Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Kevin Nivek

    Sol-13

    Titre de l'album : Sol-13 Scenariste de l'album : Harry Bozino , Julia Verlanger Dessinateur de l'album : Federico Dallochio Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Alors qu'Eiko, une agente de la CDE (Compagnie des Étoiles), envoyée en reconnaissance sur la planète Sol 13, disparait, une mission de sauvetage est lancée. A la tête d'un commando, Jatred découvre une planète sauvage sur laquelle la population humaine a été réduite en esclavage par une race alien aux pouvoirs psychiques et à la technologie très avancée : les Mokkais. Devant l'urgence de la situation, les agents de la CDE devront malgré eux prendre part à une révolte pour libérer les humains du joug terrible des extraterrestres. Critique : Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sol13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Sol-13

    Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus .
  3. alx23

    Congo blanc

    Les éditions Daniel Maghen proposent une réédition de trois histoires ayant pour décor le Congo belge, sur trois époques différentes réalisées par Eric Warnauts & Guy Raives. Ce recueil regroupe Congo 40, la plus longue des trois histoires, Fleurs d'ébène et Congo blanc, une histoire courte de l'album Equatoriales. Eric Warnauts se charge de l'écriture des scénarios. Congo 40 prend place au Congo en 1942 où un gigolo rejoint un planteur et sa fille qu'il a connu quelques années auparavant. Il tombe sous le charme de cette dernière devenue une jeune femme depuis leur première rencontre. L'auteur nous plonge dans l'ambiance lourde du Congo colonisé par les belges avec leur méthode trop discutable envers les natifs. De plus tous les colons sont regroupés autour d’un secret malsain. La seconde histoire se déroule à la fin des années 50, avec une enquête policière où un congolais est écrasé par une voiture. L'inspecteur va devoir batailler pour démontrer que ce n'est pas un accident. La troisième et dernière histoire se déroule lors de l'indépendance de 1960 avec un couple. La parie graphique est dessinée par Eric Warnauts et Guy Raives pour un résultat très soigné pour retranscrire l'ambiance et les paysages du Congo. Les trois histoires sont agrémentées pour l'occasion par de nombreuses aquarelles et des dessins d'Eric Warnauts et Guy Raives réalisées durant leur voyage en Afrique. L'album se termine sur plusieurs recherches de personnages. Les thématiques abordées dans Congo blanc sont vraiment dérangeantes même si j’imagine qu’elles sont proche de la réalité. Les personnages sont détestables et le racisme ambiant durant la colonisation n’arrange rien à l’ensemble. Les auteurs dénoncent certainement et installent un climat particulier avec un mélange des genres historique, drame et romance sensuelle avec un rythme très lent. Par contre, l'édition de ce recueil est de qualité avec une couverture souple et de nombreux dessins en bonus.
  4. Titre de l'album : Don Quichotte de la Manche Scenariste de l'album : Paul & Gaëtan Brizzi Dessinateur de l'album : Paul & Gaëtan Brizzi Coloriste : Paul & Gaëtan Brizzi Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Don Quichotte passe entre les mains de Paul et Gaëtan Brizzi pour une adaptation somptueuse de ce classique de la littérature espagnole. Paul et Gaëtan Brizzi reprennent le crayon et, après L'Enfer de Dante, s'attaquent à un autre très grand classique de la littérature espagnole, Don Quichotte. L'Hidalgo de Miguel de Cervantes va passer sous les traits uniques des frères Brizzi pour une nouvelle adaptation spectaculaire ! Critique : Après une somptueuse adaptation de la Divine Comédie, l'enfer de Dante, les deux frères auteurs Brizzi se lancent dans une nouvelle adaptation d'un autre classique de la littérature, avec Don Quichotte de la Manche de Cervantes. On retrouve donc avec plaisir les aventures rocambolesques de Don Quichano qui se renomme lui-même Don Quichotte, avant de partir avec sa vieille monture pour venir en aide ou affronter des monstres présents seulement dans sa tête ou sa folie. L'histoire de Don Quichotte est plus légère que celle de Dante avec beaucoup d'humour en compagnie de son fidèle Sancho et de Carrasco son scribe. Les frères Brizzi restent fidèles à l'œuvre d'origine souvent amusante mais aussi triste devant la méchanceté des personnes se moquant de Don Quichotte ou le frappant. La partie graphique est absolument magnifique, la plus grande partie des planches est en noir et blanc en crayonnée mais quelques illustrations ou double page d'illustration sont en couleurs. Le style des dessins se veut caricatural avec des personnages aux expressions très exagérés sur les gros plans des visages. Les scènes d'actions sont parfaites et dynamiques qui se terminent souvent par Don Quichotte perdant et finissant à terre. Ce roman graphique est imposant avec deux cent planches magnifiques où l'on ne peut rester qu'admiratif devant le travail des deux frères. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-quichotte-de-la-manche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Don Quichotte de la Manche

