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  1. poseidon2

    DCeased - Unkillables

    Une fois n'est pas coutume dans le monde du comics... voici un spin off mieux que l'original. En effet le premier était intéressant de par l'arrivée, enfin, du résultat de l'équation d'anti vie de Darkseid et de son impact sur le monde. Le fait que les héros ne soient pas épargnés était aussi très sympa. Mais on restait centré sur des personnages hyper connus. Là c'est la surprise total avec une idée fichtrement bonne : comment va réagir le virus sur les héros/méchant.... immortels ? Ceux qui se régénère ou n'ont pas suffisamment de cerveaux pour être piraté (bonjour Grundy). Et bien cette question est super bien traitée : Entre un Vandal Savage sûr de lui, un Deathstroke qui se régénère ou encore un Creepy immortel... on a une grosse bande de méchants qui se retrouve à travailler ensemble pour tenter de survivre. Ce qui est bien traité dans ce volume c'est la psychologie des méchants. Tom Taylor, a l'instar de l'autre Tom coté héros, nous montre bien que les méchants sont des hommes avant tout et que dans ces périodes de fin du monde leur "bonté" peut facilement ressortir. Un excellent tome qui montre l'ambivalence de beaucoup de méchant de l'univers DC et nous promet un prochain tome vraiment sympa pour une "franchise" DCeased bien meilleure que prévue. Plus facile à lire que le très complexe Rebirth, cette franchise ravira tous ceux qui cherchent des histoires de super héros simples et sans se traîner les mastodontes du circuit et leurs historiques. A lire !
  2. Titre de l'album : Superman : Up in the sky Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Andy Kubert Editeur de l'album : Urban Comics Note de l'album : 3 Résumé de l'album : Pour sauver une petite fille enlevée par des extraterrestres, Superman va devoir prendre l'une de ses plus graves décisions : rester auprès des siens et continuer à les protéger, ou bien parcourir l'univers à sa recherche et laisser Metropolis et la Terre à l'abandon. Mû par un optimisme et un sens du devoir infaillibles, l'Homme d'Acier ne tergiverse pas longtemps avant de s'envoler... là-haut dans le ciel. Critique : Tom King c'est le scénariste du moment coté Batman. Il a relancé la franchise en mettant en avant la fragilité du personnage ou encore en introduisant un parallèle entre Batman/Catwoman/Bane. C'est aussi le scénariste du magnifique Mister Miracle ou encore de l'émouvant Heroes in Crisis ou encore une fois il met en avant les faiblesses des super héros. Le voir débarquer sur superman m'a fait un peu peur car je trouve que le personnage de Superman se prête moins à ce genre d'introspection. Et bien je dois avouer que... mes craintes se sont révélées vérifiées. Si l'histoire est super sympa, si on retrouve le combat entre l'émotion, le devoir et la vie de tous les jours, je trouve que cela prend moins. On ne croit que difficilement que Superman n'ai pas envie de sauver une petite fille. Superman est le personnage droit dans ses bottes, celui qui n’hésite pas et qui fait toujours le choix du cœur. Superman n'est pas, pour moi, un calculateur comme Batman. Hors rendre un calculateur émotionnellement instable ça prend. Prendre quelqu'un qui réagit aux émotions et essayer de le transformer en calculateur, cela ne marche pas. Si l'histoire est très bien, surtout avec le découpage propre à la King en plein de petites cases et de plans rapprochés, on ne franchit pas le pas de se sentir impliquer dans les réflexions de Superman. Comme quoi il n'est pas facile d'imposer un style à un personnage. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-up-in-the-sky?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Superman : Up in the sky

    Tom King c'est le scénariste du moment coté Batman. Il a relancé la franchise en mettant en avant la fragilité du personnage ou encore en introduisant un parallèle entre Batman/Catwoman/Bane. C'est aussi le scénariste du magnifique Mister Miracle ou encore de l'émouvant Heroes in Crisis ou encore une fois il met en avant les faiblesses des super héros. Le voir débarquer sur superman m'a fait un peu peur car je trouve que le personnage de Superman se prête moins à ce genre d'introspection. Et bien je dois avouer que... mes craintes se sont révélées vérifiées. Si l'histoire est super sympa, si on retrouve le combat entre l'émotion, le devoir et la vie de tous les jours, je trouve que cela prend moins. On ne croit que difficilement que Superman n'ai pas envie de sauver une petite fille. Superman est le personnage droit dans ses bottes, celui qui n’hésite pas et qui fait toujours le choix du cœur. Superman n'est pas, pour moi, un calculateur comme Batman. Hors rendre un calculateur émotionnellement instable ça prend. Prendre quelqu'un qui réagit aux émotions et essayer de le transformer en calculateur, cela ne marche pas. Si l'histoire est très bien, surtout avec le découpage propre à la King en plein de petites cases et de plans rapprochés, on ne franchit pas le pas de se sentir impliquer dans les réflexions de Superman. Comme quoi il n'est pas facile d'imposer un style à un personnage.
  4. Titre de l'album : The weatherman t2 Scenariste de l'album : Jody Leheup Dessinateur de l'album : Nathan Fox Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Sans souvenir de l'attaque terroriste qu'il aurait commanditée, Nathan Bright n'a plus d'autre choix que de fuir aux confins de la galaxie. Sa quête le conduit finalement sur une planète sur laquelle il ne pensait jamais revenir, celle qui a vu naître l'humanité : la Terre. Il découvre alors rapidement que, contrairement à ce qu'il pensait, ce lieu chargé de souvenirs et d'une histoire des plus sinistres est bien loin d'être vide... Critique : Aller on est vendredi, et aujourd'hui on lâche les grand mots : Je pense que la fin de ce tome deux est le meilleur Cliffhanger que je n'ai lu depuis... Je ne m'en souviens plus en fait... C'est limite indécent de faire ça au bout deux tome.... Ce qui est encore meilleur c'est que... ben personne ne m'en avait parlé. C'est série ne remue pas forcement les foule mais... c'est un tort que je me charge de rectifier. Car si la fin de tome est exceptionnelle, le tome lui-même est très bon. De la très bonne intro qu'était le tome 1, on passe ici dans le vrai et bon space opera : population en danger, choix cornélien entre sauver des gens ou penser au bonheur de tous, un anti héros de plus en plus attachant et de l'action de l'action de l'action.... à et j'oublie des terroristes interplanétaire, une présidente de mars qui pète un câble, un super virus.... Voilà j'ai envie de relire les deux premiers tomes. Il faut remonter aux premiers Deadly Class pour que je repense à une sensation d'évolution parfaite d'une série.... Avant de s'enflammer encore plus on va attendre le tome 3 mais nos auteurs tiennent tellement un bon filon que je ne peux que penser que ça sera excellent Vivement le t3 !!! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-weatherman-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    The weatherman t2

