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  1. poseidon2

    Zoc

    Zoc c'est un Myasaki en BD. Un Myasaki dans sa forme Mon voisin Totoro. Hop la critique la plus rapide de l'année ! Vous pouvez rire (car je vous entends avant même que vous n'ayez lue cette critique !) mais c'est vraiment la meilleure des descriptions de Zoc. On retrouve tout ce qui fait de mon voisin Totoro un beau manga : Du fantastique, de l'humain, des dessins tout beau et pas trop chargée et une héroïne au caractère bien trempée. Cette fable sur la différence et la façon de tirer le meilleur de soi est un délice de lecture. Un moment de fraicheur et de bonheur dans un monde qui se durcit de jour en jour. Que vous soyez enfant ou adulte en recherche d'un peu d'évasion, ce Zoc sera là pour vous faire rêver !
  2. poseidon2

    Zoc

    Titre de l'album : Zoc Scenariste de l'album : Jade Khoo Dessinateur de l'album : Jade Khoo Coloriste : Jade Khoo Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Zoc est une jeune fille d'apparence normale. Elle ne sait pas quoi faire de sa vie, elle n'a pas de réelle passion, mais possède un drôle de pouvoir : capter et puiser l'eau avec ses cheveux ! Un pouvoir inutile et embêtant, dont elle va tout de même essayer de tirer parti. Quand un village près de chez elle subit une vaste inondation, elle décide rendre service en évacuant l'eau... Ce voyage lui permettra de faire une rencontre étonnante, et Zoc s'apercevra qu'en voulant aider des gens, elle peut créer... Critique : Zoc c'est un Myasaki en BD. Un Myasaki dans sa forme Mon voisin Totoro. Hop la critique la plus rapide de l'année ! Vous pouvez rire (car je vous entends avant même que vous n'ayez lue cette critique !) mais c'est vraiment la meilleure des descriptions de Zoc. On retrouve tout ce qui fait de mon voisin Totoro un beau manga : Du fantastique, de l'humain, des dessins tout beau et pas trop chargée et une héroïne au caractère bien trempée. Cette fable sur la différence et la façon de tirer le meilleur de soi est un délice de lecture. Un moment de fraicheur et de bonheur dans un monde qui se durcit de jour en jour. Que vous soyez enfant ou adulte en recherche d'un peu d'évasion, ce Zoc sera là pour vous faire rêver ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zoc?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Liu Cixin est un auteur contemporain de science-fiction avec une quarantaine de récits cours ou longs déjà publié en Chine et traduit en plusieurs langues. The wandering earth (Terre vagabonde) est également l'adaptation au cinéma d'une nouvelle de Liu Cixin et une série est en cours de réalisation. L'écrivain s'associe avec les éditions Delcourt pour nous proposer pas moins de quinze adaptations en bande dessinée de ses récits. Chaque album sera un one shot que l'on pourra lire indépendamment du reste de la série avec des équipes artistes différentes pour chaque tome. Christophe Bec se charge de l'adaptation de la terre vagabonde, en compagnie de Stefano Raffaele pour la partie graphique. Les auteurs ont l'habitude de travailler ensemble depuis plusieurs années sur des séries tel que Olympus Mons, Prométhée ou Tarzan plus récemment. Dans la terre vagabonde, les scientifiques décident de déplacer la planète Terre alors que le soleil s'éteint. L'auteur va prendre en compte toutes les problématiques scientifiques mais surtout le nombre de générations sacrifiées pour la réalisation du déplacement de la planète et le tout avec beaucoup de réalisme. On pourra reprocher les nombreux dialogues très long et techniques à lire. Stefano Raffaele dessine des planches dans un style réaliste pour convenir au récit avec plusieurs double pages à déplier pour donner une vision du paysage et techniques utilisées. Les amateurs de science-fiction en tout genre devraient trouver leur compte avec cette nouvelle collection Les futurs de Liu Cixin. Deux albums sortiront en mai prochain, Pour que respire le désert par Valérie Mangin et Steven Dupré et Les trois lois du monde par Zhang Xiaoyu. Je ne connaissais pas Liu Cixin mais cette première adaptation semble prometteuse pour la suite.