    Après une somptueuse adaptation de la Divine Comédie, l'enfer de Dante, les deux frères auteurs Brizzi se lancent dans une nouvelle adaptation d'un autre classique de la littérature, avec Don Quichotte de la Manche de Cervantes. On retrouve donc avec plaisir les aventures rocambolesques de Don Quichano qui se renomme lui-même Don Quichotte, avant de partir avec sa vieille monture pour venir en aide ou affronter des monstres présents seulement dans sa tête ou sa folie. L'histoire de Don Quichotte est plus légère que celle de Dante avec beaucoup d'humour en compagnie de son fidèle Sancho et de Carrasco son scribe. Les frères Brizzi restent fidèles à l'œuvre d'origine souvent amusante mais aussi triste devant la méchanceté des personnes se moquant de Don Quichotte ou le frappant. La partie graphique est absolument magnifique, la plus grande partie des planches est en noir et blanc en crayonnée mais quelques illustrations ou double page d'illustration sont en couleurs. Le style des dessins se veut caricatural avec des personnages aux expressions très exagérés sur les gros plans des visages. Les scènes d'actions sont parfaites et dynamiques qui se terminent souvent par Don Quichotte perdant et finissant à terre. Ce roman graphique est imposant avec deux cent planches magnifiques où l'on ne peut rester qu'admiratif devant le travail des deux frères.
  6. Titre de l'album : Le roy des ribauds tome 4 Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat Coloriste : Ronan Toulhoat Editeur de l'album : Akileos Note : Résumé de l'album : Juillet 1203. Alors que le Triste Sire a accompagné le roi au siège de Château Gaillard, laissant la gestion des rues de Paris à Amauri, des femmes sont retrouvées sont retrouvées mortes et mutilées dans la capitale. Pendant ce temps, à la Cour des Miracles, Saïf essaye tant bien que mal d'assumer son rôle de Grand Coësre et de gérer la rivalité croissante entre Sibylle et Mélissande. Critique : Il aura fallu être patient mais les deux auteurs ont tenu leur parole pour nous offrir un quatrième tome sur le Roy des ribauds, cinq années après ce que l'on pourrait qualifié de premier cycle. L'histoire se suffisait déjà avec la trilogie et Vincent Brugeas en profite pour faire un bon dans le temps d'une dizaine d'année. Le Triste Sire sert toujours le roi Philippe Auguste avec fidélité sur le siège de Château Gaillard. Il a désigné son successeur qui enquête sur une histoire de meurtre dans Paris, pendant son absence à la guerre. Saïf est toujours Grand Coëtre du monde d'en dessous avec son jeune fils. Il est plaisant de retourner dans cette époque médiévale où le roy des ribauds agit en maitre dans les bas-fonds de Paris mais aussi auprès du roi. On retrouve les histoires de tous les personnages principaux de la série et leur évolution. Les dessins de Ronan Toulhoat ont bien évolué avec un trait affiné et moins d'encrage. On se rapproche davantage de la série Ira Dei j'ai l'impression. Ce quatrième tome est un sans-faute et j'espère que l'on ne n'aura pas à attendre autant de temps avant d'avoir le dernier tome de la série. Après les deux auteurs travaillent déjà sur Cosaques dans un autre registre avec une partie historique importante mais aussi sur Tête de Chien et une série de science-fiction pour 2023. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-roy-des-ribauds-livre-iv?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Le roy des ribauds tome 4