    Aller on est vendredi, et aujourd'hui on lâche les grand mots : Je pense que la fin de ce tome deux est le meilleur Cliffhanger que je n'ai lu depuis... Je ne m'en souviens plus en fait... C'est limite indécent de faire ça au bout deux tome.... Ce qui est encore meilleur c'est que... ben personne ne m'en avait parlé. C'est série ne remue pas forcement les foule mais... c'est un tort que je me charge de rectifier. Car si la fin de tome est exceptionnelle, le tome lui-même est très bon. De la très bonne intro qu'était le tome 1, on passe ici dans le vrai et bon space opera : population en danger, choix cornélien entre sauver des gens ou penser au bonheur de tous, un anti héros de plus en plus attachant et de l'action de l'action de l'action.... à et j'oublie des terroristes interplanétaire, une présidente de mars qui pète un câble, un super virus.... Voilà j'ai envie de relire les deux premiers tomes. Il faut remonter aux premiers Deadly Class pour que je repense à une sensation d'évolution parfaite d'une série.... Avant de s'enflammer encore plus on va attendre le tome 3 mais nos auteurs tiennent tellement un bon filon que je ne peux que penser que ça sera excellent Vivement le t3 !!!
  6. Bon alors autant vous le dire tout de suite, ne continuez à me lire que si vous aimez le genre. Car sinon vous perdrez votre temps. Par genre je pense au mélange des genres. Mélange qui rime autant avec hommage d'avec envie scénaristique de faire n'importe quoi. Ici le ton est donné d'entrée de jeu : Qu'est-ce que les tortues Ninja font la ? Et bien c'est ce qui est très drôle dans ce genre d'exercice : Un scénariste qui prend la question au sérieux et nous fait une espèce de Batman année 1 avec des tortus ninjas. On a une vraie histoire, une vraie genèse et un vrai Batman. Bon comme souvent chez DC on justifie un quelconque lien avec la branche mère en fin d'album mais la question ne sera pas là pour le lecteur. La question va être simple (enfin presque) : Est-ce que, pour vous détendre, vous étés prêt à sacrifier vos repères de l'univers de Batman. Là où je disais que c'était presque simple c'est qu'il faut aussi ajouter qu'il faut passer outre le trait de Freddie E. Williams II qui est quand même très particulier. Et moi j'ai un peu du mal. Malgré cela je me suis bien amusé. A vous de voir si ce moment de détente vos le prix demandé...
  7. Titre de l'album : Batman et les tortues Ninja : Fusion Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Freddie E. Williams II (Dessin) / Kevin Eastman ( Editeur de l'album : Urban Comics Note de l'album : 3 Résumé de l'album : Batman patrouille depuis les hauteurs de Gotham et rien ne semble pouvoir troubler la routine du Chevalier Noir. De retour à la Batcave, le héros retrouve Alfr... Splinter ? Mais où est Alfred ?! Et que font Leonardo, Raphael, Donatello et Michaelangelo dans les costumes de Nightwing, Red Hood, Tim Drake et Damian Wayne ?? Il ne manquerait plus que Shredder et le Joker ne fusionn... Oh, attendez une minute... Ce ne serait pas la silhouette de l'Anti-Monitor que l'on aperçoit au loin ? Mais depuis quand sert-il d'hôte à Krang ? Le Multivers DC n'aurait-il pas besoin d'une petite révision ? Contenu vo : Batman TMNT III #1-6. Critique : Bon alors autant vous le dire tout de suite, ne continuez à me lire que si vous aimez le genre. Car sinon vous perdrez votre temps. Par genre je pense au mélange des genres. Mélange qui rime autant avec hommage d'avec envie scénaristique de faire n'importe quoi. Ici le ton est donné d'entrée de jeu : Qu'est-ce que les tortues Ninja font la ? Et bien c'est ce qui est très drôle dans ce genre d'exercice : Un scénariste qui prend la question au sérieux et nous fait une espèce de Batman année 1 avec des tortus ninjas. On a une vraie histoire, une vraie genèse et un vrai Batman. Bon comme souvent chez DC on justifie un quelconque lien avec la branche mère en fin d'album mais la question ne sera pas là pour le lecteur. La question va être simple (enfin presque) : Est-ce que, pour vous détendre, vous étés prêt à sacrifier vos repères de l'univers de Batman. Là où je disais que c'était presque simple c'est qu'il faut aussi ajouter qu'il faut passer outre le trait de Freddie E. Williams II qui est quand même très particulier. Et moi j'ai un peu du mal. Malgré cela je me suis bien amusé. A vous de voir si ce moment de détente vos le prix demandé... Autres infos : Rigolo Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-tmnt-fusion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Voila une affiche a coller dans la chambre de tout ceux qui suivent intensivement DC. Et qui montre bien la cohérence souhaitée de Scott Snyder et ce depuis.... quasiment la court de <Hiboux si on remonte plus loin et l'apparition du Metal N.
  9. Titre de l'album : Justice league : Doom War Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Lex Luthor, influencé par l'entité Perpetua, mère des Monitors et conceptrice du Multivers, a depuis quelque temps fondé et dirigé une Légion Fatale dans le but de prouver à l'humanité qu'une seule voie était possible pour la sauver : celle du Mal absolu. Déclarant une « année du crime » et proposant à chaque super-vilain d'augmenter ses capacités afin de triompher de leurs ennemis, Lex Luthor utilise la technologie extraterrestre pour se métamorphoser en Apex Lex, un être à même de diriger le monde une fois celui-ci asservi. Contenu vo : Justice League #26-39 + DC's Year of the Villain #1 + Year of the Villain: Black Mask #1 + Year of the Villain: Sinestro #1 + Year of the Villain: Lex Luthor #1 + Year of the Villain: Riddler #1 + Year of the Villain: The Joker #1. Critique : Fin du deuxième arc de l'univers Metal de Snyder après la fin du premier via la sortie du Batman Qui Rit, les infectés. Et si j'ai adoré le Batman qui Rit par son côté sombre et très intimiste, j'ai eu plus de mal avec cette deuxième partie de récit. Ces aventures de la ligue de justice sont devenues vraiment compliquées. Alors ne vous y trompez pas. Ce n'est pas fouillis comme pouvaient l’être certains des crossovers de DC à une époque. Non la tout est bien organisé et réfléchis, surtout si on a lu les tomes précédent de New Justice League. Mais qu'est-ce que c'est compliqué.... en plus de connaitre sur le bout des doigts tous les héros DC, et leurs Némésis, il faut avoir le cerveau bien accroché ! Ca y va à coup de Multivers, de création d’univers, de renaissance, d'extinction du multivers tout ça tout ça.... Mais encore une fois c'est "cohérent". Mais qu'est-ce que c'est prise de tête...... Là où ma note en prend un coup quand même c'est sur la cohérence avec l’autre branche. Alors oui la cohérence n'a jamais été le fort des comics. Mais la quand même temporellement les deux histoires sont difficilement crédibles. Les deux héros principaux Batman et Superman sont censés être à deux endroits en même temps et au vu de leurs emplois du temps c'est tout bonnement impossible. De plus on ne comprend pas bien comment les plans de l'un et de l'autre peuvent avoir aussi peu d'impact l'un sur l'autre.... Bref un tome qui plaira à ceux qui suivent l'univers mais surement pas le bon tome pour se jeter dans le cerveau de Scott Snyder. M'est d'avis que la conclusion dans le prochain tome sera un sacré sac de nœud.... mélangeant les deux branches... EDIT : il est a noté que les interludes sur l'année du crime vu par certain vilain est bien pensé car aide le cerveau à se reposer 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-doom-war-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Justice league : Doom War

