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  1. Titre de l'album : Le champ des possibles Scenariste de l'album : Vero Cazot Dessinateur de l'album : Anais Bernabe Coloriste : Anais Bernabe Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Quand Marsu et Thom se rencontrent dans un congrès d'architectes au bout du monde, c'est un véritable coup de foudre professionnel. Thom, qui achète des droits d'utilisation virtuelle d'habitations remarquables, fait découvrir à Marsu, grâce à un casque de VR, quelques endroits paradisiaques. Marsu et Thom vont entamer une relation amoureuse dans ces mondes virtuels. Dans la vie réelle, Marsu a un compagnon, Harry, qu'elle aime profondément et qu'elle ne veut absolument pas quitter. Mais elle ne veut renoncer à aucune de ces deux relations... Avec Le Champ des possibles, Véro Cazot et Anaïs Bernabé nous racontent l'histoire d'une femme qui aime deux hommes et qui veut vivre pleinement ces deux relations, sans (presque) rien cacher à ses compagnons. Le Champ des possibles, c'est aussi une fable sur les possibilités de la VR... et ses dangers ? Critique : Étonnante lecture que ce champ des possibles. Nos auteurs nous parlent ici du stade supérieur de la réalité virtuelle, avec l'apparition d'une vraie vie virtuelle et la possibilité (ou l'impossibilité) de vivre deux vies différentes dans la vraie vie et dans le monde virtuelle. Et surtout de vivre ces deux vies en parallèles ! Cette histoire pose un certain nombre de questions. La première étant qu'un univers virtuel offrant des possibilités infinies, comment faire pour que le monde réel garde un intérêt ? La deuxième est tout bêtement une question morale : tromper quelqu'un dans un univers virtuel est-il vraiment le tromper, alors qu'il n'y a aucun rapport "physique" ? Ces deux questions sont super bien traitées dans cet album et ne sont surtout pas évitées. Si l'histoire que l'on lit n'est possible que part le rapport particulier de notre héroïne et son mari, elle n'en reste pas moins une vraie réussite. On est aspiré par les possibilités de cet univers parallèle et déchiré par les questions que se pose Marsu sur un choix qui devient vite impossible à faire. Si l'ensemble est un peu fleur bleue, l'album est quand même envoutant et subliment illustré avec un choix de distinction visuel, entre monde réel et monde virtuel, particulièrement bien pensé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-champ-des-possibles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Le pêcheur de rêves

    Après sa nomination méritée pour le prix ABCD jeunesse , du titre Silence de l'ombre ; Elodie Garcia se lance cette fois en solo avec Le pêcheur de rêves . On retrouve son trait doux et élégant aux formes arrondies et soyeuses , des couleurs pastel remarquables de lumière et de réalisme ! C'est un réel bonheur de parcourir ces pages en découvrant son dessin . Les cases sont détaillées , l'auteure ne s'épargne absolument pas .D'autant qu'il s'agit ici de dépeindre des mondes sous-marins , aux couleurs diverses et variées . Elle réutilise la thématique du deuil à travers Maël parcourant les écrits de son grand-père porté disparu en mer . L'enfant se prend à rêver de créatures marines proches des humains et semble plus vivre dans ce monde onirique , au grand désarroi de ses parents . Forcé d'accompagner son père en mer sur son chalutier , il se retrouve à la suite d'une tempête "échoué" dans les fonds marins, mais toujours en vie ! L'enquête peut commencer et il ne sera pas au bout de ses surprises ! C'est une lecture vraiment agréable qui saura séduire les plus jeunes , désirant s'ouvrir au monde du 9ème art . Un joli style graphique , pour une histoire sincère , empreinte de magie et de mystères . Une aventure terminée , qui pourrait avoir une suite si le succès est au rendez-vous 😉 A découvrir !
  3. Titre de l'album : Le pêcheur de rêves Scenariste de l'album : Elodie Garcia Dessinateur de l'album : Elodie Garcia Coloriste : Elodie Garcia Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Dans un petit village côtier, le jeune Maël rêve de découvrir le monde et se plonge dans les carnets de son grand-père disparu en mer. Son père, lui, souhaite que son fils prenne la même voie que lui : il deviendra pêcheur. Un beau matin, le jeune garçon est emmené en mer bien malgré lui, mais une tempête le projette par-dessus bord ! Le ciel se mélange à l'océan, Maël se retrouve tout au fond de l'eau... Lorsqu'il ouvre les yeux, il découvre un monde qu'il n'aurait jamais pu imaginer . Critique : Après sa nomination méritée pour le prix ABCD jeunesse , du titre Silence de l'ombre ; Elodie Garcia se lance cette fois en solo avec Le pêcheur de rêves . On retrouve son trait doux et élégant aux formes arrondies et soyeuses , des couleurs pastel remarquables de lumière et de réalisme ! C'est un réel bonheur de parcourir ces pages en découvrant son dessin . Les cases sont détaillées , l'auteure ne s'épargne absolument pas .D'autant qu'il s'agit ici de dépeindre des mondes sous-marins , aux couleurs diverses et variées . Elle réutilise la thématique du deuil à travers Maël parcourant les écrits de son grand-père porté disparu en mer . L'enfant se prend à rêver de créatures marines proches des humains et semble plus vivre dans ce monde onirique , au grand désarroi de ses parents . Forcé d'accompagner son père en mer sur son chalutier , il se retrouve à la suite d'une tempête "échoué" dans les fonds marins, mais toujours en vie ! L'enquête peut commencer et il ne sera pas au bout de ses surprises ! C'est une lecture vraiment agréable qui saura séduire les plus jeunes , désirant s'ouvrir au monde du 9ème art . Un joli style graphique , pour une histoire sincère , empreinte de magie et de mystères . Une aventure terminée , qui pourrait avoir une suite si le succès est au rendez-vous 😉 A découvrir ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pecheur-de-reves/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Métal hurlant tome 10