    Il aura fallu être patient mais les deux auteurs ont tenu leur parole pour nous offrir un quatrième tome sur le Roy des ribauds, cinq années après ce que l'on pourrait qualifié de premier cycle. L'histoire se suffisait déjà avec la trilogie et Vincent Brugeas en profite pour faire un bon dans le temps d'une dizaine d'année. Le Triste Sire sert toujours le roi Philippe Auguste avec fidélité sur le siège de Château Gaillard. Il a désigné son successeur qui enquête sur une histoire de meurtre dans Paris, pendant son absence à la guerre. Saïf est toujours Grand Coëtre du monde d'en dessous avec son jeune fils. Il est plaisant de retourner dans cette époque médiévale où le roy des ribauds agit en maitre dans les bas-fonds de Paris mais aussi auprès du roi. On retrouve les histoires de tous les personnages principaux de la série et leur évolution. Les dessins de Ronan Toulhoat ont bien évolué avec un trait affiné et moins d'encrage. On se rapproche davantage de la série Ira Dei j'ai l'impression. Ce quatrième tome est un sans-faute et j'espère que l'on ne n'aura pas à attendre autant de temps avant d'avoir le dernier tome de la série. Après les deux auteurs travaillent déjà sur Cosaques dans un autre registre avec une partie historique importante mais aussi sur Tête de Chien et une série de science-fiction pour 2023.
  8. Titre de l'album : Saint-Elme tome 3 - Le porteur de mauvaises nouvelles Scenariste de l'album : Serge Lehman Dessinateur de l'album : Frederik Peeters Coloriste : Frederik Peeters Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Philippe Sangaré débarque à Saint-Elme et se lance sur la piste de son frère disparu. Romane révèle à Paco ce que voit réellement son père dans sa chambre. Le directeur Jansky tente une manoeuvre désespérée pour convaincre Roland Sax de signer le projet de Stan et Tania. Et sous terre, Franck se laisse guider par les grenouilles. Critique : Saint-Elme fait partie des séries dont j'attends chaque tome avec beaucoup d'impatience et je ne suis jamais déçu par la qualité du récit et des dessins. Toutes les intrigues commencent à s'accélérer puisque le prochain tome devrait être le dernier de la série. Serge Lehman poursuit les révélations tout en gardant des mystères pour nous tenir encore en haleine jusqu'à la fin, avec toutes les petites histoires autour des personnages clés, comme les frères Sangaré accompagnée de Madame Dombre ou encore la famille Sax qui détient le pouvoir et la ville de Saint-Elme avec beaucoup de corruption. Les dessins de Frederik Peeters sont excellents, j'adore vraiment son travail et encore plus sur Saint-Elme. Les angles de vues sont bien trouvés lors de scènes d'action ainsi que le choix des couleurs. La couverture nous montre Franck un des personnages principaux en mauvaise condition alors qu'il s'évade. Si vous avez aimé les deux premiers tomes, vous allez adorer ce troisième tome et sinon je recommande fortement la lecture de Saint-Elme. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saint-elme-tome-3-le-porteur-de-mauvaises-nouvelles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Saint-Elme fait partie des séries dont j'attends chaque tome avec beaucoup d'impatience et je ne suis jamais déçu par la qualité du récit et des dessins. Toutes les intrigues commencent à s'accélérer puisque le prochain tome devrait être le dernier de la série. Serge Lehman poursuit les révélations tout en gardant des mystères pour nous tenir encore en haleine jusqu'à la fin, avec toutes les petites histoires autour des personnages clés, comme les frères Sangaré accompagnée de Madame Dombre ou encore la famille Sax qui détient le pouvoir et la ville de Saint-Elme avec beaucoup de corruption. Les dessins de Frederik Peeters sont excellents, j'adore vraiment son travail et encore plus sur Saint-Elme. Les angles de vues sont bien trouvés lors de scènes d'action ainsi que le choix des couleurs. La couverture nous montre Franck un des personnages principaux en mauvaise condition alors qu'il s'évade. Si vous avez aimé les deux premiers tomes, vous allez adorer ce troisième tome et sinon je recommande fortement la lecture de Saint-Elme.
  10. Titre de l'album : Celle qui fit le bonheur des insectes Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Paul Salomone Coloriste : Paul Salomone Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Dans le paisible royaume de Shandramabad, un roi meurt, laissant sa femme Shikara, enceinte de jumeaux. À la naissance des enfants, la reine leur offre à chacun un oiseau-volcan, animal au plumage magnifique. Hélas, ce cadeau signera la perte de son fils Gorakh, qui fait une chute mortelle en suivant l’oiseau dans son envol. La mère, ravagée par la douleur, ne supporte plus le chant d’aucun oiseau ; elle ordonne de faire tuer tous les volatiles du pays, qui sombre alors dans la tristesse, le silence et la maladie. Elle bannit tout bonheur et