Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'bdeuro'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. VladNirky

    Gaston - Le retour de Lagaffe

    Gaston... Gaston Lagaffe... Ce nom évoque chez moi une partie de mon enfance. Mon papa me ramenait toujours les nouveaux albums de Gaston avec un grand et large sourire. Je pense qu'il lisait l'album dans les transports en rentrant du travail le soir avant de me les donner. Les 1er albums sont tellement abimés qu'ils ont sans doute été lus des dizaines de fois et pour les plus anciens (et les plus en morceaux), sans doute ont-ils été parcourus et torturés par des petites mains malhabiles bien avant que je ne sache lire. Il est bien possible que certains gags rappelaient la vie de bureau à mon père avec son lot d'absurdité (son activité s'y prêtait bien en plus). Il aurait sans doute lu cet album avec un grand sourire au minimum. C'est dans doute grâce à ces moments (et d'autres avec d'autres BD) que j'en rempli encore mes étagères de nos jours. Pour resituer un peu, pour les plus jeunes (que moi), la série humoristique, de Franquin, est en gags par planche. Elle raconte globalement comment Gaston est embauché au journal de Spirou et surtout comment ses collègues, qui bouclent le magazine souvent en retard et dans la douleur, tentent de travailler et de survivre avec cet énergumène gaffeur dans leur entourage qui sait surtout éviter le travail qu'on lui confie tout en provoquant catastrophes sur catastrophes dans la rédaction avec ses activités et inventions diverses et variées. Ce nouvel album, réalisé par Delaf qui reprend le pinceau, est bon. Très bon et même excellent. L'auteur a fait un travail remarquable sur le graphisme, le découpage, les gags, le bestiaire de Gaston, ses personnages, les lieux, l'inventaire des objets farfelus... tout. C'est dans l'esprit à tout point de vue. Même si la temporalité continue de s'ancrer dans les années 60 à 90, certains gags bénéficient d'une approche plus actuelle (le gag de l'Aïe-Phone par exemple, ou celui du vélo électrique pour n'en citer que deux). Seule la fin où, sur quelques planches, un fil rouge est repris de planches en planches pour raconter une aventurette pourrait paraitre plus innovante. Delaf semble se lâcher en effet un peu plus dans cette dernière partie et sortir du cadre imposé par le maitre (mais l'album de Gaston Globe trotter (dans mon édition, c'est le tome 19) avait déjà ouvert cette voie de l'album aventure - et de mon point de vue, ce n'était pas le plus réussi). Alors voila... C'est bien. C'est à faire découvrir ou à redécouvrir pour soit même et son entourage. Je ne suis pas certain que les jeunes apprécient ce genre (les plus jeunes je pense que oui, ca peut passer, les ado hummm... vous me direz dans les commentaires... mais ce n'est tout simplement pas leur époque). Vieux de la vieille, en tout cas... Ne boudez pas votre plaisir, si vous avez aimé Gaston, la reprise est plus que réussie. 🙂 🙂 🙂
  2. Titre de l'album : Gaston - Le retour de Lagaffe Scenariste de l'album : Delaf Dessinateur de l'album : Delaf Coloriste : Delaf Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Né il y a 66 ans sous le crayon d'André Franquin, Gaston est au début un antihéros paresseux qui très vite va devenir un personnage à l'imagination et à l'énergie débordantes (tant qu'il ne s'agit pas de travailler). La série comporte une galerie de personnages réjouissante : Moizelle Jeanne, l'amoureuse transie de Gaston (qui ne capte aucun des signaux qu'elle envoie) ; M. De Mesmaecker, l'homme d'affaires irascible qui n'arrive jamais à signer des contrats ; Prunelle, le patron stressé de Gaston, victime favorite de ses inventions, etc. Critique : Gaston... Gaston Lagaffe... Ce nom évoque chez moi une partie de mon enfance. Mon papa me ramenait toujours les nouveaux albums de Gaston avec un grand et large sourire. Je pense qu'il lisait l'album dans les transports en rentrant du travail le soir avant de me les donner. Les 1er albums sont tellement abimés qu'ils ont sans doute été lus des dizaines de fois et pour les plus anciens (et les plus en morceaux), sans doute ont-ils été parcourus et torturés par des petites mains malhabiles bien avant que je ne sache lire. Il est bien possible que certains gags rappelaient la vie de bureau à mon père avec son lot d'absurdité (son activité s'y prêtait bien en plus). Il aurait sans doute lu cet album avec un grand sourire au minimum. C'est dans doute grâce à ces moments (et d'autres avec d'autres BD) que j'en rempli encore mes étagères de nos jours. Pour resituer un peu, pour les plus jeunes (que moi), la série humoristique, de Franquin, est en gags par planche. Elle raconte globalement comment Gaston est embauché au journal de Spirou et surtout comment ses collègues, qui bouclent le magazine souvent en retard et dans la douleur, tentent de travailler et de survivre avec cet énergumène gaffeur dans leur entourage qui sait surtout éviter le travail qu'on lui confie tout en provoquant catastrophes sur catastrophes dans la rédaction avec ses activités et inventions diverses et variées. Ce nouvel album, réalisé par Delaf qui reprend le pinceau, est bon. Très bon et même excellent. L'auteur a fait un travail remarquable sur le graphisme, le découpage, les gags, le bestiaire de Gaston, ses personnages, les lieux, l'inventaire des objets farfelus... tout. C'est dans l'esprit à tout point de vue. Même si la temporalité continue de s'ancrer dans les années 60 à 90, certains gags bénéficient d'une approche plus actuelle (le gag de l'Aïe-Phone par exemple, ou celui du vélo électrique pour n'en citer que deux). Seule la fin où, sur quelques planches, un fil rouge est repris de planches en planches pour raconter une aventurette pourrait paraitre plus innovante. Delaf semble se lâcher en effet un peu plus dans cette dernière partie et sortir du cadre imposé par le maitre (mais l'album de Gaston Globe trotter (dans mon édition, c'est le tome 19) avait déjà ouvert cette voie de l'album aventure - et de mon point de vue, ce n'était pas le plus réussi). Alors voila... C'est bien. C'est à faire découvrir ou à redécouvrir pour soit même et son entourage. Je ne suis pas certain que les jeunes apprécient ce genre (les plus jeunes je pense que oui, ca peut passer, les ado hummm... vous me direz dans les commentaires... mais ce n'est tout simplement pas leur époque). Vieux de la vieille, en tout cas... Ne boudez pas votre plaisir, si vous avez aimé Gaston, la reprise est plus que réussie. 🙂 🙂 🙂 Autres infos : Et je me suis bien marré. M'enfin... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gaston-le-retour-de-lagaffe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. VladNirky