    Fin du deuxième arc de l'univers Metal de Snyder après la fin du premier via la sortie du Batman Qui Rit, les infectés. Et si j'ai adoré le Batman qui Rit par son côté sombre et très intimiste, j'ai eu plus de mal avec cette deuxième partie de récit. Ces aventures de la ligue de justice sont devenues vraiment compliquées. Alors ne vous y trompez pas. Ce n'est pas fouillis comme pouvaient l’être certains des crossovers de DC à une époque. Non la tout est bien organisé et réfléchis, surtout si on a lu les tomes précédent de New Justice League. Mais qu'est-ce que c'est compliqué.... en plus de connaitre sur le bout des doigts tous les héros DC, et leurs Némésis, il faut avoir le cerveau bien accroché ! Ca y va à coup de Multivers, de création d’univers, de renaissance, d'extinction du multivers tout ça tout ça.... Mais encore une fois c'est "cohérent". Mais qu'est-ce que c'est prise de tête...... Là où ma note en prend un coup quand même c'est sur la cohérence avec l’autre branche. Alors oui la cohérence n'a jamais été le fort des comics. Mais la quand même temporellement les deux histoires sont difficilement crédibles. Les deux héros principaux Batman et Superman sont censés être à deux endroits en même temps et au vu de leurs emplois du temps c'est tout bonnement impossible. De plus on ne comprend pas bien comment les plans de l'un et de l'autre peuvent avoir aussi peu d'impact l'un sur l'autre.... Bref un tome qui plaira à ceux qui suivent l'univers mais surement pas le bon tome pour se jeter dans le cerveau de Scott Snyder. M'est d'avis que la conclusion dans le prochain tome sera un sacré sac de nœud.... mélangeant les deux branches... EDIT : il est a noté que les interludes sur l'année du crime vu par certain vilain est bien pensé car aide le cerveau à se reposer 🙂
  11. poseidon2