tout plaisir de sa vie, si bien que quand elle surprend sa fille, la princesse Jalna, dans les bras d’un vulgaire voleur, elle le condamne à un sort terrible. Jalna va alors affronter son destin et sa mère autoritaire, cruelle et folle de chagrin. Critique : Celle qui fit le bonheur des insectes est un conte imaginé par Zidrou dans un royaume paisible va se produire plusieurs tragédies pour la famille royale. On ne compte plus les excellentes histoires de Zidrou qui fait encore des merveilles avec ce titre. La narration est parfaite pour donner beaucoup d'émotions en contradiction servit par la folie d'une reine qui décide que tous les oiseaux de son royaume doivent être exécutés, des gardes doivent être postés aux frontières pour massacrer tous les volatiles dans les airs qui voudraient rentrer. Paul Salomone nous offre des planches magnifiques, l'auteur de l'Homme qui n'aimait pas les armes à feu a travaillé durant deux années consécutives pour parfaire sa partition. On en prend plein les yeux avec des décors magnifiques avec un palais riche et exotique où un drame va se jouer. La superbe couverture donne un très aperçu des planches intérieures. A noter qu’une version noire et blanc sera disponible dès la sortie de l'album pour profiter du trait de Salomone. Ce conte pour adulte m’a agréablement surpris surtout que je suis pas forcément très attiré par ce genre de récit mais il faut reconnaitre que les deux auteurs ont fait des merveilles sur cette histoire très plaisante à lire. Autres infos : Editions : Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celle-qui-fit-le-bonheur-des-insectes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Celle qui fit le bonheur des insectes est un conte imaginé par Zidrou dans un royaume paisible va se produire plusieurs tragédies pour la famille royale. On ne compte plus les excellentes histoires de Zidrou qui fait encore des merveilles avec ce titre. La narration est parfaite pour donner beaucoup d'émotions en contradiction servit par la folie d'une reine qui décide que tous les oiseaux de son royaume doivent être exécutés, des gardes doivent être postés aux frontières pour massacrer tous les volatiles dans les airs qui voudraient rentrer. Paul Salomone nous offre des planches magnifiques, l'auteur de l'Homme qui n'aimait pas les armes à feu a travaillé durant deux années consécutives pour parfaire sa partition. On en prend plein les yeux avec des décors magnifiques avec un palais riche et exotique où un drame va se jouer. La superbe couverture donne un très aperçu des planches intérieures. A noter qu’une version noire et blanc sera disponible dès la sortie de l'album pour profiter du trait de Salomone. Ce conte pour adulte m’a agréablement surpris surtout que je suis pas forcément très attiré par ce genre de récit mais il faut reconnaitre que les deux auteurs ont fait des merveilles sur cette histoire très plaisante à lire.
  12. Titre de l'album : Tuskegee ghost tome 1 Scenariste de l'album : Benjamin Von Eckartsberg Dessinateur de l'album : Olivier Dauger Coloriste : Olivier Dauger Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : 1968. L'été de l'amour bat son plein, mais le Sud américain est toujours dominé par la haine. 1942. L'Amérique se bat pour la liberté en Europe et dans le Pacifique, mais tous ses citoyens ne sont pas égaux dans la lutte... Basé sur l'histoire vraie des Tuskegee Airmen, les premiers pilotes noirs de l’armée de l’Air américaine, Tuskegee Ghost peint un drame familial où la violence de la guerre fait écho à celle du racisme. Critique : J'apprécie beaucoup les histoires de Benjamin Von Eckartsberg depuis la chronique des immortels en passant par Gung Ho donc c'est avec plaisir que j'ai découvert sa dernière production, annoncée en deux volumes. L'histoire se scinde en deux parties avec le parcours d'un aviateur afro-américain pendant la seconde guerre mondiale et celui de son fils durant les années hippies. Le père a subi le racisme encore bien présent aux États-Unis à cette époque et souffre d'un traumatisme suite à la guerre. De son côté, son fils souhaite devenir pilote d'avion à son tour. Des scènes de flashbacks des combats aériens sont racontés par la mère ou alors hantent les cauchemars du père. Olivier Dauger gère la partie graphique avec beaucoup de talent et les couleurs numériques assurent un rendu original de grande qualité. On ressent une forte influence par les dessins de Thomas von Kummant qui travaille souvent avec Benjamin Von Eckartsberg. Dauger a déjà dessiné de nombreuses séries d'aviation en tant de guerre et il retranscrit très bien les ambiances et combats. J'ai adoré la lecture de ce premier album que je recommande fortement à tous lecteurs aimant les récits de guerre et d'aviation historique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tuskegee-ghost-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Tuskegee ghost tome 1

