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  1. Titre de l'album : Middlewest t3 (fin) : resilience Scenariste de l'album : Scottir Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Kidnappés et exploités par Nicolas Raider dans ses champs d'ethol, Abel, Bobby et les dizaines d'autres enfants retenus avec eux tentent de survivre dans cet environnement toxique où le moindre geste malheureux peut leur être fatal. Abel aimerait tellement pouvoir revenir en arrière et retrouver le doux foyer du clan Hurst. Si seulement il n'avait pas tout gâché en laissant sa colère prendre le dessus... Mais l'heure n'est plus aux regrets. Il lui faut désormais aller de l'avant. Et s'il veut enfin faire la paix avec lui-même et envisager son avenir sous un jour plus serein, il va lui falloir affronter une fois pour toute les démons de son passé. Critique : Pffff j'attendais cette fin d'histoire avec impatience et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Graphiquement déjà on a l'impression que Jorge Corona a encore progressé. Les passages finaux sont justes époustouflant de maitrise. On comprend tout ce que l'on voit dans un contexte difficile. Chapeau. Niveau histoire.... pas forcément beaucoup de surprise mais c'est plutôt une bonne chose. Cette absence de nouvelles pistes ou de nouveaux mystères permet à Scottie Young de prendre le temps de clôturer comme il faut l'histoire en cours. Ni trop vite, ni trop lentement. Pile poil ce que l'on voulait lire. C'est beau, c'est émouvant, c'est dynamique et cela forme sans conteste la meilleure histoire de Scottie Young à l'heure actuelle. Je ne vous gâcherais pas plus la lecture de cette excellente conclusion. J'envie juste un peu ce qui n'ont jamais lu la série et vont lire les 3 tomes d'un coup. A la prochaine Abel ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/middlewest-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Pffff j'attendais cette fin d'histoire avec impatience et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Graphiquement déjà on a l'impression que Jorge Corona a encore progressé. Les passages finaux sont justes époustouflant de maitrise. On comprend tout ce que l'on voit dans un contexte difficile. Chapeau. Niveau histoire.... pas forcément beaucoup de surprise mais c'est plutôt une bonne chose. Cette absence de nouvelles pistes ou de nouveaux mystères permet à Scottie Young de prendre le temps de clôturer comme il faut l'histoire en cours. Ni trop vite, ni trop lentement. Pile poil ce que l'on voulait lire. C'est beau, c'est émouvant, c'est dynamique et cela forme sans conteste la meilleure histoire de Scottie Young à l'heure actuelle. Je ne vous gâcherais pas plus la lecture de cette excellente conclusion. J'envie juste un peu ce qui n'ont jamais lu la série et vont lire les 3 tomes d'un coup. A la prochaine Abel !
  3. poseidon2

    Bully wars

    Bon encore une fois je pousse le coup de coeur un poil loin mais j'aime bien mettre en avant des productions qui sortent des sentier battus. Et donc encore une fois cela me pousse à mettre en avant une production de Scottie Young. Scottie Young est le trublion du comics à l'heure actuelle. Il s'est fait remarquer avec l'excellent I Hate Fairy Land et il n'a rien de moins que récupéré un « Fauve jeunesse 12-16 ans » pour son Middlwest. Alors du Scotie Young ca se lit dans un certain état d'esprit. C'est rigolo car je me rend compte, en relisant ma critique du T1 de I hate Fairyland, qu'à la première lecture je n'était pas réceptif à cet humour WTF 😛 Mais le covid amenant un besoin d'évasion et d'humour, j'ai adoré ce même humour dans Bully Wars. Scottie Young c'est de l'humour trash. Et la on suit rien de moins qu'une grosse brute de collège qui débarque au lycée et se retrouve confrontée à d'autres brutes. Il doit donc faire appel aux geek de services qu'il maltraitait au collège pour l'aider à devenir la plus grosse brute du lycée en remportant la "Bully wars" ou guerre des brutes en Français. C'est n'importe quoi mais c'est super drôle et très dynamique. En terme de couleur on en prend plein les yeux, et en terme de drôleries on a des personnages qui font tellement n'importe quoi qu'on ne peux que rigoler de leurs aventures. Donc oui c'est n'importe quoi mais en cette période de covid on a besoin d'un peu de relâchement !
  4. poseidon2