  4. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - La terre vagabonde Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Marcelo Maiolo Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis la prévision de la mort de notre soleil, l'humanité s'activait à sa survie dans un projet sans précédent : piloter la Terre jusqu'à la constellation du Centaure afin d'y trouver la nécessaire chaleur de son étoile. Un voyage long de 2500 années terrestres... Critique : Liu Cixin est un auteur contemporain de science-fiction avec une quarantaine de récits cours ou longs déjà publié en Chine et traduit en plusieurs langues. The wandering earth (Terre vagabonde) est également l'adaptation au cinéma d'une nouvelle de Liu Cixin et une série est en cours de réalisation. L'écrivain s'associe avec les éditions Delcourt pour nous proposer pas moins de quinze adaptations en bande dessinée de ses récits. Chaque album sera un one shot que l'on pourra lire indépendamment du reste de la série avec des équipes artistes différentes pour chaque tome. Christophe Bec se charge de l'adaptation de la terre vagabonde, en compagnie de Stefano Raffaele pour la partie graphique. Les auteurs ont l'habitude de travailler ensemble depuis plusieurs années sur des séries tel que Olympus Mons, Prométhée ou Tarzan plus récemment. Dans la terre vagabonde, les scientifiques décident de déplacer la planète Terre alors que le soleil s'éteint. L'auteur va prendre en compte toutes les problématiques scientifiques mais surtout le nombre de générations sacrifiées pour la réalisation du déplacement de la planète et le tout avec beaucoup de réalisme. On pourra reprocher les nombreux dialogues très long et techniques à lire. Stefano Raffaele dessine des planches dans un style réaliste pour convenir au récit avec plusieurs double pages à déplier pour donner une vision du paysage et techniques utilisées. Les amateurs de science-fiction en tout genre devraient trouver leur compte avec cette nouvelle collection Les futurs de Liu Cixin. Deux albums sortiront en mai prochain, Pour que respire le désert par Valérie Mangin et Steven Dupré et Les trois lois du monde par Zhang Xiaoyu. Je ne connaissais pas Liu Cixin mais cette première adaptation semble prometteuse pour la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-terre-vagabonde/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Allez, on va le dire : j'ai bien rigolé. Depuis que les Rugbymen sont passés en mode "enfant" et "féminin", je trouve que c'est bien plus drôle. Les enfants tout particulièrement. Ils apportent une fraicheur que Béka sait bien mettre en avant. En utilisant la naïveté enfantine elle nous livre des planches bien sympathiques. Le coté Rugby féminin est toujours bien utilisé et permet de tordre le coup à certains poncifs sur le sport pour "hommes". Sur ce côté je trouve par contre, mais ce n'est pas nouveau, que les noms que se donnent les filles sont débiles. Le côté "vulgaire" des noms qu'elles se donnent tranche un peu avec le reste des blagues qui sont plutôt bien trouvés. En bref un tome sympathique et plaira beaucoup au enfants (enfin chez moi ils adorent)
  6. Titre de l'album : Les rugbymen t20 : On va finir en botté ! Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Jean-Charles Poupard Coloriste : Jean-Charles Poupard Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : La BD à l'humour implacable ! À Paillar, la ville aux ronds-points ovales, les filles aussi jouent au rugby. Et quand l'équipe des Paillettes travaille la « killer attitude » ou revisite les contes de fées de notre enfance, on peut s'attendre à ce qu'il y ait du sport ! Ajoutez à cela une leçon de vie de Sébastien Chabal, qui apprendra aux enfants du village à marcher dans les traces de leurs aîné(e)s, et cet album vous deviendra indispensable. Aussi inoubliable qu'une percée héroïque, une pénalité de 60 mètres... ou la plus belle des troisièmes mi-temps ! Critique : Allez, on va le dire : j'ai bien rigolé. Depuis que les Rugbymen sont passés en mode "enfant" et "féminin", je trouve que c'est bien plus drôle. Les enfants tout particulièrement. Ils apportent une fraicheur que Béka sait bien mettre en avant. En utilisant la naïveté enfantine elle nous livre des planches bien sympathiques. Le coté Rugby féminin est toujours bien utilisé et permet de tordre le coup à certains poncifs sur le sport pour "hommes". Sur ce côté je trouve par contre, mais ce n'est pas nouveau, que les noms que se donnent les filles sont débiles. Le côté "vulgaire" des noms qu'elles se donnent tranche un peu avec le reste des blagues qui sont plutôt bien trouvés. En bref un tome sympathique et plaira beaucoup au enfants (enfin chez moi ils adorent) Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-rugbymen-tome-20-on-va-finir-en-botte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La série Chronosquad se poursuit avec ce sixième tome qui nous fait voyager à l'époque des Huns avec Attila, pour venir en aide à groupe des cadres en formation managériale qui sont retenus prisonniers dans cette époque. Une équipe hors norme est montée en urgence avant d'envoyer un commando armé pour intervenir au plus vite. En parallèle, deux agents tentent de gérer une autre problématique dans le Japon féodale avec plus ou moins de réussite. Une troisième équipe se rend dans le Londres victorien pour une réunion au sommet avec la direction de l'agence Chronosquad en relation avec les cadres prisonniers. Les albums de Chronosquad sont intenses en évènements et toujours sur plusieurs époques, sans compter les problématiques du voyage temporel dans des zones inexplorées avec deux agents qui ont vieilli de 40 ans lors du retour à leur époque. Les dessins de Grégory Panaccione sont dans un style caricatural surtout pour les agents de la Chronosquad et plus réalistes pour les personnes de l'époque quand se déroule l'action. Cette série de science-fiction se joue des problématiques du voyage dans le temps avec une agence de chronotouristes qui envoient des personnes à n'importe quelle époque désirée. Des trames de fond restent en cours pour les prochains albums à suivre de Chronosquad.
