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N'en déplaise à nos amis bordelais, j'avoue ne pas du tout connaitre le personnage de Gilles Bertin. Trop jeune pour avoir ouï-dire du braquage et trop loin pour connaitre la légende locale". J'ai donc découvert avec beaucoup d'empathie et d'un certaine tendresse le personnage. Pur produit de son époque, Gilles Bertin a traversé les années 70-80 en surfant sur la drogue, le punk, la débrouille et le gros casse mal géré qui l'a obligé à se cacher 30 ans. Ce qui est particulièrement sympathique dans cette adaptation de Stéphane Oiry , c'est le traitement en entier de la vie de Gilles Bertin, sans en faire trop. pas de sacralisation du héros local ni de blâme du braqueur. Juste la description d'un homme que l'on pourrait connaitre et qui à fiat ce qu'il pensait nécessaire pour survivre à une époque ou pas facile pour les personnes le rentrant pas dans les cases prédéfinies par la société de l'époque. Ce "Les héros du peuple sont immortels" s'est avéré une très bonne lecture, empreinte de nostalgie d'une époque révolue.
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Titre de l'album : Les héros du peuple sont immortels Scenariste de l'album : Stéphane Oiry Dessinateur de l'album : Stéphane Oiry Coloriste : Stéphane Oiry Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Avec Camera Silens, le groupe punk qu'il a créé, Gilles Bertin oscille entre concerts turbulents, tremplins rock et petites combines. Jusqu'au jour où il braque près de 12 millions de francs à la Brink's. Ses complices sont rapidement rattrapés... mais Gilles parvient à s'échapper en passant les Pyrénées. Une cavale de plusieurs décennies commence alors. Figure sans concession des années 1980, Gilles Bertin a publié une autobiographie à succès, "Trente ans de cavale". Adaptation rock de celle-ci, "Les Héros du peuple sont immortels" relate son parcours en forme de rédemption depuis les années punk et sida, jusqu'aux années 2010. Critique : N'en déplaise à nos amis bordelais, j'avoue ne pas du tout connaitre le personnage de Gilles Bertin. Trop jeune pour avoir ouï-dire du braquage et trop loin pour connaitre la légende locale". J'ai donc découvert avec beaucoup d'empathie et d'un certaine tendresse le personnage. Pur produit de son époque, Gilles Bertin a traversé les années 70-80 en surfant sur la drogue, le punk, la débrouille et le gros casse mal géré qui l'a obligé à se cacher 30 ans. Ce qui est particulièrement sympathique dans cette adaptation de Stéphane Oiry , c'est le traitement en entier de la vie de Gilles Bertin, sans en faire trop. pas de sacralisation du héros local ni de blâme du braqueur. Juste la description d'un homme que l'on pourrait connaitre et qui à fiat ce qu'il pensait nécessaire pour survivre à une époque ou pas facile pour les personnes le rentrant pas dans les cases prédéfinies par la société de l'époque. Ce "Les héros du peuple sont immortels" s'est avéré une très bonne lecture, empreinte de nostalgie d'une époque révolue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-heros-du-peuple-sont-immortels?ref=44 Voir la totalité de enregistrement