    Bully wars

    Titre de l'album : Bully wars Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Aaron Conley Coloriste : Aaron Conley ( Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Tout au long de leur scolarité à Rottenville, Spencer, Edith, Ernie et bien d'autres ont dû subir les brimades incessantes de la plus grosse brute de l'école, Rufus Ruffhouse. En rentrant au lycée, ils n'auraient jamais imaginé que les choses puissent changer, que leur ennemi de toujours allait trouver plus fort que lui et devenir à son tour victime de harcèlement scolaire. Comble : lui qui pensait être le tyran le plus craint et respecté de la ville n'a même pas été convié à la célèbre « guerre des Brutes », dont Hock est l'indétrônable vainqueur depuis maintenant trois ans. Son ego en prend un sacré coup. C'est alors qu'une alliance étonnante va se faire entre Rufus et ses anciens boucs émissaires pour tenter de survivre ensemble au concours façon Hunger Games qui s'annonce. Critique : Bon encore une fois je pousse le coup de coeur un poil loin mais j'aime bien mettre en avant des productions qui sortent des sentier battus. Et donc encore une fois cela me pousse à mettre en avant une production de Scottie Young. Scottie Young est le trublion du comics à l'heure actuelle. Il s'est fait remarquer avec l'excellent I Hate Fairy Land et il n'a rien de moins que récupéré un « Fauve jeunesse 12-16 ans » pour son Middlwest. Alors du Scotie Young ca se lit dans un certain état d'esprit. C'est rigolo car je me rend compte, en relisant ma critique du T1 de I hate Fairyland, qu'à la première lecture je n'était pas réceptif à cet humour WTF 😛 Mais le covid amenant un besoin d'évasion et d'humour, j'ai adoré ce même humour dans Bully Wars. Scottie Young c'est de l'humour trash. Et la on suit rien de moins qu'une grosse brute de collège qui débarque au lycée et se retrouve confrontée à d'autres brutes. Il doit donc faire appel aux geek de services qu'il maltraitait au collège pour l'aider à devenir la plus grosse brute du lycée en remportant la "Bully wars" ou guerre des brutes en Français. C'est n'importe quoi mais c'est super drôle et très dynamique. En terme de couleur on en prend plein les yeux, et en terme de drôleries on a des personnages qui font tellement n'importe quoi qu'on ne peux que rigoler de leurs aventures. Donc oui c'est n'importe quoi mais en cette période de covid on a besoin d'un peu de relâchement ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bully-wars?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang .
  6. Titre de l'album : Namor - Voyage au fond des mers Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Esad Ribic Coloriste : Esad Ribic Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : 1950 : le scientifique Randolph Stein part explorer les abysses a bord du sous-marin Platon, afin de démontrer l'invraisemblance de la légende de l'Atlantide. Il ne sait pas encore qu'il va faire un voyage incroyable qui le conduira devant le souverain et protecteur du royaume marin, Namor, le Prince des Mers ! Ecrit par Peter Milligan (X-Statix) et illustré par Esad Ribic (Thor, Silver Surfer: Requiem, Les Eternels), ce must-have plonge Namor au coeur d'un drame psychologique où les hommes perdent la raison en découvrant les mystérieuses créatures qui peuplent les profondeurs. Critique : Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/namor-voyage-au-fond-des-mers-must-have/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Adventureman T2 : Féérie New-yorkaise Scenariste de l'album : Matt Fraction Dessinateur de l'album : Terry Dodson Coloriste : Terry Dodson Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Un hommage éblouissant aux récits d'aventurespulp ! Que se passe-t-il après la fin du monde ? Pour Claire Connell, l'Apocalypse signifie devenir l'héritière du légendaire héros de pulps Adventureman. Aujourd'hui, elle découvre que reprendre le flambeau d'Adventureman signifie que c'est elle qui doit affronter ses ennemis, passés ET présents... Alors que New York semble sur le point de sombrer dans un étrange Armageddon, Claire tente de se fondre dans l'univers d'Adventureman afin de faire face au mal monstrueux qui a vaincu son prédécesseur. Mais le héros d'autrefois n'avait pas une famille comme la sienne. Claire Connell est devenue le nouvel Adventureman. Elle a ainsi réveillé un ami disparu depuis longtemps, mais aussi quelques spectres oubliés de l'Âge de l'Aventure, qui ont des choses à régler... La neige ne cesse de tomber, les vieux fantômes ne cessent de se manifester, et Claire Connell découvre un immense secret caché dans les sous-sols de Manhattan. Ses soeurs s'en mêlent, le secret enfoui du Gang des Fantômes est révélé. Claire, comme tout bon Adventureman qui se respecte, s'allie avec Le Duelliste, le super cow-boy chasseur de fantômes, pour découvrir ce qui pousse le gang à revenir hanter New York City. Une nouvelle aventure délirante qui met les sens à l'épreuve et défie les limites de l'imagination ! Critique : Je l'attendais ce tome 2, c'est peu de le dire. En effet le tome 1 finissait sur un suspens insoutenable ! Et le deux recommence donc exactement la ou l'on s'est arrêté....autant vous dire qu'il vaut mieux relire le 1 pour comprendre quelque chose. C'est donc ce que j'ai fait et ce qui m'a fait adorer la première partie de l'album. La fin de l'arc "introductif" à l'univers de Adventurman st juste parfait. Rien à redire. Les dessins sont toujours sublimes. La fin de l'histoire est magnifique. entre larmes de joies et de tristesses. Ce qui n'aide pas la deuxième partie. En effet, la suite de l'album part sur les aventures de notre nouvelle "Adventurem'man" et de son équipe à elle. Le rythme est donc forcement un cran en dessous et monte doucement en puissance avec une fin d'album forcément énervante et les personnages (sa famille sans ne rien divulgacher) secondaires qui composent son équipe prennent énormément de "volume". Un tome coupé en deux avec une fin de première histoire a 5/5 et un début de deuxième à 4/5. À noter qu'il faut faire attention ; l'album parait gros de loin, mais il y a un bon cinquième qui est un dossier sur ls coulisses de Adventureman. Dossier TRES intéressant avec le nombre d'albums souhaité (3 en tout pour la base), les spin off si ca marche toujours etc etc.... mais un truc qui n'est pas de la BD quand même 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adventureman-tome-2-feerie-new-yorkaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je l'attendais ce tome 2, c'est peu de le dire. En effet le tome 1 finissait sur un suspens insoutenable ! Et le deux recommence donc exactement la ou l'on s'est arrêté....autant vous dire qu'il vaut mieux relire le 1 pour comprendre quelque chose. C'est donc ce que j'ai fait et ce qui m'a fait adorer la première partie de l'album. La fin de l'arc "introductif" à l'univers de Adventurman st juste parfait. Rien à redire. Les dessins sont toujours sublimes. La fin de l'histoire est magnifique. entre larmes de joies et de tristesses. Ce qui n'aide pas la deuxième partie. En effet, la suite de l'album part sur les aventures de notre nouvelle "Adventurem'man" et de son équipe à elle. Le rythme est donc forcement un cran en dessous et monte doucement en puissance avec une fin d'album forcément énervante et les personnages (sa famille sans ne rien divulgacher) secondaires qui composent son équipe prennent énormément de "volume". Un tome coupé en deux avec une fin de première histoire a 5/5 et un début de deuxième à 4/5. À noter qu'il faut faire attention ; l'album parait gros de loin, mais il y a un bon cinquième qui est un dossier sur ls coulisses de Adventureman. Dossier TRES intéressant avec le nombre d'albums souhaité (3 en tout pour la base), les spin off si ca marche toujours etc etc.... mais un truc qui n'est pas de la BD quand même 😉
  9. poseidon2