    La relance du trimestriel Métal hurlant poursuit son chemin avec un 10ème tome aux nombreuses qualités . Même son de cloche qu'avec les précédents ,le volume se compose d'histoires BD courtes entrecoupées d'interviews , conseils filmographiques dans la veine "métalienne" et des nouvelles romancées . On attaque avec 3 jours en septembre d'un auteur russe Nikola Pisarev et son graphisme ultra réaliste sur fond de voyage dans le temps . Une trouvaille qui mériterait sa place au sein d'un éditeur 😉 Puis , une longue interview du maître Alan Moore sur sa vision du monde du 9ème art , mais pas que ! Vous découvrirez ensuite un artiste brésilien et son trait japonisant élégant et subtil , avec Brèches . Munuera , bien connu pour son travail sur Spirou et les Campbell , entre autres , donne sa vision des dieux de l'Olympe , accrochez-vous c'est surprenant !Chabouté et son noir et blanc réaliste et oppressant propose la journée d'un artiste tentant de joindre l'URSSAF . Attention , petite pépite graphique de Antonio Lapone et Jean-Philippe Peyraud , sur Life in a day . Un dessin typique années 60 dans une Amérique du même âge envahie de publicités et produits de consommation . La rédaction nous fait découvrir une romancière argentine : Mariana Enriquez et son univers sombre et gothique . J'avoue m'être laissé séduit par sa présentation et les louanges que la presse internationale lui adresse depuis peu , j'ai commandé son roman phare : Notre part de nuit . Le scénariste BD Richard Marazano propose une nouvelle qui je dois bien l'avouer ne m'a pas transcendé : Premiers matériaux pour une théorie du Glitch . En revanche , Florian Breuil un artiste réunionnais nous démontre les nombreuses facettes de son talent graphique à travers Quantum god , avec pour toile de fond l'IA et les mondes artificiels . Un dessin juste incroyable , j'espère qu'un prochain album à la pagination plus importante est prévu car il semble être de la veine des grands , j'ai pensé à Jaouen Salaun pour tout vous dire ! Vous l'aurez compris , une lecture dense et une nouvelle fois passionnante . Mr Dionnet peut être rassuré , son héritage est sauvegardé 🙂
  5. Titre de l'album : Métal hurlant tome 10 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Tout commence un matin, dans la normalité rassurante de notre quotidien. Comme venue de nulle-part, une anomalie surgit soudain. Elle semble anodine et sans la moindre importance, mais elle va faire basculer notre existence dans une autre réalité, nous plongeant parfois dans le fantastique, parfois dans la science-fiction ou même quelquefois dans l'horreur. Plus rien de ce qui nous entoure n'aura encore la même signification. Critique : La relance du trimestriel Métal hurlant poursuit son chemin avec un 10ème tome aux nombreuses qualités . Même son de cloche qu'avec les précédents ,le volume se compose d'histoires BD courtes entrecoupées d'interviews , conseils filmographiques dans la veine "métalienne" et des nouvelles romancées . On attaque avec 3 jours en septembre d'un auteur russe Nikola Pisarev et son graphisme ultra réaliste sur fond de voyage dans le temps . Une trouvaille qui mériterait sa place au sein d'un éditeur 😉 Puis , une longue interview du maître Alan Moore sur sa vision du monde du 9ème art , mais pas que ! Vous découvrirez ensuite un artiste brésilien et son trait japonisant élégant et subtil , avec Brèches . Munuera , bien connu pour son travail sur Spirou et les Campbell , entre autres , donne sa vision des dieux de l'Olympe , accrochez-vous c'est surprenant !Chabouté et son noir et blanc réaliste et oppressant propose la journée d'un artiste tentant de joindre l'URSSAF . Attention , petite pépite graphique de Antonio Lapone et Jean-Philippe Peyraud , sur Life in a day . Un dessin typique années 60 dans une Amérique du même âge envahie de publicités et produits de consommation . La rédaction nous fait découvrir une romancière argentine : Mariana Enriquez et son univers sombre et gothique . J'avoue m'être laissé séduit par sa présentation et les louanges que la presse internationale lui adresse depuis peu , j'ai commandé son roman phare : Notre part de nuit . Le scénariste BD Richard Marazano propose une nouvelle qui je dois bien l'avouer ne m'a pas transcendé : Premiers matériaux pour une théorie du Glitch . En revanche , Florian Breuil un artiste réunionnais nous démontre les nombreuses facettes de son talent graphique à travers Quantum god , avec pour toile de fond l'IA et les mondes artificiels . Un dessin juste incroyable , j'espère qu'un prochain album à la pagination plus importante est prévu car il semble être de la veine des grands , j'ai pensé à Jaouen Salaun pour tout vous dire ! Vous l'aurez compris , une lecture dense et une nouvelle fois passionnante . Mr Dionnet peut être rassuré , son héritage est sauvegardé 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metal-hurlant-tome-10-la-mecanique-du-grain-de-sable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    L'énorme enquête

