : Montpellier en BD tome 1 - De la Préhistoire à Rabelais Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : À travers une fiction passionnante, découvrez le premier tome de l’histoire de Montpellier. Si la région est peuplée depuis l’aube de l’humanité, la ville, cosmopolite dès son origine, naît officiellement en 985 : la dynastie des Guilhem, puis le lignage aragonais la feront rayonner et devenir un centre du savoir que fréquenteront des gens aussi connus que Rabelais ou Nostradamus. S’appuyant sur des faits avérés, des personnages réels, des reconstitutions de lieux et des archives historiques, les différents chapitres évoquent l’histoire d’une cité au destin épique. Les événements qui ont marqué les Montpelliérains, par leur caractère légendaire, fédérateur ou emblématique, ont été soigneusement choisis et scénarisés. Ils s’accompagnent d’une documentation riche et précise. Critique : De nombreuses villes de France son passées à la loupe des éditions Petitàpetit , dont Paris , Marseille , Saint-Malo , et même des villes étrangères mais néanmoins frontalières , telles que Genève et Bruxelles . Il s'agit donc d'un réel succès pour cette "petite" maison d'édition qui ne cesse de monter ! Ici , nous abordons Montpellier et sa riche histoire débutée à la Préhistoire avec la venue des premiers hommes dans cette région . Relatée en 9 chapitres illustrés par des artistes différents , la trame historique croissante est supervisée par Dobbs qui s'appuie sur de nombreuses recherches et a bénéficié de l'aide de Béatrice Merdrignac pour la documentation riche proposée dans ces 80 pages . Tout commence donc avec la venue de l'homme de Néandertal , puis nous remontons le temps progressivement , chapitre par chapitre , en passant entre autres par la légende de la vierge noire ,les pogroms perpétrés , la peste noire , Jacques Coeur le grand commerçant et pour clôturer , les facéties de Rabelais et Nostradamus au sein de la plus vieille faculté de médecine du monde et encore en activité (et oui elle est à Montpellier) . Chacune des histoires dessinées est suivie d' une double page riche en photos et autres archives qui complètent et expliquent le fait historique proposé . C'est une méthode bien connue de la maison d'édition car elle utilise le même procédé sur les Docu-bd . Je dois avouer que c'est assez efficace et surtout , cela atténue l'impression mitigée sur la qualité des dessins rencontrés . Mais on ne lit pas ce genre de BD pour l'aspect graphique , soyons bien clair 🙂 ! Il s'agit plus d'apprendre et mieux connaître sa ville de prédilection . Si vous souhaitez découvrir l'étymologie de Montpellier , plongez-vous dans cette lecture passionnante , je vous laisse , j'ai le tome 2 à lire 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/montpellier-en-bd-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre IV

    Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal.
  22. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre IV Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après la mort de femme folle, Jeremiah réunit une bande de trappeurs sanguinaires pour se venger de ses assassins. Les bandidos vont écumer la plaine sans faire de prisonniers, collectionnant les scalps dans un déchaînement de violence. Critique : Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Elles - Tome 3 - Plurielle(s)

    Allez hop voici déjà la conclusion de cette très réussie trilogie dessinée par Aveline Stockart et scénarisée par Kid Toussaint. L'histoire arrive à sa conclusion de manière très fluide, entre quotidien du lycée, questionnements sur l'identité d'Elle, et échanges entre les différentes personnalité d'Elles. C'est toujours aussi facile et lumineux, le scénario étant servi à merveille par le dessin tellement proche de l'animation que les pages sont presque en mouvement. On se régale, l'aventure se dévore, et si on aurait aimé peut être un peu plus de contenu, je trouve que ce tome 3 termine très bien cette trilogie que j'attends de pouvoir faire lire à ma fille. Intelligent dans le propos, nuancé, apportant son lot de réflexion Elles est à mettre dans les mains de la jeunesse !!! Seul bémol donc, il manque je trouve quelques pages à ce petit format.
  24. Titre de l'album : Elles - Tome 3 - Plurielle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La révélation du mystère de ses origines a permis à Elle de reprendre le contrôle de sa vie. Mais tout ne va pas pour autant... En surface, la lycéenne tente de résoudre ses contradictions. À l'intérieur, ses personnalités multiples tentent de percer le mystère de cette voix qui leur parle. Et dans les deux cas, il semblerait que Bleue ait des réponses, ou au moins des pistes. L'heure semble donc à la réconciliation ? Enfin... « Toutes pour une », d'accord... mais laquelle ?! Critique : Allez hop voici déjà la conclusion de cette très réussie trilogie dessinée par Aveline Stockart et scénarisée par Kid Toussaint. L'histoire arrive à sa conclusion de manière très fluide, entre quotidien du lycée, questionnements sur l'identité d'Elle, et échanges entre les différentes personnalité d'Elles. C'est toujours aussi facile et lumineux, le scénario étant servi à merveille par le dessin tellement proche de l'animation que les pages sont presque en mouvement. On se régale, l'aventure se dévore, et si on aurait aimé peut être un peu plus de contenu, je trouve que ce tome 3 termine très bien cette trilogie que j'attends de pouvoir faire lire à ma fille. Intelligent dans le propos, nuancé, apportant son lot de réflexion Elles est à mettre dans les mains de la jeunesse !!! Seul bémol donc, il manque je trouve quelques pages à ce petit format. Autres infos : Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-3-plurielle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. En voilà une excellente surprise ! Sortie de nulle part, le début de l'aventure de Rosamée avait déjà été surprenant et intrigant avec un univers complètement nouveau, mais pour autant bien . Mais ce tome 2 alors ! Il dépasse toutes mes attentes ! l'histoire est superbement menée, pleine de surprises sans être compliquée et avec une Rosamée plus charismatique que jamais. C'est bien dessiné, c'est prenant, émouvant et donne furieusement envie de lire la suite. Dure d'en d'en dire plus sans ne rien vous révéler tellement ce tome deux est dense. Une série fantastique pour enfant comme on aimerait en lire plus souvent ! Encore !
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