    Raptor

    On va être honnête. En première lecture, j'étais très loin d'avoir tout compris. J'ai même failli arrêter au tout début tellement je ne comprenais rien. Rarement, je n'avais autant eu envie de relire un album dans l'unique but de vérifier que j'avais compris quelque chose. Le vrai pouvoir de Dave McKean est surement là : Réussir à faire quelque chose de vraiment différent, visuellement parlant que cela fait très peur en première lecture, mais de le faire tellement bien que l'on est envouté et qu'en terminant l'album, on les rouvre pour une deuxième lecture. Alors cela ne plaira pas à tout le monde, c'est clair. Mais il sera impossible de nier le travail et la qualité graphique. Je ne vous en dirais pas trop (en partie parce que j'ai toujours peur de ne pas avoir saisi toute la profondeur du récit) mais j'encourage toutes les âmes aventureuses et amatrices d'expérience graphique à foncer sur cet "album" de Dave McKean... et de venir me dire s'ils ont adoré... ou détesté.
  10. poseidon2

    Raptor

    Titre de l'album : Raptor Scenariste de l'album : Dave McKean Dessinateur de l'album : Dave McKean Coloriste : Dave McKean Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Raptor nous donne à voir tour à tour deux mondes et deux âmes en proie au conflit. Sokól erre dans un paysage féodal et fantastique, chassant les monstres pour le compte de ceux qui peuvent s'offrir ses services, tandis qu'Arthur, un auteur de contes fantastiques, qui pleure la mort de sa jeune épouse dans le Pays de Galles du XIXe siècle, s'en remet au surnaturel dans le vain espoir de la revoir. Tous deux vivent dans le crépuscule entre la vérité et le mensonge, la vie et la mort, la réalité et l'imaginaire. Véritable prouesse visuelle, Raptor entraîne le lecteur dans deux mondes à priori distincts, mais qui se font écho dans une même trame narrative. Critique : On va être honnête. En première lecture, j'étais très loin d'avoir tout compris. J'ai même failli arrêter au tout début tellement je ne comprenais rien. Rarement, je n'avais autant eu envie de relire un album dans l'unique but de vérifier que j'avais compris quelque chose. Le vrai pouvoir de Dave McKean est surement là : Réussir à faire quelque chose de vraiment différent, visuellement parlant que cela fait très peur en première lecture, mais de le faire tellement bien que l'on est envouté et qu'en terminant l'album, on les rouvre pour une deuxième lecture. Alors cela ne plaira pas à tout le monde, c'est clair. Mais il sera impossible de nier le travail et la qualité graphique. Je ne vous en dirais pas trop (en partie parce que j'ai toujours peur de ne pas avoir saisi toute la profondeur du récit) mais j'encourage toutes les âmes aventureuses et amatrices d'expérience graphique à foncer sur cet "album" de Dave McKean... et de venir me dire s'ils ont adoré... ou détesté. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raptor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    The scumbag t1 : cocaïnefinger

    Rick Remender est un des auteurs qui à le vent en poupe outre atlantique et cela lui permet de sortir des sentiers battus... pour nous proposer des histoires plus innovantes les unes que les autres. Et The Scumbag est monté directement dans le trio de tête des comics étranges. En effet, on a ici tout ce qui fait la définition de l'antihéros et même pire. Ernie est tellement "dégueulasse" qu'il ne réussit même pas à être attachant. C'est looser qui s'assume comme tel. Et cela rend le comics vraiment drôle. Si j'ai trouvé les aspects scato un peu trop poussés dans le non-respect de soi, le reste des aventures de notre drogué sont globalement tant décalées qu'elles en sont très drôles. Graphiquement très sympa malgré différents dessinateurs aux manettes des différents chapitres, ce Scumbag plaira aux amateurs de comics déjantés comme "The Loosers" mais laissera de côté les amateurs de comics plus sérieux. À vous de voir
  12. Titre de l'album : The scumbag t1 : cocaïnefinger Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Lewis LaRosa / Roland Boschi Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Être un motard analphabète, toxicomane, et possédant un QI équivalent à celui d'un enfant de primaire ne semble pas être les prérequis attendus pour sauver le monde. Et pourtant, malgré un CV peu reluisant, Ernie Ray Clementine est la seule chose qui nous sépare de l'Apocalypse. En ayant reçu accidentellement un sérum de surhomme, il est devenu l'espion le plus puissant du monde, et il semble impossible de s'en sortir sans son aide... Contenu vo : The scumbag #1-5. Critique : Rick Remender est un des auteurs qui à le vent en poupe outre atlantique et cela lui permet de sortir des sentiers battus... pour nous proposer des histoires plus innovantes les unes que les autres. Et The Scumbag est monté directement dans le trio de tête des comics étranges. En effet, on a ici tout ce qui fait la définition de l'antihéros et même pire. Ernie est tellement "dégueulasse" qu'il ne réussit même pas à être attachant. C'est looser qui s'assume comme tel. Et cela rend le comics vraiment drôle. Si j'ai trouvé les aspects scato un peu trop poussés dans le non-respect de soi, le reste des aventures de notre drogué sont globalement tant décalées qu'elles en sont très drôles. Graphiquement très sympa malgré différents dessinateurs aux manettes des différents chapitres, ce Scumbag plaira aux amateurs de comics déjantés comme "The Loosers" mais laissera de côté les amateurs de comics plus sérieux. À vous de voir Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-scumbag-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Batman la dernière sentinelle

