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  1. poseidon2

    Gotham city - année un

    J'avais eu un peu de mal à faire le tour du Killing Time de King, ne sachant pas vraiment quoi en extraire..... et j'ai retrouvé le king que j'aimais sur ce Gotham année un. Pas autant que sur la Human Target(mais on y reviendra) mais j'ai retrouvé le King qui sait prendre un personnage, le modeler comme il sait le faire, Il reprend un obscur personnage de DC et nous livre un polar super intelligent et bien construit, avec juste ce qu'il faut de parfum de Gothamerie pour en faire "plus" qu'un simple polar. Enfin, simple polar, c'est faire injure à cette enquête et ce polar qui nous mène par le bout du nez du début à la fin, mais qui respecte aussi les codes du genre, avec un héros à la gueule cassée qui croit en ses valeurs, ses poings et un bon verre. Superbe
  2. Titre de l'album : Gotham city - année un Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Phil Hester Coloriste : Phil Hester Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Deux générations avant Batman, le détective privé Slam Bradley se retrouve mêlé au "kidnapping du siècle" lorsque l'enfant héritier des Wayne disparaît dans la nuit... Lancé à sa recherche, il découvre vite que les faux-semblants se multiplient, et que les justes ne sont peut-être pas ceux que l'on croit. Ainsi débute l'histoire brutale d'une Gotham devenue moderne, cité d'abord radieuse abritant en son sein le vice, la violence et la corruption, et prête à déverser le chaos sur ses habitants. Critique : J'avais eu un peu de mal à faire le tour du Killing Time de King, ne sachant pas vraiment quoi en extraire..... et j'ai retrouvé le king que j'aimais sur ce Gotham année un. Pas autant que sur la Human Target(mais on y reviendra) mais j'ai retrouvé le King qui sait prendre un personnage, le modeler comme il sait le faire, Il reprend un obscur personnage de DC et nous livre un polar super intelligent et bien construit, avec juste ce qu'il faut de parfum de Gothamerie pour en faire "plus" qu'un simple polar. Enfin, simple polar, c'est faire injure à cette enquête et ce polar qui nous mène par le bout du nez du début à la fin, mais qui respecte aussi les codes du genre, avec un héros à la gueule cassée qui croit en ses valeurs, ses poings et un bon verre. Superbe Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gotham-city-annee-un?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Rick & Morty - Il était une fois Scenariste de l'album : Sam Maggs Dessinateur de l'album : Sarah Stern & Emett Helen Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Rick et Morty entrent dans un monde à vous faire GRIMacer... un monde de contes de fées inversé !Lorsque Morty doit réviser un examen, Rick lui propose d'utiliser sa dernière invention pour intégrer complètement les connaissances de son manuel Avalonia : Mauvaises histoires pour mauvais enfants. Mais les choses tournent mal lorsque Rick et Morty sont tous deux entraînés à l'intérieur du livre et sont contraints de vivre une aventure dans un univers miroir des contes de Grimm, complètement tordu et bien loin des adaptations édulcorées qu'on connaît ! Critique : On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-il-etait-une-fois/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Rick & Morty - Il était une fois

    On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables.
  5. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  7. poseidon2