    J'apprécie beaucoup les histoires de Benjamin Von Eckartsberg depuis la chronique des immortels en passant par Gung Ho donc c'est avec plaisir que j'ai découvert sa dernière production, annoncée en deux volumes. L'histoire se scinde en deux parties avec le parcours d'un aviateur afro-américain pendant la seconde guerre mondiale et celui de son fils durant les années hippies. Le père a subi le racisme encore bien présent aux États-Unis à cette époque et souffre d'un traumatisme suite à la guerre. De son côté, son fils souhaite devenir pilote d'avion à son tour. Des scènes de flashbacks des combats aériens sont racontés par la mère ou alors hantent les cauchemars du père. Olivier Dauger gère la partie graphique avec beaucoup de talent et les couleurs numériques assurent un rendu original de grande qualité. On ressent une forte influence par les dessins de Thomas von Kummant qui travaille souvent avec Benjamin Von Eckartsberg. Dauger a déjà dessiné de nombreuses séries d'aviation en tant de guerre et il retranscrit très bien les ambiances et combats. J'ai adoré la lecture de ce premier album que je recommande fortement à tous lecteurs aimant les récits de guerre et d'aviation historique.
  14. alx23

    Les Pizzlys

    Titre de l'album : Les Pizzlys Scenariste de l'album : Jeremie Moreau Dessinateur de l'album : Jeremie Moreau Coloriste : Jeremie Moreau Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sillonnant Paris jour et nuit au volant de sa BMW à crédit, Nathan enchaîne les courses Uber pour subvenir aux besoins de ses frères et soeurs. Faisant littéralement corps avec son GPS, Nathan plonge dans un vide assourdissant quand son portable tombe en panne. Suite à un accident, Annie, sa dernière cliente, lui propose de partir vivre en forêt avec Zoé et Etienne au fin fond de l'Alaska. Critique : Le titre de ce roman graphique provient du croisement entre un ours polaire et un grizzli. En effet, ce résultat est de plus en plus visible suite au réchauffement climatique, les ours polaires quittent les banquises pour trouver de la nourriture et croisent les territoires des grizzlys. C'est à partir de ce constat que Jérémie Moreau s'inspire pour écrire cette aventure incroyable de deux frères et une sœur qui partent vivre en Alaska, chez une vieille femme originaire de ce pays. Elle retourne dans son pays après avoir passé quarante ans en France. L'auteur met en évidence le décalage entre les deux enfants les plus jeunes par rapport aux enfants en Alaska qui vivent en harmonie avec la nature, sans besoins de consoles et téléphones. En parallèle, le frère le plus âgé vient de faire un burn-out, après quatre années intenses pour élever son frère et sa sœur suite au décès de leur mère. Le constat de la vie dans les grandes villes est assez rapide pour qu'ensuite Jérémie Moreau passe au constat du dérèglement climatique avec les répercussions déjà bien visible sur la nature en Alaska. Les dessins de l'auteur sont de qualité avec une partie mystique mise en avant avec une représentation un peu psychédélique. Le choix des couleurs renforce cet aspect, comme on peut le voir avec la couverture. Les pizzlys est un très bon album sans jugement avec une réflexion sur l'environnement qui nous entoure et les possibilités qui s'offriront à nous dans l'avenir, avec les nouvelles générations. Après La saga de Grimr et avoir dessiné Le singe de Hartlepool, Jérémie Moreau nous offre un très excellent voyage avec Les pizzlys. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-pizzlys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Les Pizzlys