    Batman last Knight on earth

    Si j'aime bien Snyder et ce qu'il a fait pour Batman, je trouve que là il est allé un peu loin dans le besoin de connaissance de l'univers DC pour bien apprécier ce one shot. Car ce n'est pas parce que c'est une one shot que c'est une aventure pour tout le monde. Loin de là. En effet il y a énormément de cases ou d'explications textuelles de ce qu'il s'est passé dans le monde des super héros... et chaque phrases est une référence. L'eau polluée pour Atlantis en une phrase, les orages de force véloce pour les flashs, une case pour la Vigie.... enfin même moi qui commence à maîtriser tout le monde cette univers il a fallu que je fasse des recherches.... Alors je n'ose imaginer une personne qui ouvre cette BD, voit les superbes dessins de Greg Capullo, et qui se dit : aller j’essaye..... Bref une histoire plutôt pas mal mais à réserver aux fana de l'univers DC dans son ensemble....
  12. Titre de l'album : Batman last Knight on earth Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Greg Capullo Editeur de l'album : Urban Comics Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Lancé dans un mystérieux jeu de piste à travers Gotham, Batman est neutralisé puis se réveille dans l'Asile d'Arkham où Alfred lui apprend qu'il en est en réalité le patient depuis des années et que sa croisade contre le crime n'est que le délire de son esprit malade ! Mais ce n'est que le début d'une épopée qui va conduire le héros à traverser un monde désolé peuplé de visages familiers à jamais traumatisés par une apocalypse dont Batman ignore les origines ! La dernière croisade du Chevalier Noir a commencé. Contenu vo : Batman: Last Knight on Earth #1-3. Critique : Si j'aime bien Snyder et ce qu'il a fait pour Batman, je trouve que là il est allé un peu loin dans le besoin de connaissance de l'univers DC pour bien apprécier ce one shot. Car ce n'est pas parce que c'est une one shot que c'est une aventure pour tout le monde. Loin de là. En effet il y a énormément de cases ou d'explications textuelles de ce qu'il s'est passé dans le monde des super héros... et chaque phrases est une référence. L'eau polluée pour Atlantis en une phrase, les orages de force véloce pour les flashs, une case pour la Vigie.... enfin même moi qui commence à maîtriser tout le monde cette univers il a fallu que je fasse des recherches.... Alors je n'ose imaginer une personne qui ouvre cette BD, voit les superbes dessins de Greg Capullo, et qui se dit : aller j’essaye..... Bref une histoire plutôt pas mal mais à réserver aux fana de l'univers DC dans son ensemble.... Autres infos : Pour connaisseurs Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-last-knight-on-earth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Harleen

    Titre de l'album : Harleen Scenariste de l'album : Stjepan Šejic Dessinateur de l'album : Stjepan Šejic Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après des études mouvementées qui ont entamé sa confiance en elle, la jeune psychologue Harleen Quinzel pense enfin avoir décroché le poste de ses rêves en étant embauchée à l'Asile d'Arkham afin d'apporter son soutien et son expertise aux plus grands criminels de Gotham. Mais il est un être au sein de cet asile qui va à la fois faire chavirer son esprit et son coeur : le Joker ! Petit à petit, Harleen va se laisser séduire puis sombrer dans un abîme de folie y laissant à tout jamais son innocence et ses illusions perdues. Contenu vo : Harleen #1-3. Critique : Somptueux.... c'est le premier mot qui vient quand on voit la couverture. Somptueux graphiquement mais aussi au niveau de sa conception. Cette image reflette à elle seule toute la dictotomie du personnage d'Harleen Quinzel : Une intelligence au service de la folie. Avec une couverture tellement belle on se dit que l'interieur sera forcement moins bon, comme souvent dans l'univers du Comic. Et bien non. Non et non. Stjepan Šejic nous livre un véritable récital. Graphiquement c'est une tuerie du début à la fin... Et donc au final "c'est juste un beau recueil d'illustration ? "me demanderont les lecteurs saoulés par l'omniprésence-présence de ce personnage "secondaire" du monde DC. Et bien... meme pas. Stjepan Šejic nous livre la première vrai histoire d'Haley Quinn depuis... fiouuu depuis un baille. Ici il n'est pas question d'une Harley Quinn gentille/méchante un peu bébête et sexy qui inondes les sorties et les écrans. Non la on parle de la jeune femme psychologue fraichement diplomée qui pense sincerement pouvoir aider les criminels à revenir dans le droit chemin. Stjepan Šejic nous livre une vrai auto psychanalyse du personnage. Via une voie off, le personnage d'Harleen décrypte sa lente descente aux enfers. Descente guidée par le maitre des lieux : Monsieur J. Entre manipulation du joker, véritable amour et relation interdite, Stjepan Šejic nous livre un récit complet et complexe sur un personnage qui gagne une densité impressionnante au point d'être vraiment l'objet de toutes les attentions. Bref Stjepan Šejic a prit son temps mais nous a livré un album superbe qui, à L'instar du Luthor de Azzarello, met en avant un personnages méchant tout en le traitant de facon sérieuse et réfléchit. Et sur un personnage publique et délurée commme Harley Quinn, ca fait un bien fou 🙂 Merci monsieur Stjepan Šejic PS: Attention tout de même, les lecteurs de comics qui espère des combats, des colants partout et un sauvetage de Gotham, vous risquez d'etre déçu. Autres infos : C'est qu'on l'aime comme ca la petite Harleen Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harleen?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Harleen