  8. Titre de l'album : Chronosquad tome 6 - Chapeaux melons et hordes de huns Scenariste de l'album : Giorgio Albertini Dessinateur de l'album : Grégory Panaccione Coloriste : Grégory Panaccione Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils recherchent une jeune employée spatio-temporelle portée disparue au Japon de la fin du XIXe siècle, Bey et Hera aperçoivent Silverberg étonnamment rajeunie. Penn, quant à elle, revient d'une mission qui a tourné au fiasco. Des touristes sont morts et d'autres ont été capturés par les hordes d'Attila. Bloch, toujours attentif aux détails historiques, sait comment leur porter secours... Critique : La série Chronosquad se poursuit avec ce sixième tome qui nous fait voyager à l'époque des Huns avec Attila, pour venir en aide à groupe des cadres en formation managériale qui sont retenus prisonniers dans cette époque. Une équipe hors norme est montée en urgence avant d'envoyer un commando armé pour intervenir au plus vite. En parallèle, deux agents tentent de gérer une autre problématique dans le Japon féodale avec plus ou moins de réussite. Une troisième équipe se rend dans le Londres victorien pour une réunion au sommet avec la direction de l'agence Chronosquad en relation avec les cadres prisonniers. Les albums de Chronosquad sont intenses en évènements et toujours sur plusieurs époques, sans compter les problématiques du voyage temporel dans des zones inexplorées avec deux agents qui ont vieilli de 40 ans lors du retour à leur époque. Les dessins de Grégory Panaccione sont dans un style caricatural surtout pour les agents de la Chronosquad et plus réalistes pour les personnes de l'époque quand se déroule l'action. Cette série de science-fiction se joue des problématiques du voyage dans le temps avec une agence de chronotouristes qui envoient des personnes à n'importe quelle époque désirée. Des trames de fond restent en cours pour les prochains albums à suivre de Chronosquad. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chronosquad-tome-6-chapeaux-melons-et-hordes-de-huns?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Don Bosco, réédition

    En 2022, 80 ans apres sa première parution, Dupuis sort une version originale de son premier best seller : Bon Bosco. Dans un vrai respect de l'oeuvre originale, Dupuis nous livre l'album dans le format d'origine et dans sa version première, avant le travail de réécriture effectué par Jijé en 1949. Pour être très honnête, si le travaille d'archive et le dossier de Jerome Dupuis sur la remise en perspective de l'album ont été très interessant, je vous avouerais que le sujet et le thème m'ont ennuyé au possible. A un tel point que je ne noterais pas cette BD. C'était un essai raté me concernant. L'aspect commande religieuse, l'aspect moralisateur de la vie de saint Don Bosco comme on le faisait dans la première partie du XXieme siecle m'ont plus rebuté que plu. Je suis sur que certains réussiront à passer outre pour n'y voir que la partie "Histoire de la BD" avec un grand H. Moi j'avoue ne pas avoir vraiment pu.
  10. Titre de l'album : Don Bosco, réédition Scenariste de l'album : Jijé Dessinateur de l'album : Jijé Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : on Bosco est un album mythique. D'abord parce qu'il fut le premier bestseller des Éditions Dupuis, marquant une génération de lecteurs. Ensuite parce que sa parution dans Spirou (en 1941) se fit sous l'occupation allemande, avec son lot de restrictions de papier, ce qui ne l'empêcha pas d'être imprimé à plus de 150 000 exemplaires... On pourrait aussi parler du fait que le talent réaliste de Jijé y explosa, ou encore dire qu'il tenait tellement à cet album qu'il le redessina en 1949, et qu'il déclencha des vocations d'auteurs comme Tibet et Lambil. Mais cet ouvrage est surtout légendaire pour avoir popularisé Don Bosco (1815-1888), fondateur de l'ordre des Salésiens et charismatique prêtre italien qui voua sa vie à l'éducation des enfants défavorisés... Les Éditions Dupuis proposent aujourd'hui de redécouvrir Don Bosco dans un fac similé de sa première version, avec un dossier exclusif signé Jérôme Dupuis, permettant aux anciens et nouveaux lecteurs d'en saisir toutes les clés, toute la beauté... Critique : En 2022, 80 ans apres sa première parution, Dupuis sort une version originale de son premier best seller : Bon Bosco. Dans un vrai respect de l'oeuvre originale, Dupuis nous livre l'album dans le format d'origine et dans sa version première, avant le travail de réécriture effectué par Jijé en 1949. Pour être très honnête, si le travaille d'archive et le dossier de Jerome Dupuis sur la remise en perspective de l'album ont été très interessant, je vous avouerais que le sujet et le thème m'ont ennuyé au possible. A un tel point que je ne noterais pas cette BD. C'était un essai raté me concernant. L'aspect commande religieuse, l'aspect moralisateur de la vie de saint Don Bosco