    Amis amateurs d Batman mais ne suivant pas toutes les pérégrinations de DC, voici un album pour vous. En plus d'être hors continuité DC, cet album nous offre une histoire complètement hors de Gotham et des trames habituelles de Batman. On a ici un Batman sur la pente descendante se dirigeant vers une retraite nécessaire dû à son âge avancé. On a aussi comme cadre Londres et Paris et donc des dessins de villes et des soirées nocturnes qui changent radicalement de l'habituel Gotham glauque et froide. Si l'historie ne restera pas dans les annales de l'homme chauve-souris, elle reste bien construite et assez originale, avec un méchant aux raisons "valables" pour une fois (et autre que tuer tout le monde ou régner sur l'univers). Un bon one shot quoi 🙂
  14. Titre de l'album : Batman la dernière sentinelle Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Andy Kubert Coloriste : Andy Kubert Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après une vie passée à combattre le crime, Bruce Wayne n'est plus le même homme, ses nombreuses cicatrices en sont le douloureux rappel. Malgré la perte de ses amis les plus chers, son serment est toujours marqué au fer rouge dans son esprit. Mais aujourd'hui, le manoir est vide, et Batman est plus seul que jamais. Qu'est-ce qui peut encore retenir le Chevalier Noir à Gotham ? D'autant qu'à l'autre bout du monde, un avion vient de se crasher, des centaines d'innocents à son bord. En Angleterre, une mystérieuse organisation qui opère sous le nom d'Equilibrium réclame en effet toute son attention. Peut-être est-il temps pour la chauve-souris de quitter la Batcave... pour toujours ? Critique : Amis amateurs d Batman mais ne suivant pas toutes les pérégrinations de DC, voici un album pour vous. En plus d'être hors continuité DC, cet album nous offre une histoire complètement hors de Gotham et des trames habituelles de Batman. On a ici un Batman sur la pente descendante se dirigeant vers une retraite nécessaire dû à son âge avancé. On a aussi comme cadre Londres et Paris et donc des dessins de villes et des soirées nocturnes qui changent radicalement de l'habituel Gotham glauque et froide. Si l'historie ne restera pas dans les annales de l'homme chauve-souris, elle reste bien construite et assez originale, avec un méchant aux raisons "valables" pour une fois (et autre que tuer tout le monde ou régner sur l'univers). Un bon one shot quoi 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-la-derniere-sentinelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Billiionaire Island

    Mark Russel s'est déjà lancé dans la critique sociétale avec Prez, entre deux best of de super héros. Il revient avec une satire des plus grands patrons et de leurs modes de vie. C'est succulent d'humour noir. On rigole du début à la fin... entre deux frissons de réalités qui suinte d'une situation qui risque d'arriver plus vite que prévu. Mais les absurdités des comportements est magnifique. Le déroulement et les comportements des personnages, tant des riches que des moutons que nous sommes, est saisissant et la fin hilarante. Un bon moment de détente et une réflexion sur ce que font nos amis riches de leur argent et de ce qu'ils pourraient en faire au regard des crises de l'époque actuelle.
  16. Titre de l'album : Billiionaire Island Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Steve Pugh Coloriste : Steve Pugh Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde où la plupart des changements climatiques seraient la faute des plus fortunés, mais qu'au lieu d'y remédier, ces derniers se contenteraient de détourner le regard et de plébisciter la création d'oeuvres d'art virtuelles. Imaginez maintenant un monde où les médias, de la chaîne de télévision au journal local, seraient démantelés ou rachetés, permettant à ces mêmes milliardaires de vivre impunément de leurs trafics en tout genre. Imaginez enfin que, pour assurer leur propre prospérité, de riches industriels testent leurs produits nocifs sur des populations sans ressources, incapables de se protéger. Imaginez alors que ces personnes les plus riches, pour échapper à la vindicte mondiale, s'échappent sur l'île sanctuaire qu'ils auront pris le temps de construire. Eh bien, n'imaginez plus ! Ce monde existe... bientôt. Critique : Mark Russel s'est déjà lancé dans la critique sociétale avec Prez, entre deux best of de super héros. Il revient avec une satire des plus grands patrons et de leurs modes de vie. C'est succulent d'humour noir. On rigole du début à la fin... entre deux frissons de réalités qui suinte d'une situation qui risque d'arriver plus vite que prévu. Mais les absurdités des comportements est magnifique. Le déroulement et les comportements des personnages, tant des riches que des moutons que nous sommes, est saisissant et la fin hilarante. Un bon moment de détente et une réflexion sur ce que font nos amis riches de leur argent et de ce qu'ils pourraient en faire au regard des crises de l'époque actuelle. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/billionaire-island?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Strange adventures