    L’énorme enquête pourrait être le titre d’une bande dessinée sur un sujet très sérieux mais dès la première page on comprend le genre d’humour absurde qui nous attend. Le scénariste Lorrain Oiseau nous présente un duo de choc avec un inspecteur et le commissaire vraiment mauvais en déduction. L’humour est très décalé parfois proche des films de la série y a-t-il un flic pour sauver la reine ? ou le président ? On ne peut pas s’attendre ou deviner comment l’intrigue va tourner comme tout est complétement loufoque. On s’amuse bien avec les situations tellement inattendues et improbables. Pour la partie graphique, on retrouve Yann Rambaud habitué au genre puisqu’il avait déjà dessiné Une bonne comédie romantique française, aussi dans la collection Pataquès. Son style en noir et blanc avec des nuances de gris se veut réaliste en décalage avec l’humour du scénario. Cette collection Pataquès s’agrandit sans cesse avec des albums explorant toutes les formes d’humour possible. L’énorme enquête m’a beaucoup fait rire étant bon public du genre.
  7. alx23

    L'énorme enquête

    Titre de l'album : L'énorme enquête Scenariste de l'album : Lorrain Oiseau Dessinateur de l'album : Yann Rambaud Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un garde forestier est retrouvé mort dans la rue, un couteau planté dans la poitrine. Mais la rigidité cadavérique a été tellement rapide que le corps n'est pas tombé au sol. Et, si le couteau, qui s'est plié sous l'impact, a traversé le torse de la victime en y faisant des détours, il n'a touché aucun organe vital. Une bien mystérieuse enquête s'annonce pour Commissaire et Inspecteur. Critique : L’énorme enquête pourrait être le titre d’une bande dessinée sur un sujet très sérieux mais dès la première page on comprend le genre d’humour absurde qui nous attend. Le scénariste Lorrain Oiseau nous présente un duo de choc avec un inspecteur et le commissaire vraiment mauvais en déduction. L’humour est très décalé parfois proche des films de la série y a-t-il un flic pour sauver la reine ? ou le président ? On ne peut pas s’attendre ou deviner comment l’intrigue va tourner comme tout est complétement loufoque. On s’amuse bien avec les situations tellement inattendues et improbables. Pour la partie graphique, on retrouve Yann Rambaud habitué au genre puisqu’il avait déjà dessiné Une bonne comédie romantique française, aussi dans la collection Pataquès. Son style en noir et blanc avec des nuances de gris se veut réaliste en décalage avec l’humour du scénario. Cette collection Pataquès s’agrandit sans cesse avec des albums explorant toutes les formes d’humour possible. L’énorme enquête m’a beaucoup fait rire étant bon public du genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enorme-enquete/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Vivre à en mourir

    Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement.
  9. Titre de l'album : Vivre à en mourir Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Jeanne Puchol Coloriste : Laurence Croix Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vivre à en mourir conte le destin de Marcel Rayman, ce jeune juif polonais pacifiste, qui, face à l'abomination nazie, prendra les armes auprès de Missak Manoukian et d'autres résistants. Pendant deux éprouvantes années, durant lesquelles il verra sa famille déportée, Marcel Rayman fait l'apprentissage de la clandestinité, de la « guérilla urbaine », de la mort, de la peur… et de la trahison. Son visage apparaîtra sur l'infamante Affiche Rouge, propagande de l'occupant destinée à discréditer les actions de la résistance parisienne. Critique : Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vivre-a-en-mourir-vivre-a-en-mourir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Filles uniques tome 5 - Chélonia Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Camille Mehu Coloriste : Camille Mehu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Paloma, Céleste, Sierra, Apolline... Sans