    Le titre de ce roman graphique provient du croisement entre un ours polaire et un grizzli. En effet, ce résultat est de plus en plus visible suite au réchauffement climatique, les ours polaires quittent les banquises pour trouver de la nourriture et croisent les territoires des grizzlys. C'est à partir de ce constat que Jérémie Moreau s'inspire pour écrire cette aventure incroyable de deux frères et une sœur qui partent vivre en Alaska, chez une vieille femme originaire de ce pays. Elle retourne dans son pays après avoir passé quarante ans en France. L'auteur met en évidence le décalage entre les deux enfants les plus jeunes par rapport aux enfants en Alaska qui vivent en harmonie avec la nature, sans besoins de consoles et téléphones. En parallèle, le frère le plus âgé vient de faire un burn-out, après quatre années intenses pour élever son frère et sa sœur suite au décès de leur mère. Le constat de la vie dans les grandes villes est assez rapide pour qu'ensuite Jérémie Moreau passe au constat du dérèglement climatique avec les répercussions déjà bien visible sur la nature en Alaska. Les dessins de l'auteur sont de qualité avec une partie mystique mise en avant avec une représentation un peu psychédélique. Le choix des couleurs renforce cet aspect, comme on peut le voir avec la couverture. Les pizzlys est un très bon album sans jugement avec une réflexion sur l'environnement qui nous entoure et les possibilités qui s'offriront à nous dans l'avenir, avec les nouvelles générations. Après La saga de Grimr et avoir dessiné Le singe de Hartlepool, Jérémie Moreau nous offre un très excellent voyage avec Les pizzlys.
  16. Titre de l'album : La quête - Tome 1 - La dame du lac perdu Scenariste de l'album : Frédéric Maupomé Dessinateur de l'album : Wauter Mannaert Coloriste : Wauter Mannaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis mille ans, le roi Pellinor et ses descendants traquent la Bête... et échouent lamentablement. Du coup, c'est au tour de Pelli de se lancer dans la quête familiale. Ça tombe bien, parce qu'il est présentement sans véritable emploi - et puis ça fait super plaisir à son grand-père qu'il reprenne le flambeau. Après, on ne va pas se mentir... Pelli n'a pas les capacités physiques dignes des chevaliers de légende et son acolyte, la Dame du lac, a perdu sa magie. Dans un monde qui change, où le merveilleux laisse la place à la banalité, leur quête s'annonce un vrai défi. Mais après tout, l'important, dans une quête, n'est-ce pas le chemin plutôt que la destination...? Critique : Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-quete-tome-1-la-dame-du-lac-perdu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente.
  18. poseidon2

    Deux soeurs

    Nouvelle tranche de vie chez grand angle avec celles de deux soeurs radicalement différentes qui vont être obligés de se parler pour pouvoir garder leurs maisons. SI l'ensemble est ultra-caricatural avec des sœurs trop clichées des bobos contre les capitalistes, cela reste assez drôle et au final touchant sur les racines de la sphère familiale. À lire une fois pour la détente
  19. poseidon2

    Deux soeurs

    Titre de l'album : Deux soeurs Scenariste de l'album : Bruno Duhamel Dessinateur de l'album : Isabelle Sivan Coloriste : Isabelle Sivan Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : La seule chose qu'elles partagent,c'est une maison ! Lise et Camille sont deux soeurs. L'une, énergique et sportive, travaille dans la finance et adore le foot. L'autre, plutôt hippie, est enseignante et collectionne les instruments de musique. Curieusement, bien que tout les sépare, elles habitent la même maison, coupée en deux. Mais pour combien de temps encore ? Lorsque le propriétaire décide de vendre son bien, elles envisagent de le racheter ensemble. Mais sont-elles seulement capables de s'entendre ? Critique : Nouvelle tranche de vie chez grand angle avec celles de deux soeurs radicalement différentes qui vont être obligés de se parler pour pouvoir garder leurs maisons. SI l'ensemble est ultra-caricatural avec des sœurs trop clichées des bobos contre les capitalistes, cela reste assez drôle et au final touchant sur les racines de la sphère familiale. À lire une fois pour la détente Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deux-soeurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Ladies with guns tome 3