    Once & future tome 5

    Allez une critique avec une note un petit trop haute pour une fois, mais c'est assumé. La demie étoile en trop est la pour remercier Kieron Gillen et Dan Mora de nous avoir livré une histoire dantesque, sortie de nulle part, hyper imaginative et surtout... terminé de bien belle façon. Car je n'ajoute qu'une demi étoile à ce tome 5 qui est excellent. Il a le mérite de réussir à cadrer un comics qui était parti dans tous les sens. Kieron Gillen réussit à recentrer ce tome sur nos héros et faire des résumés cachés des épisodes précédents pour nous permettre de vraiment apprécier un tome 5 qui conclut intelligemment une affaire quand même bien mal embarquée. Il réussit même l'exploit de nous faire nous concentrer sur le récit... quitte à oublier (certaine fois) les sublimes dessin de Dan Mora. Car là, sincèrement, les amateurs vont tomber de leurs chaises. La maitrise et la technique déployée ici touche au sublime. On a envie de relire ce tome cinq juste pour le "regarder" tellement le niveau graphique est magique La preuve en image : Vous aimez le fantastique ? vous aimez ce que vous venez de voir. Ne réfléchissez plus et foncer sur les 5 tomes de Once and Future !
  8. Titre de l'album : Once & future tome 5 Scenariste de l'album : Kieron Gillen Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est la veille de Noël et les rois convergent tous vers Excalibur, chacun déterminé à être celui qui règnera. Le chaos s'installe ! Et si personne n'avait la force de prendre l'épée ? Le monde connaîtra-t-il enfin la paix après tant de batailles, ou un personnage inattendu réclamera-t-il le trône ? Des rituels, des bombes et des batailles s'ensuivent, tandis que le destin final de Mary, Rose, Bridgette, Merlin va se jouer ! Critique : Allez une critique avec une note un petit trop haute pour une fois, mais c'est assumé. La demie étoile en trop est la pour remercier Kieron Gillen et Dan Mora de nous avoir livré une histoire dantesque, sortie de nulle part, hyper imaginative et surtout... terminé de bien belle façon. Car je n'ajoute qu'une demi étoile à ce tome 5 qui est excellent. Il a le mérite de réussir à cadrer un comics qui était parti dans tous les sens. Kieron Gillen réussit à recentrer ce tome sur nos héros et faire des résumés cachés des épisodes précédents pour nous permettre de vraiment apprécier un tome 5 qui conclut intelligemment une affaire quand même bien mal embarquée. Il réussit même l'exploit de nous faire nous concentrer sur le récit... quitte à oublier (certaine fois) les sublimes dessin de Dan Mora. Car là, sincèrement, les amateurs vont tomber de leurs chaises. La maitrise et la technique déployée ici touche au sublime. On a envie de relire ce tome cinq juste pour le "regarder" tellement le niveau graphique est magique La preuve en image : Vous aimez le fantastique ? vous aimez ce que vous venez de voir. Ne réfléchissez plus et foncer sur les 5 tomes de Once and Future ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-and-future-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Jurassic league

    Bon alors je pense qu'en tant que fan de comics, vous êtes comme moi, et vous vous demandez : Mais qu'est-ce que c'est que ça ???? Si on est d'accord sur le fait quel multivers permet de faire tout et n'importe quoi.... là, on est quasiment au-delà du n'importe quoi ! Et bien, figurez-vous que... la lecture se passe plutôt bien ! Plus que les équivalences Dinosaures / Super héros, ce qui est vraiment intéressant, c'est la gestion des humains. En effet, les humains sont des "bestioles". Des trucs faibles comme les autres herbivores. Nos héros découvrent petit à petit ces créatures et leurs évolutions. Un point spécial sur les différences de langage qui apporte une véracité au récit et rend l'aspect "héros d'une race différente" vraiment évident. Cette gestion du rapport Bestioles / Dinosaures est vraiment sympa et fait passer cette lecture au-dessus du simple "What the fuck" comics.
  10. poseidon2

    Jurassic league

    Titre de l'album : Jurassic league Scenariste de l'album : Daniel Warren Johnson Dessinateur de l'album : Juan Gedeon Coloriste : Juan Gedeon Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'histoire est connue : un nourrisson échappe à la destruction de sa planète natale et atterri sur Terre pour être élevé par des parents humains. Une déesse d'une cité perdue défend la vérité. Un théropode revêt un costume de chauve-souris pour semer la terreur dans le coeur des méchants. Cette trinité héroïque, ainsi qu'une Ligue d'autres dinosaures surpuissants, unissent leurs forces pour sauver une Terre préhistorique des sinistres machinations de Darkyloseid... Attends...quoi ? Ok, peut-être que vous ne connaissez pas l'histoire. Alors soyez témoin d'une toute nouvelle aventure plus ancienne que le temps, et découvrez la Ligue de Justice comme vous ne l'avez jamais vue auparavant ! Critique : Bon alors je pense qu'en tant que fan de comics, vous êtes comme moi, et vous vous demandez : Mais qu'est-ce que c'est que ça ???? Si on est d'accord sur le fait quel multivers permet de faire tout et n'importe quoi.... là, on est quasiment au-delà du n'importe quoi ! Et bien, figurez-vous que... la lecture se passe plutôt bien ! Plus que les équivalences Dinosaures / Super héros, ce qui est vraiment intéressant, c'est la gestion des humains. En effet, les humains sont des "bestioles". Des trucs faibles comme les autres herbivores. Nos héros découvrent petit à petit ces créatures et leurs évolutions. Un point spécial sur les différences de langage qui apporte une véracité au récit et rend l'aspect "héros d'une race différente" vraiment évident. Cette gestion du rapport Bestioles / Dinosaures est vraiment sympa et fait passer cette lecture au-dessus du simple "What the fuck" comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jurassic-league?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Batman : Dark City