l'impulsion de Chélonia, sans son envie de les rassembler, il est certain que ces jeunes filles seraient toujours terrées dans leur coin, en proie à leurs démons. Le club « des Mal-Barrées », au nom plutôt pessimiste, est en réalité ce qui leur est arrivé de mieux : la fin de la solitude de Paloma, la confiance retrouvée de Céleste, la colère apaisée de Sierra, la nouvelle assurance d'Apolline... Mais au fait, que retire réellement Chélonia, en apparence sûre d'elle, de ces amitiés salvatrices ? La création de ce club ne serait-elle pas le fruit d'un dessein plus complexe que la seule volonté de réunir des solitaires ? La conséquence d'un terrible... secret ? Pour le découvrir, les adolescentes devront remonter le fil d'une histoire éprouvante, qui commence sur les plages de Mayotte, lorsque les jeunes tortues tout juste sorties de leur oeuf doivent se battre pour atteindre l'océan : le récit terrible de l'enfance de Chélonia. Ce dernier tome de la série nous apporte son lot de révélations. Dans ce récit touchant, porté par les dialogues toujours justes de BeKa et par le style graphique assuré de Camille Méhu, nos cinq héroïnes seront plus soudées que jamais pour cette ultime épreuve. Critique : Avant-dernier tome sur nos cinq filles avec un tome centré sur Chelonia.... et Paloma par rebond aux vu de la fin du tome précédent. Je dis avant-dernier, car comme toute bonne série de ce genre, il nous faut un dernier tome qui inclut toutes les filles et non un focus sur une seule. Et la fin de ce tome me donne raison, sans trop rien vous dire. Une fin qui fait suite à une histoire qui avait tout de la planche glissante, avec un lien qui semble obscur entre Chleonia et Paloma. Mais une planche qui s'est transformé en planche de surf avec une histoire tordue, mais compréhensible et ô combien émouvante. Une histoire qui nous montre bien qu'aucune des 5 filles n'a eu une enfance facile. Une série qui traite d'un sujet complexe et trop souvent passé sous silence que celui de la maltraitance psychologique des enfants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-5-chelonia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Avant-dernier tome sur nos cinq filles avec un tome centré sur Chelonia.... et Paloma par rebond aux vu de la fin du tome précédent. Je dis avant-dernier, car comme toute bonne série de ce genre, il nous faut un dernier tome qui inclut toutes les filles et non un focus sur une seule. Et la fin de ce tome me donne raison, sans trop rien vous dire. Une fin qui fait suite à une histoire qui avait tout de la planche glissante, avec un lien qui semble obscur entre Chleonia et Paloma. Mais une planche qui s'est transformé en planche de surf avec une histoire tordue, mais compréhensible et ô combien émouvante. Une histoire qui nous montre bien qu'aucune des 5 filles n'a eu une enfance facile. Une série qui traite d'un sujet complexe et trop souvent passé sous silence que celui de la maltraitance psychologique des enfants.
  12. Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango...
  13. Titre de l'album : Lonesome - Tome 4 - Le territoire du sorcier Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Yves Swolfs Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Elijah était venu à New York pour régler ses comptes, il en est reparti avec une famille exhumée des sables du temps et de la mémoire. Mais ni lui ni sa soeur, Miss Lyle, agente des Pinkerton, n'ont pu confronter le responsable de toutes leurs infortunes : leur père, le sénateur Dawson. Et ce dernier a trouvé refuge au beau milieu des bois sur les terres de Cromley, un cultiste redouté. Pour avoir enfin droit à leur réunion de famille, il leur faudra défier le diable en personne ! Critique : Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonesome-tome-4-le-territoire-du-sorcier-9782808210256?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Peindre avec les lions