    Somptueux.... c'est le premier mot qui vient quand on voit la couverture. Somptueux graphiquement mais aussi au niveau de sa conception. Cette image reflette à elle seule toute la dictotomie du personnage d'Harleen Quinzel : Une intelligence au service de la folie. Avec une couverture tellement belle on se dit que l'interieur sera forcement moins bon, comme souvent dans l'univers du Comic. Et bien non. Non et non. Stjepan Šejic nous livre un véritable récital. Graphiquement c'est une tuerie du début à la fin... Et donc au final "c'est juste un beau recueil d'illustration ? "me demanderont les lecteurs saoulés par l'omniprésence-présence de ce personnage "secondaire" du monde DC. Et bien... meme pas. Stjepan Šejic nous livre la première vrai histoire d'Haley Quinn depuis... fiouuu depuis un baille. Ici il n'est pas question d'une Harley Quinn gentille/méchante un peu bébête et sexy qui inondes les sorties et les écrans. Non la on parle de la jeune femme psychologue fraichement diplomée qui pense sincerement pouvoir aider les criminels à revenir dans le droit chemin. Stjepan Šejic nous livre une vrai auto psychanalyse du personnage. Via une voie off, le personnage d'Harleen décrypte sa lente descente aux enfers. Descente guidée par le maitre des lieux : Monsieur J. Entre manipulation du joker, véritable amour et relation interdite, Stjepan Šejic nous livre un récit complet et complexe sur un personnage qui gagne une densité impressionnante au point d'être vraiment l'objet de toutes les attentions. Bref Stjepan Šejic a prit son temps mais nous a livré un album superbe qui, à L'instar du Luthor de Azzarello, met en avant un personnages méchant tout en le traitant de facon sérieuse et réfléchit. Et sur un personnage publique et délurée commme Harley Quinn, ca fait un bien fou 🙂 Merci monsieur Stjepan Šejic PS: Attention tout de même, les lecteurs de comics qui espère des combats, des colants partout et un sauvetage de Gotham, vous risquez d'etre déçu.
  15. poseidon2

    V pour Vendetta

    Nouveau Label chez Urban et donc nouvelle version de V pou Vandetta. Je ne vous ferais pas l'affront de faire la critique du contenu. En effet tout le monde sait que V pour Vandetta est un monstre du comic indépendant de années 80. Un album indispensable dans chaque bédétheque qui se respecte. Le traitement du rapport à un régime autoritaire écrit sous Tatcher semble ne jamais avoir été autant d'actualité avec la montée du populisme dans tout les pays du monde. La question de ce que l'on serait prêt à sacrifier pour assurer sa tranquillité est le centre de toutes les attentions. Mais j'ai dit que je ne parlais pas de contenu scrogneugneu ! Pour ce qui est du contenant, Urban a fait (comme a chaque fois ?) une superbe édition et a réussi à dénicher des croquis préparatoires inédits de David Loyd. Si trouver quelque chose d’inédit sur V pour Vandetta est impressionnant, autant vous dire que cela ne justifie pas l'achat d'une nouvelle version de ce monument du comics. Mais si jamais vous ne l'avez pas ou que vous voulez faire un beau cadeau (ou transformer quelqu'un en anarchiste convaincu) , cette nouvelle édition vous ravira 🙂
  16. poseidon2