    Miséricorde

    Une fois n'est pas coutume, Jean Van Hamme (XIII, Largo winch et bien d'autres), se livre avec ses compères dessinateurs, à l'exercice des nouvelles. A travers plusieurs histoires à chute, il décrit une petite situation et en quelques planches nous raconte une histoire. Les dessins étant réalisés par un auteur différent à chaque nouvelle. Ne nous le cachons pas, si certains chutes sont très bien trouvées, certaines vous interpelleront certainement moins ou bien on voit vite arriver la chute. Côté graphique, à titre personnel, j'ai beaucoup apprécié de retrouver des dessinateurs que j'avais aimés sur d'autres albums ou séries et dans un cadre différent. C'est réalisé avec talent en tout cas, et ça sort des sentiers battus, une sorte de petit bonus à nos lectures de séries plus classiques. Petit bémol sur le côté relecture puisqu'une fois la chute de la nouvelle connue, la surprise disparait bien entendu.
  4. VladNirky

    Miséricorde

    Titre de l'album : Miséricorde Scenariste de l'album : Jean Van Hamme Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Un auteur de polar que ses personnages trahissent. Un tueur en cavale dans un club de parachutistes. Un scénariste qui n'aurait pu imaginer l'histoire d'amour dingue qui lui tombe dessus. Un marchand de pilules qui stoppent le temps. Ou encore une marieuse de la belle époque face à son plus grand défi. Voici quelques nouvelles que Jean Van Hamme a proposé de mettre en images avec des dessinateurs différents pour chaque nouvelle: Emmanuel Bazin, Dominique Bertail, Djief, Christian Durieux, Ricard Efa, José Luis Munuera et Aimée de Jongh. Critique : Une fois n'est pas coutume, Jean Van Hamme (XIII, Largo winch et bien d'autres), se livre avec ses compères dessinateurs, à l'exercice des nouvelles. A travers plusieurs histoires à chute, il décrit une petite situation et en quelques planches nous raconte une histoire. Les dessins étant réalisés par un auteur différent à chaque nouvelle. Ne nous le cachons pas, si certains chutes sont très bien trouvées, certaines vous interpelleront certainement moins ou bien on voit vite arriver la chute. Côté graphique, à titre personnel, j'ai beaucoup apprécié de retrouver des dessinateurs que j'avais aimés sur d'autres albums ou séries et dans un cadre différent. C'est réalisé avec talent en tout cas, et ça sort des sentiers battus, une sorte de petit bonus à nos lectures de séries plus classiques. Petit bémol sur le côté relecture puisqu'une fois la chute de la nouvelle connue, la surprise disparait bien entendu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/misericorde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Que retenir de ce nouvel album de reprise de Black et Mortimer ? Et bien pas mal de choses quand même. Aux premiers abords, ce qui choque (littéralement) le plus, c'est le dessin et les planches. Nous ne sommes plus dans un album de reprise qui adopte le style de Jacobs pour le dessin et les planches mais sur une autre interprétation des auteurs. Et ce n'est pas plus mal que cette vision "Vu par..." un peu comme pour les reprises de Lucky Luke soit désormais presque assumée complètement. Presque assumée mais pas tout à fait, car ce n'est pas encore indiqué sur la couverture. Le cadre est ainsi moins rigide, le dessin est donc très différent, les planches aussi par rapport aux habituelles reprises. il y beaucoup moins de détails et la ligne claire à encrage épais est adoptée pour cet épisode. Les planches sont en 3 bandes (alors là, c'est merci pour mes yeux vieillissants à la limite). Ensuite à la lecture, la différence de ressenti se fait sur surtout sur le rythme de lecture, les planches (d'une bande plus courte) sont ainsi plus facile à lire et l'album est ainsi beaucoup plus fluide dans sa lecture (et personnellement je l'ai ressenti comme un gros plus, j'avoue que dans mon enfance je zappais les encadrés interminables). Notons pour les grognons que du coup la pagination de 128 pages permet de compenser le côté "quantité". C'est un gros album. Pour l'histoire on est sur une aventure classique et on retrouvera nos 2 compères en voyage à New York pour un passage à l'ONU. Ils recroiseront notre méchant favori et les enjeux de l'époque (des russes et des magouilleurs pour les nommer clairement, avec chacun leur objectif) dans toute une série de péipétie. D'un point de vue construction de l'histoire, Alfred Hitcock n'aurait pas renié l'album il me semble, certains passages m'ayant fait penser nettement à la mort aux trousses (film que j'aime beaucoup par ailleurs, il ne manquait que la musique lors de la lecture) 🙂 Donc au final, une aventure classique et réussie, une mise en scène différente et plus personnelle de l'interprétation de Blake et Mortimer de Jacobs par les auteurs. Personnellement je valide.