comme on le faisait dans la première partie du XXieme siecle m'ont plus rebuté que plu. Je suis sur que certains réussiront à passer outre pour n'y voir que la partie "Histoire de la BD" avec un grand H. Moi j'avoue ne pas avoir vraiment pu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-bosco-ami-des-jeunes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Cette nouvelle série de pirate est inspirée du jeu de rôle Capitaine Vaudou de Pierre Rosenthal et Jean-Pierre Pécau publié par Black book éditions et Monolith. Ce n’est donc pas étonnant de retrouver Jean-Pierre Pécau se charge de l’adaptation qui mélange les genres entre récit de pirateries aux Caraïbes et fantastique par le biais du vaudou. En effet, les héros de cette histoire devront combattre des zombies, un léopard-garou ainsi que d'autres entités du folklore vaudou ou juif avec un golem d'argile. C'est assez étonnant au démarrage mais il fait dire que Pécau nous livre une histoire très prenante et très originale au final. On ne s'ennuie pas un seul instant avec tous les évènements qui se déroulent dans ce tome d'introduction. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste de haute qualité pour dépeindre l'ambiance de piraterie mais aussi les monstres assoiffés de sang. La couverture de Ugo Pinson est magnifique et donne vraiment envie d'ouvrir la BD. En l'espace de quelques temps, j'ai eu l'occasion de lire deux excellentes bandes dessinées sur les pirates, une première très réaliste avec la République du crâne et la seconde plus fantastique mais tout autant réussi avec Capitaine vaudou.
  12. Titre de l'album : Capitaine Vaudou tome 1 - Baron mort lente Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Darko Perovic Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Voici l'histoire des pirates, la véritable histoire, celle qu'on ne raconte pas aux enfants. L'histoire des marins, installés dans les Caraïbes et conquis par la magie vaudou. L'histoire d'un jeune irlandais capturé par les Anglais. Cormac Mac Leod, à sa grande surprise, va faire preuve d'un don certain pour le vaudou et va devoir affronter son représentant le plus terrible : le Baron mort Lente. Critique : Cette nouvelle série de pirate est inspirée du jeu de rôle Capitaine Vaudou de Pierre Rosenthal et Jean-Pierre Pécau publié par Black book éditions et Monolith. Ce n’est donc pas étonnant de retrouver Jean-Pierre Pécau se charge de l’adaptation qui mélange les genres entre récit de pirateries aux Caraïbes et fantastique par le biais du vaudou. En effet, les héros de cette histoire devront combattre des zombies, un léopard-garou ainsi que d'autres entités du folklore vaudou ou juif avec un golem d'argile. C'est assez étonnant au démarrage mais il fait dire que Pécau nous livre une histoire très prenante et très originale au final. On ne s'ennuie pas un seul instant avec tous les évènements qui se déroulent dans ce tome d'introduction. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste de haute qualité pour dépeindre l'ambiance de piraterie mais aussi les monstres assoiffés de sang. La couverture de Ugo Pinson est magnifique et donne vraiment envie d'ouvrir la BD. En l'espace de quelques temps, j'ai eu l'occasion de lire deux excellentes bandes dessinées sur les pirates, une première très réaliste avec la République du crâne et la seconde plus fantastique mais tout autant réussi avec Capitaine vaudou. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/capitaine-vaudou-tome-1-baron-mort-lente?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Iruène

    Rodolphe s'associe avec Griffo pour l'écriture ce récit fantastique, historique et mythique avec une partie onirique. Le récit débute aux Canaries avec les conquistadors qui massacraient toutes les populations locales dans leur soif de conquête et de richesse. Nous avons tous en tête les dramatiques faits historiques des conquistadors en Amérique du sud mais pas aux Canaries. Les auteurs ont choisi ce point de départ pour introduire leur héros pouvant voyager dans le futur. L'histoire se scinde en deux parties entre un valeureux guerrier face à l'invasion conquistador et la même personne dans le futur qui est notre présent avec des rêves étranges de civilisations inconnues. On se prend au jeu pour résoudre les rêves qui troublent la vie du héros entre réalité et fantastique avec des apparitions de monstres. La partie graphique de Griffo permet de rentrer dans cette histoire avec des planche magnifiques sur les deux époques. Ce thriller est très prenant dès les premières pages avec la transition dans le futur pour le héros. En fin d'album, on retrouve une discussion des deux auteurs où Griffo relate son expérience avec le volcan qui est rentré en éruption lors de la réalisation de cet album. Griffo habite juste à quelques kilomètres du volcan, où se déroule l'histoire et dont le personnage principal est une incarnation du volcan.