    Premier recueil d'histoire post James Tyrion IV dans l'univers Batman. Chip XXXX récupère un Batman aillant un vrai coup de mou, avec une Sélina partie faire un "Break", une fortune dilapidée par le Joker, un Bruce Wayne persona non gratta et une obligation de vivre dans les batcave de secours. Il n'y a pas à dire James Tyrion IV n'y est pas allé avec le dos de cuillère.... Après tant de changement, j'ai trouvé l'histoire proposée par Chip Zdarsky un peu hors sujet. En effet, il nous propose une bataille contre "un robot" devant abattre Batman si celui-ci dépassait les bornes. Un robot surpuissant étant capable de ridiculiser les plus grands héros de l'univers parce que c'est Batman qui l'a lui-même réalisé. C'est un peu trop gros, un peu trop aberrant. Que personne ne puisse rien faire et que l'on repasse en mode fin du monde d'un coup c'est trop. On aurait préféré un Batman en reconstruction… À réserver aux fans de Batman en monde sauveurs de l'univers
  12. Titre de l'album : Batman : Dark City Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Jorge Jiménez Coloriste : Jorge Jiménez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il est rassurant de penser que le protecteur de Gotham est un maître tacticien inébranlable ayant toujours dix coups d'avance sur ses ennemis. Mais, si c'était le cas, le crime à Gotham aurait été éradiqué il y a déjà bien longtemps. L'homme derrière le masque fascine car il n'est finalement qu'un simple mortel, et le propre de l'homme est d'être faillible. Tandis que les milliardaires les plus influents de Gotham se font assassiner les uns après les autres, Bruce Wayne broie du noir. Arrivera-t-il à s'extirper à temps de ses tourments personnels pour affronter une vieille connaissance et venir en aide à ceux qu'il s'est promis de protéger ? Critique : Premier recueil d'histoire post James Tyrion IV dans l'univers Batman. Chip XXXX récupère un Batman aillant un vrai coup de mou, avec une Sélina partie faire un "Break", une fortune dilapidée par le Joker, un Bruce Wayne persona non gratta et une obligation de vivre dans les batcave de secours. Il n'y a pas à dire James Tyrion IV n'y est pas allé avec le dos de cuillère.... Après tant de changement, j'ai trouvé l'histoire proposée par Chip Zdarsky un peu hors sujet. En effet, il nous propose une bataille contre "un robot" devant abattre Batman si celui-ci dépassait les bornes. Un robot surpuissant étant capable de ridiculiser les plus grands héros de l'univers parce que c'est Batman qui l'a lui-même réalisé. C'est un peu trop gros, un peu trop aberrant. Que personne ne puisse rien faire et que l'on repasse en mode fin du monde d'un coup c'est trop. On aurait préféré un Batman en reconstruction… À réserver aux fans de Batman en monde sauveurs de l'univers Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-dark-city-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang .
  14. Titre de l'album : Namor - Voyage au fond des mers Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Esad Ribic Coloriste : Esad Ribic Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : 1950 : le scientifique Randolph Stein part explorer les abysses a bord du sous-marin Platon, afin de démontrer l'invraisemblance de la légende de l'Atlantide. Il ne sait pas encore qu'il va faire un voyage incroyable qui le conduira devant le souverain et protecteur du royaume marin, Namor, le Prince des Mers ! Ecrit par Peter Milligan (X-Statix) et illustré par Esad Ribic (Thor, Silver Surfer: Requiem, Les Eternels), ce must-have plonge Namor au coeur d'un drame psychologique où les hommes perdent la raison en découvrant les mystérieuses créatures qui peuplent les profondeurs. Critique : Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/namor-voyage-au-fond-des-mers-must-have/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Adventureman T2 : Féérie New-yorkaise Scenariste de l'album : Matt Fraction Dessinateur de l'album : Terry Dodson Coloriste : Terry Dodson Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Un hommage éblouissant aux récits d'aventurespulp ! Que se passe-t-il après la fin du