  6. Titre de l'album : Blake et Mortimer - L'art de la guerre Scenariste de l'album : José-Louis Bocquet et Jean-Luc Fromental Dessinateur de l'album : Floc'h Coloriste : Floc'h Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À New York, le capitaine Francis Blake doit prononcer à l'ONU un discours en faveur de la paix devant huit cents délégués venus du monde entier. Au même moment, dans la section des antiquités égyptiennes du Metropolitan Museum, un homme vandalise la stèle d'Horus avant d'être arrêté par la police. Francis Blake et Philip Mortimer, informés de l'incident par le FBI, connaissent bien cet homme. Il s'agit d'un certain Olrik. Mais celui-ci, plongé dans un état catatonique, a perdu la mémoire. Alors que nous sommes à la veille de l'ouverture de la conférence pour la paix, Blake et Mortimer mènent l'enquête. Le temps presse, car tout incite à penser qu'une grave menace pèse sur l'ONU... Critique : Que retenir de ce nouvel album de reprise de Black et Mortimer ? Et bien pas mal de choses quand même. Aux premiers abords, ce qui choque (littéralement) le plus, c'est le dessin et les planches. Nous ne sommes plus dans un album de reprise qui adopte le style de Jacobs pour le dessin et les planches mais sur une autre interprétation des auteurs. Et ce n'est pas plus mal que cette vision "Vu par..." un peu comme pour les reprises de Lucky Luke soit désormais presque assumée complètement. Presque assumée mais pas tout à fait, car ce n'est pas encore indiqué sur la couverture. Le cadre est ainsi moins rigide, le dessin est donc très différent, les planches aussi par rapport aux habituelles reprises. il y beaucoup moins de détails et la ligne claire à encrage épais est adoptée pour cet épisode. Les planches sont en 3 bandes (alors là, c'est merci pour mes yeux vieillissants à la limite). Ensuite à la lecture, la différence de ressenti se fait sur surtout sur le rythme de lecture, les planches (d'une bande plus courte) sont ainsi plus facile à lire et l'album est ainsi beaucoup plus fluide dans sa lecture (et personnellement je l'ai ressenti comme un gros plus, j'avoue que dans mon enfance je zappais les encadrés interminables). Notons pour les grognons que du coup la pagination de 128 pages permet de compenser le côté "quantité". C'est un gros album. Pour l'histoire on est sur une aventure classique et on retrouvera nos 2 compères en voyage à New York pour un passage à l'ONU. Ils recroiseront notre méchant favori et les enjeux de l'époque (des russes et des magouilleurs pour les nommer clairement, avec chacun leur objectif) dans toute une série de péipétie. D'un point de vue construction de l'histoire, Alfred Hitcock n'aurait pas renié l'album il me semble, certains passages m'ayant fait penser nettement à la mort aux trousses (film que j'aime beaucoup par ailleurs, il ne manquait que la musique lors de la lecture) 🙂 Donc au final, une aventure classique et réussie, une mise en scène différente et plus personnelle de l'interprétation de Blake et Mortimer de Jacobs par les auteurs. Personnellement je valide. Autres infos : Il ne faut pas bouder une petit plaisir différent Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blake-et-mortimer-vu-par-l-art-de-la-guerre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins).
  8. Titre de l'album : Astérix - Tome 40 - L'iris blanc Scenariste de l'album : Fabrice Caro Dessinateur de l'album : Didier Conrad Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : « Pour éclairer la forêt, la floraison d'un seul iris suffit » L'Iris blanc est le nom d'une nouvelle école de pensée positive, venue de Rome qui commence à se propager dans les grandes villes, de Rome à Lutèce. César décide que cette méthode peut avoir un effet bénéfique sur les camps qui se trouvent autour du célèbre village gaulois. Mais les préceptes de cette école exercent aussi une influence sur les villageois qui croisent son chemin... Critique : Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins). Autres infos : Une bonne cuvée globalement, surtout la 1ère partie. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asterix-l-iris-blanc-tome-40?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon.