    V pour Vendetta

    Titre de l'album : V pour Vendetta Scenariste de l'album : Alan Moore Dessinateur de l'album : David Loyd Editeur de l'album : Urban Comics Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/5.0.png Résumé de l'album : 1997, une Angleterre qui aurait pu exister. Dirigé par un gouvernement fasciste, le pays a sombré dans la paranoïa et la surveillance à outrance. Les « ennemis politiques » sont invariablement envoyés dans des camps et la terreur règne en maître. Mais un homme a décidé de se dresser contre l'oppression. Dissimulé derrière un masque au sourire énigmatique, il répond au nom de V : V pour Vérité, V pour Valeurs... V pour Vendetta ! Critique : Nouveau Label chez Urban et donc nouvelle version de V pou Vandetta. Je ne vous ferais pas l'affront de faire la critique du contenu. En effet tout le monde sait que V pour Vandetta est un monstre du comic indépendant de années 80. Un album indispensable dans chaque bédétheque qui se respecte. Le traitement du rapport à un régime autoritaire écrit sous Tatcher semble ne jamais avoir été autant d'actualité avec la montée du populisme dans tout les pays du monde. La question de ce que l'on serait prêt à sacrifier pour assurer sa tranquillité est le centre de toutes les attentions. Mais j'ai dit que je ne parlais pas de contenu scrogneugneu ! Pour ce qui est du contenant, Urban a fait (comme a chaque fois ?) une superbe édition et a réussi à dénicher des croquis préparatoires inédits de David Loyd. Si trouver quelque chose d’inédit sur V pour Vandetta est impressionnant, autant vous dire que cela ne justifie pas l'achat d'une nouvelle version de ce monument du comics. Mais si jamais vous ne l'avez pas ou que vous voulez faire un beau cadeau (ou transformer quelqu'un en anarchiste convaincu) , cette nouvelle édition vous ravira 🙂 Autres infos : Un must have Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/v-pour-vendetta-ed-black-label?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Le batman qui rit tome 2 : les infectés Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Rescapé de l'affrontement final entre la Justice League et les Chevaliers corrompus du Multivers Noir, le Batman Qui Rit rassemble depuis les éléments d'un plan machiavélique visant à s'emparer de notre dimension. Utilisant les pouvoirs du Multivers noir, il parvient à corrompre six héros de la Terre qu'il ne va pas tarder à opposer aux deux plus grands protecteurs du monde : Superman et Batman ! Critique : Je n'avais pas caché ma déception quand au premier Batman qui rit. En effet après Batman metal j'avais d'énorme espoir sur ce Batman qui rit et l'aspect trop sombre/macabre et surtout l'illisibilité des textes en rouge sur noir du Joker m'avais un peu dégoutté. J'ai donc ouvert ce second volume sans trop de réel espoir. Juste pour savoir la suite de la saga Metal de Snyder.... et grand bien m'en a pris. Celui ci est plutôt très bon. Déjà le batman qui rit parle moins donc on se défonce moins les yeux à décrypter ce qui est marqué. Ensuite l'histoire est un poil plus classique avec nos héros qui combattent leurs amis infectés, et donc un ton en dessous en terme de "glauque attitude". Ensuite l'édition est bien pensée. En effet en entrecoupe notre récit de mini histoire sur l'infection des héros ce qui est une bonne idée car cela ajoute des pauses dans un récit à 200 à l'heure. l'autre bon point est que les héros infectés... ne sont pas ceux auxquels on pense 🙂 Williamson a bien réfléchi en terme de véritable corruption possible du personnage plus qu'en terme de renommé et cela apporte à l'histoire. Ajoutez à cela un travail graphique toujours impeccable de la team graphique de l'équipe Metal et vous aurez un tres bon comic sur une Saga Metal qui s'annonce comme l'une des plus ambitieuse depuis un moment. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-les-infectes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Je n'avais pas caché ma déception quand au premier Batman qui rit. En effet après Batman metal j'avais d'énorme espoir sur ce Batman qui rit et l'aspect trop sombre/macabre et surtout l'illisibilité des textes en rouge sur noir du Joker m'avais un peu dégoutté. J'ai donc ouvert ce second volume sans trop de réel espoir. Juste pour savoir la suite de la saga Metal de Snyder.... et grand bien m'en a pris. Celui ci est plutôt très bon. Déjà le batman qui rit parle moins donc on se défonce moins les yeux à décrypter ce qui est marqué. Ensuite l'histoire est un poil plus classique avec nos héros qui combattent leurs amis infectés, et donc un ton en dessous en terme de "glauque attitude". Ensuite l'édition est bien pensée. En effet en entrecoupe notre récit de mini histoire sur l'infection des héros ce qui est une bonne idée car cela ajoute des pauses dans un récit à 200 à l'heure. l'autre bon point est que les héros infectés... ne sont pas ceux auxquels on pense 🙂 Williamson a bien réfléchi en terme de véritable corruption possible du personnage plus qu'en terme de renommé et cela apporte à l'histoire. Ajoutez à cela un travail graphique toujours impeccable de la team graphique de l'équipe Metal et vous aurez un tres bon comic sur une Saga Metal qui s'annonce comme l'une des plus ambitieuse depuis un moment.