    Après une visite l'année dernière aux grottes de Chauvet, je ne pouvais qu'être attiré par ce "Peindre avec les lions". Et j'avoue que c'était une superbe lecture qui ne m'a pas dessus. On nous montre les hommes de Néandertal non comme des ignorants mais comme un peuple évolué à la culture avancée. Des peuplades dont les dessinateurs était le lien entre eux et leurs dieux. La BD est passionnante. Que ce soit l'acceptation des coutumes par les autochtones ou le rapport aux éléments naturelles, tout est superbement prenant et surtout très bien mise en image. Les passages de rêveries et de dessins sont graphiquement superbes. Une superbe découverte sur un sujet qui ne semblait pas si passionnant
  15. Nouvelle série jeunesse chez Dupuis. Série qui vise directement le succès de Zombillenium avec un graphisme minimaliste fait à l'ordinateur… un graphisme dérangeant au début je dois le dire. Les premières planches piquent un peu les yeux mais on oublie rapidement le dessin au profit d'une histoire étonnamment fantastique. Menée tambour battant, pleine de scènes étranges mais gentillette, elle se trouve être assez agréable bien que très simple ... voir trop simple pour certains. Une bd à offrir aux jeunes de 10 à 15 ans.
  16. Titre de l'album : Le monde des cancres tome 1 - Sous l'école Scenariste de l'album : Nicolas Bary | Nina Phillips Dessinateur de l'album : Justine Cunha Coloriste : Justine Cunha Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : St Joseph est un internat d'excellence, aux résultats inégalés et à la discipline exemplaire. Du moins, en apparence. Car dans les sous-sols se cache une partie secrète et escamotée, construite par la directrice, afin de remettre les mauvais élèves et les récalcitrants dans le droit chemin. Mieux vaut ne pas être collé et envoyé là-bas ! Des salles de punition incroyables y ont été installées avec de véritables épreuves à passer et des machines en guise d'enseignants... Un récit d'aventure pour la jeunesse, imaginé par Nicolas Bary (réalisateur du film Le Petit Spirou) et conçu à la manière d'un dessin animé pour la famille avec la palette graphique de Justine Cunha. Critique : Nouvelle série jeunesse chez Dupuis. Série qui vise directement le succès de Zombillenium avec un graphisme minimaliste fait à l'ordinateur… un graphisme dérangeant au début je dois le dire. Les premières planches piquent un peu les yeux mais on oublie rapidement le dessin au profit d'une histoire étonnamment fantastique. Menée tambour battant, pleine de scènes étranges mais gentillette, elle se trouve être assez agréable bien que très simple ... voir trop simple pour certains. Une bd à offrir aux jeunes de 10 à 15 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-monde-des-cancres-tome-1-sous-l-ecole?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Bukowski, de liqueur et d'encre Scenariste de l'album : Michele Bonton , Martin Boujol Dessinateur de l'album : Letizia Cadonici Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Bukowski. Charles. Ou Hank. L'écrivain, le poète, l'ivrogne, le vagabond. Sa vie s'est écoulé à la manière d'un robinet qui fuit... un robinet qui n'a jamais vraiment fonctionné correctement. Auteur en prose comme en vers, en dehors de tout courant littéraire, le vieux dégueulasse a écrit pendant sa vie et nous laisse une oeuvre unique, miroir à peine déformant d'une vie chaotique et alcoolique, faite de liqueur et d'encre. Critique : Je dois bien avouer ne pas connaître ce poète-écrivain américain contemporain , mais suite à la lecture de ce roman graphique , le nom de Bukowski ne me sera plus étranger ! Lorsque l'on regarde les parcours de ce genre artistes , ils sont souvent chaotiques , comme si l'inspiration artistique , le petit degré de folie nécessaire , ne pouvait venir qu'au travers d'une vie difficile semée d'embûches . "Hank" n'échappe pas à la règle , une enfance compliquée avec un père violent , une mère absente , un physique ingrat arrosé d'une pauvreté cachée par ses parents , mais dont lui souffre à l'école ; puis la vie d'adulte au rythme du tintement des bouteilles d'alcool . Comme tout poète , il lui a fallu un certain temps pour accéder à la reconnaissance . Ainsi , les auteurs s'attardent longuement sur les chemins qu'il prendra au long d'une existence jalonnée par les conquêtes féminines (payées ou pas) , des grossièretés proférées , des petits jobs pour acheter la liqueur , et pour finir une présence assidue dans les bars . Tel un animal nocturne , il rentrait de soirées arrosées et écrivait , découvrant le lendemain ses proses . La bibine , ça préserve ceci dit , car notre poète des bas fonds vivra jusqu'à 73 ans . De cette dramaturgie , on ne peut s'empêcher d'esquisser des sourires par moment , car il vit des situations ubuesques , mais le sentiment de rancoeur , de dégoût du monde et cette grossièreté qui émane de lui peut rendre le personnage antipathique pour les lecteurs . Hollywood adpatera sa vie dans un film avec Mickey Rourke : Barfly . Une fois de plus ,la petite maison d'édition qui ne cesse de monter , réussit ses DocuBD , avec ce personnage atypique , dont la série RIP (du même éditeur) n'aurait pas reniée comme protagoniste 🙂 Le dessin semi-réaliste garde une douceur du trait et les couleurs passent d'une chaleur alccolisée à des bleus marquant la nuit . Charles Bukowski parviendra t'il à entrevoir la lueur d'une vie à peu près normale ? Plongez dans les vapeurs éthyliques , "avec du mauvais vin" comme le chantait Brel , écoutez les mots (parfois) doux du poète murmurant aux oreilles des femmes pour les séduire , et vivez avec lui cette plongée dans les abysses . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bukowski-de-liqueur-et-d-encre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Les murailles invisibles tome 2 Scenariste de l'album : Alex Chauvel Dessinateur de l'album : Ludovic Rio Coloriste : Ludovic Rio Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : De nos jours, des murs invisibles et infranchissables surgissent du néant et segmentent la Terre en une multitude de zones. Dans chacune le temps s'écoule à des vitesses différentes... Lino, un homme de notre époque, croise un groupe d'explorateurs venant de Nostoc, une civilisation avancée située plusieurs siècles dans notre futur. Capables de franchir les murailles invisibles, ils sont à la recherche de la source de ces dernières. Alex Chauvel et Ludovic Rio (auteur de "Aion") revisitent le voyage temporel dans cette série qui combine brillamment SF, dystopie et aventure. Critique : Suite des murailles invisibles et suite qui augmente d'un cran le rythme de l'histoire. Après un premier tome introductif sur les murs et nous présentant notre héros, ce tome deux est lui entièrement consacré à la découverte de nouveau univers et aux explications sur ce que sont ces murs et les règles qui les régissent. C'est le premier point d'intérêt de ce tome deux. On ne se contente pas de nous dire "vous ne saurez jamais", on nous montre des débuts de réponses sur comment marchent ces murs, à défaut d'où est-ce qu'ils viennent. Le deuxième point est l'apparition de l'homme en bleu, mais aussi la découverte d'une civilisation avancée ayant "dompté" les murs. Une civilisation qui semble vouloir le bien des autres... en apparence. Un tome deux qui sort un peu du récit de SF pure pour s'orienter un peu plus vers le thriller dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-murailles-invisibles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Mauvaises herbes