monde ? Pour Claire Connell, l'Apocalypse signifie devenir l'héritière du légendaire héros de pulps Adventureman. Aujourd'hui, elle découvre que reprendre le flambeau d'Adventureman signifie que c'est elle qui doit affronter ses ennemis, passés ET présents... Alors que New York semble sur le point de sombrer dans un étrange Armageddon, Claire tente de se fondre dans l'univers d'Adventureman afin de faire face au mal monstrueux qui a vaincu son prédécesseur. Mais le héros d'autrefois n'avait pas une famille comme la sienne. Claire Connell est devenue le nouvel Adventureman. Elle a ainsi réveillé un ami disparu depuis longtemps, mais aussi quelques spectres oubliés de l'Âge de l'Aventure, qui ont des choses à régler... La neige ne cesse de tomber, les vieux fantômes ne cessent de se manifester, et Claire Connell découvre un immense secret caché dans les sous-sols de Manhattan. Ses soeurs s'en mêlent, le secret enfoui du Gang des Fantômes est révélé. Claire, comme tout bon Adventureman qui se respecte, s'allie avec Le Duelliste, le super cow-boy chasseur de fantômes, pour découvrir ce qui pousse le gang à revenir hanter New York City. Une nouvelle aventure délirante qui met les sens à l'épreuve et défie les limites de l'imagination ! Critique : Je l'attendais ce tome 2, c'est peu de le dire. En effet le tome 1 finissait sur un suspens insoutenable ! Et le deux recommence donc exactement la ou l'on s'est arrêté....autant vous dire qu'il vaut mieux relire le 1 pour comprendre quelque chose. C'est donc ce que j'ai fait et ce qui m'a fait adorer la première partie de l'album. La fin de l'arc "introductif" à l'univers de Adventurman st juste parfait. Rien à redire. Les dessins sont toujours sublimes. La fin de l'histoire est magnifique. entre larmes de joies et de tristesses. Ce qui n'aide pas la deuxième partie. En effet, la suite de l'album part sur les aventures de notre nouvelle "Adventurem'man" et de son équipe à elle. Le rythme est donc forcement un cran en dessous et monte doucement en puissance avec une fin d'album forcément énervante et les personnages (sa famille sans ne rien divulgacher) secondaires qui composent son équipe prennent énormément de "volume". Un tome coupé en deux avec une fin de première histoire a 5/5 et un début de deuxième à 4/5. À noter qu'il faut faire attention ; l'album parait gros de loin, mais il y a un bon cinquième qui est un dossier sur ls coulisses de Adventureman. Dossier TRES intéressant avec le nombre d'albums souhaité (3 en tout pour la base), les spin off si ca marche toujours etc etc.... mais un truc qui n'est pas de la BD quand même 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adventureman-tome-2-feerie-new-yorkaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Je l'attendais ce tome 2, c'est peu de le dire. En effet le tome 1 finissait sur un suspens insoutenable ! Et le deux recommence donc exactement la ou l'on s'est arrêté....autant vous dire qu'il vaut mieux relire le 1 pour comprendre quelque chose. C'est donc ce que j'ai fait et ce qui m'a fait adorer la première partie de l'album. La fin de l'arc "introductif" à l'univers de Adventurman st juste parfait. Rien à redire. Les dessins sont toujours sublimes. La fin de l'histoire est magnifique. entre larmes de joies et de tristesses. Ce qui n'aide pas la deuxième partie. En effet, la suite de l'album part sur les aventures de notre nouvelle "Adventurem'man" et de son équipe à elle. Le rythme est donc forcement un cran en dessous et monte doucement en puissance avec une fin d'album forcément énervante et les personnages (sa famille sans ne rien divulgacher) secondaires qui composent son équipe prennent énormément de "volume". Un tome coupé en deux avec une fin de première histoire a 5/5 et un début de deuxième à 4/5. À noter qu'il faut faire attention ; l'album parait gros de loin, mais il y a un bon cinquième qui est un dossier sur ls coulisses de Adventureman. Dossier TRES intéressant avec le nombre d'albums souhaité (3 en tout pour la base), les spin off si ca marche toujours etc etc.... mais un truc qui n'est pas de la BD quand même 😉
  17. poseidon2