    Cette critique s'adresse aux amateurs de comics, aux amateurs de récit menés subliment, aux amateurs de BD tout court.... Le Strange Adventures de Tom King est la plus belle lecture et la plus belle composition scénaristique que j'ai pu lire depuis très longtemps. Comme souvent chez Tom King, il n'est pas nécessaire de connaitre l''univers DC ni même de savoir qui est Adam Strange. Il suffit de se laisser guider par le maitre King et de prendre une grosse claque de gestion d'histoire. Tom King construit son histoire en deux parallèles : le présent et le passé. Le passé étant la guerre menée par Adam Strange sur sa deuxième terre, Rann, et le présent étant le retour d'Adam Strange sur Terre après la victoire sur Rann. Victoire que certains trouve étrange et demande à Mr Terrific d'enquêter. Le premier succès de Tom King sur ce récit, c'est de réussir à écrire sur des personnages secondaires de l'univers DC en réussissant à les présenter au fil de l'eu et sans que cela gène du tout la lecture. Le deuxième, c'est sa gestion des temps forts et l'utilisation harmonieuse des voies off ou du style direct. Chaque personnage son propre style d'écriture et de narration. Le taiseux Mr Terrific s'approprie la voie off, Alanna les longs discours et Adam Strange les scènes d'actions et cris qui vont avec. Et le plus grand succès, c'est de réussir à nous surprendre. Mieux que cela. Il ne nous surprend pas. Il réussit à nous faire penser, petit à petit, que l'inimaginable au début de l'album peut se trouver être une vérité acceptable. Petit à petit, on en vient à se dire "Attends, mais en fait...." Pas de gros cliffhanger de folie. Pas d'effet wahou en mode : tadam c'était derrière la porte ! Non ici on suit les petits cailloux récupérés par Mr Terrific et King réussit à nous faire suivre sa réflexion pour que l'on arrive quasiment aux mêmes conclusions que lui en même temps. Et ça, c'est magique. Pour ne pas s'arrêter au scénario, cet ouvrage est aussi super bien pensé en termes de design. Le traitement graphique en "3 bandes" (une page divisée en 3 grandes cases qui font toutes la largeur) rend super bien. Cela permet de sublimes paysages, mais aussi des découpages innovants et des séquences de plan rapprochés tel que seul le cinéma réussit à nous offrir d'habitude. Franchement, pour moi il n'y a rien à jeter et je pense que ça peut être un comics qui plaira à tous ceux qui aiment les histoires bien racontées. Attention par contre ça contient l'intégrale des...12 numéros. Donc prévoyez 2 bonnes heures devant vous. Mais 2 heures de bonheurs. Monsieur King, j'en veux plus souvent des comme ca !
  18. Titre de l'album : Strange adventures Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerads / Mitch / Evan Doc Shaner Coloriste : Colllectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Adam Strange, héros victorieux des guerres de Rann?Thanagar, savoure une retraite bien méritée sur Terre en compagnie de sa femme Alanna. En pleine tournée pour la promotion de son autobiographie, il est violemment pris à partie par un lecteur qui lui reproche le massacre d'innocents durant le conflit galactique. Quelques heures plus tard, ce même lecteur est retrouvé assassiné, à coup de blaster. Il reviendra à Mr Terrific de faire toute la lumière sur cette affaire. Critique : Cette critique s'adresse aux amateurs de comics, aux amateurs de récit menés subliment, aux amateurs de BD tout court.... Le Strange Adventures de Tom King est la plus belle lecture et la plus belle composition scénaristique que j'ai pu lire depuis très longtemps. Comme souvent chez Tom King, il n'est pas nécessaire de connaitre l''univers DC ni même de savoir qui est Adam Strange. Il suffit de se laisser guider par le maitre King et de prendre une grosse claque de gestion d'histoire. Tom King construit son histoire en deux parallèles : le présent et le passé. Le passé étant la guerre menée par Adam Strange sur sa deuxième terre, Rann, et le présent étant le