    Fiouuuu mais quelle lecture !!! quelle lecture. Graphiquement minimaliste de prime abord, les dessins sont en fait bien plus subtils et on se rend compte que ces personnages "simplistes" le sont par choix pour nous livrer un récit qui ne soit pas visuellement trop violent. Et c'est tant mieux tellement l'histoire est difficile et cruelle. Une histoire que l'on ne connait pas du tout par ici et qui n'est en rien moins choquant que les occupations russes et allemandes. Ce qui choc aussi ici, c'est l'envi de vivre de Oksun. Une vraie envie de vivre qui dépasse les maux qui ont pu lui être infligé. Une résilience de tous les instants qui a permis à cette femme extra ordinaire de sortir vivante et encore humaine de tout ce qu'elle a traversé. Un superbe ouvrage et une histoire à lire !
  20. poseidon2

    Whisky San

    Titre de l'album : Whisky San Scenariste de l'album : Didier Alcante Dessinateur de l'album : Fabien Rodhain Coloriste : Fabien Rodhain Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : L'incroyable histoire du père du whisky japonais. Début du xxe siècle. Le jeune Masataka Taketsuru, héritier d'une prestigieuse lignée de brasseurs de saké, a un rêve inouï, inimaginable pour son pays et ses traditions : créer le premier whisky japonais. Défiant sa famille et le poids des coutumes, il se rend en Écosse, déterminé à y percer les secrets de ce breuvage divin.Au fil des années, son histoire d'amour passionnée avec la jeune Rita Cowan et une rivalité intense avec Shinjiro Torii, son mentor devenu concurrent, tissent l'étoffe complexe de sa vie. Masataka parviendra-t-il à inscrire son nom au firmament de l'univers exigeant du whisky ? Et à quel prix ?Whisky San est le récit d'une aventure humaine exceptionnelle faite de détermination, d'amour et de voyages, où la passion se dresse face aux obstacles. Critique : Nouveau one shot sur le whisky. Mais pas "encore une bd sur le Whisky". Déjà on parle ici d'une BD sur le whisky Japonais, mais on parle surtout d'une bd sur l'histoire d'un des créateurs du premier whisky. Un homme dont la passion a été jusqu'à lui faire traverser l'atlantique pour apprendre des maitres brasseurs écossais. Cette histoire est une vraie aventure qui se trouve être passionnante. De son passé de fils de producteur de saké à son mariage avec une écossaise en passant par les années de guerre, cela nous livre une histoire pleine de rebondissement et très bien raconté par Didier Alcante. Une belle découverte sur laquelle je n'avais pas mise un sous ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whisky-san?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Whisky San

    Nouveau one shot sur le whisky. Mais pas "encore une bd sur le Whisky". Déjà on parle ici d'une BD sur le whisky Japonais, mais on parle surtout d'une bd sur l'histoire d'un des créateurs du premier whisky. Un homme dont la passion a été jusqu'à lui faire traverser l'atlantique pour apprendre des maitres brasseurs écossais. Cette histoire est une vraie aventure qui se trouve être passionnante. De son passé de fils de producteur de saké à son mariage avec une écossaise en passant par les années de guerre, cela nous livre une histoire pleine de rebondissement et très bien raconté par Didier Alcante. Une belle découverte sur laquelle je n'avais pas mise un sous !
  22. poseidon2

    Le combat d'Henry Fleming

    Alors sur le site, on n'est pas d'accord sur cet album, je dois donc dire que c'est uniquement mon avis et que @Kevin Nivek n'est pas d'accord avec moi. Pas d'accord sur quoi ? pas sur la qualité graphique. Rien à dire sur celle-ci. Les dessins sont sublimes et la mise en couleur bien adaptée au différent passage de l'histoire. Non, nous ne sommes pas d'accord sur le scenario. On ne l'a pas vécu de la même façon. Pas du tout. Pour tout vous dire, moi cette adaptation m'a laissé froide. J'ai trouvé qu'il manquait des scènes de transition, ce qui faisait que les changements psychologiques de notre héros étaient trop brutaux. Le personnage principal m'a paru froid au possible et pleins de décision plus irrationnelles les unes que les autres. Je ne saurais juger si cela vient de la nouvelle de Stephen Crane ou de l'adaptation, mais j'ai eu, tout le long de l'album, l'impression de lire l'histoire d'un mec bipolaire. Non pas que cela ne puisse pas être intéressant, mais il aurait été nécessaire, de mon point de vue, ne prendre plus de temps pour faire comprendre aux lecteurs ces changements, pour créer un minimum d'empathie envers un personnage principal froid au possible.
  23. poseidon2