  19. Série : Black Canary Scenario : Matthew Rosenberg / Brenden Fletcher Dessin : Annie Wu my 2 cents Juste derrière le catwoman Edition : Urban Comics Acheter sur BDfugue Résumé :Difficile de laisser son passé derrière soi quand on a combattu le crime durant tant d’années. Troquer son costume d’héroïne contre le cuir de lead singer dans un groupe de rock est sans doute la meilleure chose qui pouvait arriver à Dinah Lance. Toujours sur la route en compagnie de Lord Byron (basse, batterie), de la jeune prodige Ditto (guitare) et Paloma Terrific (synthé), l’ex-justicière apprend désormais à se décentrer pour penser collectif et protéger ses nouvelles amies. Ce qui ne se fait pas sans quelques ajustements… Surtout lorsque son impulsivité légendaire attire sur leur tournée des hordes de fans trop envahissants ou la hargne des groupes rivaux. Sans compter la capacité des riffs de Ditto à attirer sur elles l’attention d’entités surnaturelles… Quatrième tome de la première salve de Urban Link, voici venir Black Canary mise en scène dans un album qui.... à tout de l'album classique. Voilà l'album qui perturbera le moins les lecteurs de comics classique. Pour tout vous dire avec un dessin plus conventionnel cet album aurait sa place dans la collection traditionnelle de DC. Car au final on y voit une aventure classique d'une héroïne DC. Alors certes Black Canary n'est pas le personnage le plus connu de l'univers DC mais notre chanteuse a le vent en poupe via sa participation à Birds of Prey. L’aventure décrite dans ce "New Killer Star" est vraiment une aventure standard. On a une mise en place des personnages, des flash-back, de la baston (pas mal de baston), un traitement de toute l'aventure et une fin en mode "à la prochaine". Un comic quoi. Ce quatrième volume n'est donc un "roman graphique" quasiment que par son dessin. Mais au final ce n'est pas un mal car cela plaira aux fans habituels de comic et cela réussira à attirer ceux en recherche d'un travail moins codifié. Bref une belle réussite qui sera un bon point d'entrée dans la collection Urban Link. Ma Note:
  20. Criminal - hors-série - Sale week-end Scénario : Ed Brubaker Dessin : Sean Phillips Couleur : Jacob Phillips Genre : Policier Edition : Delcourt Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : 1997. Un auteur de BD, Hal Crane, est invité à une ComicCon pour recevoir un prix. Il y retrouve l'un de ses assistants pour le guider sur place. Sa venue n'est cependant qu'une couverture pour régler un conflit vieux de plusieurs années. Ce récit évoque le monde souterrain des auteurs et éditeurs, les scandales internes et les suspicions, une superbe mise en abyme du milieu. Après mes héros ont toujours été des junkies, le duo d’auteur Brubaker et Phillips nous proposent une fois de plus un hors-série se déroulant dans l’univers de la série Criminal. Ces deux nouvelles qui sortent à la suite ont une pagination moins importante entre soixante et soixante-dix planches en tout. De plus dans ces histoire courtes, on croise les personnages emblématiques de la série mère dans des époques différentes et en second rôle. Avec un sale week-end, nous allons suivre Hal Crane un dessinateur de comics qui a sombré dans l’alcoolisme et dettes de jeu qui doit se rendre au plus grand festival de comics en tant qu’invité. Ed Burbaker nous livre un polar dont il a le secret depuis le temps. On retrouve l’ambiance de Criminal et de plus le héros de ce titre est accompagné par son ancien assistant Jacob Kurtz que l’on connait comme faussaire dans ces précédentes apparitions et Nicky Lawless joue également un rôle dans l’histoire. Pour la partie graphique, le style de Sean Phillips fonctionne toujours autant avec des dessins moins encrés que sur les premiers tomes et on gagne en finesse de trait. Son fils assure les couleurs depuis le tome précédent et apporte une touche non négligeable sur le rendu final. On pourra juste regretter le peu de page car les histoires de Criminal sont toujours aussi intéressantes et maîtrisées. Note : Alx23
  21. Série : Harley Quinn Scenario : Mariko Tamaki Dessin : Steve Pugh my 2 cents Graphiquement somptueux Edition : Urban Link Acheter sur BDfugue Résumé :C’est avec une bonne dose d’insouciance mais à peine cinq billets verts en poche que la jeune Harleen Quinzel débarque, seule, dans l’une des villes les plus dangereuses du monde : Gotham City. Du haut de ses quinze ans, et de pas mal de mauvaises expériences, rien ne semble pouvoir l’impressionner. Recueillie par Mama, une drag-queen au cœur d’or, Harleen apprivoise sa nouvelle vie, sa future meilleure amie Ivy et les nouvelles problématiques qui s’imposent à elle : injustice, intolérance, violence… Aussi, quand le cabaret de sa bonne fée Mama devient la nouvelle victime d’entrepreneurs sans état d’âme, Harleen change de ton. Pour autant, une question reste en suspens : mettre sa rage au service de l’action, oui, mais aux côtés de qui ? La militante pacifiste Ivy ou l’anarchiste et très énigmatique Joker ? Troisième tome et cette fois c'est l'égérie DC qui a droit à son roman graphique. Pas étonnant me direz-vous tellement on la voit (trop) beaucoup. Bon déjà on peut dire que niveau graphique ils ne sont pas plantés. L'égérie du moment se voit attribuer un traitement XXL niveau graphique ! Sincèrement c'est sublime. Que ce soit le jeu de couleur ou le graphisme c'est du grand art. On passe quasiment tout notre temps à regarder les images.... Mais ce n'est pas forcément plus mal car sinon il faut se palucher la "voix off officiel" de madame Quinn. Et j'avoue que moi l'effet voix off débile mais pas trop je n'en peux plus C'est 100% des parutions récentes sur Harley Quinn. Et j'avoue que j’espérais un traitement plus adulte..... Comme c'est bien fait pour le Joker. Le personnage du Joker est lui vachement intéressant. Plus que celui d'Harley qui se retrouve en plus (et je pense que c'est définitif) cantonnée dans le rôle de la gentille espiègle mais pas méchante. L'effet Deadpool en fait. En arrivant sur le devant de la scène, le héros perd de sa saveur qui était d'être le meilleur des seconds rôles.... Ma Note:
  22. poseidon2