retour d'Adam Strange sur Terre après la victoire sur Rann. Victoire que certains trouve étrange et demande à Mr Terrific d'enquêter. Le premier succès de Tom King sur ce récit, c'est de réussir à écrire sur des personnages secondaires de l'univers DC en réussissant à les présenter au fil de l'eu et sans que cela gène du tout la lecture. Le deuxième, c'est sa gestion des temps forts et l'utilisation harmonieuse des voies off ou du style direct. Chaque personnage son propre style d'écriture et de narration. Le taiseux Mr Terrific s'approprie la voie off, Alanna les longs discours et Adam Strange les scènes d'actions et cris qui vont avec. Et le plus grand succès, c'est de réussir à nous surprendre. Mieux que cela. Il ne nous surprend pas. Il réussit à nous faire penser, petit à petit, que l'inimaginable au début de l'album peut se trouver être une vérité acceptable. Petit à petit, on en vient à se dire "Attends, mais en fait...." Pas de gros cliffhanger de folie. Pas d'effet wahou en mode : tadam c'était derrière la porte ! Non ici on suit les petits cailloux récupérés par Mr Terrific et King réussit à nous faire suivre sa réflexion pour que l'on arrive quasiment aux mêmes conclusions que lui en même temps. Et ça, c'est magique. Pour ne pas s'arrêter au scénario, cet ouvrage est aussi super bien pensé en termes de design. Le traitement graphique en "3 bandes" (une page divisée en 3 grandes cases qui font toutes la largeur) rend super bien. Cela permet de sublimes paysages, mais aussi des découpages innovants et des séquences de plan rapprochés tel que seul le cinéma réussit à nous offrir d'habitude. Franchement, pour moi il n'y a rien à jeter et je pense que ça peut être un comics qui plaira à tous ceux qui aiment les histoires bien racontées. Attention par contre ça contient l'intégrale des...12 numéros. Donc prévoyez 2 bonnes heures devant vous. Mais 2 heures de bonheurs. Monsieur King, j'en veux plus souvent des comme ca ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/strange-adventures?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : La colère de Black Adam Scenariste de l'album : Peter J. Tomasi Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ancien champion du Sorcier Shazam et détenteur du pouvoir de l'éclair vivant, Teth-Adam a passé de nombreux siècles dans un sommeil magique, rêvant de son Égypte antique. Réveillé aux temps modernes, il décide de faire régner la justice par tous les moyens possibles. Ses méthodes expéditives attirent l'attention de tous les super-héros du monde, et sous peu, Black Adam se retrouve seul contre le monde entier. Mais derrière cet inflexible justicier en lutte perpétuel contre le mal se cache un être blessé et fragile, hanté par un amour perdu. Contenu vo : Black Adam The Dark Age #1-6 + World War III. Critique : Pffff c'est quand même dommage ce premier chapitre. Si on l'enlevait, le reste de l'histoire formerait un ensemble vraiment consistant. En effet, la partie Dark Age est très sympa avec un Black Adam qui nous apparait dans toute sa dualité : aussi cruel qu'amoureux de sa femme. Avec son propre sens de la justice, mais un sens de la justice quand même, dut-il passer par la mort d'innocent. Le parcours de Black Adam dans la recherche de ses pouvoirs est intéressant. Entre sa volonté d pouvoir et la volonté de sauver sa femme, il est tiraillé comme le serait tout homme. La fin avec Faust est particulièrement savoureuse. Alors pourquoi nous avoir mis un premier chapitre qui ne sert pas à grand-chose ? C'est finalement un vague résumé de la 3ieme guerre mondial. Mais un résumé ultra rapide et sans même l'introduction e pourquoi Black Adam par en guerre contre le monde. Il aurait été préférable de partir ud principe que Black Adam avait perdu ses pouvoirs sans commencer par cet épisode qui ne sert à rien..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/colere-black-adam/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    La colère de Black Adam