    Les murailles invisibles tome 2

    Suite des murailles invisibles et suite qui augmente d'un cran le rythme de l'histoire. Après un premier tome introductif sur les murs et nous présentant notre héros, ce tome deux est lui entièrement consacré à la découverte de nouveau univers et aux explications sur ce que sont ces murs et les règles qui les régissent. C'est le premier point d'intérêt de ce tome deux. On ne se contente pas de nous dire "vous ne saurez jamais", on nous montre des débuts de réponses sur comment marchent ces murs, à défaut d'où est-ce qu'ils viennent. Le deuxième point est l'apparition de l'homme en bleu, mais aussi la découverte d'une civilisation avancée ayant "dompté" les murs. Une civilisation qui semble vouloir le bien des autres... en apparence. Un tome deux qui sort un peu du récit de SF pure pour s'orienter un peu plus vers le thriller dans le prochain tome.
  24. Nouvelle série jeunesse chez Dupuis avec une série surfant sur la résurgence du Western avec l'aventure très sympathique d'une livreuse de livre. On est là dans de la vraie littérature jeunesse, destinée aux enfants qui aiment les dessins animés comme Spirit. En effet, on a un méchant plus bête que méchant, des héroïnes jeunes et intrépides qui aident la famille et un animal au centre de l'imbroglio de ce premier tome. 100% de ce qui plait aux petites filles entre 6 et 12 ans ! Graphiquement, on est aussi dans des dessins pour enfants, avec des personnages tout en rondeurs, des sentiments sans ambiguïtés et de scènes toujours très claires et aisément compréhensibles. . En bref le beau cadeau pour nos jeunes lecteurs....
  25. Titre de l'album : XIII Mystery tome 14 - Traquenards et sentiments Scenariste de l'album : Jean Van Hamme Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Sous la plume de Jean Van Hamme, ce quatorzième tome propose plusieurs courtes histoires dessinées par un panel de dessinateurs hors pair. En effet, pour cet opus, Jean Van Hamme est accompagné aux pinceaux par Philippe Xavier, Iouri Jigounov, Joël Callède, Gontran Toussaint, Mikaël et Alain Henriet. Dans quelles circonstances Eleanor Davis-Brown, l'agent XX, a-t-elle été démasquée ? Quelle a été la vie de Lullaby, entre le Minneapolis Hot Dance et son propre établissement au Mexique ? XIII en aura-t-il appris davantage sur son passé après une discussion avec un de ses anciens amis d'université ? Et ce dernier est-il réellement ce qu'il prétend être ? Ce tome, contrairement aux treize précédents, ne se concentre pas sur un seul personnage mais balaie un horizon bien plus vaste de la saga XIII... Un cahier supplémentaire, réalisé par de grands noms du dessin, a été ajouté à ce dernier tome. Enrico Marini, Éric Henninot, Alcante, Boucq, Richard Guérineau, Dominique Bertail, TaDuc, Olivier Grenson, Colin Wilson, Jean-Pierre Pécau, Corentin Rouge... Tous ont tenu à rendre hommage au célèbre héros amnésique, en quête de son passé depuis déjà 40 ans. Critique : Alors même que je fais partie des fans de XIII, j'ai arrêté la série tôt, c'est-à-dire à l'enquête. En craquant pour cet album dès 40 ans, j'avais peur d'être largué sur l'ensemble des histoires, n'ayant lu que le tiers des albums parus. Et bien figurez-vous que je pense ne pas être le seul à être surtout fan de la première "saison" de XIII, car les histoires parlent TOUTES de moments passés avant ou au début de l'histoire de XIII et ne concernent que des personnages majeurs de la première série. Cela en fait donc une lecture hommage intéressante, menée par certains des plus grands auteurs actuels. Un album pas forcément immanquable, mais qui donne envie de relire la série de bases ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/xiii-mystery-tome-14-traquenards-et-sentiments?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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