  10. Titre de l'album : Donjon Zénith T9 - Larmes et brouillard Scenariste de l'album : Joann Sfar / Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Boulet Coloriste : Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le fils d'Herbert et Isis est né. Si les jeunes parents se réjouissent de cette nouvelle arrivée, des tensions ne tardent pas à se faire sentir. Alors qu'Isis veut soumettre son bébé au rite de passage traditionnel kochaque, Herbert, jugeant ce dernier bien trop dangereux, tente de l'en dissuader. Incapable de la convaincre, il décide finalement de kidnapper le nourrisson. Critique : De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon. Autres infos : Le tome 10 est annoncé pour Avril 2023 Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-zenith-tome-9-steppes-et-brouillard?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. A Paris-manga, il y a les interviews prévues avec un timing bien défini et il y a les discussions au coin d’une table, c’est ce qui s’est passé avec Niko Henrichon, discussion d’autant plus facile quand on parle la même langue ! Je vous propose de retrouver quelques tenants de notre conversation mais comme je n’ai fait aucun enregistrement ni pris aucune note, ce ne sera pas sous la forme d’interview. Niko est canadien, il a commencé sa carrière en travaillant sur des comics, en anglais, c’est lors de la sortie de Barnum qu’il se fait un nom dans la profession et tout à coup c’est devenu plus simple pour lui et il s’est vu proposer plein de projets : il travaille pour DC Comics et Marvel, notamment sur Doctor Strange. En 2016, on lui propose de dessiner les Méta-Barons, une telle opportunité de travail avec Jodorowsky ne se refuse pas, il met alors vraiment un pied dans la bd dite franco-belge. Il faut savoir que sur une BD comme Fang, les auteurs ne touchent que 10% du prix de vente, à se partager bien sûr, il faut donc beaucoup vendre pour avoir un revenu correct. Aujourd’hui il habite en France avec sa famille et après 20 ans de carrière, il peut enfin choisir ses projets et se permettre d’en refuser. Il m’a gentiment expliqué en passant le système des commissions : il s’agit de commander une illustration directement à l’auteur lors des conventions notamment, l’acheteur choisit le format et ce qu’il souhaite avoir, ce système représente une bonne partie des revenus du dessinateur. La dédicace du jour (avec dessin) sera gratuite mais il me dit que cela risque de ne pas durer. Pour la petite histoire Niko ne connaissait pas Paris-manga et Sci-Fi show, c’est l’un de ses amis, auteur de comics également qui lui a proposé de l’accompagner. L’ami en question n’est pas venu et Niko se sentait un peu isolé, heureusement il a retrouvé des connaissances sur place ! Par contre, il n’était pas prêt à affronter le froid qui régnait dans le hall le 1er jour, un comble pour un canadien ! Je remercie Niko Henrichon pour ce moment de partage et pour le message qu’il a laissé pour 1001BD. Niko_Henrichon_dec_2022_p.mp4
  12. Titre de l'album : Noir Burlesque t2 Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Pour Slick, les choses ne s'arrangent pas. Jusqu'à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne. Rex, pour qui il n'avait travaillé qu'une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d'art. Et pas n'importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia. Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais. Et les ennuis de Slick ne s'arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l'un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c'est que du sang et de larmes vont couler... Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950. Critique : Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/noir-burlesque-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Noir Burlesque t2

    Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins.
  14. VladNirky

    Conquêtes Tome 9 - Sahondra

    Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome.
  15. Titre de l'album : Conquêtes Tome 9 - Sahondra Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Louis et Kyko Duarte Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après soixante ans de voyage, l'armada africaine est à bout, elle doit débarquer sur Sahondra. Une planète paradisiaque régie par une absurdité biologique : aucune créature n'y mesure plus de quelques centimètres. Qu'est-ce qui tue et régule la biomasse animale ? Un virus ? Une forme de vie inconnue ? Kenya, biologiste de génie, doit percer ce mystère, sinon les siens mourront en exil. Critique : Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome. Autres infos : Ne respirez jamais avant d'avoir fait bouillir votre air ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-9-sahondra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Outlaws t1 : le cartel des cimes Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Éric Chabbert Coloriste : Éric Chabbert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Premier épisode du spin-off d'Orbital, via l'aventure de la sœur de Caleb, hors-la-loi luttant contre les mafias extraterrestres. Espace confédéré. Année 2779. Un vaisseau mené par le commandant Grello arrive en vue de l'Astroport de Lugmila. À son bord : un chargement de clandestins échappés de leurs planètes respectives, qui se voient forcés de travailler six mois pour le terrible cartel des Cimes, mafia qui a organisé leur passage. Parmi ces hors-la-loi, une mystérieuse humaine, représentante d'une race honnie pour être la dernière à avoir intégré la Confédération. Taciturne et têtue, elle va se trouver au cœur d'une incroyable lutte de pouvoir d'où le cartel des Cimes pourrait ne pas sortir gagnant. Mais elle, peut-être... Après Orbital, créé en duo avec Serge Pellé, Sylvain Runberg nous offre son envers avec Outlaws, série autonome permettant d'explorer de l'intérieur des mafias galactiques ressemblant étrangement aux nôtres. Space opera, critique sociétale, polar et portrait d'une jeune femme furieusement indépendante : un futur classique, porté par le remarquable dessin d'Éric Chabbert. Critique : 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outlaws-tome-1-le-cartel-des-cimes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂
  18. Nickad