    Batman la dernière sentinelle

    Amis amateurs d Batman mais ne suivant pas toutes les pérégrinations de DC, voici un album pour vous. En plus d'être hors continuité DC, cet album nous offre une histoire complètement hors de Gotham et des trames habituelles de Batman. On a ici un Batman sur la pente descendante se dirigeant vers une retraite nécessaire dû à son âge avancé. On a aussi comme cadre Londres et Paris et donc des dessins de villes et des soirées nocturnes qui changent radicalement de l'habituel Gotham glauque et froide. Si l'historie ne restera pas dans les annales de l'homme chauve-souris, elle reste bien construite et assez originale, avec un méchant aux raisons "valables" pour une fois (et autre que tuer tout le monde ou régner sur l'univers). Un bon one shot quoi 🙂
  18. Titre de l'album : Batman la dernière sentinelle Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Andy Kubert Coloriste : Andy Kubert Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après une vie passée à combattre le crime, Bruce Wayne n'est plus le même homme, ses nombreuses cicatrices en sont le douloureux rappel. Malgré la perte de ses amis les plus chers, son serment est toujours marqué au fer rouge dans son esprit. Mais aujourd'hui, le manoir est vide, et Batman est plus seul que jamais. Qu'est-ce qui peut encore retenir le Chevalier Noir à Gotham ? D'autant qu'à l'autre bout du monde, un avion vient de se crasher, des centaines d'innocents à son bord. En Angleterre, une mystérieuse organisation qui opère sous le nom d'Equilibrium réclame en effet toute son attention. Peut-être est-il temps pour la chauve-souris de quitter la Batcave... pour toujours ? Critique : Amis amateurs d Batman mais ne suivant pas toutes les pérégrinations de DC, voici un album pour vous. En plus d'être hors continuité DC, cet album nous offre une histoire complètement hors de Gotham et des trames habituelles de Batman. On a ici un Batman sur la pente descendante se dirigeant vers une retraite nécessaire dû à son âge avancé. On a aussi comme cadre Londres et Paris et donc des dessins de villes et des soirées nocturnes qui changent radicalement de l'habituel Gotham glauque et froide. Si l'historie ne restera pas dans les annales de l'homme chauve-souris, elle reste bien construite et assez originale, avec un méchant aux raisons "valables" pour une fois (et autre que tuer tout le monde ou régner sur l'univers). Un bon one shot quoi 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-la-derniere-sentinelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Billiionaire Island

    Mark Russel s'est déjà lancé dans la critique sociétale avec Prez, entre deux best of de super héros. Il revient avec une satire des plus grands patrons et de leurs modes de vie. C'est succulent d'humour noir. On rigole du début à la fin... entre deux frissons de réalités qui suinte d'une situation qui risque d'arriver plus vite que prévu. Mais les absurdités des comportements est magnifique. Le déroulement et les comportements des personnages, tant des riches que des moutons que nous sommes, est saisissant et la fin hilarante. Un bon moment de détente et une réflexion sur ce que font nos amis riches de leur argent et de ce qu'ils pourraient en faire au regard des crises de l'époque actuelle.
  20. Titre de l'album : Billiionaire Island Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Steve Pugh Coloriste : Steve Pugh Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde où la plupart des changements climatiques seraient la faute des plus fortunés, mais qu'au lieu d'y remédier, ces derniers se contenteraient de détourner le regard et de plébisciter la création d'oeuvres d'art virtuelles. Imaginez maintenant un monde où les médias, de la chaîne de télévision au journal local, seraient démantelés ou rachetés, permettant à ces mêmes milliardaires de vivre impunément de leurs trafics en tout genre. Imaginez enfin que, pour assurer leur propre prospérité, de riches industriels testent leurs produits nocifs sur des populations sans ressources, incapables de se protéger. Imaginez alors que ces personnes les plus riches, pour échapper à la vindicte mondiale, s'échappent sur l'île sanctuaire qu'ils auront pris le temps de construire. Eh bien, n'imaginez plus ! Ce monde existe... bientôt. Critique : Mark Russel s'est déjà lancé dans la critique sociétale avec Prez, entre deux best of de super héros. Il revient avec une satire des plus grands patrons et de leurs modes de vie. C'est succulent d'humour noir. On rigole du début à la fin... entre deux frissons de réalités qui suinte d'une situation qui risque d'arriver plus vite que prévu. Mais les absurdités des comportements est magnifique. Le déroulement et les comportements des personnages, tant des riches que des moutons que nous sommes, est saisissant et la fin hilarante. Un bon moment de détente et une réflexion sur ce que font nos amis riches de leur argent et de ce qu'ils pourraient en faire au regard des crises de l'époque actuelle. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/billionaire-island?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : La colère de Black Adam Scenariste de l'album : Peter J. Tomasi Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ancien champion du Sorcier Shazam et détenteur du pouvoir de l'éclair vivant, Teth-Adam a passé de nombreux siècles dans un sommeil magique, rêvant de son Égypte antique. Réveillé aux temps modernes, il décide de faire régner la justice par tous les moyens possibles. Ses méthodes expéditives attirent l'attention de tous les super-héros du monde, et sous peu, Black Adam se retrouve seul contre le monde entier. Mais derrière cet inflexible justicier en lutte perpétuel contre le mal se cache un être blessé et fragile, hanté par un amour perdu. Contenu vo : Black Adam The Dark Age #1-6 + World War III. Critique : Pffff c'est quand même dommage ce premier chapitre. Si on l'enlevait, le reste de l'histoire formerait un ensemble vraiment consistant. En effet, la partie Dark Age est très sympa avec un Black Adam qui nous apparait dans toute sa dualité : aussi cruel qu'amoureux de sa femme. Avec son propre sens de la justice, mais un sens de la justice quand même, dut-il passer par la mort d'innocent. Le parcours de Black Adam dans la recherche de ses pouvoirs est intéressant. Entre sa volonté d pouvoir et la volonté de sauver sa femme, il est tiraillé comme le serait tout homme. La fin avec Faust est particulièrement savoureuse. Alors pourquoi nous avoir mis un premier chapitre qui ne sert pas à grand-chose ? C'est finalement un vague résumé de la 3ieme guerre mondial. Mais un résumé ultra rapide et sans même l'introduction e pourquoi Black Adam par en guerre contre le monde. Il aurait été préférable de partir ud principe que Black Adam avait perdu ses pouvoirs sans commencer par cet épisode qui ne sert à rien..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/colere-black-adam/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    La colère de Black Adam