  14. alx23

    Iruène

    Titre de l'album : Iruène Scenariste de l'album : Rodolphe & Griffo Dessinateur de l'album : Griffo Coloriste : Griffo Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Alex, jeune publicitaire parisien, est réveillé toutes les nuits par de terribles cauchemars. Transporté à La Palma, dans les îles Canaries, il devient Bencomo, jeune guerrier du peuple Guanche à l’époque du déferlement des conquistador espagnols. Son peuple compte sur lui, mais pourra-t-il changer le passé ? Alex est un habitué des soirées branchées et bien dans son époque. Pourtant, depuis des mois, sa vie se dérègle. Quand il s’endort, il fait d’épouvantables cauchemars dans lesquels il est poursuivi par un démon, au milieu d’un paysage de mer et de montagne. De plus en plus isolé, incapable de travailler ou de penser à autre chose qu’à ces visions angoissantes, il est au bord de la folie et aucun médecin ne semble en mesure de l’aider. En analysant ses rêves, il parvient à situer le lieu géographique de ses cauchemars : il s’agit de La Palma, une île volcanique des Canaries. Critique : Rodolphe s'associe avec Griffo pour l'écriture ce récit fantastique, historique et mythique avec une partie onirique. Le récit débute aux Canaries avec les conquistadors qui massacraient toutes les populations locales dans leur soif de conquête et de richesse. Nous avons tous en tête les dramatiques faits historiques des conquistadors en Amérique du sud mais pas aux Canaries. Les auteurs ont choisi ce point de départ pour introduire leur héros pouvant voyager dans le futur. L'histoire se scinde en deux parties entre un valeureux guerrier face à l'invasion conquistador et la même personne dans le futur qui est notre présent avec des rêves étranges de civilisations inconnues. On se prend au jeu pour résoudre les rêves qui troublent la vie du héros entre réalité et fantastique avec des apparitions de monstres. La partie graphique de Griffo permet de rentrer dans cette histoire avec des planche magnifiques sur les deux époques. Ce thriller est très prenant dès les premières pages avec la transition dans le futur pour le héros. En fin d'album, on retrouve une discussion des deux auteurs où Griffo relate son expérience avec le volcan qui est rentré en éruption lors de la réalisation de cet album. Griffo habite juste à quelques kilomètres du volcan, où se déroule l'histoire et dont le personnage principal est une incarnation du volcan. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/iruene?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Pierre rouge plume noire

    Etrange destin que cette BD. Comme le précise Thierry Robin dans le récit de la conception en fin d'album, cette BD était une commande d’une province chinoise qui, après une réussite inconnue en chine, est arrivée chez nous dans les mains de Dargaud qui a su mettre en avant le talent graphique de Thierry Robin qui nous offre ici des planches encore plus belles que celle réalisées dans "la mort de Staline". Mais plus qu'un très bel album, c'est aussi un album intelligent et très bien raconté. Plutôt que d'affronter la guerre par l'intermédiaires des yeux des puissants ou des gens du peuples comme c'est souvent fait, Thierry Robin nous propose une fable racontée par un corbeau... et une montagne. Ce choix permet un certain détachement des horreurs de la guerre et nous permet de nous concentrer sur l'aspect fugitif de cet évènement sans pour autant perdre le dramatisme de la situation. Une très belle œuvre qui, si elle n'a pas forcement connue le succès escompté en chine, devrait ravir tous les amateurs de bandes dessinées, qu'ils soient fans de la chine ou non.
  16. Titre de l'album : Pierre rouge plume noire Scenariste de l'album : Thierry Robin Dessinateur de l'album : Thierry Robin Coloriste : Thierry Robin Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : La gigantesque armée de l'empereur Ming assiège la forteresse du roi Yang. Toute la population du royaume a trouvé refuge derrière les hautes murailles de la ville et les soldats royaux sont prêts à lutter jusqu'à la mort pour défendre la cité et ses occupants. Mais le courage ne suffit pas toujours... L'adaptation d'une fable sur la guerre commanditée par une province chinoise à Thierry Robin, un passionné du monde asiatique et de la Chine depuis près de 35 ans ! Un plaidoyer humaniste et pacifiste, à l'instar des convictions de Thierry Robin, qui en profite pour déployer son talent graphique avec superbe. Critique : Etrange destin que cette BD. Comme le précise Thierry Robin dans le récit de la conception en fin d'album, cette BD était une commande d’une province chinoise qui, après une réussite inconnue en chine, est arrivée chez nous dans les mains de Dargaud qui a su mettre en avant le talent graphique de Thierry Robin qui nous offre ici des planches encore plus belles que celle réalisées dans "la mort de Staline". Mais plus qu'un très bel album, c'est aussi un album intelligent et très bien raconté. Plutôt que d'affronter la guerre par l'intermédiaires des yeux des puissants ou des gens du peuples comme c'est souvent fait, Thierry Robin nous propose une fable racontée par un corbeau... et une montagne. Ce choix permet un certain détachement des horreurs de la guerre et nous permet de nous concentrer sur l'aspect fugitif de cet évènement sans pour autant perdre le dramatisme de la situation. Une très belle œuvre qui, si elle n'a pas forcement connue le succès escompté en chine, devrait ravir tous les amateurs de bandes dessinées, qu'ils soient fans de la chine ou non. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pierre-rouge-plume-noire-une-histoire-de-hai-long-tun?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même.