    Hi/Lo tome 1

    Noëlle est une jeune fille avec des rondeurs, elle supporte les remarques sur son physique et les rumeurs qui courent sur elle. Kai est un beau gosse, il a une copine et aime bien embêter Noëlle. Un soir de sorties en groupe, les deux se disputent et voient une étoile filante. Le lendemain, chacun se retrouve dans le corps de l’autre. Ils vont devoir coopérer pour trouver une solution. Une histoire d’échange de corps, ce n’est pas forcément original mais ça fonctionne toujours quand il s’agit d’aller comprendre l’autre. Ce qui est bien par contre, c’est que l’héroïne est une jeune fille normale, qui a des formes, qui doit vivre avec de fausses rumeurs sur elle, qui essaye tant bien que mal d’aller de l’avant. Tous les personnages ne sont pas ce qu’ils paraissent être. Le dessin est agréable, coloré et rond, l’histoire est fluide, il n’y a pas de temps morts. En plus d’aller découvrir comment sont vraiment les personnages et leurs passés, cela permet aussi de mieux comprendre le fonctionnement des filles et des garçons et de combattre les clichés. Une BD parfaite pour les adolescents qui en plus du divertissement, leur apprendra à ne pas se fier aux apparences.
  19. Nickad

    Hi/Lo tome 1

    Titre de l'album : Hi/Lo tome 1 Scenariste de l'album : POCETTA Elisa "Pocci" Dessinateur de l'album : POCETTA Elisa "Pocci" Coloriste : Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : « Mets-toi à ma place ! ». C'est le vœu imprudent exprimé par Noëlle et Kai après une discussion animée. Le lendemain matin quelque chose cloche : ils se réveillent dans le corps l'un de l'autre ! À la difficulté de devoir gérer les relations, le corps et les secrets de l'autre, s'ajoute le petit détail que les deux jeunes ne pouvaient pas se supporter avant cet incident. Arriveront-ils à regagner leurs corps ? Critique : Noëlle est une jeune fille avec des rondeurs, elle supporte les remarques sur son physique et les rumeurs qui courent sur elle. Kai est un beau gosse, il a une copine et aime bien embêter Noëlle. Un soir de sorties en groupe, les deux se disputent et voient une étoile filante. Le lendemain, chacun se retrouve dans le corps de l’autre. Ils vont devoir coopérer pour trouver une solution. Une histoire d’échange de corps, ce n’est pas forcément original mais ça fonctionne toujours quand il s’agit d’aller comprendre l’autre. Ce qui est bien par contre, c’est que l’héroïne est une jeune fille normale, qui a des formes, qui doit vivre avec de fausses rumeurs sur elle, qui essaye tant bien que mal d’aller de l’avant. Tous les personnages ne sont pas ce qu’ils paraissent être. Le dessin est agréable, coloré et rond, l’histoire est fluide, il n’y a pas de temps morts. En plus d’aller découvrir comment sont vraiment les personnages et leurs passés, cela permet aussi de mieux comprendre le fonctionnement des filles et des garçons et de combattre les clichés. Une BD parfaite pour les adolescents qui en plus du divertissement, leur apprendra à ne pas se fier aux apparences. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hi-lo-tome-1-body-electricity?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Sentinel

    Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français.
  21. Nickad

    Sentinel

    Titre de l'album : Sentinel Scenariste de l'album : SARDINA Toni Dessinateur de l'album : D'ANGELO Simone Coloriste : D'ANGELO Simone Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Après un naufrage, un homme et son fils se retrouvent sur une île peuplée par des individus dangereux et inquiétants, décidés à les traquer comme des animaux. La fuite est impossible. Ils ne peuvent que confier leur destin à une femme autochtone qui veut les aider. Critique : Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sentinel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    24 décembre 1992 décès de PEYO

    Pierre Culliford est né en 1928 en Belgique. Il débute dans la bande dessinée d’après-guerre puis entre au journal de Spirou en 1951 grâce à Franquin, il développe son personnage de Johan (apparut en 1946), rejoint bientôt par Pirlouit. C’est en 1958 qu’apparaissent pour la 1ere fois les schtroumpfs qui vont voler la vedette à Johan et Pirlouit. En 1960, il fonde un studio pour accueillir ses assistants car il est surchargé de travail et crée les séries Benoit Brisefer et Jacky et Célestin. Avec le succès de ses séries et le développement des schtroumpfs sous de multiples formats et produits dérivés, Peyo ne peut plus dessiner autant qu’avant d’autant qu’il a des problèmes de santé. En 1988, avec son fils il quitte Dupuis et crée sa maison d’édition Cartoon creation, ce sera un échec. Il rejoint ensuite Le lombard et sort de nouvelles aventures, il ne s’occupe plus que du côté artistique, sa famille gérant les affaires. Épuisé et malade, il meurt le 24 décembre d’une crise cardiaque. Son surnom Peyo vient de son petit cousin qui n’arrivait pas à prononcer les « r ». Au départ, les schtroumpfs ne devaient exister que dans une seule histoire et c’est le courrier des lecteurs qui incite le rédacteur en chef Yvan Delporte à poursuivre leurs aventures. Francis (auteur de la Ford T), François Walthéry (auteur de Natacha), Derib (Yakari, Buddy Longway, Jo…) entre autres ont été les assistants de Peyo. Le schtroumpf financier est le dernier album dessiné par Peyo
  23. Nickad

    23 décembre 2013 décès de José ORTIZ

    Né en 1932, José Ortiz est l’un des grands dessinateurs de la bande dessinée espagnole, il travailla dans les magazines Eerie et Vampirella. Puis il créa avec Segura les séries Hombre, Burton & Cyb et Morgan. Il est surtout reconnu pour son trait et son encrage qui en inspira plus d’un. Si vous voulez voir d’autres planches de l’auteur avec la progression de son trait, je vous recommande d’aller voir cet article José Ortiz : un maître espagnol nous a quittés… | BDZoom.com
  24. Nickad

    21 décembre 1935 naissance de JIDEHEM

    Jean de Maesmaker s’oriente rapidement vers une carrière artistique. En 1954, il crée une série policière Ginger et il prend alors à ce moment le nom de Jidéhem. En 1957, il entre au journal de Spirou et travaille sur les séries Spirou et Fantasio, Gaston Lagaffe puis Starter avec son héroïne Sophie. Le personnage de M de Maesmaker dans Gaston est inspiré en partie du père de Jidéhem avec l'accord de Franquin bien évidemment.
  25. Nickad

    17 décembre 1940 naissance d’EDIKA

    Edouard Karali dit Edika est né en Egyte où il a fait ses études et commencé à travailler dans la publicité. Arrivé en France ses dessins sont publiés dans les magazines Pilote, Charlie Mensuel ou Psikopat. Il se spécialise dans le dessin d’humour, parfois cru, ses personnages principaux sont Bronsky Proko ou Clark Gaybeul. La famille Karali baigne littéralement dans la bande dessinée, son frère Paul dit Carali est le créateur du journal Psikopat et dessine aussi, sa belle-sœur dite Gudule est écrivaine, un de ses neveux dit Olivier Ka et sa nièce dite Melaka sont auteurs de bandes dessinées.
×
×
  • Créer...