    Petite déception que ce Lady with guns tome 3. Petite déception car j'ai trouvé que graphiquement ce tome était plus irrégulier que les précédents avec des pages étrangements brouillonnes alors que d'autres sont très belles. Et puis coté scenario, c'est une évasion un peu "trop facile". Si le traitement des filles au bagne est plutôt bien fait et "violent", l'ensemble de l'évasion est un peu trop facile et nos "héroïnes" s'en sorte encore une fois un peu trop bien. Un premier cycle intéressant, mais surtout porté par un premier tome inégalé par la suite
  21. Titre de l'album : Ladies with guns tome 3 Scenariste de l'album : Olivier Bocquet Dessinateur de l'album : Anlor Coloriste : Anlor Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Mises au fer comme des criminelles sanguinaires, Kathleen, Daisy, Chumani et Cassie sont envoyées au pénitencier. Mais dans cet enfer de travaux de force et d'humiliations, l'hostilité des gardiens et la convoitise des détenus sont bousculées par l'arrivée de ces détenues d'un autre genre. A priori, pas le lieu idéal pour faire d'heureuses rencontres. Mais ça, c'est sans compter leur petit caractère et aussi qu'une lady manque à l'appel Critique : Petite déception que ce Lady with guns tome 3. Petite déception car j'ai trouvé que graphiquement ce tome était plus irrégulier que les précédents avec des pages étrangements brouillonnes alors que d'autres sont très belles. Et puis coté scenario, c'est une évasion un peu "trop facile". Si le traitement des filles au bagne est plutôt bien fait et "violent", l'ensemble de l'évasion est un peu trop facile et nos "héroïnes" s'en sorte encore une fois un peu trop bien. Un premier cycle intéressant, mais surtout porté par un premier tome inégalé par la suite Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ladies-with-guns-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Jungle book tome 1 - La meute

    Il m'a bien fallu 3 pages de lecture et l'arrivée de Serkhan pour me dire : mais au fait ca veut dire Livre de la Jungle "Jungle Book" ! Et oui cet album est une transposition des nouvelles de Rudyard Kipling dans un univers ou les bêtes parlent, se tiennent sur leurs pattes, utilisent des fusils et sont habillés. Cela donne une histoire bien plus adulte, bien plus sombre mais plus agréable à lire pour public plus mature. Notre autrice réussie à garder l'histoire, avec des transpositions fameuses comme Baloo, en la dynamisant un peu avec un côté "thriller" prenant. Enfin cela si vous réussissez à vous faire au graphisme fait à l'ordinateur, qui, s'il est bien fait, ne plairait pas forcément à tout le monde.
  23. Titre de l'album : Ophélia et les abysses - tome 1 Scenariste de l'album : Hans Jorgen Sandnes Dessinateur de l'album : Hans Jorgen Sandnes Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ophélia emménage dans la petite ville côtière de Saltvik. Elle va y vivre avec sa nouvelle famille d'accueil, joyeuse et sportive. Mais la jeune fifille se lie d'amitié avec son voisin, Bernard, un pêcheur avec qui elle partage une fascination pour les créatures sous-marines. Ophélia préfère discuter de cryptozoologie plutôt que de se suspendre à un mur d'escalade. Un soir, par la fenêtre, Ophélia aperçoit une forme étrange. Quelle est donc cette créature qui se dissimule dans la mer ? Aurait-elle un rapport avec le garçon ayant récemment disparu après avoir plongé à l'eau ? Critique : L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ophelia-et-les-abysses-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂
  25. Titre de l'album : Jour J Tome 50 : Saint-Denis des Amériques Partie 1 : 1685, le roi Philippe VII règne sur la Nouvelle France Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pecau et Fred Duval Dessinateur de l'album : Vladimir Alesksic Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Retranché dans son palais de Saint-Denis-des-Amériques, le roi Philippe VII est décidé à reconquérir le territoire perdu de l'Ancienne France, tandis que l'Angleterre intrigue pour lâcher une machine infernale sur Manhattan. Critique : La saga des Jour J arrive au cinquantième tome avec une nouvelle uchronie encore bien orchestrée par le duo Jean-Pierre Pecau et Fred Duval. La nouvelle France règne sur l’île de Manhattan au milieu des tribus amérindiennes. Pendant ce temps, sur l'ancien continent, les anglais ne s'avouent pas vaincu avec l'organisation d'une prochaine offensive en Amérique. Le jeu des espions n'est pas en reste dans cet univers parallèle où l'histoire ne s'est as déroulée comme nous la connaissons. Les deux scénaristes sont devenus des spécialistes des uchronies depuis le temps et s’amusent à réinterpréter notre histoire tout en se basant sur la réalité. Les dessins de Vladimir Alesksic sont de qualité pour dépeindre des bâtiments proches des constructions de château de l'époque en France mais sur l’île de Manhattan au milieu des cherokees. Cela donne un mélange assez intéressant comme vous pouvez le découvrir sur la couverture d'Ugo Pinson et Fred Blanchard. Les amateurs de la série et des bandes dessinée historiques seront comblés par cet album programmé en diptyque pour prendre le temps d'installer cette histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-tome-50-saint-denis-des-ameriques-partie-1-1685-le-roi-philippe-vii-regne-sur-la-nouvelle-france?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...