  18. Titre de l'album : La forêt du temps - Tome 1 - Les enfants de la pierre Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au coeur d'un village hors du temps, Max, Miléva et les autres jeunes élèves du Vénérable ont mis l'éternité à profit pour développer leur intellect, sans limites. Mais cette stase érudite prend fin le jour où une mystérieuse adulte dérobe une partie du cristal qui les protégeait de l'écoulement du temps. Si rien n'est fait, ce dernier reprendra ses droits, et se fera payer les intérêts. Pour empêcher cela, une petite équipe s'aventure hors du village, à la recherche de la voleuse. Leur érudition suffira-t-elle à les protéger de cette fuite du temps qu'on appelle la Vie ? Critique : Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même. Autres infos : A ne pas manquer de 7 à 77 ans. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-1-les-enfants-de-la-pierre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Angel wings , T7 Mig Madness

    Les amoureux d'histoire ET de pinups des années seconde guerre , n'ont pu passer à côté des séries aériennes de Hugault chez Paquet . Le grand Duc, Le pilote à l'edelweiss et donc Angel wings , autant d'excellents séries sur cette période , agrémentées de jolies dames , pas que sur les carlingues des avions ! Divisé en 3 cycles , Angel wings entame donc ici un nouveau , en pleine guerre de Corée . Un conflit que je ne connais que de nom mais qui on le sait a finit par aboutir à la scission de la Corée . J'ai en mémoire une remarque d'un spécialiste de géopolitique sur cette zone : "les chinois aiment tant la Corée qu'ils préfèrent en avoir deux" . On comprend vite pourquoi le "nord" a reçu de l'aide ,et par qui ! Toujours sous le prisme américain et à travers notre héroïne pulpeuse , Angela , nous repartons donc dans les airs , sur des avions magnifiques . Le soucis du détail historique est toujours aussi bien préservé , les différents modèles de l'époque sont superbement illustrés , nous découvrons les premiers chasseurs à réaction , entre autres . Les décors ne sont pas en reste , Hugault nous transpose littéralement à travers ses planches . Mention spéciale aux couleurs aussi ! Le scénario n'est pas en reste , Yann sachant établir ses récits progressivement . Un bémol juste , sur la vitesse à laquelle on lit cet opus , et le (éventuel) manque de texte parfois , on est clairement pas dans un Blake et Mortimer . On voyage dans les airs avec la liste musicale fournie en seconde page , et on en prend plein les yeux . A recommander à tous les possesseurs des autres tomes de cette collection Paquet , évidemment 🙂 Une critique de Kevin Nivek PS: on assiste même aux débuts d'une certaine Maryline , mais il faut attendre la dernière planche
  20. Titre de l'album : Angel wings , T7 Mig Madness Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Hugault Coloriste : Hugault Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Hiver 1952... Depuis plus de deux années, la Guerre de Corée confronte l'Amérique au péril communiste ; le monde est au seuil d'un conflit nucléaire... Dans le ciel Coréen, l'armée de l'air chinoise équipée des redoutables Mig 15 soviétiques, surclasse les jets américains au-dessus de « Mig Alley » où se déroulent d'âpres combats aériens. Pendant ce temps, en Floride, Angela pilote à distance des drones-cibles destinés à l'entraînement des jeunes recrues ; de son côté, Rob s'est engagé comme pilote de F9F-5 Panther à bord de l'USS Oriskany, un porte-avion patrouillant dans la mer de Chine ; sa nouvelle mission « sensible » consiste à localiser et à détruire l'épave de l'appareil espion P2V-2 Neptune « Cape Cod » qui vient d'être abattu par un Mig en zone ennemie. Cet appareil est équipé d'un matériel électronique top secret et il est hors de question qu'il tombe aux mains des rouges. Ce jour-là, Rob décolle, en dépit d'un plafond très bas et une météo pourrie, pour une mission dont il pourrait ne pas revenir... Critique : Les amoureux d'histoire ET de pinups des années seconde guerre , n'ont pu passer à côté des séries aériennes de Hugault chez Paquet . Le grand Duc, Le pilote à l'edelweiss et donc Angel wings , autant d'excellents séries sur cette période , agrémentées de jolies dames , pas que sur les carlingues des avions ! Divisé en 3 cycles , Angel wings entame donc ici un nouveau , en pleine guerre de Corée . Un conflit que je ne connais que de nom mais qui on le sait a finit par aboutir à la scission de la Corée . J'ai en mémoire une remarque d'un spécialiste de géopolitique sur cette zone : "les chinois aiment tant la Corée qu'ils préfèrent en avoir deux" . On comprend vite pourquoi le "nord" a reçu de l'aide ,et par qui ! Toujours