    Pffff c'est quand même dommage ce premier chapitre. Si on l'enlevait, le reste de l'histoire formerait un ensemble vraiment consistant. En effet, la partie Dark Age est très sympa avec un Black Adam qui nous apparait dans toute sa dualité : aussi cruel qu'amoureux de sa femme. Avec son propre sens de la justice, mais un sens de la justice quand même, dut-il passer par la mort d'innocent. Le parcours de Black Adam dans la recherche de ses pouvoirs est intéressant. Entre sa volonté d pouvoir et la volonté de sauver sa femme, il est tiraillé comme le serait tout homme. La fin avec Faust est particulièrement savoureuse. Alors pourquoi nous avoir mis un premier chapitre qui ne sert pas à grand-chose ? C'est finalement un vague résumé de la 3ieme guerre mondial. Mais un résumé ultra rapide et sans même l'introduction e pourquoi Black Adam par en guerre contre le monde. Il aurait été préférable de partir ud principe que Black Adam avait perdu ses pouvoirs sans commencer par cet épisode qui ne sert à rien.....
  23. Ce tome conclut les intrigues des Tortues autour des ultroms et des tricératons avec une "fin" aux cycle des problématiques aliens sur terre. On est assez loin des meilleurs tomes de la série, cet arc ne m'ayant finalement que peu convaincu, mais cela reste une lecture qui sera agréable à tous les fans des tortues. A noter que seuls 3 chapitres sont consacrés à la fin de cet arc, le 4ème et dernier chapitre, dessiné par Michael Dialynas pour le coup étant une nouvelle dans l'univers des tortues centrée sur Maitre Splinter. J'espère que la suite nous recadrera un peu sur des aventures des tortues plus classiques dans leurs enjeux. A voir.
  24. Titre de l'album : Les tortues ninja - TMNT tome 17 - Lignes de front Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Michael Dialynas Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Suite et fin pour les aventures cosmiques des Tortues désormais alliées avec... les Utroms, pour le meilleur comme pour le pire ? Plus déterminés que jamais à traquer et éradiquer toute présence extraterrestre sur la planète, l'agent Bishop et la F.T.P. mènent une attaque surprise sur l'île de Burnow. Les tensions explosent tandis que les Tortues Ninja rejoignent Burnow pour épauler Tricératons et Utroms dans une guerre sans merci qui ne laissera personne indemne... Critique : Ce tome conclut les intrigues des Tortues autour des ultroms et des tricératons avec une "fin" aux cycle des problématiques aliens sur terre. On est assez loin des meilleurs tomes de la série, cet arc ne m'ayant finalement que peu convaincu, mais cela reste une lecture qui sera agréable à tous les fans des tortues. A noter que seuls 3 chapitres sont consacrés à la fin de cet arc, le 4ème et dernier chapitre, dessiné par Michael Dialynas pour le coup étant une nouvelle dans l'univers des tortues centrée sur Maitre Splinter. J'espère que la suite nous recadrera un peu sur des aventures des tortues plus classiques dans leurs enjeux. A voir. Autres infos : Tortues Ninja Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-17-lignes-de-front?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Dark Ages

    Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la.....
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