    Pffff c'est quand même dommage ce premier chapitre. Si on l'enlevait, le reste de l'histoire formerait un ensemble vraiment consistant. En effet, la partie Dark Age est très sympa avec un Black Adam qui nous apparait dans toute sa dualité : aussi cruel qu'amoureux de sa femme. Avec son propre sens de la justice, mais un sens de la justice quand même, dut-il passer par la mort d'innocent. Le parcours de Black Adam dans la recherche de ses pouvoirs est intéressant. Entre sa volonté d pouvoir et la volonté de sauver sa femme, il est tiraillé comme le serait tout homme. La fin avec Faust est particulièrement savoureuse. Alors pourquoi nous avoir mis un premier chapitre qui ne sert pas à grand-chose ? C'est finalement un vague résumé de la 3ieme guerre mondial. Mais un résumé ultra rapide et sans même l'introduction e pourquoi Black Adam par en guerre contre le monde. Il aurait été préférable de partir ud principe que Black Adam avait perdu ses pouvoirs sans commencer par cet épisode qui ne sert à rien.....
  21. Ce tome conclut les intrigues des Tortues autour des ultroms et des tricératons avec une "fin" aux cycle des problématiques aliens sur terre. On est assez loin des meilleurs tomes de la série, cet arc ne m'ayant finalement que peu convaincu, mais cela reste une lecture qui sera agréable à tous les fans des tortues. A noter que seuls 3 chapitres sont consacrés à la fin de cet arc, le 4ème et dernier chapitre, dessiné par Michael Dialynas pour le coup étant une nouvelle dans l'univers des tortues centrée sur Maitre Splinter. J'espère que la suite nous recadrera un peu sur des aventures des tortues plus classiques dans leurs enjeux. A voir.
  22. Titre de l'album : Les tortues ninja - TMNT tome 17 - Lignes de front Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Michael Dialynas Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Suite et fin pour les aventures cosmiques des Tortues désormais alliées avec... les Utroms, pour le meilleur comme pour le pire ? Plus déterminés que jamais à traquer et éradiquer toute présence extraterrestre sur la planète, l'agent Bishop et la F.T.P. mènent une attaque surprise sur l'île de Burnow. Les tensions explosent tandis que les Tortues Ninja rejoignent Burnow pour épauler Tricératons et Utroms dans une guerre sans merci qui ne laissera personne indemne... Critique : Ce tome conclut les intrigues des Tortues autour des ultroms et des tricératons avec une "fin" aux cycle des problématiques aliens sur terre. On est assez loin des meilleurs tomes de la série, cet arc ne m'ayant finalement que peu convaincu, mais cela reste une lecture qui sera agréable à tous les fans des tortues. A noter que seuls 3 chapitres sont consacrés à la fin de cet arc, le 4ème et dernier chapitre, dessiné par Michael Dialynas pour le coup étant une nouvelle dans l'univers des tortues centrée sur Maitre Splinter. J'espère que la suite nous recadrera un peu sur des aventures des tortues plus classiques dans leurs enjeux. A voir. Autres infos : Tortues Ninja Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-17-lignes-de-front?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Dark Ages

    Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la.....
  24. poseidon2

    Dark Ages

    Titre de l'album : Dark Ages Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Coello Coloriste : Coello Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il quand les super-héros perdent ? Le Gardien apparaît tout à coup, annonçant aux héros de la Terre que la planète vit ses derniers instants. Leurs efforts ne servent à rien, tout ce qui fonctionne à l'électricité tombe en panne et le monde tel que nous le connaissons est plongé dans l'obscurité. Sept ans plus tard, les héros existent toujours mais les vilains se sont organisés, sous la houlette d'Apocalypse ! Cette année, Marvel multiplie les évènements qui pourraient constituer à eux seuls un crossover, mais qui sont contenus dans des mini-séries dédiées. L'intégralité de cette saga, qui rassemble les plus grands héros Marvel face à une menace inédite, est donc recueillie ici. Critique : Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-ages?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Ascender t3

    Avant de commencer, je tiens à préciser que j'en lu les tomes 2 et 3 d'un coup ce qui a surement aidé à l'immersion dans ce tome 3. Mais je pense que même sans cela je vous aurais que ce tome 3 est excellent. Peut-être même le meilleur des deux séries. Le meilleur car Lemire nous sort un tome de très haute volée dramatique mais surtout un tome qui relie les deux séries. Un tome qui explique le passé pour basculer dans le futur de l'humanité. Un tome qui, de façon logique en plus, retrouve toutes les petites graines semées sur le chemin de Descender pour planter ce qui promet de devenir un arbre flamboyant. La fin est fascinante même si attendue et l'on n'a des perspectives qui font pétiller les yeux. Allez-y les amis on croit en vous !
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