    Catwoman Under The Moon

    Premier tome que j'ai eu le plaisir de lire de la nouvelle collection Urban Link et... et bien à mon humble avis le meilleure de la collection pour l'instant. Graphiquement c'est déjà très bon avec un choix de colorie très sympa et bien adapté à un personnage qui évolue dans l'ombre. Mais c'est le scénario qui est le plus marquant. En effet je trouve que Lauren Myracle a réussi a vraiment bien synthétiser l’essence même du personnage de Catwoman. Entre femme forte, grand cœur et caractère rebelle, cette Selina Kyle adolescence présente bien toutes les caractéristiques de la Catwoman actuelle. La révision du passé est elle même bien adapté au personnage. Quoi de mieux qu'une enfance difficile et une entrée dans l'age adulte trop rapide pour notre héroïne ambivalente ? La cerise sur le gâteau de ce "Catwoman, under the moon" est pour moi le lien qui est d'ores et déjà mis sur la relation entre Bruce et Selina. Un lien qui rapproche notre personnage de sa version adulte sans pour autant aller trop loin. Une juste mesure scénaristique qui fait de ce "roman graphique" une vraie réussite qui ravira les fans de Catwoman mais offrira aussi une porte d'entrée au personnage pour ceux qui n'aiment pas trop les super héros.
  23. Titre de l'album : Catwoman Under The Moon Scenariste de l'album : Lauren Myracle Dessinateur de l'album : Isaac Goodhart Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si la vie a appris une chose à Selina, c’est qu’elle est bien plus forte qu’elle ne le pensait. Pendant près de quinze ans, elle a dû faire avec les choix amoureux de sa mère, tous plus désastreux les uns que les autres. Mais Dernell, le dernier beau-père en date, tient vraiment la palme d’or : violent, misogyne, porté sur la bouteille… Impossible pour elle de rester une seconde de plus sous le même toit que cet homme. Selina découvre cependant que vivre dans la rue est loin d’être plus facile. Entre bonnes et mauvaises rencontres, la jeune femme devra faire des choix, car si le confort est parfois tentant, est-elle vraiment prête à tout pour l’obtenir ? Faire partie d’un groupe implique-t-il nécessairement de perdre son indépendance ? Selina Kyle trouvera peut-être comment survivre au quotidien, mais trouvera-t-elle comment devenir quelqu’un de bien ? Critique : Premier tome que j'ai eu le plaisir de lire de la nouvelle collection Urban Link et... et bien à mon humble avis le meilleure de la collection pour l'instant. Graphiquement c'est déjà très bon avec un choix de colorie très sympa et bien adapté à un personnage qui évolue dans l'ombre. Mais c'est le scénario qui est le plus marquant. En effet je trouve que Lauren Myracle a réussi a vraiment bien synthétiser l’essence même du personnage de Catwoman. Entre femme forte, grand cœur et caractère rebelle, cette Selina Kyle adolescence présente bien toutes les caractéristiques de la Catwoman actuelle. La révision du passé est elle même bien adapté au personnage. Quoi de mieux qu'une enfance difficile et une entrée dans l'age adulte trop rapide pour notre héroïne ambivalente ? La cerise sur le gâteau de ce "Catwoman, under the moon" est pour moi le lien qui est d'ores et déjà mis sur la relation entre Bruce et Selina. Un lien qui rapproche notre personnage de sa version adulte sans pour autant aller trop loin. Une juste mesure scénaristique qui fait de ce "roman graphique" une vraie réussite qui ravira les fans de Catwoman mais offrira aussi une porte d'entrée au personnage pour ceux qui n'aiment pas trop les super héros. Autres infos : Superbe lancement de série Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catwoman-under-the-moon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Girl Power

    Quand j'ai ouvert cet album, je me suis dit : Tiens je pense que je pourrais faire lire ça à ma fille en début d'adolescence. Et bien... non Non car cette BD n'est pas à mettre entre toutes les mains non plus de par son traitement quasi adulte de la condition d'ado. Un traitement qui rend cette BDs à destination de jeunes femmes plus que des ados. En effet ce roman graphique traite de tous les problèmes des jeunes lycéennes : De l'amour, au regard des autres en passant par la découverte des relations intimes, avec soi-même ou un autre. D'un point de vue graphique, le style journal intime tracé au styla rend vraiment bien et nous plonge directement dans l'ambiance souhaitée par Francesca Ruggiero. Cela donne une BD bien faite qui nous plonge bien dans les problématiques des jeunes filles des années 90....Sont-elles vraiment différentes des jeunes filles d’aujourd’hui ? Telle est la question
  25. Eux dites les enfants.... il n'en manquerait pas un bout ? Genre : Zero Hours ???? Car la sincèrement... c'est bizarre.... vraiment bizarre. Car cet album est super frustrant comme cela. ON a la chute de Hal, la naissance de Kyle.... et pas son ascension, pas sa participation à l'une des plus grosses crises de l'univers DC et on finit avec.... la fin des deux personnages.... C'est un peu comme si on regardait le seigneur des anneaux mais quon navait pas l'épisode 2. Juste le 1 et le 3..... Ce nest pas illisible, c'est juste super frustrant. Et c'est dommage car le personnage de Kyle Rayner est intéressant comme l'a pu le prouver Tom King dans son magnifique Omega Men. Bref une lecture vraiment frustrante qui nécessite d'avoir sous le coude Zero Hours pour bien comprendre.
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