sous le prisme américain et à travers notre héroïne pulpeuse , Angela , nous repartons donc dans les airs , sur des avions magnifiques . Le soucis du détail historique est toujours aussi bien préservé , les différents modèles de l'époque sont superbement illustrés , nous découvrons les premiers chasseurs à réaction , entre autres . Les décors ne sont pas en reste , Hugault nous transpose littéralement à travers ses planches . Mention spéciale aux couleurs aussi ! Le scénario n'est pas en reste , Yann sachant établir ses récits progressivement . Un bémol juste , sur la vitesse à laquelle on lit cet opus , et le (éventuel) manque de texte parfois , on est clairement pas dans un Blake et Mortimer . On voyage dans les airs avec la liste musicale fournie en seconde page , et on en prend plein les yeux . A recommander à tous les possesseurs des autres tomes de cette collection Paquet , évidemment 🙂 Une critique de Kevin Nivek PS: on assiste même aux débuts d'une certaine Maryline , mais il faut attendre la dernière planche Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/angel-wings-tome-7-mig-madness?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Le journal

    Quelle couverture ! Quelle couverture ! Innovante, intrigante et plein de promesse. Une des meilleures du début de l'année. C'est un peu dommage que le récit soit si.... Court à l'intérieur. En effet si le contenu ne fait pas mentir la couverture, avec un récit sur la création d'un journal en pleine guerre d'indépendance américaine (attention, pas la guerre de sécession, bien celle d'indépendance), on aurait aimé que nos auteurs prennent un peu plus de temps pour détailler leur histoire. En effet si l'histoire est intéressante et les tensions de l'époque entre pro-anglais et indépendantiste et la présence constante de menace des indiens bien retranscrite, Patrice Ordas nous raconte quand même 2 générations d'écrivain en un seul tome. Ça fait beaucoup d'années ramenées à la page. Si toutes les années d'une vie ne sont pas intéressantes à décrire, il n'en reste pas moins que certaines parties auraient mérité plus de détails. Comme le "combat" contre Ellis qui n'apparait que sur certains instants précis là où la concurrence entre les deux aurait pu être plus détaillée. Tout comme la vie intime de Nathan ou le vrai rôle de ces amis. Bref une bonne idée, une très belle couverture mais pas assez de pages. Dommage.
  22. poseidon2

    Le journal

    Titre de l'album : Le journal Scenariste de l'album : Patrice Ordas Dessinateur de l'album : Philippe Tarral Coloriste : Philippe Tarral Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Les premiers mots d'une nation. En 1781, durant la guerre d'Indépendance, Nathan Prius vend des petits billets dans l'armée de Washington dans lesquels il relate ce qu'il voit sur le front. Un homme, George Ellis, lui propose de publier ses articles dans son journal, mais s'en attribue la paternité. Meurtri par cette trahison, Nathan Prius décide de lancer son propre journal, premières pages de ce qui deviendra bientôt un empire de la presse, traversant les décennies, témoin privilégié de toutes les époques. De la guerre d'indépendance à la révolution industrielle en passant par la guerre de Sécession et la conquête de l'Ouest, Le Journal raconte au fur et à mesure des albums les grandes époques de l'histoire américaine vues à travers le prisme du journalisme et met en scène ces empires de la presse qui se font et se défont au gré des événements. Critique : Quelle couverture ! Quelle couverture ! Innovante, intrigante et plein de promesse. Une des meilleures du début de l'année. C'est un peu dommage que le récit soit si.... Court à l'intérieur. En effet si le contenu ne fait pas mentir la couverture, avec un récit sur la création d'un journal en pleine guerre d'indépendance américaine (attention, pas la guerre de sécession, bien celle d'indépendance), on aurait aimé que nos auteurs prennent un peu plus de temps pour détailler leur histoire. En effet si l'histoire est intéressante et les tensions de l'époque entre pro-anglais et indépendantiste et la présence constante de menace des indiens bien retranscrite, Patrice Ordas nous raconte quand même 2 générations d'écrivain en un seul tome. Ça fait beaucoup d'années ramenées à la page. Si toutes les années d'une vie ne sont pas intéressantes à décrire, il n'en reste pas moins que certaines parties auraient mérité plus de détails. Comme le "combat" contre Ellis qui n'apparait que sur certains instants précis là où la concurrence entre les deux aurait pu être plus détaillée. Tout comme la vie intime de Nathan ou le vrai rôle de ces amis. Bref une bonne idée, une très belle couverture mais pas assez de pages. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-journal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Pour présenter sa dernière série Happytech, le scénariste Corbeyran nous propose de suivre la vie de Xavier Guignard qui s'écroule progressivement. Le héros perd son travail, sa femme et part en chute libre très vite dans notre société actuelle. C'est avec cette vie pathétique que ce héros sera attiré par les publicités de la société HappyTech qui vante la joie de vivre avec des programmes pour retrouver une vie normale et être heureux. Corbeyran nous présente donc un héros assez minable ou perdant avec des illusions grandissantes avec son stage chez Happytech. L'intrigue prend le temps de se mettre en place avant de voir les problématiques arrivées pour la suite. Pour l'instant il est dur de juger l'histoire comme on est dans l'attente de la suite comme le héros. Les dessins d'Alessia Fattore sont de qualité pour mettre place Happytech et très proche de la réalité parisienne d'aujourd'hui. Happytech semble cacher de nombreuses choses peu glorieuses et l'on en sera plus avec le prochain tome. Le sous-titre de l'album annonce quand même la couleur avec le bonheur nuit gravement à la santé. Un tome d'introduction original pour un thriller social.
  24. Titre de l'album : Happytech tome 1 - Le bonheur nuit à la santé Scenariste de l'album : Corbeyran Dessinateur de l'album : Alessia Fattore Coloriste : Giulia Priori Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Xavier Guignard passe un dimanche désastreux. Mais le lundi est pire encore, et tout s'enchaîne. Alors avant de toucher le fond, il décide de soigner son malheur chez Happytech, une boîte spécialisée dans l'accès au bonheur. Mais... la femme la plus heureuse du monde, la sublime égérie d'Happytech, ressemble étrangement à cette jeune mendiante qui l'a insulté hier dans le métro... Critique : Pour présenter sa dernière série Happytech, le scénariste Corbeyran nous propose de suivre la vie de Xavier Guignard qui s'écroule progressivement. Le héros perd son travail, sa femme et part en chute libre très vite dans notre société actuelle. C'est avec cette vie pathétique que ce héros sera attiré par les publicités de la société HappyTech qui vante la joie de vivre avec des programmes pour retrouver une vie normale et être heureux. Corbeyran nous présente donc un héros assez minable ou perdant avec des illusions grandissantes avec son stage chez Happytech. L'intrigue prend le temps de se mettre en place avant de voir les problématiques arrivées pour la suite. Pour l'instant il est dur de juger l'histoire comme on est dans l'attente de la suite comme le héros. Les dessins d'Alessia Fattore sont de qualité pour mettre place Happytech et très proche de la réalité parisienne d'aujourd'hui. Happytech semble cacher de nombreuses choses peu glorieuses et l'on en sera plus avec le prochain tome. Le sous-titre de l'album annonce quand même la couleur avec le bonheur nuit gravement à la santé. Un tome d'introduction original pour un thriller social. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/happytech-tome-1-le-bonheur-nuit-a-la-sante?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    A pleines mains

    Quelle couverture hein ? Vous vous demandez peut-être si vous vous trompez sur ce que l'on voit. Et bien je peux vous rassurez : pas du tout. Nous voyons bien un homme en train de se masturber devant l'image d'un femme tout en rondeur avec des licornes et des god. Et cette couverture n'est en rien racoleuse car elle montre ce qu'il y a vraiment dans l'album : l'histoire d'un jeune homme qui décide, suite à l'échec de son sex shop, de crée des espaces de masturbations personnalisés. Je vois tout de suite les esprits bienpensants du XXI ieme siècle se moquer de cette BD sans l'avoir lue. Et ils auraient bien tort. Car cette BD est vraiment très bonne et parle de sujets plus intéressants que beaucoup d'autre BDs "sérieuses". Le premier étant le problème de l'acceptation du besoin, pour certaine personne, de se masturber. Notre éducation "judéo-chrétienne" diabolise cet acte et cela reste bien ancré dans l'imaginaire commun. Le deuxième sujet parle.... De nos souvenirs. Nos beaux souvenirs de jeunesses qui, avec nos vies trop pleines, ont tendance à se mettre au second plan alors même qu'il faudrait les chérir et s'en servir comme moteur dans la vie. Sous couvert d'une BD ayant recours à des sujets graveleux, cette BD se montre être beaucoup émouvante et réfléchit. Je vous encourage à ne pas vous arrêter à votre premier mouvement de recul et a vous penchez sur ce A pleines mains.
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